100 000 musulmans de moins en Asie : et si le Tsunami n'était pas une catastrophe naturelle ?
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100 000 musulmans de moins en Asie : et si le Tsunami n'était pas une catastrophe naturelle ?
En épilogue : nos voeux de courage et de confiance à Chesnot et Malbrunot.
Christian Cotten - 7 janvier 2005
Un vieux réflexe professionnel de psychosociologue et de psychothérapeute, face aux catastrophes "naturelles" ou "terroristes" à grand spectacle planétaire, est d'aller m'asseoir aussi longtemps que nécessaire du côté de Jupiter ou Saturne et de regarder de loin ce qui se passe sur notre bonne vieille planète Terre, au moment où des évènements dramatiques (feu de bois de Noël dans le Vercors pour 16 morts sur ordonnance - OTS, 95 -, tempête de Noël sur la France - décembre 99 -, avions d'automne sur New-York - septembre 2001 -, tsunami de Noël encore sur l'Indonésie - décembre 2004 -) se transforment en loghorrées médiatiques avec chœurs de pleureuses professionnelles et mobilisation des dons des foules noyées dans l'émotion.
Je crois que bien m'en a pris cette fois encore avec ces raz-de-marée marins, médiatiques et tout autant commerciaux que compassionnels, de commencer par me taire et d'attendre que les premières informations sérieuses arrivent.
C'est fait. Merci M. Jean-Pierre Petit, merci aux correspondants qui viennent de me faire venir ces informations, que j'attendais avec impatience depuis quelques jours.
Ce type est encore plus fou que moi. Cela me rassure.
Mais je crois bien, justement, qu'il n'est pas si fou qu'il en a l'air. C'est un psychothérapeute qui le dit, cela devrait le rassurer.
Voilà. C'est très simple. Rien de ce qui suit ne va être très facile à faire comprendre, encore moins à faire accepter. Je vais encore une fois me faire insulter, injurier, mépriser, censurer etc. Désolé, mais je place la lucidité et la recherche de la vérité au-dessus de la reconnaissance sociale à la petite semaine.
Les médias, comme d'habitude, se foutent de notre gueule à tous à propos de cette "catastrophe" dite "naturelle". Je dois dire qu'ils font même très fort, ce coup-ci. Cela pourrait marcher. Quoique… J'ai quand même confiance dans le haut niveau intellectuel de pas mal d'êtres humains, notamment ici en France, au Québec ou dans bien d'autres pays.
En clair : je ne réussis pas à croire au caractère "naturel" de la "catastrophe" du tsunami de Noël 2004.
Il doit me manquer des cases dans le cerveau. Je suis depuis ce soir très ennuyé : un scientifique de très haut niveau dont j'estime beaucoup les travaux est en train de me donner des arguments scientifiques très pointus pour m'empêcher de croire le discours ambiant "tsunami en Indonésie = catastrophe naturelle".
Vous me perturbez, M. Jean-Pierre Petit, en renforçant ce soir l'hypothèse que quelques amis et moi élaborons depuis quelques jours sur la base des premières informations qui nous parviennent. Mais n'est-ce pas justement la fonction noble de la science que de perturber nos croyances naïves, fussent-elles médiatiques ?
Cela va être très dur pour toutes les familles des victimes des dommages collatéraux de croire cela. Cela va même leur être insupportable : quoi, nos amis, nos parents touristes sur les rives de l'Océan Indien ne seraient pas morts d'une "catastrophe naturelle" mais… d'une possible - probable ? - opération militaire ?
Oui, une opération militaire. Tout comme sont morts d'une opération militaire les Toulousains dans l'explosion de l'affaire AZF, les New-Yorkais du 9/11 ou encore les "suicidés" de l'OTS dans le Vercors.
Une opération militaire ? Vous êtes fous.
Eh bien, justement, c'est ce qu'il va falloir commencer à intégrer, amis, que, peut-être, justement, nous ne sommes pas fous. Ni Jean-Pierre Petit, ni nous, avec notre vision certes bien moins scientifique mais plus politique, l'une et l'autre prétendant à un peu plus de lucidité une fois l'émotion passée.
