Allocution de M.Ahmed Ouyahia, Secrétaire Général du parti à l'ouverture de la 5ème session ordinaire du conseil national le jeudi 5 janvier 2011
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Allocution de M.Ahmed Ouyahia, Secrétaire Général du parti à l'ouverture de la 5ème session ordinaire du conseil national le jeudi 5 janvier 2011
Allocution de M.Ahmed Ouyahia, Secrétaire Général du parti à l'ouverture de la 5ème session ordinaire du conseil national le jeudi 5 janvier 2011
Publié le 05-01-2012 Envoyer par email à un ami Version Imprimable
Bismillah Errahmane Errahim,
Mesdames et Messieurs les Membres du Conseil National,
Mesdames et Messieurs de la presse nationale,
J’entamerais mon propos en m’inclinant à la mémoire des chouhadas du devoir national tombés en 2011, tout en saluant notre Armée Nationale Populaire et tous nos corps de sécurité qui demeurent mobilisés pour déjouer les calculs odieux du terrorisme.
A vous, Mesdames et Messieurs, à tous nos militants, et à l’ensemble de nos compatriotes, je souhaite une bonne et heureuse année 2012.
Comme le veut la tradition, il me revient l’honneur de faire quelques remarques à l’ouverture de cette 5ème session de notre conseil national.
Chers frères, chères sœurs,
Mesdames, Messieurs,
Une année difficile vient de s’achever pour la quasi-totalité de la planète.
Dans le monde arabe, l’année 2011 a été marquée par des mutations brutales, parfois même sanglantes dans plusieurs pays, des mutations qui n’ont pas encore livrées tous leurs secrets et conséquences.
Plus globalement, l’année dernière a vu la complication de la crise financière mondiale avec une récession économique qui s’annonce sévère, ce qui intensifie les incertitudes pour tous les pays.
En ce qui concerne notre pays, le bilan de l’année 2011 est contrasté mais aussi porteur d’espérances pour l’avenir.
Ainsi, l’année dernière a connu d’importantes augmentations des salaires et des pensions de retraites, tout comme des subventions de l’Etat aux prix des produits de première nécessité. Elle a été marquée aussi par des encouragements exceptionnels à la création d’emplois y compris pour les jeunes au chômage, et par de nouvelles incitations importantes à l’investissement. Elle a enregistré enfin le relogement de dizaines de milliers de familles, et le raccordement de centaines de villages au gaz naturel.
Ces nouveaux progrès revêtent une importance accrue lorsqu’ils sont éclairés par la conjoncture économique mondiale qui, à travers de nombreux pays développés, nous renvoie l’image de la récession, des compressions d’effectifs, de la hausse du chômage, et des mesures d’austérité sévères, y compris des baisses de salaires et de pensions de retraites.
Ces nouveaux acquis sont encore une réponse de plus au slogan « d’un peuple algérien pauvre dans une Algérie riche » qui a été brandi par certains. L’Algérie est loin d’être un pays riche, et le bien être des Algériens ne viendra pas des slogans creux, des discours démagogiques, ou de l’anarchie.
Mesdames et Messieurs,
L’année 2011 a aussi été marquée dans notre pays par les graves troubles de Janvier dernier, surmontés grâce à la lucidité de notre peuple qui vient à peine de tourner la page de la tragédie nationale, et grâce au sens exemplaire du devoir de nos forces de police et de gendarmerie nationale, qui ont compté leurs propres victimes mais ont épargné le sang et les vies de leurs concitoyens émeutiers.
Il est désormais établi, y compris par une commission d’enquête parlementaire, que les émeutes de l’année dernière ne peuvent s’expliquer uniquement par une flambée des prix de denrées alimentaires de première nécessité.
Personnellement, je pense que l’avenir confirmera qu’il s’agissait d’une manipulation des frustrations réelles de nos jeunes par des intérêts mafieux, menacés par la progression de la transparence et de la loi. De plus, certains à l’intérieur, ont cru pouvoir récupérer les troubles de Janvier dernier, alors que d’autres à l’extérieur, espéraient régler leur compte avec cette Algérie qui, ayant retrouvé son indépendance financière, revendique désormais le droit de négocier les atouts de son marché prospère contre des partenariats mutuellement bénéfiques.
