SADEK REBAI (PRÉSIDENT D'ADRAR N’FAD D'AÏT SMAÏL
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SADEK REBAI (PRÉSIDENT D'ADRAR N’FAD D'AÏT SMAÏL
SADEK REBAI (PRÉSIDENT D'ADRAR N’FAD D'AÏT SMAÏL
«Nous agissons afin que la culture cesse d'être mot pour devenir acte»
«Terre, eau, feu» tel est le générique de la 7ème édition du Festival Raconte-Arts qui s'est tenu du 10 au 16 juillet 2010 à Aït Smaïl, dans la wilaya de Béjaïa.
Sur le préambule du fascicule préparé pour la circonstance par la Ligue des Arts Cinématographiques et Dramatiques de la wilaya de Tizi Ouzou, promotrice de l'évènement, on peut lire «Trois éléments essentiels à la vie qui, réunis, ont donné naissance à un art millénaire : La poterie modelée de Kabylie.
C'' est parce que les femmes et les hommes d'Aït Smaïl ont su garder vivace cette tradition, que nous avons choisi ce titre évocateur d'un art ancestral ; mais surtout c'est pour lui permettre, en se conjuguant aux autres arts durant le festival, de raconter ses maux, de se dire et de dire son histoire.
De plus, Raconte-Arts ne vient pas uniquement pour apporter un peu de baume au coeur de ses hôtes, mais il a pour vocation, a contrario des autres festivals, de mettre en exergue leurs savoir-faire et autres activités et actions phares.
C'est notre manière de nous montrer solidaires, en apportant notre caution à des actes éminemment constructifs.
C'est pour cette raison que nous n'omettrons certainement pas de faire un clin d'oeil au "Festival de poésie Mouloud Mammeri" organisé chaque année avec ténacité et panache par l'Association Adrar n’fad, du même village.
Une place de choix sera donc, accordée à tous ceux qui taquinent la muse » On peut lire aussi « Autour de ces deux axes principaux à savoir, patrimoine et oralité, nous organiserons toute une panoplie d'activités : intellectuelles, artistiques, festives, ludiques, voire insolites.
Nous laisserons cependant, une place aux expositions et au marché de l'artisanat, étant donné que nous nous sommes de tout temp inscrits dans la perspective du développement durable.
Cet été donc, nous ferons jonction avec la Fête de la Poterie d'Aït Smaïl.
Deux évènements en un.
Une belle expérience, un vrai challenge ! En partenariat avec l'APC d'Aït Smaïl et l'Association culturelle Adrar n’Ffad, nous mettrons toute notre énergie et notre engagement pour réussir cette édition qui d'ores et déjà, s'annonce prometteuse.
En effet, lorsque la Ligue des Arts Cinématographiques et Dramatiques, promotrice de l'évènement, trouve en face d'elle un vis-à-vis crédible et porteur d'expérience, la place n'est qu'à l'optimisme »
Sadek Rebai président de l'une des associations les plus actives en Kabylie, L'Association Culturelle «Adrar n’Fad» en l'occurrence, revient sur la dernière fête jumelée (poterie et raconte arts) qu'a organisée son association
Le Courrier d'Algérie : vous êtes le président de l'Association Culturelle Adrar n’Fad, pouvez-vous nous parler un peu de cette association ?
Sadek Rebai : Evidemment, je suis le président de l'association Culturelle Adrar n’Fad de la commune d'Ait Smail, et ce, depuis le 22 septembre 2008 à ce jour.
A propos de cette association, j'aimerais dire qu'elle est dans sa seizième année d'existence, elle a été fondée le 10 mars 1994 par un groupe de jeunes natifs de notre localité et agréée le 29 juin 1994 sous le numéro 94/71 ; il est utile de rappeler que le l'appellation de l'association fait référence à la montagne qui délimite du nord la commune d'Ait Smail.
Plusieurs ateliers sont installés lors de la dernière fête jumelée, êtes-vous prêts à nous parler de chacun de ses ateliers ?
Bien sûr, je suis toujours prêt à vous fournir le moindre détail sur les activités d'Adrar n’Fad
Alors, commençons par l'atelier d'écriture ?
En dehors de l'ambiance chaleureuse du festival, et des allers retours d'artistes, une équipe de ceux qui s'alimentent à l’encre et à la plume se réunissent dans leur atelier pour pouvoir donner un sens écrit à ce festival.
En face,il y avait Michael Terral, le doyen de cet atelier avec ses textes pleins de nostalgie et d'amour, à côté de Kelthoum, cette dame qui nous donnait des consignes et nous supplie de ne pas les respecter afin de donner cette touche personnelle et à chacun sa liberté de voyager dans la forme.
Des habitués à l'écriture, de nouvelles expériences pour les autres.
