Aït Menguellet a animé deux soirées artistiques à Tizi-Ouzou Magistral !
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Aït Menguellet a animé deux soirées artistiques à Tizi-Ouzou Magistral !
Il est 19h30, la Maison de la culture Mouloud-Mammeri de Tizi-Ouzou se met déjà dans l’ambiance festive. Nous sommes à presque une heure et demie du gala artistique de Lounis Aït Menguellet, les guichets sont pris d’assaut par une foule nombreuse. L’on peut voir des familles (en majorité) mais aussi des jeunes, des vieilles...
Le Sage a encore une fois charmé la ville des Genêts. Lounis Aït Menguellet a subjugué avant-hier ses fans à l’occasion d’une soirée ramadanesque mémorable. Tizi-Ouzou n’en demandait pas plus pour oublier ses soucis. Il est 19h30, la Maison de la culture Mouloud-Mammeri de Tizi-Ouzou se met déjà dans l’ambiance festive. Nous sommes à presque une heure et demie du gala artistique de Lounis Aït Menguellet, les guichets sont pris d’assaut par une foule nombreuse. L’on peut voir des familles (en majorité) mais aussi des jeunes, des vieilles...
Le géant de la chanson kabyle a pu réunir des générations entières sans pour autant qu’il y ait rupture. Nous retrouvons la salle des spectacles de la Maison de la culture aux environs de 20h30, on y constate un public à 80% constitué de familles, des adultes en majorité qui viennent s’offrir un grand moment d’évasion, oublier le temps passé et se souvenir de la belle époque, tout y est pour permettre au nombreux public, venu écouter les conseils du Sage, de surfer sur les airs du plaisir que procurent les prestations de Lounis. Une organisation sans faille est assurée par le service d’ordre de la Maison de la culture épaulé par les éléments de la police. Aït Menguellet se produira quelques minutes plus tard à guichets fermés.
21h, Aït Menguellet fait vibrer la salle
Comme à son habitude, Aït Menguellet est ponctuel. Il est 21h, il fait son apparition sous un tonnerre d’applaudissements. La salle s’est levée comme un seul homme pour saluer le maître de la chanson kabyle. Accompagné de son orchestre, composé de son fils Djaffer, Rabah Tissilia et Saïd Ghazli, Lounis passe directement à l’action. Idhak Wul sera la première de ses œuvres à être présentée comme pour exprimer le sentiment de manque que ressent l’artiste vis-à-vis de son public. Et c’est parti pour une heure de joie, de plaisir pour les présents à la Maison de la culture. Abrid, Luiza... les tubes des années 70 ont bercé le public invité à un voyage dans le temps, accroché par une prestation magistrale, les centaines de présents à la soirée ont apprécié l’originalité à laquelle Lounis est resté fidèle. Une parfaite communion s’est créée entre le chanteur et son public, un silence religieux s’est imposé laissant libre cours à l’artiste, égal à lui-même, d’éblouir ses fans...
La production de Lounis Aït Menguellet ne peut pas laisser indifférent le public, certains ne pouvaient s’empêcher de lancer des cris de joie, les vieilles agrémentaient le spectacle de youyous qui ajoutaient une originalité incontestable. Une heure s’est déjà écoulée, l’artiste se retire pour dix minutes de pause, brisant ainsi, pour un très court moment, les rêves d’un public acquis à sa cause. L’artiste adulé reprendra sa guitare pour plonger une seconde fois la salle dans une ambiance splendide, avec sa force du verbe. Lounis Aït Menguellet offrira à l’assistance de grands moments de joie. Il chantera le meilleur de son répertoire, Inad Umghar, Dda idir, Alwaldine... des tubes qui produisent la même sensation. S’il y a vraiment une particularité chez Aït Menguellet, abstraction faite de la production artistique, c’est indéniablement ce public admirateur, adulte et connaisseur, un public qui prend toujours du plaisir à écouter le Sage. Les plus jeunes qui étaient présents avant-hier à la Maison de la culture ne pouvaient pas rater l’opportunité d’immortaliser ce grand moment de joie, tout au long de la soirée artistique des flashes d’appareils photo fusaient des quatre coins de la salle. Ruh Nek Adhekimagh sera la chanson avec laquelle la soirée se terminera, deux heures magiques sans sentir le temps s’écouler tellement le spectacle était magistral. La soirée animée par Lounis Aït Menguellet avant-hier s’est avérée, comme d’habitude, une sortie triomphale. Elle s’impose à présent comme un rendez-vous incontournable durant le Ramadhan qui ne serait jamais le même sans Lounis Aït Menguellet. Ce dernier a été une deuxième fois à l’affiche hier dans la même salle.
