Polémique autour de la mort du colonel Lotfi Nordine Aït Hamouda répond à Cherif Deroua
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Polémique autour de la mort du colonel Lotfi Nordine Aït Hamouda répond à Cherif Deroua
Contribution : Polémique autour de la mort du colonel Lotfi
Nordine Aït Hamouda répond à Cherif Deroua
Nordine Aït Hamouda répond à Cherif Deroua
J’ai lu avec stupéfaction et, je le dis d’entrée, avec une bonne dose d’écœurement, la deuxième intervention de M. Ali Chérif Déroua publiée dans Le Soir d’Algérie du 23 novembre 2014 en guise de réponse aux conférences données par Saïd Sadi ces dernières semaines à propos de notre histoire.
J’attendais la réplique de Saïd Sadi après cette seconde sortie, puis ne voyant rien venir, je l’ai appelé. Il m’a dit que toutes les questions qu’il a soulevées, dont certaines sont importantes et graves, étant restées sans réponses, il n’y avait pas lieu de suivre M. Déroua dans la provocation et la diversion. Je pense que Saïd Sadi a tort, d’autant que Rachid Boudjedra, autre vigile du boussoufisme qui nous avait appris que Boumediene avait fait étrangler Krim Belkacem pour venger Abane, également étranglé, vient de récidiver dans une de ces télévisions spécialisées dans la diffamation et la désinformation. La sortie de M. Déroua semble donc être un élément d’une séquence qui ne fait que commencer dans cette période où les leviers des clans occultes doivent parasiter un climat politique que plus personne ne peut lire. D’ailleurs, M. Déroua qui ne fait pas mystère de sa mission menace : «ces mises au point ne sont qu’un début», avertit-il. On tremble. En attendant que le public découvre et goûte les délicieuses fiches de cet homme qui veut limiter la parole publique à des questions que personne n’a posées, je ne résiste pas à la tentation de mettre cet honorable monsieur face à des «contradictions et contre-vérités» qu’il reproche à ceux qui osent sortir des chemins malgaches. M. Ali Chérif Déroua atteste que les rapports entre Boussouf et le colonel Lotfi étaient idylliques ; mieux, il garantit la grande affection que portait le premier au second !! Comme un certain nombre d’Algériens, j’ai lu, moi aussi, le témoignage de Ferhat Abbas à propos de Lotfi. Indépendamment de tout jugement, on découvre que les parcours, les convictions et les pratiques des deux hommes étaient opposés à tout point de vue. Mais en spécialiste de la propagande, M. Déroua occulte les faits, ici les écrits de Ferhat Abbas, et jette son sortilège : «Lotfi est pour Monsieur Saïd Sadi un nom qu’il utilise à des fins scabreuses et n’a sûrement aucun respect pour le martyr.» Je sais que Saïd Sadi ne le dira pas mais je porte à la connaissance de M. Déroua cette information.
En 1995 déjà, de passage à Béchar, il a remué ciel et terre pour retrouver des maquisards qui l’ont conduit en présence de dizaines de militants du RCD sur les lieux où sont tombés Lotfi et son groupe.
Mais le censeur malgache ne se limite pas aux insultes adressées à une génération qui cherche à éclairer l’Histoire de la guerre de libération dont il confisque les symboles et les âmes. Il déclare : «Lotfi est pour moi mon compagnon de combat… auquel j’ai fait visiter pendant une semaine les trésors historiques du Caire… Lotfi est pour moi une partie de moi-même… Il (Saïd Sadi) n’a qu’à demander à Madame Lotfi qui est son frère Ali Chérif Déroua», ajoute le dépositaire de la guerre de Libération nationale. On aura au moins appris que Lotfi a consacré une semaine au tourisme lors de son passage dans la capitale égyptienne alors que Ferhat Abbas y décrit un officier dévasté par le détournement de la révolution par ceux qu’il qualifia de «loups».