On écrit chacun dans son monde à lui, chacun a ses inspirations, et à chacun ses aspirations, un penchant poétique pour certains, un autre philosophique, un autre nostalgique mais toujours dans le seul but d'interpréter, de dessiner le festival par les mots, rencontres, découvertes, expériences…
Qu'en est-il de celui des arts postaux ?
A partir des restes de feuilles et quelques pinceaux, des boites de couleurs et autres choses si simples qu'on le pensait s'est tenu dans une ambiance festive cet atelier avec la forte présence des innocents qui ont démontré qu'ils peuvent faire des choses extraordinaire a partir du néant.
Qu'en est-il de l'atelier de Denis ?
Avant que «Racont'Arts» ne prenne le train, Denis s'est rendu à Ait Smail pour repérer un lieu original où mettre sa signature.
Le festival commence et Denis prend la vieille maison à côté du vieux frêne pour se mettre a l'oeuvre et à ses cotés les élèves et ressortissants de l'école des beaux arts de Azazga qu'il encadre dans un autre atelier.
Au début l'honneur est revenu à Brahimi El Kheir qui posa la première touche ou le premier point sur le mur de la maison kabyle prévue pour cette intervention in situ avec toute ses cicatrices et son histoire que porte cette vieille maison riche en graphité et que beaucoup de citoyens de la région ne lui prêtait attention, mais avec cette intervention artistique qui rentre dans l'art éphémère riche en motifs berbères inspiré d'une assiette qu'il a trouver dans l'exposition de l'association (poterie locale) qui n'est autre qu'une assiette avec trois lézards en relief dedans.
Pendant le festival Denis anima des débats importants avec les curieux qui passaient pour le voir travailler.
Le travail de Denis est porté par d'autres comme une synographie pour leurs spectacles et performances.
Des textes du poète Brahim el Kheir son là pour résumer toute cette belle aventure sur ce mur.
Un passage pour certains, une signature pour d'autres, un enchantement pour l'association, un hommage pour le village.
Et ces artistes des beaux arts erraient ici et là bas, dessinant des croquets et tout qu'il leur venait à l'esprit, ce que Ait Smail leur inspirait… la beauté des paysages suspendus entre les hauteurs des montagnes Takoucht et Adrar n’Fad, inspire l'impressionnisme de Renoir, la lumière et les temps de Claude Monet Le dessin disparaîtra du mur de la vieille maison mais aux yeux d'Ait Smail, il restera à jamais…
Et les beaux Arts de Sétif ?
Parmi les stations, si j'ose dire ou les activités artistiques prévues et réalisées durant cette manifestation, on trouve le passage si fort des étudiants et sortant des beaux arts de Sétif encadrés par leur enseignant en l'occurrence Brahimi Zahir qui nous confie à propos de cette oeuvre de l'art public , une fresque intitulée « entre le verbe et le visible » inspirée des motifs de la poterie local d'Ait Smail qui véhicule une poésie visuelle de la femme de la même région .
C'est tout de même une peinture inspirée d'un extrait d'une peinture de Michael Ange de la de la chapelle Sixtine « création d'Adam ».
Atelier entre terre et ciel : l'arc en ciel de Suzan Gohot ?
Un travail qui rentre dans l'art contemporain, un mélange entre l'installation et l'art public où elle crée un atelier d'enfants de création poétique en collaboration de Zahir Brahimi et les membres de l'association Adrar n’Fad et de ses poètes, là où il a demandée aux enfants d'écrire des poèmes et réaliser des dessins pour les offrir a des anonymes comme cadeau d'une façon directe et indirecte (des cadeaux cachés ou d'autres publiés ou affichés sur les facettes et murs du village d'Ait Smail),
Un mot pour conclure… Cette année, on a fait jonction entre deux festivals (3ème édition du festival de poterie traditionnelle d'Ait Smail et la 7ème édition du festival de Raconte arts) qu'on a organisée durant l'été 2010.
En effet, mener à bien un projet de cette envergure avec des moyens dérisoires relève de la gageure.
Nous espérons avoir une subvention conséquente qui nous permettra de concrétiser notre programme ambitieux.
L'utilité d'une semaine culturelle telle que la nôtre n'est plus à démontrer, elle fait sortir les villages situés dans les contrées les plus éloignées de leur isolement ; elle constitue un espace d'échange d'expériences entre artistes, hommes et femmes de culture.
Comme elle permet aux artistes en herbe de côtoyer des artistes confirmés.
De plus, elle constitue en elle-même une animation qui fait sortir les villageois de la léthargie et de la monotonie quotidiennes.
La culture cesse alors d'être « mot », elle devient « acte ».
pour nous, les initiateurs, la Semaine culturelle qui a eu comme titre générique « terre, eau, feu et beauté de femmes » fut un grand événement
Propos recueillis par Hafit Zaouche le Courrierd'Algérie du 26 08 2010.
