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Commune d’Aït Smaïl : L’eau se fait rare

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Commune d’Aït Smaïl : L’eau se fait rare Empty Commune d’Aït Smaïl : L’eau se fait rare

Message  Zhafit Dim 31 Mai - 19:05

Commune d’Aït Smaïl : L’eau se fait rare



À l’approche de la saison estivale, l’appréhension ne cesse de prendre de l’ampleur quant à l’approvisionnement en eau potable des foyers de la localité. S’approvisionner en eau pour accomplir les tâches ménagères, constitue au fil des années une rude tâche notamment en été.
Cette situation à laquelle font face les habitants de la commune d’Aït Smaïl, à des degrés différents, est la conséquence de l’inaptitude du procédé adopté pour assurer les besoins en eau de la population qui ne cessent d’augmenter. Le procédé en question consiste en le captage des sources existantes sur tout le territoire de la commune. Devant l’absence d’autres alternatives, l’alimentation à partir des sources a atteint ses limites, car, d’après M. Aïdoune, P/APC, les foyers ne sont approvisionnés qu’environ 20 minutes par jour en été, ce qui est pour le moins insuffisants. « Le problème du raccordement au réseau d’AEP ne se pose plus au niveau de notre localité, car plus de 98% des villages sont couverts. La seule préoccupation qui demeure aujourd’hui est de trouver la quantité suffisante pour alimenter les différentes localités de la commune », nous déclare le maire. Pour atténuer un tant soit peu le problème, un projet de grande ampleur dont l’enveloppe avoisine les 140 millions dinars, a été lancé au niveau de la région de Laânasser pour le captage des sources qui existent au niveau de cette région. Toutefois, le projet a été compromis par le glissement du terrain sur lequel est bâti le réservoir, ce qui a endommagé la structure réalisée et a rendu sa reconstruction en cet endroit quasi-impossible. Devant l’épuisement de tous les recours pour régler ce problème, l’APC a consacré, durant cette année, la somme de un million de dinars pour effectuer une étude afin de dresser la carte hydraulique de la région pour une éventuelle réalisation de forage. Le P/APC déplore par ailleurs le fait que des quantités d’eau se perdent dans la nature au moment où des centaines de foyers en restent privés. Un phénomène qui est dû à la vétusté des conduites qui alimentent le chef-lieu et ses environs, et qui datent des années 1970.


Par Akli Malek
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