Venons-en maintenant au pénible montage d’un homme censé maîtriser toutes les techniques de l’intox et de la manipulation. Quand Saïd Sadi cite la date et le lieu où le plus proche compagnon du colonel Lotfi révèle publiquement que Boussouf lui a donné l’ordre de l’arrêter pour l’exécuter, M. Déroua, impassible devant une telle abomination, fait semblant de n’avoir rien entendu. Un détail au regard de la leçon de français par laquelle il commence sa mise au point et dans laquelle il s’indigne que Saïd Sadi ait écrit : «j’ai pu croiser, au lieu de j’ai croisé ( M. A. C. Déroua)» !! Comprenne qui voudra.
Par contre, il glisse tranquillement sur la préméditation d’un assassinat politique et se défend : «n’en déplaise à M. Saïd Sadi, je ne connais pas ce maquisard (le compagnon de Lotfi ) et je n’étais pas du tout au courant de ce colloque, avouez qu’il y a quelque chose qui cloche.»
Oui M. Déroua, il y a beaucoup trop de choses qui clochent. Comment ne pas connaître le principal camarade de Lotfi, cette «partie de vous-même», camarade qui a eu pourtant la chance de survivre à la guerre ? Comment ne pas être au courant qu’un colloque est consacré par l’université de Tlemcen à votre «compagnon de combat» en présence de la famille du martyr dont vous affirmez être «frère» ?
Mais en bon manipulateur, vous continuez à brouiller les pistes pour jeter le trouble sur des faits incontestables. Oui, incontestables, puisqu’il s’agit bien de faits. Ce colloque a eu lieu devant des centaines de personnes pendant plusieurs jours. Le témoignage rendu public de l’ordre d’exécuter Lotfi est tout aussi incontestable puisqu’il figure en toutes lettres dans les actes du colloque que j’ai lu moi aussi. Autant de «détails» qui, apparemment, ne vous empêchent pas de dormir.
J’entends dans ces misérables manœuvres comme un écho aux aboiements répétés jusqu’à la nausée pas vos compères du Malg pendant toute l’année 2010 après la sortie du livre consacré par Saïd Sadi au colonel Amirouche.
A aucun moment ils n’ont voulu répondre à la seule question qui est au cœur d’une dramatique problématique algérienne, un autre «détail» pour eux aussi : les restes des colonels Aït Hamouda Amirouche et Si L'Haouès ont-ils été, oui ou non, déterrés en secret à Boussaâda, enterrés clandestinement à El Alia sous des numéros anonymes en décembre 1962, c’est-à-dire après la guerre et donc en dehors de toute pression, avant d’être exhumés à nouveau pour être, une fois encore, cachés dans les caves de l’état-major de la Gendarmerie nationale ; le tout sur ordre de Boumediene ? Pas une ligne n’a été réservée à cette horreur sans égal dans l’histoire algérienne sur les centaines de pages noircies par vos collègues en 2010. Un détail.
Digne collègue de ces enfumeurs d’hier et d’aujourd’hui, vous aussi, vous invectivez, vous polémiquez, vous insultez pour éviter de vous prononcer sur la seule question qui vaille. Vous prétendez ne pas connaître l’adjoint du colonel Lotfi, vous osez assurer que vous n’étiez pas au courant d’un colloque que lui a consacré l’université de Tlemcen en février et mai 2006, vous prétendez ignorer les déclarations publiques faites devant des centaines de personnes révélant la décision de Boussouf d’exécuter Lotfi, vous, homme des réseaux tentaculaires et collectionneurs de fiches «scabreuses». Soit ; mais le «détail» est gros. Même maintenant que vous savez tout ça, je sais que vous ne répondrez pas sur ces tragédies et qu’en bon agent malgache, vous allez cyniquement botter en touche pour faire focaliser l’attention sur des futilités en vue d’essayer d’empêcher les Algériens de débattre librement de leur histoire un demi-siècle après l’indépendance. Rien ne vous arrête.