Le peuple algérien n’attendait pas un « printemps arabe ». Ce peuple fier et courageux a reconquit chèrement sa liberté en dépit d’un colonialisme centenaire. Il a sauvegardé douloureusement sa démocratie au milieu d’une décennie de tragédie nationale, et a lui-même donné l’exemple dans la Nation arabe, par son pluralisme politique et par la diversité de sa presse que je salue.
Le peuple algérien qui a produit la grandiose Révolution de Novembre n’acceptera aucun tuteur étranger qu’il soit d’Orient ou d’Occident. Ce peuple jaloux de sa propre souveraineté et respectueux de celle des autres peuples, demeurera opposé en toute circonstance, aux interventions étrangères dans tout pays indépendant.
Certes le Monde contemporain accumule les concepts politiques nouveaux, du « devoir d’ingérence humanitaire» inventé dans le sillage de la première invasion de l’Irak, au « devoir de protéger » forgé en 2005. Mais, ces mêmes concepts restent au service des intérêts de puissants, comme en témoigne le déni de justice opposé aux droits légitimes du peuple palestinien.
Voilà pourquoi au Rassemblement National Démocratique, nous rendons hommage à la lucidité de notre grand peuple, en même temps que nous adhérons aux positions de notre Etat face aux évolutions en cours sur la scène arabe, et que nous demeurons attachés à l’indépendance de décision de notre pays.
La Glorieuse Révolution de Novembre 1954 a compté sur les sacrifices du peuple algérien auquel elle a légué une indépendance de pensée, de décision et d’action qui transcende les décennies. De même, c’est par ses seuls sacrifices que notre peuple a pu résister au terrorisme avant d’affirmer souverainement sa réconciliation nationale.
Mesdames, Messieurs,
Aujourd’hui, face aux appréhensions et aux interrogations multiples découlant d’une conjoncture internationale lourde d’incertitudes politiques et économiques, il est de notre devoir à tous, par delà les intérêts partisans ou de classe, de concourir à la préservation de l’indépendance et de la souveraineté nationales. De même, les réformes nécessaires pour améliorer la situation dans notre pays et le quotidien de nos citoyens doivent être conçues en Algérie par des Algériens pour l’Algérie et pour les Algériens.
C’est avec cet esprit que le Rassemblement national démocratique a avancé ses propositions et apporté ses contributions au processus de réformes qui s’est accéléré durant l’année dernière, des réformes qui confortent notre optimisme pour l’avenir de notre pays.
Nous avons participé activement, à travers nos élus et nos militants membres de diverses associations, au débat animé par le Conseil National Economique et Social avec la société civile, pour l’amélioration de la gouvernance locale, et nous fondons beaucoup d’espoirs dans la mise en œuvre des recommandations dégagées par ce processus.
.
Nous avons soutenu le processus de reformes politiques engagé en Avril dernier, et chacun peut constater la constance des positions de notre Rassemblement, depuis ses propositions présentées et rendues publiques en Juin dernier, jusqu’aux votes formulés par nos parlementaires sur chacun des projets de lois pertinents.
Le RND n’a pas fait de ces réformes un fond de commerce électoraliste, car le pluralisme démocratique, l’ouverture politique, associative ou médiatique, ainsi que la promotion de la place des femmes en politique, font partie de nos positions constantes.
Notre parti n’a pas transformé l’examen des projets de lois sur les réformes au Parlement, en tribune politicienne, car nous sommes respectueux de notre présence au Gouvernement qui pour nous est un honneur de servir le pays.
Le RND sera aussi le moment venu, fidèle a ses propositions pour la révision constitutionnelle, qu’il a officiellement déposé et rendu publiques le 2 Juin dernier.
Chers frères, chères sœurs,
Mesdames, Messieurs,
Cette session de notre Conseil National se tient à quelques mois seulement des prochaines élections législatives qui seront organisées avec des garanties de transparence renforcées, et avec une participation élargie à de nouvelles formations politiques, ce qui représente une avancée de notre pluralisme démocratique.