Car c'est bien là l'hypothèse à laquelle je commence très fort à croire, à écouter ici et là ceux qui réfléchissent un peu plus loin que leur émotion et, depuis ce jour, à lire ce que vient de publier sur son site le célèbre physicien Jean-Pierre Petit, humble directeur de recherches au CNRS et éminent spécialiste d'affaires d'OVNIS et de hautes technologies militaires.
Il va m'en vouloir, je vais être obligé d'aller juste un peu plus loin que lui. Mais c'est de sa faute : il vient d'alimenter de ses délires les miens. L'ennui, c'est que, d'ici quelques années, ce ne seront plus des délires.
Il y a sur cette planète un certains nombre de types qui ont acquis une maîtrise certaine des jeux militaires avec l'anti-matière (les armes au plasma, si j'ai bien suivi). Du genre : canons au plasma en direction des astéroïdes, par exemple.
Non, ce n'est pas de la science-fiction. Moi qui consomme à haute dose les films de SF depuis bien longtemps, j'ai fini par comprendre que le réel militaire et scientifique avait dépassé les auteurs de SF depuis plusieurs décennies déjà et que les films de SF sont juste là pour nous embrouiller et nous empêcher d'accéder à une véritable information technologique et scientifique. Certains technologues et militaires de la planète sont à ce jour beaucoup plus loin, en termes de puissance guerrière, que tout ce que peuvent inventer les scénaristes d'Hollywood.
Je ne rentrerai évidemment pas dans le discours new-âge de service de la plupart des allumés bien-pensants de la spiritualité, mes amis bien souvent par ailleurs, qui nous disent : "la planète se fâche car les hommes ne sont pas gentils avec elle". Ce discours est très exactement celui dont ont besoin les militaires qui mettent en œuvre leur plan de génocide du monde musulman dans la cadre de la théorie de la "guerre des civilisations" désormais en vigueur pour animer l'histoire du siècle : les musulmans sont fatalistes, leur faire croire que, s'ils meurent, c'est juste parce qu'ils ont offensé Dieu et la planète, est évidemment le bon moyen de les faire taire. Le discours new-âge et spiritualiste en cours ces jours-ci sur le Net est très exactement au service des militaires fous. Navré, amis, de vous enlever vos illusions.
La planète n'a aucunement besoin de se fâcher pour que le monde occidental blanc civilisé judéo-chrétien réussisse à éliminer en une seule fois cent mille musulmans, dans le cadre de la guerre des civilisations désormais enclenchée au risque de la survie de l'espèce. Vous n'allez tout de même pas pleurer à cause que quelques milliers de touristes occidentaux morts à l'occasion ? Ce ne sont que les victimes collatérales de la juste guerre que nous devons tous mener contre les méchants terroristes musulmans…
"C'est merveilleux, de voir toute cette solidarité des humains entre eux, riches et pauvres, face à une terrible catastrophe". Escroquerie intellectuelle et médiatique majeure. Vous avez regardé les chiffres de l'aide américaine à l'Asie endeuillée et ceux de la guerre en Irak ? Sans commentaire.
Bon. Soyons un peu sérieux. Comment peut-on oser dire une chose pareille, à savoir que le tsunami aurait pu être provoqué par une action humaine ?
Rendez-vous compte, monsieur, il n'y a aucune commune mesure entre l'énergie que les humains sont capables de produire avec une arme et celle du tsunami. Votre hypothèse ne tient pas
Ah oui ? Il faut quelle énergie pour déclencher une avalanche terriblement destructrice ? Quand les conditions sont réunies, à peu près rien. Du genre, quelques sons. Au bout de l'avalanche, des dizaines de morts et un village détruit avec, au départ, un simple pétard de la bonne taille. N'importe quel scientifique et terroriste amateur sait cela.
Décidément, c'est difficile, la pédagogie scientifique. Alors, s'il vous plait, lisez jusqu'au bout l'article de Jean-Pierre Petit (adresse en fin de cette page).