Vous vous donnez le droit de dicter les questions à débattre, vous seul pouvez apporter les réponses qui vous conviennent et que personne n’attend. Vous décidez que, et je vous cite, «tout un chacun a le droit d’avoir son opinion sur tous les acteurs de la révolution sans exclusive…» Tous… sauf ceux que vous avez excommuniés, c’est-à-dire la grande majorité du peuple algérien indigne de savoir, de s’exprimer sur son destin. M. Déroua, malgré tant de bassesses, vous êtes quand même un individu intéressant car vous symbolisez et assumez enfin ce qu’il y a de plus noir et de plus dangereux dans le mouvement national. On savait que l’indécence est la première «qualité» des comploteurs, mais là aussi vous dépassez toutes les bornes puisque vous espérez que «M. Saïd Sadi ne reniera pas ses écrits des 2 et 17 novembre 2014», manière sournoise de laisser croire à ceux qui n’ont pas lu ces écrits qu’ils représenteraient des scoops accablants que vous seul avez dévoilés. Comme je vous l’ai dit plus haut, j’ai eu un long échange téléphonique avec Saïd Sadi et je vous rassure. Il a décidé de vous faire plaisir puisqu’il va éditer l’ensemble des conférences qu’il a ou va animer. Si j’ai bien compris, je crois même que vous allez passer à la postérité puisque les débats ainsi que vos burlesques intrusions seront intégralement rapportés et, j’imagine, commentés. Je ne résiste pas à l’envie de citer Saïd Sadi, je sais que cela aussi va vous faire plaisir. Répondant à l’avalanche de haine émanant de vos semblables après la sortie de son livre sur Amirouche, il avait déclaré : «Le Malg c’est comme le cholestérol, il y a le bon et le mauvais Malg.» Il n’y a pas besoin de chercher longtemps pour savoir à quelle catégorie vous appartenez.
Cependant, et pour une fois, même le mauvais cholestérol a eu son utilité. Les outrances commises par vos compères en 2010 ont contribué à soulever le cœur de certains de vos anciens collègues qui ont accepté d’apporter leur part de vérité dans la quatrième édition du livre de Saïd Sadi qui, après avoir dévoilé la forfaiture des séquestrations des restes d’Amirouche et L’Haouès, ouvre la boîte de Pandore de la disparition du colonel Lotfi qui a, lui aussi, été liquidé par l’armée française à cause du code radio généreusement offert par les services de Boussouf à partir du Maroc. Un détail de plus. Vous ne l’avez pas fait exprès, mais pour une fois vous avez été utile à la nation.
Par déformation professionnelle et par calcul, je sais que vous ne répondrez à aucune des questions posées, aucun des faits concrets abordés, ces «détails» qui vous importunent et qui sont et seront de plus en plus, vous devez en faire votre deuil, au centre des préoccupations de la jeunesse algérienne.
Dommage, vous avez manqué la dernière occasion de vous racheter. A vous, vos sponsors et vos semblables, je dis à très bientôt.
Nordine Aït Hamouda
J’attendais la réplique de Saïd Sadi après cette seconde sortie, puis ne voyant rien venir, je l’ai appelé. Il m’a dit que toutes les questions qu’il a soulevées, dont certaines sont importantes et graves, étant restées sans réponses, il n’y avait pas lieu de suivre M. Déroua dans la provocation et la diversion. Je pense que Saïd Sadi a tort, d’autant que Rachid Boudjedra, autre vigile du boussoufisme qui nous avait appris que Boumediene avait fait étrangler Krim Belkacem pour venger Abane, également étranglé, vient de récidiver dans une de ces télévisions spécialisées dans la diffamation et la désinformation. La sortie de M. Déroua semble donc être un élément d’une séquence qui ne fait que commencer dans cette période où les leviers des clans occultes doivent parasiter un climat politique que plus personne ne peut lire. D’ailleurs, M. Déroua qui ne fait pas mystère de sa mission menace : «ces mises au point ne sont qu’un début», avertit-il. On tremble. En attendant que le public découvre et goûte les délicieuses fiches de cet homme qui veut limiter la parole publique à des questions que personne n’a posées, je ne résiste pas à la tentation de mettre cet honorable monsieur face à des «contradictions et contre-vérités» qu’il reproche à ceux qui osent sortir des chemins malgaches. M. Ali Chérif Déroua atteste que les rapports entre Boussouf et le colonel Lotfi étaient idylliques ; mieux, il garantit la grande affection que portait le premier au second !! Comme un certain nombre d’Algériens, j’ai lu, moi aussi, le témoignage de Ferhat Abbas à propos de Lotfi. Indépendamment de tout jugement, on découvre que les parcours, les convictions et les pratiques des deux hommes étaient opposés à tout point de vue. Mais en spécialiste de la propagande, M. Déroua occulte les faits, ici les écrits de Ferhat Abbas, et jette son sortilège : «Lotfi est pour Monsieur Saïd Sadi un nom qu’il utilise à des fins scabreuses et n’a sûrement aucun respect pour le martyr.» Je sais que Saïd Sadi ne le dira pas mais je porte à la connaissance de M. Déroua cette information.
