Mustapha Bentahar en quelques lignes
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Mustapha Bentahar en quelques lignes
A PROPOS DE L'AUTEUR
Mustapha Bentahar en quelques lignes
Par Aomar MOHELLEBI - Dimanche 04 Septembre 2011 - Lu 334 fois
Taille du texte :
Mustapha Bentahar, médecin spécialiste de profession, ayant un cabinet médical dans la ville de Boghni, avait quatorze ans quand il eut écho qu'un vieillard qui mourrait était une bibliothèque qui brûlait. «Comme j'aime la poésie depuis mon jeune âge et que j'ai même écrit quelques textes, cet écho m'a donné de l'inspiration pour faire des recherches afin de recueillir des poèmes de la région qui ne cessent d'être récités par les personnes âgées de cette époque afin de les sauver de l'oubli. Certains de ces poèmes étant spécifiques et appartenant à un poète inconnu, Ali N'Bouarour, m'ont poussé à approfondir ma recherche sur lui», souligne Mustapha Bentahar. Entre-temps, ce dernier écrit ses propres poèmes et les récite dans le cadre des activités culturelles organisées dans sa région, Boghni et Mechtras, mais aussi au lycée technique de Dellys. Mais n'étant pas anthropologue, Mustapha Bentahar a dû franchir des obstacles pratiques avant d'accéder aux enregistrements qu'il a pu effectuer. «N'ayant pas les concepts méthodologiques opératoires, j'ai dû en quelque sorte innover. La problématique pour moi était simple: un poète-artiste, de talent apprécié de son vivant et dont la production poétique était encore présente dans les mémoires de ses quelques contemporains encore de ce monde, ne devait pas tomber inexorablement dans l'oubli. J'ai donc commencé par identifier les informations les plus fiables», indique Mustapha Bentahar. Ce dernier a commencé ses recherches en 1972. Et jusqu'à 1984, il poursuivit avec patience ce travail méritoire. Il a ainsi contacté plusieurs personnes âgées à l'époque comme Larbani Amrane, Edjekouane Mohamed, Tebakh Dahbia, Arezki Maamar, etc. Tous ces témoins sont aujourd'hui décédés. Pour établir la biographie du poète, l'auteur a eu recours aux témoignages de Morsli Amar dit Amar Ou Tahar, décédé en 1992 à l'âge de 120 ans. Les petits-enfants du poète ont été également d'un apport précieux pour l'élaboration de la biographie de ce dernier.
Mustapha Bentahar en quelques lignes
Par Aomar MOHELLEBI - Dimanche 04 Septembre 2011 - Lu 334 fois
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Mustapha Bentahar, médecin spécialiste de profession, ayant un cabinet médical dans la ville de Boghni, avait quatorze ans quand il eut écho qu'un vieillard qui mourrait était une bibliothèque qui brûlait. «Comme j'aime la poésie depuis mon jeune âge et que j'ai même écrit quelques textes, cet écho m'a donné de l'inspiration pour faire des recherches afin de recueillir des poèmes de la région qui ne cessent d'être récités par les personnes âgées de cette époque afin de les sauver de l'oubli. Certains de ces poèmes étant spécifiques et appartenant à un poète inconnu, Ali N'Bouarour, m'ont poussé à approfondir ma recherche sur lui», souligne Mustapha Bentahar. Entre-temps, ce dernier écrit ses propres poèmes et les récite dans le cadre des activités culturelles organisées dans sa région, Boghni et Mechtras, mais aussi au lycée technique de Dellys. Mais n'étant pas anthropologue, Mustapha Bentahar a dû franchir des obstacles pratiques avant d'accéder aux enregistrements qu'il a pu effectuer. «N'ayant pas les concepts méthodologiques opératoires, j'ai dû en quelque sorte innover. La problématique pour moi était simple: un poète-artiste, de talent apprécié de son vivant et dont la production poétique était encore présente dans les mémoires de ses quelques contemporains encore de ce monde, ne devait pas tomber inexorablement dans l'oubli. J'ai donc commencé par identifier les informations les plus fiables», indique Mustapha Bentahar. Ce dernier a commencé ses recherches en 1972. Et jusqu'à 1984, il poursuivit avec patience ce travail méritoire. Il a ainsi contacté plusieurs personnes âgées à l'époque comme Larbani Amrane, Edjekouane Mohamed, Tebakh Dahbia, Arezki Maamar, etc. Tous ces témoins sont aujourd'hui décédés. Pour établir la biographie du poète, l'auteur a eu recours aux témoignages de Morsli Amar dit Amar Ou Tahar, décédé en 1992 à l'âge de 120 ans. Les petits-enfants du poète ont été également d'un apport précieux pour l'élaboration de la biographie de ce dernier.
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Date d'inscription : 03/06/2011
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