A la fin du spectacle, le directeur de la culture de Tizi-Ouzou, Ould Ali El Hadi, offrira une gerbe de fleurs à l’artiste en guise d’hommage et de reconnaissance.
A. Z.
Le Sage a encore une fois charmé la ville des Genêts. Lounis Aït Menguellet a subjugué avant-hier ses fans à l’occasion d’une soirée ramadanesque mémorable. Tizi-Ouzou n’en demandait pas plus pour oublier ses soucis. Il est 19h30, la Maison de la culture Mouloud-Mammeri de Tizi-Ouzou se met déjà dans l’ambiance festive. Nous sommes à presque une heure et demie du gala artistique de Lounis Aït Menguellet, les guichets sont pris d’assaut par une foule nombreuse. L’on peut voir des familles (en majorité) mais aussi des jeunes, des vieilles...
Le géant de la chanson kabyle a pu réunir des générations entières sans pour autant qu’il y ait rupture. Nous retrouvons la salle des spectacles de la Maison de la culture aux environs de 20h30, on y constate un public à 80% constitué de familles, des adultes en majorité qui viennent s’offrir un grand moment d’évasion, oublier le temps passé et se souvenir de la belle époque, tout y est pour permettre au nombreux public, venu écouter les conseils du Sage, de surfer sur les airs du plaisir que procurent les prestations de Lounis. Une organisation sans faille est assurée par le service d’ordre de la Maison de la culture épaulé par les éléments de la police. Aït Menguellet se produira quelques minutes plus tard à guichets fermés.
21h, Aït Menguellet fait vibrer la salle
Comme à son habitude, Aït Menguellet est ponctuel. Il est 21h, il fait son apparition sous un tonnerre d’applaudissements. La salle s’est levée comme un seul homme pour saluer le maître de la chanson kabyle. Accompagné de son orchestre, composé de son fils Djaffer, Rabah Tissilia et Saïd Ghazli, Lounis passe directement à l’action. Idhak Wul sera la première de ses œuvres à être présentée comme pour exprimer le sentiment de manque que ressent l’artiste vis-à-vis de son public. Et c’est parti pour une heure de joie, de plaisir pour les présents à la Maison de la culture. Abrid, Luiza... les tubes des années 70 ont bercé le public invité à un voyage dans le temps, accroché par une prestation magistrale, les centaines de présents à la soirée ont apprécié l’originalité à laquelle Lounis est resté fidèle. Une parfaite communion s’est créée entre le chanteur et son public, un silence religieux s’est imposé laissant libre cours à l’artiste, égal à lui-même, d’éblouir ses fans...
La production de Lounis Aït Menguellet ne peut pas laisser indifférent le public, certains ne pouvaient s’empêcher de lancer des cris de joie, les vieilles agrémentaient le spectacle de youyous qui ajoutaient une originalité incontestable. Une heure s’est déjà écoulée, l’artiste se retire pour dix minutes de pause, brisant ainsi, pour un très court moment, les rêves d’un public acquis à sa cause. L’artiste adulé reprendra sa guitare pour plonger une seconde fois la salle dans une ambiance splendide, avec sa force du verbe. Lounis Aït Menguellet offrira à l’assistance de grands moments de joie. Il chantera le meilleur de son répertoire, Inad Umghar, Dda idir, Alwaldine... des tubes qui produisent la même sensation. S’il y a vraiment une particularité chez Aït Menguellet, abstraction faite de la production artistique, c’est indéniablement ce public admirateur, adulte et connaisseur, un public qui prend toujours du plaisir à écouter le Sage. Les plus jeunes qui étaient présents avant-hier à la Maison de la culture ne pouvaient pas rater l’opportunité d’immortaliser ce grand moment de joie, tout au long de la soirée artistique des flashes d’appareils photo fusaient des quatre coins de la salle. Ruh Nek Adhekimagh sera la chanson avec laquelle la soirée se terminera, deux heures magiques sans sentir le temps s’écouler tellement le spectacle était magistral. La soirée animée par Lounis Aït Menguellet avant-hier s’est avérée, comme d’habitude, une sortie triomphale. Elle s’impose à présent comme un rendez-vous incontournable durant le Ramadhan qui ne serait jamais le même sans Lounis Aït Menguellet. Ce dernier a été une deuxième fois à l’affiche hier dans la même salle.