Son introduction technique sur les séismes sous-marins est un peu longue, l'on se demande où il veut en venir. Mais passé le seuil, alors, l'on comprend : déclencher le tsunami du 26 décembre, avec cette puissance formidable - 30 000 bombes atomiques type Hiroshima lit-on ici ou là - aurait pu exiger, en réalité, une énergie extrêmement plus faible et, en l'occurrence, parfaitement à la portée de certaines armées actuelles sur cette planète.
Autrement dit, sans même aller jusqu'aux armes à plasma - pourtant, il faut bien aussi les essayer quelque part, celles-là, comme les bombes nucléaires ; et le fond des océans, justement, est le meilleur endroit après l'espace - une simple bombe nucléaire "classique" aurait parfaitement pu suffire à déclencher le séisme à l'origine du tsunami.
Ah oui, à propos, pourquoi donc les bases américaines qui auraient pu être touchées ont-elles été prévenues, quand, dans le même temps, le patron de la météorologie thailandaise - qui vient d'être suspendu de ses fonctions - prenait la décision de ne pas prévenir les populations de l'arrivée imminente du tsunami pour ne pas perturber la saison touristique ? C'est juste au question au passage.
À moins que la probable explosion mise en œuvre dans les fonds marins - les sous-marins les plus performants savent faire, pas de souci - n'ait été qu'un essai dont les conséquences n'auraient pas été bien mesurées ?
Quelle idée, tout de même, d'aller faire des essais d'armes nouvelles juste sous le nez de Sumatra, dans une région qui, justement comme par hasard, regroupe des milliers de musulmans version intégriste ou prétendus tels qui ne rêvent que de faire sécession ?
Hasard de la nature ? Dans une région où il n'y a peu ou pas de tsunami ? (tsunami - raz-de-marée d'origine sismique - est un mot japonais, pas indonésien…). Et, oui, l'Océan Indien connaît fort peu de tsunamis… : le spécialiste des tsunamis, c'est le Pacifique, pas l'Indien…
Bon, arrêtons les délires techno-scientifiques. Ces gens-là sont fous, c'est bien connus, ils ont même inventé les téléphones-appareils photos en couleurs portables.
Qui donc aurait intérêt à provoquer une catastrophe pareille ? Et si cette "catastrophe", du point de vue de ceux qui décident de notre vie et de nos morts, n'était… pas grand chose ? Combien de morts en Irak depuis le début du conflit ? Nous sommes dans les mêmes zones de chiffres. La seule différence est que, là, c'est en une seule fois.
Pour un militaire normalement constitué, je ne vois pas que cette différence ait vraiment une importance pour sa conscience : 150 000 morts en deux ans ou 150 000 morts en deux heures, c'est toujours 150 000 morts. Et quand, en plus, l'on peut être sûr que, pour l'essentiel, ils seront musulmans, c'est toujours ça de gagné sur cette vermine qui fait tant d'enfants : n'oubliez pas, l'essentiel des musulmans, sur la planète, ce ne sont pas les arabes, ce sont les Indonésiens…
Anecdotiquement, 10% des députés de la Knesset, le parlement israëlien, viennent de voter une proposition de loi visant à déporter les Palestiniens sur les côtes de l'Inde dépeuplées par le tsunami… Ce n'est pas un gag, même si cette proposition de loi restera proposition.
Bonne année tout de même. Les oiseaux chantent, les femmes sont belles, le printemps va revenir et les magistrats mafieux de notre bonne terre de France tentent de se cacher…
Peut-être allons-nous, les uns et les autres qui entendons ne pas mourir complètement abrutis par les manipulations politico-médiatiques, devoir nous poser cette année quelques questions :
comment nous donner des media honnêtes et lucides et nous débarrasser de ces instruments de propagande militaire qui se font passer pour des journaux ou des médias d'information ? Vaste question…
Ou encore :
comment les peuples souverains de la planète vont-ils pouvoir retirer aux organisations nazies qui gèrent aujourd'hui les systèmes militaro-scientifiques les plus puissants de la planète leur pouvoir démesuré de vie et de mort sur l'espèce toute entière ?