Notre Rassemblement se dirige vers ce rendez-vous sans aucun esprit d’exclusion d’aucun courant politique, et avec une confiance solide dans l’avenir du régime républicain et démocratique pour lequel nous militons, car ce système est désormais bien protégé par la Constitution et par la loi. Pour le reste, nous acceptons la compétition avec tout parti politique qui, dans le respect des lois du pays, milite pour ses idées et programmes, sans violence et sans dépendance envers l’étranger.
Comme par le passé, nous serons présents à ces élections avec un programme et de nouvelles propositions, mais aussi avec un bilan de ce qu’il est advenu de nos 140 propositions présentées aux législatives de 2007.
Pour le reste, nous comptons sur l’unité de nos militants, sur la crédibilité des candidates et des candidats que nous présenterons, et nous déclarons pas avance notre respect de la décision des électeurs libres et souverains.
Chers frères, chères sœurs,
Mesdames et Messieurs,
Avant de conclure ces remarques, je voudrais, en votre nom à tous et en mon nom personnel, renouveler notre soutien au frère et moudjahid Abdelaziz BOUTEFLIKA, Président de la République.
Le Rassemblement National Démocratique s’est engagé à trois reprises pour l’élection et la réélection de notre Chef de l’Etat, et il ne lui a jamais compté son appui durant les treize dernières années. Ce soutien réaffirmé par notre 3ème Congrès en Juin 2008 découle du fait que les différents programmes et initiatives présidentiels concordent largement avec nos propres programmes et avec nos propres convictions.
Certes, le Rassemblement est connu pour la constance de ses positions, mais il y a des positions qu’il importe de réaffirmer en certaines circonstances.
Voilà pourquoi, à la veille d’une échéance politique importante, nous réaffirmons au Président Abdelaziz BOUTEFLIKA qu’il peut compter sur le soutien constant du Rassemblement National Démocratique, avant et après le rendez vous des législatives, au service d’une Algérie démocratique et républicaine fidèle au Message du 1er Novembre 1954.
Je vous remercie de votre attention et souhaite plein succès à nos travaux.
Gloire à nos martyrs,
Vive l’Algérie.
Vive le Rassemblement national Démocratique.
Publié le 05-01-2012 Envoyer par email à un ami Version Imprimable
Bismillah Errahmane Errahim,
Mesdames et Messieurs les Membres du Conseil National,
Mesdames et Messieurs de la presse nationale,
J’entamerais mon propos en m’inclinant à la mémoire des chouhadas du devoir national tombés en 2011, tout en saluant notre Armée Nationale Populaire et tous nos corps de sécurité qui demeurent mobilisés pour déjouer les calculs odieux du terrorisme.
A vous, Mesdames et Messieurs, à tous nos militants, et à l’ensemble de nos compatriotes, je souhaite une bonne et heureuse année 2012.
Comme le veut la tradition, il me revient l’honneur de faire quelques remarques à l’ouverture de cette 5ème session de notre conseil national.
Chers frères, chères sœurs,
Mesdames, Messieurs,
Une année difficile vient de s’achever pour la quasi-totalité de la planète.
Dans le monde arabe, l’année 2011 a été marquée par des mutations brutales, parfois même sanglantes dans plusieurs pays, des mutations qui n’ont pas encore livrées tous leurs secrets et conséquences.
Plus globalement, l’année dernière a vu la complication de la crise financière mondiale avec une récession économique qui s’annonce sévère, ce qui intensifie les incertitudes pour tous les pays.
En ce qui concerne notre pays, le bilan de l’année 2011 est contrasté mais aussi porteur d’espérances pour l’avenir.
Ainsi, l’année dernière a connu d’importantes augmentations des salaires et des pensions de retraites, tout comme des subventions de l’Etat aux prix des produits de première nécessité. Elle a été marquée aussi par des encouragements exceptionnels à la création d’emplois y compris pour les jeunes au chômage, et par de nouvelles incitations importantes à l’investissement. Elle a enregistré enfin le relogement de dizaines de milliers de familles, et le raccordement de centaines de villages au gaz naturel.