A la fin du spectacle, le directeur de la culture de Tizi-Ouzou, Ould Ali El Hadi, offrira une gerbe de fleurs à l’artiste en guise d’hommage et de reconnaissance.
A. Z.
rebai_s- Nombre de messages : 1785
Date d'inscription : 26/04/2008
Re: Aït Menguellet a animé deux soirées artistiques à Tizi-Ouzou Magistral !
1 -Ait Mengellet
2- à Tizi Ouzou
on s'en fiche, bravo pour lui
2- à Tizi Ouzou
on s'en fiche, bravo pour lui
Re: Aït Menguellet a animé deux soirées artistiques à Tizi-Ouzou Magistral !
c'est un militant et un grand poète, il est en tourné et le tour de bgayt arrivera.
rebai_s- Nombre de messages : 1785
Date d'inscription : 26/04/2008
Re: Aït Menguellet a animé deux soirées artistiques à Tizi-Ouzou Magistral !
Celui d'Ait Smail pour quand rebai_s, nous l'avons invité, il a accepté, et il a finalement.........
Re: Aït Menguellet a animé deux soirées artistiques à Tizi-Ouzou Magistral !
c'est pour le mois de mars sous réserve .....
rebai_s- Nombre de messages : 1785
Date d'inscription : 26/04/2008
Re: Aït Menguellet a animé deux soirées artistiques à Tizi-Ouzou Magistral !
asmaali a écrit:1 -Ait Mengellet
2- à Tizi Ouzou
on s'en fiche, bravo pour lui
mais on sort pas de ces idées du régionalisme
qu'on encouragent un peut les artistes
l'essentielle moi je vais pas le raté
you and me- Nombre de messages : 2902
Date d'inscription : 29/04/2008
Re: Aït Menguellet a animé deux soirées artistiques à Tizi-Ouzou Magistral !
je ne crois pas que ce chanteur garde toujours sa cote de popularité...c'est vrai on dit que c'est un poète et..mais à lire ses déclarations et ses interventions sur les différents sujets on dirait pas que c'est ce chanteur qu'on célébre un peu trop.des réponses directes, superficielles, sans aucune analyse, ils passent plus souvent sur les questions sensibles à la région sans répondre et de dire que je suis un chanteur et pas homme politique. à quand cette trouille qui ne veut pas te lacher monsieur le poète.tu dois déffendre en principe les causes de cette région mais hélas! rien que des galas à font dormir debout.le cas repose aussi sur IDIR et autres qui ont fuit cette région .méme s'ils font un petit passage ils seront à tizi le fief de l'amazighité dites-vous.cette région largement médiatisée sur ce volet (l'amazighité) surtout par le trés régionaliste des quotidiens en l'occurence LIBERTE sans oublier la dépèche de kabylie qui est destiné plutot au douar de tizi.
Maximus- Nombre de messages : 1481
Date d'inscription : 04/05/2008
Re: Aït Menguellet a animé deux soirées artistiques à Tizi-Ouzou Magistral !
c'est le cas de nos politiciens aussi ils vivent en france, la suisse .... et ils ordonnent de la bas
you and me- Nombre de messages : 2902
Date d'inscription : 29/04/2008
Re: Aït Menguellet a animé deux soirées artistiques à Tizi-Ouzou Magistral !
2e soirée de Lounis Ait Menguellet à Tizi Ouzou
En apothéose !
