Béjaïa:Les éleveurs dans l'attente de la relance de l'aide
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Béjaïa:Les éleveurs dans l'attente de la relance de l'aide
BÉJAÏA
Les éleveurs dans l'attente de la relance de l'aide
Après avoir suscité l'euphorie générale chez les éleveurs de la région, en leur distribuant des quantités considérables d’orge et de surcroît à moitié prix (1550 DA le quintal au lieu de 3000 DA), l'Union des éleveurs de Oued-Ghir, dans la wilaya de Béjaïa, a fini par décevoir tout le monde. En effet, après avoir revu ses quotas très en deçà des besoins réels en ne fournissant qu'un peu plus de 400 grammes par tête /jour, voilà que cet organisme suspend cette aide jusqu'à nouvel ordre. Sur les lieux, on nous informe que cela est dû à l'indisponibilité de la matière. Par ailleurs, il y a lieu de signaler qu'aux premiers mois de l'abondance, l'éleveur pouvait avoir jusqu'à 100 quintaux pour une durée d'un mois, la structure en question sera contrainte, quelque temps après, de durcir le mode d'attribution en exigeant d'autres pièces à fournir et à réduire les quantités. Cela était dû surtout au comportement de certaines personnes indélicates, selon des rumeurs bien sûr, qui procédaient à l'acquisition de quantités importantes en orge à moitie prix pour les revendre ensuite à double prix au marché informel. Pire, nous confie une autre source très au fait de la situation, on fait revendre souvent ce même produit à 3000 DA au même organisme car, croyant affaire à des agriculteurs, d'autant que cela rentre dans le cadre de la politique de l'Etat destinée à encourager et booster la production locale en céréales.
Abdeslam Aouadène
Les éleveurs dans l'attente de la relance de l'aide
Après avoir suscité l'euphorie générale chez les éleveurs de la région, en leur distribuant des quantités considérables d’orge et de surcroît à moitié prix (1550 DA le quintal au lieu de 3000 DA), l'Union des éleveurs de Oued-Ghir, dans la wilaya de Béjaïa, a fini par décevoir tout le monde. En effet, après avoir revu ses quotas très en deçà des besoins réels en ne fournissant qu'un peu plus de 400 grammes par tête /jour, voilà que cet organisme suspend cette aide jusqu'à nouvel ordre. Sur les lieux, on nous informe que cela est dû à l'indisponibilité de la matière. Par ailleurs, il y a lieu de signaler qu'aux premiers mois de l'abondance, l'éleveur pouvait avoir jusqu'à 100 quintaux pour une durée d'un mois, la structure en question sera contrainte, quelque temps après, de durcir le mode d'attribution en exigeant d'autres pièces à fournir et à réduire les quantités. Cela était dû surtout au comportement de certaines personnes indélicates, selon des rumeurs bien sûr, qui procédaient à l'acquisition de quantités importantes en orge à moitie prix pour les revendre ensuite à double prix au marché informel. Pire, nous confie une autre source très au fait de la situation, on fait revendre souvent ce même produit à 3000 DA au même organisme car, croyant affaire à des agriculteurs, d'autant que cela rentre dans le cadre de la politique de l'Etat destinée à encourager et booster la production locale en céréales.
Abdeslam Aouadène
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Date d'inscription : 03/06/2011
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