«Nous agissons afin que la culture cesse d'être mot pour devenir acte»
«Terre, eau, feu» tel est le générique de la 7ème édition du Festival Raconte-Arts qui s'est tenu du 10 au 16 juillet 2010 à Aït Smaïl, dans la wilaya de Béjaïa.
Sur le préambule du fascicule préparé pour la circonstance par la Ligue des Arts Cinématographiques et Dramatiques de la wilaya de Tizi Ouzou, promotrice de l'évènement, on peut lire «Trois éléments essentiels à la vie qui, réunis, ont donné naissance à un art millénaire : La poterie modelée de Kabylie.
C'' est parce que les femmes et les hommes d'Aït Smaïl ont su garder vivace cette tradition, que nous avons choisi ce titre évocateur d'un art ancestral ; mais surtout c'est pour lui permettre, en se conjuguant aux autres arts durant le festival, de raconter ses maux, de se dire et de dire son histoire.
De plus, Raconte-Arts ne vient pas uniquement pour apporter un peu de baume au coeur de ses hôtes, mais il a pour vocation, a contrario des autres festivals, de mettre en exergue leurs savoir-faire et autres activités et actions phares.
C'est notre manière de nous montrer solidaires, en apportant notre caution à des actes éminemment constructifs.
C'est pour cette raison que nous n'omettrons certainement pas de faire un clin d'oeil au "Festival de poésie Mouloud Mammeri" organisé chaque année avec ténacité et panache par l'Association Adrar n’fad, du même village.
Une place de choix sera donc, accordée à tous ceux qui taquinent la muse » On peut lire aussi « Autour de ces deux axes principaux à savoir, patrimoine et oralité, nous organiserons toute une panoplie d'activités : intellectuelles, artistiques, festives, ludiques, voire insolites.
Nous laisserons cependant, une place aux expositions et au marché de l'artisanat, étant donné que nous nous sommes de tout temp inscrits dans la perspective du développement durable.
Cet été donc, nous ferons jonction avec la Fête de la Poterie d'Aït Smaïl.
Deux évènements en un.
Une belle expérience, un vrai challenge ! En partenariat avec l'APC d'Aït Smaïl et l'Association culturelle Adrar n’Ffad, nous mettrons toute notre énergie et notre engagement pour réussir cette édition qui d'ores et déjà, s'annonce prometteuse.
En effet, lorsque la Ligue des Arts Cinématographiques et Dramatiques, promotrice de l'évènement, trouve en face d'elle un vis-à-vis crédible et porteur d'expérience, la place n'est qu'à l'optimisme »
Sadek Rebai président de l'une des associations les plus actives en Kabylie, L'Association Culturelle «Adrar n’Fad» en l'occurrence, revient sur la dernière fête jumelée (poterie et raconte arts) qu'a organisée son association
Le Courrier d'Algérie : vous êtes le président de l'Association Culturelle Adrar n’Fad, pouvez-vous nous parler un peu de cette association ?
Sadek Rebai : Evidemment, je suis le président de l'association Culturelle Adrar n’Fad de la commune d'Ait Smail, et ce, depuis le 22 septembre 2008 à ce jour.
A propos de cette association, j'aimerais dire qu'elle est dans sa seizième année d'existence, elle a été fondée le 10 mars 1994 par un groupe de jeunes natifs de notre localité et agréée le 29 juin 1994 sous le numéro 94/71 ; il est utile de rappeler que le l'appellation de l'association fait référence à la montagne qui délimite du nord la commune d'Ait Smail.
Plusieurs ateliers sont installés lors de la dernière fête jumelée, êtes-vous prêts à nous parler de chacun de ses ateliers ?
Bien sûr, je suis toujours prêt à vous fournir le moindre détail sur les activités d'Adrar n’Fad
Alors, commençons par l'atelier d'écriture ?
En dehors de l'ambiance chaleureuse du festival, et des allers retours d'artistes, une équipe de ceux qui s'alimentent à l’encre et à la plume se réunissent dans leur atelier pour pouvoir donner un sens écrit à ce festival.
En face,il y avait Michael Terral, le doyen de cet atelier avec ses textes pleins de nostalgie et d'amour, à côté de Kelthoum, cette dame qui nous donnait des consignes et nous supplie de ne pas les respecter afin de donner cette touche personnelle et à chacun sa liberté de voyager dans la forme.
Des habitués à l'écriture, de nouvelles expériences pour les autres.
On écrit chacun dans son monde à lui, chacun a ses inspirations, et à chacun ses aspirations, un penchant poétique pour certains, un autre philosophique, un autre nostalgique mais toujours dans le seul but d'interpréter, de dessiner le festival par les mots, rencontres, découvertes, expériences…
Qu'en est-il de celui des arts postaux ?