Aït Menguellet a pour la deuxième reprise fait vibrer la salle de spectacles de la maison de la culture Mouloud-Memmeri de Tizi Ouzou. Le jeune public admirateur est venu très nombreux écouter le maître dans l’une de ses meilleures prestations artistiques. Cette fois, Lounis a régalé l’assistance durant plus de trois heures d’un spectacle dont lui seul détient le secret. Il faut dire que la salle qui a abrité les deux soirées artistiques du sage ne pouvait certainement pas contenir la grande foule. Ait Menguellet a chanté avant-hier. Il bercera durant la première partie de la soirée les plus âgés parmi les présents, et ce sous les mélodies des années 70. Certains ont en effet retrouvé leurs enfance et jeunesse. L’effet de la nostalgie soufflera sur la salle, renvoyant les présents à de lointains souvenirs que chacun se donnait un réel plaisir de revisiter. Par la suite, Lounis “gâtera” la nouvelle génération durant la 2e partie de la soirée par les meilleurs tubes des années 90 et 2000. Pour couronner les deux soirées animées par le géant de la chanson kabyle, plusieurs prix lui ont été offerts. Le P/APC de Tizi Ouzou lui en remettra un au nom de l’APC et du SMA, section scout Tizi Ouzou. La fin du gala sera également un grand moment d’émotion à travers les retrouvailles de Lounis Aït Menguellet avec le chanteur M’henni, lesquels ont échangé en public des amabilités. Ould El Hadi remettera une gerbe de fleurs à Lounis au nom de la Direction de la culture de Tizi Ouzou en guise de reconnaissance et d’honneur pour tout ce qu’a donné Lounis à la culture.
A. Z.
En apothéose !
Aït Menguellet a pour la deuxième reprise fait vibrer la salle de spectacles de la maison de la culture Mouloud-Memmeri de Tizi Ouzou. Le jeune public admirateur est venu très nombreux écouter le maître dans l’une de ses meilleures prestations artistiques. Cette fois, Lounis a régalé l’assistance durant plus de trois heures d’un spectacle dont lui seul détient le secret. Il faut dire que la salle qui a abrité les deux soirées artistiques du sage ne pouvait certainement pas contenir la grande foule. Ait Menguellet a chanté avant-hier. Il bercera durant la première partie de la soirée les plus âgés parmi les présents, et ce sous les mélodies des années 70. Certains ont en effet retrouvé leurs enfance et jeunesse. L’effet de la nostalgie soufflera sur la salle, renvoyant les présents à de lointains souvenirs que chacun se donnait un réel plaisir de revisiter. Par la suite, Lounis “gâtera” la nouvelle génération durant la 2e partie de la soirée par les meilleurs tubes des années 90 et 2000. Pour couronner les deux soirées animées par le géant de la chanson kabyle, plusieurs prix lui ont été offerts. Le P/APC de Tizi Ouzou lui en remettra un au nom de l’APC et du SMA, section scout Tizi Ouzou. La fin du gala sera également un grand moment d’émotion à travers les retrouvailles de Lounis Aït Menguellet avec le chanteur M’henni, lesquels ont échangé en public des amabilités. Ould El Hadi remettera une gerbe de fleurs à Lounis au nom de la Direction de la culture de Tizi Ouzou en guise de reconnaissance et d’honneur pour tout ce qu’a donné Lounis à la culture.
A. Z.
rebai_s- Nombre de messages : 1785
Date d'inscription : 26/04/2008
Re: Aït Menguellet a animé deux soirées artistiques à Tizi-Ouzou Magistral !
La voix du sage
Lounis a de quoi se frotter les mains, et ce compte tenu de la réussite remarquable de son concert dans la capitale de Djurdjura où il a tenu véritablement la palme, en subjuguant les puristes par ses mélodies attrayantes. Cela étant, les deux galas d’Aït Menguellet dans la ville des Genêts ont donné un signal fort à un retour, avec, à la clé, deux spectacles, en vue de renouer de manière grandiose avec son public.