Je suis preneur des réponses, je ne les ai pas.
Ah, j'allais oublié : tous mes vœux de courage et de confiance à Chesnot et Malbrunot pour leur retour d'Irak. À ce jour, mis sous pression par le Ministre des Affaires Étrangères et la DGSE, Chesnot et Malbrunot se taisent. Ils semblent avoir oublié les engagements d'honnêteté et de vérité pris avant leur départ d'Irak. Je peux comprendre, la pression des militaires français, ce n'est pas facile à gérer. Qu'ils sachent juste ceci : vous n'êtes pas seuls et beaucoup de gens honnêtes comptent sur vous. Nous avons besoin que vous parliez pour dire ce que vous savez des subtiles réalités irakiennes actuelles, du côté CIA, Mossad, DGSE et autres systèmes… Merci de vous exprimer, nous vous écoutons.
Christian Cotten - 7 janvier 2005
Un vieux réflexe professionnel de psychosociologue et de psychothérapeute, face aux catastrophes "naturelles" ou "terroristes" à grand spectacle planétaire, est d'aller m'asseoir aussi longtemps que nécessaire du côté de Jupiter ou Saturne et de regarder de loin ce qui se passe sur notre bonne vieille planète Terre, au moment où des évènements dramatiques (feu de bois de Noël dans le Vercors pour 16 morts sur ordonnance - OTS, 95 -, tempête de Noël sur la France - décembre 99 -, avions d'automne sur New-York - septembre 2001 -, tsunami de Noël encore sur l'Indonésie - décembre 2004 -) se transforment en loghorrées médiatiques avec chœurs de pleureuses professionnelles et mobilisation des dons des foules noyées dans l'émotion.
Je crois que bien m'en a pris cette fois encore avec ces raz-de-marée marins, médiatiques et tout autant commerciaux que compassionnels, de commencer par me taire et d'attendre que les premières informations sérieuses arrivent.
C'est fait. Merci M. Jean-Pierre Petit, merci aux correspondants qui viennent de me faire venir ces informations, que j'attendais avec impatience depuis quelques jours.
Ce type est encore plus fou que moi. Cela me rassure.
Mais je crois bien, justement, qu'il n'est pas si fou qu'il en a l'air. C'est un psychothérapeute qui le dit, cela devrait le rassurer.
Voilà. C'est très simple. Rien de ce qui suit ne va être très facile à faire comprendre, encore moins à faire accepter. Je vais encore une fois me faire insulter, injurier, mépriser, censurer etc. Désolé, mais je place la lucidité et la recherche de la vérité au-dessus de la reconnaissance sociale à la petite semaine.
Les médias, comme d'habitude, se foutent de notre gueule à tous à propos de cette "catastrophe" dite "naturelle". Je dois dire qu'ils font même très fort, ce coup-ci. Cela pourrait marcher. Quoique… J'ai quand même confiance dans le haut niveau intellectuel de pas mal d'êtres humains, notamment ici en France, au Québec ou dans bien d'autres pays.
En clair : je ne réussis pas à croire au caractère "naturel" de la "catastrophe" du tsunami de Noël 2004.
Il doit me manquer des cases dans le cerveau. Je suis depuis ce soir très ennuyé : un scientifique de très haut niveau dont j'estime beaucoup les travaux est en train de me donner des arguments scientifiques très pointus pour m'empêcher de croire le discours ambiant "tsunami en Indonésie = catastrophe naturelle".
Vous me perturbez, M. Jean-Pierre Petit, en renforçant ce soir l'hypothèse que quelques amis et moi élaborons depuis quelques jours sur la base des premières informations qui nous parviennent. Mais n'est-ce pas justement la fonction noble de la science que de perturber nos croyances naïves, fussent-elles médiatiques ?