Ces nouveaux progrès revêtent une importance accrue lorsqu’ils sont éclairés par la conjoncture économique mondiale qui, à travers de nombreux pays développés, nous renvoie l’image de la récession, des compressions d’effectifs, de la hausse du chômage, et des mesures d’austérité sévères, y compris des baisses de salaires et de pensions de retraites.
Ces nouveaux acquis sont encore une réponse de plus au slogan « d’un peuple algérien pauvre dans une Algérie riche » qui a été brandi par certains. L’Algérie est loin d’être un pays riche, et le bien être des Algériens ne viendra pas des slogans creux, des discours démagogiques, ou de l’anarchie.
Mesdames et Messieurs,
L’année 2011 a aussi été marquée dans notre pays par les graves troubles de Janvier dernier, surmontés grâce à la lucidité de notre peuple qui vient à peine de tourner la page de la tragédie nationale, et grâce au sens exemplaire du devoir de nos forces de police et de gendarmerie nationale, qui ont compté leurs propres victimes mais ont épargné le sang et les vies de leurs concitoyens émeutiers.
Il est désormais établi, y compris par une commission d’enquête parlementaire, que les émeutes de l’année dernière ne peuvent s’expliquer uniquement par une flambée des prix de denrées alimentaires de première nécessité.
Personnellement, je pense que l’avenir confirmera qu’il s’agissait d’une manipulation des frustrations réelles de nos jeunes par des intérêts mafieux, menacés par la progression de la transparence et de la loi. De plus, certains à l’intérieur, ont cru pouvoir récupérer les troubles de Janvier dernier, alors que d’autres à l’extérieur, espéraient régler leur compte avec cette Algérie qui, ayant retrouvé son indépendance financière, revendique désormais le droit de négocier les atouts de son marché prospère contre des partenariats mutuellement bénéfiques.
Le peuple algérien n’attendait pas un « printemps arabe ». Ce peuple fier et courageux a reconquit chèrement sa liberté en dépit d’un colonialisme centenaire. Il a sauvegardé douloureusement sa démocratie au milieu d’une décennie de tragédie nationale, et a lui-même donné l’exemple dans la Nation arabe, par son pluralisme politique et par la diversité de sa presse que je salue.
Le peuple algérien qui a produit la grandiose Révolution de Novembre n’acceptera aucun tuteur étranger qu’il soit d’Orient ou d’Occident. Ce peuple jaloux de sa propre souveraineté et respectueux de celle des autres peuples, demeurera opposé en toute circonstance, aux interventions étrangères dans tout pays indépendant.
Certes le Monde contemporain accumule les concepts politiques nouveaux, du « devoir d’ingérence humanitaire» inventé dans le sillage de la première invasion de l’Irak, au « devoir de protéger » forgé en 2005. Mais, ces mêmes concepts restent au service des intérêts de puissants, comme en témoigne le déni de justice opposé aux droits légitimes du peuple palestinien.
Voilà pourquoi au Rassemblement National Démocratique, nous rendons hommage à la lucidité de notre grand peuple, en même temps que nous adhérons aux positions de notre Etat face aux évolutions en cours sur la scène arabe, et que nous demeurons attachés à l’indépendance de décision de notre pays.
La Glorieuse Révolution de Novembre 1954 a compté sur les sacrifices du peuple algérien auquel elle a légué une indépendance de pensée, de décision et d’action qui transcende les décennies. De même, c’est par ses seuls sacrifices que notre peuple a pu résister au terrorisme avant d’affirmer souverainement sa réconciliation nationale.
Mesdames, Messieurs,
Aujourd’hui, face aux appréhensions et aux interrogations multiples découlant d’une conjoncture internationale lourde d’incertitudes politiques et économiques, il est de notre devoir à tous, par delà les intérêts partisans ou de classe, de concourir à la préservation de l’indépendance et de la souveraineté nationales. De même, les réformes nécessaires pour améliorer la situation dans notre pays et le quotidien de nos citoyens doivent être conçues en Algérie par des Algériens pour l’Algérie et pour les Algériens.