Il a, en effet, entamé son gala tel un Goliath de la musique, à travers laquelle il s’est forgé un style concilié au timbre de sa voix. Ayant agrémenté son spectacle par ses fameuses chansons de nostalgie et de retrouvailles, l’artiste a, d’emblée, emballé l’assistance composée des différentes catégories de personnes et de tout âge. Ainsi donc, du sol au plafond et à coups de décibels, les chansons de l’artiste ont créé une ambiance particulière à l’intérieur de la salle. Du coup, tout s’est évadé sous le rythme d’un spectacle, telle une poule aux œufs d’or. L’ambiance était, le moins que l’on puisse dire, bon enfant, dans la mesure où le chanteur essayait continuellement d’égayer davantage l’assistance qui s’est offert des moments agréables.
Le samedi, tout comme le dimanche, Lounis a véritablement réussi son pari, celui de renouer avec un public qui l’adule et l’écoute régulièrement. Dans une salle comble, le poète, en compagnie d’un orchestre drivé par son fils Djaffar, a remis au goût du jour ces moments de nostalgie qui ont marqué sa jeunesse. Il a, en effet, chanté avec beaucoup d’émotion des textes qui ont laissé une bonne impression durant son itinéraire. D’ailleurs, sur scène, l’enfant d’Ighil Bouamas, a présenté une forme d’inspiration remarquable qui l’a animé au moment de son spectacle.
Sous des tonnerres d’applaudissements et de youyous stridents qui fusaient de l’intérieur de la salle, l’artiste a commencé son gala comme un cavalier sur sa selle pour régaler ses fans. Ces derniers se sont gavés d’airs de musique et de textes pleins de sens, à la hauteur du chantre qui a retrouvé son public au cours cette soirée ramadhanesque qui s’est étalée jusque tard dans la nuit.En somme, le concert de Lounis Aït Menguellet vient pour étoffer un programme d’animation nocturne concocté par la direction de la maison de la culture de Tizi Ouzou à l’occasion du mois sacré. Notons, ainsi, que d’autres artistes très connus sont également à l’affiche jusqu’à la fin du mois en cours. L’on citera, entre autres, Rabah Asma, Yasmina et Ouazib Mohamed Ameziane, prévus pour couronner cette semaine.
Mais, très attendu, notamment par la jeunesse, la coqueluche de la nouvelle génération et star de la chanson rythmée, Mohammed Allaoua, se produira durant trois jours, à savoir samedi, dimanche et lundi prochains, à Tizi Ouzou. Enfin, pour ce qui est d’Akli Yahiatène, ce dernier est programmé pour le 27 septembre.
Par H. Azzouzi
Lounis a de quoi se frotter les mains, et ce compte tenu de la réussite remarquable de son concert dans la capitale de Djurdjura où il a tenu véritablement la palme, en subjuguant les puristes par ses mélodies attrayantes. Cela étant, les deux galas d’Aït Menguellet dans la ville des Genêts ont donné un signal fort à un retour, avec, à la clé, deux spectacles, en vue de renouer de manière grandiose avec son public.
Il a, en effet, entamé son gala tel un Goliath de la musique, à travers laquelle il s’est forgé un style concilié au timbre de sa voix. Ayant agrémenté son spectacle par ses fameuses chansons de nostalgie et de retrouvailles, l’artiste a, d’emblée, emballé l’assistance composée des différentes catégories de personnes et de tout âge. Ainsi donc, du sol au plafond et à coups de décibels, les chansons de l’artiste ont créé une ambiance particulière à l’intérieur de la salle. Du coup, tout s’est évadé sous le rythme d’un spectacle, telle une poule aux œufs d’or. L’ambiance était, le moins que l’on puisse dire, bon enfant, dans la mesure où le chanteur essayait continuellement d’égayer davantage l’assistance qui s’est offert des moments agréables.
Le samedi, tout comme le dimanche, Lounis a véritablement réussi son pari, celui de renouer avec un public qui l’adule et l’écoute régulièrement. Dans une salle comble, le poète, en compagnie d’un orchestre drivé par son fils Djaffar, a remis au goût du jour ces moments de nostalgie qui ont marqué sa jeunesse. Il a, en effet, chanté avec beaucoup d’émotion des textes qui ont laissé une bonne impression durant son itinéraire. D’ailleurs, sur scène, l’enfant d’Ighil Bouamas, a présenté une forme d’inspiration remarquable qui l’a animé au moment de son spectacle.