En 1995 déjà, de passage à Béchar, il a remué ciel et terre pour retrouver des maquisards qui l’ont conduit en présence de dizaines de militants du RCD sur les lieux où sont tombés Lotfi et son groupe.
Mais le censeur malgache ne se limite pas aux insultes adressées à une génération qui cherche à éclairer l’Histoire de la guerre de libération dont il confisque les symboles et les âmes. Il déclare : «Lotfi est pour moi mon compagnon de combat… auquel j’ai fait visiter pendant une semaine les trésors historiques du Caire… Lotfi est pour moi une partie de moi-même… Il (Saïd Sadi) n’a qu’à demander à Madame Lotfi qui est son frère Ali Chérif Déroua», ajoute le dépositaire de la guerre de Libération nationale. On aura au moins appris que Lotfi a consacré une semaine au tourisme lors de son passage dans la capitale égyptienne alors que Ferhat Abbas y décrit un officier dévasté par le détournement de la révolution par ceux qu’il qualifia de «loups».
Venons-en maintenant au pénible montage d’un homme censé maîtriser toutes les techniques de l’intox et de la manipulation. Quand Saïd Sadi cite la date et le lieu où le plus proche compagnon du colonel Lotfi révèle publiquement que Boussouf lui a donné l’ordre de l’arrêter pour l’exécuter, M. Déroua, impassible devant une telle abomination, fait semblant de n’avoir rien entendu. Un détail au regard de la leçon de français par laquelle il commence sa mise au point et dans laquelle il s’indigne que Saïd Sadi ait écrit : «j’ai pu croiser, au lieu de j’ai croisé ( M. A. C. Déroua)» !! Comprenne qui voudra.
Par contre, il glisse tranquillement sur la préméditation d’un assassinat politique et se défend : «n’en déplaise à M. Saïd Sadi, je ne connais pas ce maquisard (le compagnon de Lotfi ) et je n’étais pas du tout au courant de ce colloque, avouez qu’il y a quelque chose qui cloche.»
Oui M. Déroua, il y a beaucoup trop de choses qui clochent. Comment ne pas connaître le principal camarade de Lotfi, cette «partie de vous-même», camarade qui a eu pourtant la chance de survivre à la guerre ? Comment ne pas être au courant qu’un colloque est consacré par l’université de Tlemcen à votre «compagnon de combat» en présence de la famille du martyr dont vous affirmez être «frère» ?
Mais en bon manipulateur, vous continuez à brouiller les pistes pour jeter le trouble sur des faits incontestables. Oui, incontestables, puisqu’il s’agit bien de faits. Ce colloque a eu lieu devant des centaines de personnes pendant plusieurs jours. Le témoignage rendu public de l’ordre d’exécuter Lotfi est tout aussi incontestable puisqu’il figure en toutes lettres dans les actes du colloque que j’ai lu moi aussi. Autant de «détails» qui, apparemment, ne vous empêchent pas de dormir.
J’entends dans ces misérables manœuvres comme un écho aux aboiements répétés jusqu’à la nausée pas vos compères du Malg pendant toute l’année 2010 après la sortie du livre consacré par Saïd Sadi au colonel Amirouche.
A aucun moment ils n’ont voulu répondre à la seule question qui est au cœur d’une dramatique problématique algérienne, un autre «détail» pour eux aussi : les restes des colonels Aït Hamouda Amirouche et Si L'Haouès ont-ils été, oui ou non, déterrés en secret à Boussaâda, enterrés clandestinement à El Alia sous des numéros anonymes en décembre 1962, c’est-à-dire après la guerre et donc en dehors de toute pression, avant d’être exhumés à nouveau pour être, une fois encore, cachés dans les caves de l’état-major de la Gendarmerie nationale ; le tout sur ordre de Boumediene ? Pas une ligne n’a été réservée à cette horreur sans égal dans l’histoire algérienne sur les centaines de pages noircies par vos collègues en 2010. Un détail.