C’est avec cet esprit que le Rassemblement national démocratique a avancé ses propositions et apporté ses contributions au processus de réformes qui s’est accéléré durant l’année dernière, des réformes qui confortent notre optimisme pour l’avenir de notre pays.
Nous avons participé activement, à travers nos élus et nos militants membres de diverses associations, au débat animé par le Conseil National Economique et Social avec la société civile, pour l’amélioration de la gouvernance locale, et nous fondons beaucoup d’espoirs dans la mise en œuvre des recommandations dégagées par ce processus.
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Nous avons soutenu le processus de reformes politiques engagé en Avril dernier, et chacun peut constater la constance des positions de notre Rassemblement, depuis ses propositions présentées et rendues publiques en Juin dernier, jusqu’aux votes formulés par nos parlementaires sur chacun des projets de lois pertinents.
Le RND n’a pas fait de ces réformes un fond de commerce électoraliste, car le pluralisme démocratique, l’ouverture politique, associative ou médiatique, ainsi que la promotion de la place des femmes en politique, font partie de nos positions constantes.
Notre parti n’a pas transformé l’examen des projets de lois sur les réformes au Parlement, en tribune politicienne, car nous sommes respectueux de notre présence au Gouvernement qui pour nous est un honneur de servir le pays.
Le RND sera aussi le moment venu, fidèle a ses propositions pour la révision constitutionnelle, qu’il a officiellement déposé et rendu publiques le 2 Juin dernier.
Chers frères, chères sœurs,
Mesdames, Messieurs,
Cette session de notre Conseil National se tient à quelques mois seulement des prochaines élections législatives qui seront organisées avec des garanties de transparence renforcées, et avec une participation élargie à de nouvelles formations politiques, ce qui représente une avancée de notre pluralisme démocratique.
Notre Rassemblement se dirige vers ce rendez-vous sans aucun esprit d’exclusion d’aucun courant politique, et avec une confiance solide dans l’avenir du régime républicain et démocratique pour lequel nous militons, car ce système est désormais bien protégé par la Constitution et par la loi. Pour le reste, nous acceptons la compétition avec tout parti politique qui, dans le respect des lois du pays, milite pour ses idées et programmes, sans violence et sans dépendance envers l’étranger.
Comme par le passé, nous serons présents à ces élections avec un programme et de nouvelles propositions, mais aussi avec un bilan de ce qu’il est advenu de nos 140 propositions présentées aux législatives de 2007.
Pour le reste, nous comptons sur l’unité de nos militants, sur la crédibilité des candidates et des candidats que nous présenterons, et nous déclarons pas avance notre respect de la décision des électeurs libres et souverains.
Chers frères, chères sœurs,
Mesdames et Messieurs,
Avant de conclure ces remarques, je voudrais, en votre nom à tous et en mon nom personnel, renouveler notre soutien au frère et moudjahid Abdelaziz BOUTEFLIKA, Président de la République.
Le Rassemblement National Démocratique s’est engagé à trois reprises pour l’élection et la réélection de notre Chef de l’Etat, et il ne lui a jamais compté son appui durant les treize dernières années. Ce soutien réaffirmé par notre 3ème Congrès en Juin 2008 découle du fait que les différents programmes et initiatives présidentiels concordent largement avec nos propres programmes et avec nos propres convictions.
Certes, le Rassemblement est connu pour la constance de ses positions, mais il y a des positions qu’il importe de réaffirmer en certaines circonstances.
Voilà pourquoi, à la veille d’une échéance politique importante, nous réaffirmons au Président Abdelaziz BOUTEFLIKA qu’il peut compter sur le soutien constant du Rassemblement National Démocratique, avant et après le rendez vous des législatives, au service d’une Algérie démocratique et républicaine fidèle au Message du 1er Novembre 1954.
Je vous remercie de votre attention et souhaite plein succès à nos travaux.
Gloire à nos martyrs,
Vive l’Algérie.
Vive le Rassemblement national Démocratique.
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