Sous des tonnerres d’applaudissements et de youyous stridents qui fusaient de l’intérieur de la salle, l’artiste a commencé son gala comme un cavalier sur sa selle pour régaler ses fans. Ces derniers se sont gavés d’airs de musique et de textes pleins de sens, à la hauteur du chantre qui a retrouvé son public au cours cette soirée ramadhanesque qui s’est étalée jusque tard dans la nuit.En somme, le concert de Lounis Aït Menguellet vient pour étoffer un programme d’animation nocturne concocté par la direction de la maison de la culture de Tizi Ouzou à l’occasion du mois sacré. Notons, ainsi, que d’autres artistes très connus sont également à l’affiche jusqu’à la fin du mois en cours. L’on citera, entre autres, Rabah Asma, Yasmina et Ouazib Mohamed Ameziane, prévus pour couronner cette semaine.
Mais, très attendu, notamment par la jeunesse, la coqueluche de la nouvelle génération et star de la chanson rythmée, Mohammed Allaoua, se produira durant trois jours, à savoir samedi, dimanche et lundi prochains, à Tizi Ouzou. Enfin, pour ce qui est d’Akli Yahiatène, ce dernier est programmé pour le 27 septembre.
Par H. Azzouzi
rebai_s- Nombre de messages : 1785
Date d'inscription : 26/04/2008
Re: Aït Menguellet a animé deux soirées artistiques à Tizi-Ouzou Magistral !
ce soir a la maison de culture de Bejaia il ont fait une projection du film la mascarade
you and me- Nombre de messages : 2902
Date d'inscription : 29/04/2008
Re: Aït Menguellet a animé deux soirées artistiques à Tizi-Ouzou Magistral !
Bouira
C’était du Aït Menguellet pur sucre
A vingt heures trente, Errich était déjà archicomble. La salle avait réuni toutes les générations que compte ce " chaâb amekhus " de Bouira.
Les femmes, toutes générations confondues aussi, y étaient présentes en force. La grand-mère, celle qui a digéré " qim-d a tamghart 3zizen, tidet ur tebdi ghef snat ", a tenu à se déplacer dans une salle d’habitude exclusivement masculine plurielle. Le décor planté promet déjà une Tamghra à la kabyle avec ou sans "ay aberwaq lhal idaq". Nous retrouvons ces figures familières qui refusent de plier et décidées " ad jguglen deg wussan, yal ass ad as-fken lkar-is".
Au premier rang, nous apercevons d’autres figures familières, celles qui représentent l’autorité locale dont celle qui se sent visée par "senduyt aman a wid yestufan ".
Nous retrouvons aussi, Zayna, une vielle amie de la Dépêche. Elle était heureuse de nous retrouver. Elle s’inquiétera de la disparition de " Comme celui qui danse pour un aveugle ". Zayna est installée en France. Elle y retournera bientôt en emportant " deg walen-is ayen ur tzer ara " chez Fafa . Vingt et une heures. Seuls les sièges et les instruments de musique meublent la scène. Lounis et ses musiciens n’ont toujours pas fait leur entrée. Il faut attendre que les tarawih finissent. Peut être pas.
Nous rebalayons la salle du regard. Nous reconstatons que la vie était là dans toute sa splendeur. Et nous nous disons que c’est grâce à cette beauté qui résiste que la vie n’a pas basculé dans les abysses. Et puis un tonnerre d’applaudissements accompagne l’apparition de Djaffar, le fils de son père, Rabeh Tissilya, et Said Ghezli, les musiciens. Un autre tonnerre de bruits saluera l’apparition de Lounis. Les youyous fusent de partout. L’artiste se rapproche du micro. Il va dire quelque chose. La salle se raccroche à ses lèvres. La mouche on l’entend voler. Pas très bavard, Ait Menguellet expédie timidement les salutations qu’il termine par " voilà ! ". La non bête de scène invite, sans s’attarder sur les selamalecs, sa guitare : " qim deg urebi-iw, kkes-iyi lxiq a tin hemlex… " . Que tameghra commence !
