Les « suicidés » du désespoir…
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Les « suicidés » du désespoir…
Les « suicidés » du désespoir…
Un nouveau décès par immolation à Béjaïa et un cadavre d’un jeune harag repêché à Arzew
Les actes de désespoir prennent de plus en plus de l’ampleur dans le quotidien des algériens, qui agacés de leurs conditions de vie misérable, choisissent comme dernier recours l’immolation par le feu ou encore le phénomène de « harragas » pour partir à l’hexagone et franchir le mur qui les séparent de l’autre côté de la méditerranée dans la perspective d’une vie meilleur. En effet, le jeune surnommé Layachi B, âgé de 33 ans, qui a tenté de s’immolé par le feu, hier, devant le commissariat d’Aokas, dans la wilaya de Bejaïa, a succombé à ces blessures dans la soirée de la même journée, vers 22 h 30 à l’hôpital Khellil Amrane, de Béjaïa. Selon quelques sources, la victime, qui travaillait comme gardien de nuit, a succédé à cet acte, après avoir être convoqué par la police, pour témoigner dans une affaire de vol. Il est à rappeler, qu’en Algérie c’est le cinquième décès par immolation depuis le début de cette année 2011. Concernant ce phénomène d’immolation par le feu dans la wilaya de Béjaïa, cet acte de jeune Layachi B, est le deuxième après celui d’employé de l’APC d’Akbou, qui a tenté de s’immolé par le feu, le 9 février passer, devant le bureau du maire, pour protester contre sa mutation. Dans le ouest de l’Algérie, dans la wilaya d’Oran, c’est le phénomène de harragas qui a refait son apparition, en effet, un chalutier immatriculé à Arzew a repêché, dans la nuit de vendredi passé, un corps d’une jeune harag, décapité en état de décomposition avancée. Selon les marins pêcheurs, le cadavre a été remonté dans les filets à 600 miles de Cap Carbon, à Arzew. Le corps a été déposé au service de la morgue de l’hôpital d’El Mohgoune et une enquête a été ouverte par les services de sécurité concernés pour identification. Il est à rappeler, qu’en début du mois du janvier, plus de 18 harragas ont pris la mer, sans donner signe de vie à ce jour. L’un de ces harragas a été repêché par les gardes côtes, durant la semaine passé, au large de Jijel. Ce jeune a été identifié, par la vidéo qui a été trouvé dans son portable adressée aux parents du défunt. La ville d’Arzew a enregistré plusieurs tentatives d’immigration clandestines dans certaines ont été échoué, faisant plusieurs victime en plaine
mer. F. A
http://www.lepost.fr/article/2011/03/06/2426046_les-suicides-du-desespoir.html
Un nouveau décès par immolation à Béjaïa et un cadavre d’un jeune harag repêché à Arzew
Les actes de désespoir prennent de plus en plus de l’ampleur dans le quotidien des algériens, qui agacés de leurs conditions de vie misérable, choisissent comme dernier recours l’immolation par le feu ou encore le phénomène de « harragas » pour partir à l’hexagone et franchir le mur qui les séparent de l’autre côté de la méditerranée dans la perspective d’une vie meilleur. En effet, le jeune surnommé Layachi B, âgé de 33 ans, qui a tenté de s’immolé par le feu, hier, devant le commissariat d’Aokas, dans la wilaya de Bejaïa, a succombé à ces blessures dans la soirée de la même journée, vers 22 h 30 à l’hôpital Khellil Amrane, de Béjaïa. Selon quelques sources, la victime, qui travaillait comme gardien de nuit, a succédé à cet acte, après avoir être convoqué par la police, pour témoigner dans une affaire de vol. Il est à rappeler, qu’en Algérie c’est le cinquième décès par immolation depuis le début de cette année 2011. Concernant ce phénomène d’immolation par le feu dans la wilaya de Béjaïa, cet acte de jeune Layachi B, est le deuxième après celui d’employé de l’APC d’Akbou, qui a tenté de s’immolé par le feu, le 9 février passer, devant le bureau du maire, pour protester contre sa mutation. Dans le ouest de l’Algérie, dans la wilaya d’Oran, c’est le phénomène de harragas qui a refait son apparition, en effet, un chalutier immatriculé à Arzew a repêché, dans la nuit de vendredi passé, un corps d’une jeune harag, décapité en état de décomposition avancée. Selon les marins pêcheurs, le cadavre a été remonté dans les filets à 600 miles de Cap Carbon, à Arzew. Le corps a été déposé au service de la morgue de l’hôpital d’El Mohgoune et une enquête a été ouverte par les services de sécurité concernés pour identification. Il est à rappeler, qu’en début du mois du janvier, plus de 18 harragas ont pris la mer, sans donner signe de vie à ce jour. L’un de ces harragas a été repêché par les gardes côtes, durant la semaine passé, au large de Jijel. Ce jeune a été identifié, par la vidéo qui a été trouvé dans son portable adressée aux parents du défunt. La ville d’Arzew a enregistré plusieurs tentatives d’immigration clandestines dans certaines ont été échoué, faisant plusieurs victime en plaine
mer. F. A
http://www.lepost.fr/article/2011/03/06/2426046_les-suicides-du-desespoir.html
Zhafit- Admin
- Nombre de messages : 13508
Date d'inscription : 26/04/2008
Re: Les « suicidés » du désespoir…
il ne faut pas faire d'un tel acte un phénoméne ,c'est juste un cas isolée .
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