Un algérien de Nancy tué par la police Belge
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Un algérien de Nancy tué par la police Belge
En abattant par balles, en début d’après-midi d’hier (mardi), Hakim Benladghem, un français d’origine algérienne, c’est d’un nouveau « Mohamed Merah » que se félicitent d’avoir réussi à débarrasser de leur Royaume les services de sécurité belges.
Les médias locaux qui s’en sont aussitôt fait l’écho, dans leurs éditions de mercredi, ont tous fait le lien entre ce jeune franco-algérien, la trentaine, et le « tueur de Toulouse », écrivant à ce sujet, « Hakim Benladghem rappelle, par certains aspects, Mohamed Merah, qui a semé la mort, il y a un an en France, avant de mourir sous les balles de l’escadron d’intervention ».
Et pour cause, tout comme Merah, dans son domicile situé à Anderlecht, ville du Sud-ouest de Bruxelles, la capitale, les policiers affirment avoir mis la main sur un important lot d’armes et d’explosifs pour la neutralisation desquels, il a été fait appel à une équipe de démineurs. Avant d’intervenir, ces derniers, est-il rapporté, ont dû boucler le quartier où habitait Hakim, le soupçonnant d’avoir piégé son appartement sis à la Rue Courtoisie.
Au même titre que son compatriote Mohamed, les médias belges n’ont pas mis beaucoup de temps pour fouiner dans la courte vie du jeune Hakim, abattu de plusieurs balles dans son 4X4, au terme d’une course-poursuite le long de l’autoroute.
L’on rappellera à ce propos qu’il avait, par le passé, proféré des menaces de mort à l’égard de policiers. Comme il aurait récemment procédé au braquage d’un restaurant d’Anderlecht : son but était les armes, en grand nombre, que possédait le propriétaire, l’argent n’était pas ce qu’il recherchait, indiquent les médias belges.
Et de préciser, toutefois, qu’à l’image de Mohamed Merah, Hakim Benladghem n’appartenait pas à un mouvement ou un réseau terroriste mais était un électron libre. La population Anderlechtoise -près de 115.000 âmes vivant sur quelque 18 km2- a bien entendu poussé un grand «ouf» de soulagement en apprenant la neutralisation de cet « électron libre » et en en voyant s’annihiler les ondes de la mort qui y provenaient et menaçaient leur quiétude.
D’autant que Hakim vivait dans la 8ème commune la plus peuplée du Royaume de Belgique où les hostilités à l’égard des étrangers notamment musulmans est, comme partout en Europe, de plus en plus assumée et déversée sans complexe. Ce qui a d’ailleurs commencé à faire réagir les organisations et associations internationales militant pour la cause de ceux qui ne sont pas européens de « souche ».
Naima Benouaret
El Watan
Les médias locaux qui s’en sont aussitôt fait l’écho, dans leurs éditions de mercredi, ont tous fait le lien entre ce jeune franco-algérien, la trentaine, et le « tueur de Toulouse », écrivant à ce sujet, « Hakim Benladghem rappelle, par certains aspects, Mohamed Merah, qui a semé la mort, il y a un an en France, avant de mourir sous les balles de l’escadron d’intervention ».
Et pour cause, tout comme Merah, dans son domicile situé à Anderlecht, ville du Sud-ouest de Bruxelles, la capitale, les policiers affirment avoir mis la main sur un important lot d’armes et d’explosifs pour la neutralisation desquels, il a été fait appel à une équipe de démineurs. Avant d’intervenir, ces derniers, est-il rapporté, ont dû boucler le quartier où habitait Hakim, le soupçonnant d’avoir piégé son appartement sis à la Rue Courtoisie.
Au même titre que son compatriote Mohamed, les médias belges n’ont pas mis beaucoup de temps pour fouiner dans la courte vie du jeune Hakim, abattu de plusieurs balles dans son 4X4, au terme d’une course-poursuite le long de l’autoroute.
L’on rappellera à ce propos qu’il avait, par le passé, proféré des menaces de mort à l’égard de policiers. Comme il aurait récemment procédé au braquage d’un restaurant d’Anderlecht : son but était les armes, en grand nombre, que possédait le propriétaire, l’argent n’était pas ce qu’il recherchait, indiquent les médias belges.
Et de préciser, toutefois, qu’à l’image de Mohamed Merah, Hakim Benladghem n’appartenait pas à un mouvement ou un réseau terroriste mais était un électron libre. La population Anderlechtoise -près de 115.000 âmes vivant sur quelque 18 km2- a bien entendu poussé un grand «ouf» de soulagement en apprenant la neutralisation de cet « électron libre » et en en voyant s’annihiler les ondes de la mort qui y provenaient et menaçaient leur quiétude.
D’autant que Hakim vivait dans la 8ème commune la plus peuplée du Royaume de Belgique où les hostilités à l’égard des étrangers notamment musulmans est, comme partout en Europe, de plus en plus assumée et déversée sans complexe. Ce qui a d’ailleurs commencé à faire réagir les organisations et associations internationales militant pour la cause de ceux qui ne sont pas européens de « souche ».
Naima Benouaret
El Watan
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Date d'inscription : 15/02/2013
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