Au grand bonheur des nostalgiques des années d’or, Ait Menguellet choisira, pour commencer, un morceau de " Tiregwa ". Nous surprenons les grand-mères accompagner des bouts des lèvres le chantre. On imagine la charge émotionnelle qui déborde de leurs êtres. Une ovation saupoudrée de youyous made in Djurdjura salue la dernière note de la première chanson. L’artiste enchaînera avec " telt yam di le3mer-iw ". Le " Ass amenzu ul-iw yezha/ am zun yelli-d s tesarut/ yugi a yettu am tin yezra/ ifaq s lwerd di tefsut " sera repris en chœur et toujours des bouts des lèvres par une salle agréablement conquise. Lounis ne lâchera pas les années d’or. Il déterrera " taktabt n lhub " qui ira droit dans les cœurs de tous ces amoureux qui n’ont jamais osé dire " je t’aime ", zik-nni. L’artiste ne lâche toujours pas le répertoire. Ce qui fera dire à une jeune fille : " Lounis serait-il nostalgique à ce point ou serait-il amoureux de nouveau ? ". Peu importe ses états d’âme. Le public est envoûté et en redemande. Puisant toujours dans les anciennes chansons, Aït Menguellet abordera une autre thématique, celle qualifiée à tort de politique, puisque l’artiste ne fera que raconter la vie lorsqu’il invite sa dulcinée " arju-iyi, arju-yi !", du Boris Vian version tamedyazt.
" Senduyt aman a wid yestufan " sera pratiquement la seule chanson qui échappera aux années d’or. Mais c’était du Aït Menguellet pur sucre.
" JSK " répondra à l’envie de se mouvoir des jeunes occupant le balcon de la salle.
Lounis saluera son public avec la traditionnelle " keccini ruh nek ad qimegh ".
Sur scène, Omar Reghal, le directeur de la culture invitera l’hôte de Bouira à patienter un instant, le temps qu’il faut pour que le maire, le président de l’association des entrepreneurs qui avait sponsorisé le spectacle et madame Saoudi, la députée de Bouira, rejoignent l’artiste sur scène, lui remettre des cadeaux symboliques et lui exprimer le bonheur de Bouira de recevoir un Monsieur de la chanson algérienne.
T. Ould Amar
C’était du Aït Menguellet pur sucre
A vingt heures trente, Errich était déjà archicomble. La salle avait réuni toutes les générations que compte ce " chaâb amekhus " de Bouira.
Les femmes, toutes générations confondues aussi, y étaient présentes en force. La grand-mère, celle qui a digéré " qim-d a tamghart 3zizen, tidet ur tebdi ghef snat ", a tenu à se déplacer dans une salle d’habitude exclusivement masculine plurielle. Le décor planté promet déjà une Tamghra à la kabyle avec ou sans "ay aberwaq lhal idaq". Nous retrouvons ces figures familières qui refusent de plier et décidées " ad jguglen deg wussan, yal ass ad as-fken lkar-is".
Au premier rang, nous apercevons d’autres figures familières, celles qui représentent l’autorité locale dont celle qui se sent visée par "senduyt aman a wid yestufan ".
Nous retrouvons aussi, Zayna, une vielle amie de la Dépêche. Elle était heureuse de nous retrouver. Elle s’inquiétera de la disparition de " Comme celui qui danse pour un aveugle ". Zayna est installée en France. Elle y retournera bientôt en emportant " deg walen-is ayen ur tzer ara " chez Fafa . Vingt et une heures. Seuls les sièges et les instruments de musique meublent la scène. Lounis et ses musiciens n’ont toujours pas fait leur entrée. Il faut attendre que les tarawih finissent. Peut être pas.