A partir des restes de feuilles et quelques pinceaux, des boites de couleurs et autres choses si simples qu'on le pensait s'est tenu dans une ambiance festive cet atelier avec la forte présence des innocents qui ont démontré qu'ils peuvent faire des choses extraordinaire a partir du néant.
Qu'en est-il de l'atelier de Denis ?
Avant que «Racont'Arts» ne prenne le train, Denis s'est rendu à Ait Smail pour repérer un lieu original où mettre sa signature.
Le festival commence et Denis prend la vieille maison à côté du vieux frêne pour se mettre a l'oeuvre et à ses cotés les élèves et ressortissants de l'école des beaux arts de Azazga qu'il encadre dans un autre atelier.
Au début l'honneur est revenu à Brahimi El Kheir qui posa la première touche ou le premier point sur le mur de la maison kabyle prévue pour cette intervention in situ avec toute ses cicatrices et son histoire que porte cette vieille maison riche en graphité et que beaucoup de citoyens de la région ne lui prêtait attention, mais avec cette intervention artistique qui rentre dans l'art éphémère riche en motifs berbères inspiré d'une assiette qu'il a trouver dans l'exposition de l'association (poterie locale) qui n'est autre qu'une assiette avec trois lézards en relief dedans.
Pendant le festival Denis anima des débats importants avec les curieux qui passaient pour le voir travailler.
Le travail de Denis est porté par d'autres comme une synographie pour leurs spectacles et performances.
Des textes du poète Brahim el Kheir son là pour résumer toute cette belle aventure sur ce mur.
Un passage pour certains, une signature pour d'autres, un enchantement pour l'association, un hommage pour le village.
Et ces artistes des beaux arts erraient ici et là bas, dessinant des croquets et tout qu'il leur venait à l'esprit, ce que Ait Smail leur inspirait… la beauté des paysages suspendus entre les hauteurs des montagnes Takoucht et Adrar n’Fad, inspire l'impressionnisme de Renoir, la lumière et les temps de Claude Monet Le dessin disparaîtra du mur de la vieille maison mais aux yeux d'Ait Smail, il restera à jamais…
Et les beaux Arts de Sétif ?
Parmi les stations, si j'ose dire ou les activités artistiques prévues et réalisées durant cette manifestation, on trouve le passage si fort des étudiants et sortant des beaux arts de Sétif encadrés par leur enseignant en l'occurrence Brahimi Zahir qui nous confie à propos de cette oeuvre de l'art public , une fresque intitulée « entre le verbe et le visible » inspirée des motifs de la poterie local d'Ait Smail qui véhicule une poésie visuelle de la femme de la même région .
C'est tout de même une peinture inspirée d'un extrait d'une peinture de Michael Ange de la de la chapelle Sixtine « création d'Adam ».
Atelier entre terre et ciel : l'arc en ciel de Suzan Gohot ?
Un travail qui rentre dans l'art contemporain, un mélange entre l'installation et l'art public où elle crée un atelier d'enfants de création poétique en collaboration de Zahir Brahimi et les membres de l'association Adrar n’Fad et de ses poètes, là où il a demandée aux enfants d'écrire des poèmes et réaliser des dessins pour les offrir a des anonymes comme cadeau d'une façon directe et indirecte (des cadeaux cachés ou d'autres publiés ou affichés sur les facettes et murs du village d'Ait Smail),
Un mot pour conclure… Cette année, on a fait jonction entre deux festivals (3ème édition du festival de poterie traditionnelle d'Ait Smail et la 7ème édition du festival de Raconte arts) qu'on a organisée durant l'été 2010.
En effet, mener à bien un projet de cette envergure avec des moyens dérisoires relève de la gageure.
Nous espérons avoir une subvention conséquente qui nous permettra de concrétiser notre programme ambitieux.
L'utilité d'une semaine culturelle telle que la nôtre n'est plus à démontrer, elle fait sortir les villages situés dans les contrées les plus éloignées de leur isolement ; elle constitue un espace d'échange d'expériences entre artistes, hommes et femmes de culture.
Comme elle permet aux artistes en herbe de côtoyer des artistes confirmés.
De plus, elle constitue en elle-même une animation qui fait sortir les villageois de la léthargie et de la monotonie quotidiennes.
La culture cesse alors d'être « mot », elle devient « acte ».
pour nous, les initiateurs, la Semaine culturelle qui a eu comme titre générique « terre, eau, feu et beauté de femmes » fut un grand événement
Propos recueillis par Hafit Zaouche le Courrierd'Algérie du 26 08 2010.
rebai_s- Nombre de messages : 1785
Date d'inscription : 26/04/2008
Re: SADEK REBAI (PRÉSIDENT D'ADRAR N’FAD D'AÏT SMAÏL
«Nous agissons afin que la culture cesse d'être mot pour devenir acte»
trés belle maxime!!!!!!!!
trés belle maxime!!!!!!!!
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