Digne collègue de ces enfumeurs d’hier et d’aujourd’hui, vous aussi, vous invectivez, vous polémiquez, vous insultez pour éviter de vous prononcer sur la seule question qui vaille. Vous prétendez ne pas connaître l’adjoint du colonel Lotfi, vous osez assurer que vous n’étiez pas au courant d’un colloque que lui a consacré l’université de Tlemcen en février et mai 2006, vous prétendez ignorer les déclarations publiques faites devant des centaines de personnes révélant la décision de Boussouf d’exécuter Lotfi, vous, homme des réseaux tentaculaires et collectionneurs de fiches «scabreuses». Soit ; mais le «détail» est gros. Même maintenant que vous savez tout ça, je sais que vous ne répondrez pas sur ces tragédies et qu’en bon agent malgache, vous allez cyniquement botter en touche pour faire focaliser l’attention sur des futilités en vue d’essayer d’empêcher les Algériens de débattre librement de leur histoire un demi-siècle après l’indépendance. Rien ne vous arrête.
Vous vous donnez le droit de dicter les questions à débattre, vous seul pouvez apporter les réponses qui vous conviennent et que personne n’attend. Vous décidez que, et je vous cite, «tout un chacun a le droit d’avoir son opinion sur tous les acteurs de la révolution sans exclusive…» Tous… sauf ceux que vous avez excommuniés, c’est-à-dire la grande majorité du peuple algérien indigne de savoir, de s’exprimer sur son destin. M. Déroua, malgré tant de bassesses, vous êtes quand même un individu intéressant car vous symbolisez et assumez enfin ce qu’il y a de plus noir et de plus dangereux dans le mouvement national. On savait que l’indécence est la première «qualité» des comploteurs, mais là aussi vous dépassez toutes les bornes puisque vous espérez que «M. Saïd Sadi ne reniera pas ses écrits des 2 et 17 novembre 2014», manière sournoise de laisser croire à ceux qui n’ont pas lu ces écrits qu’ils représenteraient des scoops accablants que vous seul avez dévoilés. Comme je vous l’ai dit plus haut, j’ai eu un long échange téléphonique avec Saïd Sadi et je vous rassure. Il a décidé de vous faire plaisir puisqu’il va éditer l’ensemble des conférences qu’il a ou va animer. Si j’ai bien compris, je crois même que vous allez passer à la postérité puisque les débats ainsi que vos burlesques intrusions seront intégralement rapportés et, j’imagine, commentés. Je ne résiste pas à l’envie de citer Saïd Sadi, je sais que cela aussi va vous faire plaisir. Répondant à l’avalanche de haine émanant de vos semblables après la sortie de son livre sur Amirouche, il avait déclaré : «Le Malg c’est comme le cholestérol, il y a le bon et le mauvais Malg.» Il n’y a pas besoin de chercher longtemps pour savoir à quelle catégorie vous appartenez.
Cependant, et pour une fois, même le mauvais cholestérol a eu son utilité. Les outrances commises par vos compères en 2010 ont contribué à soulever le cœur de certains de vos anciens collègues qui ont accepté d’apporter leur part de vérité dans la quatrième édition du livre de Saïd Sadi qui, après avoir dévoilé la forfaiture des séquestrations des restes d’Amirouche et L’Haouès, ouvre la boîte de Pandore de la disparition du colonel Lotfi qui a, lui aussi, été liquidé par l’armée française à cause du code radio généreusement offert par les services de Boussouf à partir du Maroc. Un détail de plus. Vous ne l’avez pas fait exprès, mais pour une fois vous avez été utile à la nation.
Par déformation professionnelle et par calcul, je sais que vous ne répondrez à aucune des questions posées, aucun des faits concrets abordés, ces «détails» qui vous importunent et qui sont et seront de plus en plus, vous devez en faire votre deuil, au centre des préoccupations de la jeunesse algérienne.
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Nordine Aït Hamouda
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http://www.lesoirdalgerie.com/articles/2014/11/30/article.php?sid=171546&cid=41
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