Nous rebalayons la salle du regard. Nous reconstatons que la vie était là dans toute sa splendeur. Et nous nous disons que c’est grâce à cette beauté qui résiste que la vie n’a pas basculé dans les abysses. Et puis un tonnerre d’applaudissements accompagne l’apparition de Djaffar, le fils de son père, Rabeh Tissilya, et Said Ghezli, les musiciens. Un autre tonnerre de bruits saluera l’apparition de Lounis. Les youyous fusent de partout. L’artiste se rapproche du micro. Il va dire quelque chose. La salle se raccroche à ses lèvres. La mouche on l’entend voler. Pas très bavard, Ait Menguellet expédie timidement les salutations qu’il termine par " voilà ! ". La non bête de scène invite, sans s’attarder sur les selamalecs, sa guitare : " qim deg urebi-iw, kkes-iyi lxiq a tin hemlex… " . Que tameghra commence !
Au grand bonheur des nostalgiques des années d’or, Ait Menguellet choisira, pour commencer, un morceau de " Tiregwa ". Nous surprenons les grand-mères accompagner des bouts des lèvres le chantre. On imagine la charge émotionnelle qui déborde de leurs êtres. Une ovation saupoudrée de youyous made in Djurdjura salue la dernière note de la première chanson. L’artiste enchaînera avec " telt yam di le3mer-iw ". Le " Ass amenzu ul-iw yezha/ am zun yelli-d s tesarut/ yugi a yettu am tin yezra/ ifaq s lwerd di tefsut " sera repris en chœur et toujours des bouts des lèvres par une salle agréablement conquise. Lounis ne lâchera pas les années d’or. Il déterrera " taktabt n lhub " qui ira droit dans les cœurs de tous ces amoureux qui n’ont jamais osé dire " je t’aime ", zik-nni. L’artiste ne lâche toujours pas le répertoire. Ce qui fera dire à une jeune fille : " Lounis serait-il nostalgique à ce point ou serait-il amoureux de nouveau ? ". Peu importe ses états d’âme. Le public est envoûté et en redemande. Puisant toujours dans les anciennes chansons, Aït Menguellet abordera une autre thématique, celle qualifiée à tort de politique, puisque l’artiste ne fera que raconter la vie lorsqu’il invite sa dulcinée " arju-iyi, arju-yi !", du Boris Vian version tamedyazt.
" Senduyt aman a wid yestufan " sera pratiquement la seule chanson qui échappera aux années d’or. Mais c’était du Aït Menguellet pur sucre.
" JSK " répondra à l’envie de se mouvoir des jeunes occupant le balcon de la salle.
Lounis saluera son public avec la traditionnelle " keccini ruh nek ad qimegh ".
Sur scène, Omar Reghal, le directeur de la culture invitera l’hôte de Bouira à patienter un instant, le temps qu’il faut pour que le maire, le président de l’association des entrepreneurs qui avait sponsorisé le spectacle et madame Saoudi, la députée de Bouira, rejoignent l’artiste sur scène, lui remettre des cadeaux symboliques et lui exprimer le bonheur de Bouira de recevoir un Monsieur de la chanson algérienne.
T. Ould Amar
rebai_s- Nombre de messages : 1785
Date d'inscription : 26/04/2008
Re: Aït Menguellet a animé deux soirées artistiques à Tizi-Ouzou Magistral !
Comme ça la scène culturelle va être animé et notre chanteur va ramasser de l'argent, n'oubliant pas qu'il a des affaires de justice en France de son fils, ça va l'aidai et tout le monde trouve sont compte.
rebai_s- Nombre de messages : 1785
Date d'inscription : 26/04/2008
Re: Aït Menguellet a animé deux soirées artistiques à Tizi-Ouzou Magistral !
la justice française a tranché sur cette affaire 20 ans de prison pour son fils Mounir
et y a pas de négociation avec leur justice
et y a pas de négociation avec leur justice
you and me- Nombre de messages : 2902
Date d'inscription : 29/04/2008
Re: Aït Menguellet a animé deux soirées artistiques à Tizi-Ouzou Magistral !
y a des recours aya adakel
rebai_s- Nombre de messages : 1785
Date d'inscription : 26/04/2008
Re: Aït Menguellet a animé deux soirées artistiques à Tizi-Ouzou Magistral !
je croix pas si ça ira
you and me- Nombre de messages : 2902
Date d'inscription : 29/04/2008
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