Cela va être très dur pour toutes les familles des victimes des dommages collatéraux de croire cela. Cela va même leur être insupportable : quoi, nos amis, nos parents touristes sur les rives de l'Océan Indien ne seraient pas morts d'une "catastrophe naturelle" mais… d'une possible - probable ? - opération militaire ?
Oui, une opération militaire. Tout comme sont morts d'une opération militaire les Toulousains dans l'explosion de l'affaire AZF, les New-Yorkais du 9/11 ou encore les "suicidés" de l'OTS dans le Vercors.
Une opération militaire ? Vous êtes fous.
Eh bien, justement, c'est ce qu'il va falloir commencer à intégrer, amis, que, peut-être, justement, nous ne sommes pas fous. Ni Jean-Pierre Petit, ni nous, avec notre vision certes bien moins scientifique mais plus politique, l'une et l'autre prétendant à un peu plus de lucidité une fois l'émotion passée.
Car c'est bien là l'hypothèse à laquelle je commence très fort à croire, à écouter ici et là ceux qui réfléchissent un peu plus loin que leur émotion et, depuis ce jour, à lire ce que vient de publier sur son site le célèbre physicien Jean-Pierre Petit, humble directeur de recherches au CNRS et éminent spécialiste d'affaires d'OVNIS et de hautes technologies militaires.
Il va m'en vouloir, je vais être obligé d'aller juste un peu plus loin que lui. Mais c'est de sa faute : il vient d'alimenter de ses délires les miens. L'ennui, c'est que, d'ici quelques années, ce ne seront plus des délires.
Il y a sur cette planète un certains nombre de types qui ont acquis une maîtrise certaine des jeux militaires avec l'anti-matière (les armes au plasma, si j'ai bien suivi). Du genre : canons au plasma en direction des astéroïdes, par exemple.
Non, ce n'est pas de la science-fiction. Moi qui consomme à haute dose les films de SF depuis bien longtemps, j'ai fini par comprendre que le réel militaire et scientifique avait dépassé les auteurs de SF depuis plusieurs décennies déjà et que les films de SF sont juste là pour nous embrouiller et nous empêcher d'accéder à une véritable information technologique et scientifique. Certains technologues et militaires de la planète sont à ce jour beaucoup plus loin, en termes de puissance guerrière, que tout ce que peuvent inventer les scénaristes d'Hollywood.
Je ne rentrerai évidemment pas dans le discours new-âge de service de la plupart des allumés bien-pensants de la spiritualité, mes amis bien souvent par ailleurs, qui nous disent : "la planète se fâche car les hommes ne sont pas gentils avec elle". Ce discours est très exactement celui dont ont besoin les militaires qui mettent en œuvre leur plan de génocide du monde musulman dans la cadre de la théorie de la "guerre des civilisations" désormais en vigueur pour animer l'histoire du siècle : les musulmans sont fatalistes, leur faire croire que, s'ils meurent, c'est juste parce qu'ils ont offensé Dieu et la planète, est évidemment le bon moyen de les faire taire. Le discours new-âge et spiritualiste en cours ces jours-ci sur le Net est très exactement au service des militaires fous. Navré, amis, de vous enlever vos illusions.
La planète n'a aucunement besoin de se fâcher pour que le monde occidental blanc civilisé judéo-chrétien réussisse à éliminer en une seule fois cent mille musulmans, dans le cadre de la guerre des civilisations désormais enclenchée au risque de la survie de l'espèce. Vous n'allez tout de même pas pleurer à cause que quelques milliers de touristes occidentaux morts à l'occasion ? Ce ne sont que les victimes collatérales de la juste guerre que nous devons tous mener contre les méchants terroristes musulmans…
"C'est merveilleux, de voir toute cette solidarité des humains entre eux, riches et pauvres, face à une terrible catastrophe". Escroquerie intellectuelle et médiatique majeure. Vous avez regardé les chiffres de l'aide américaine à l'Asie endeuillée et ceux de la guerre en Irak ? Sans commentaire.
Bon. Soyons un peu sérieux. Comment peut-on oser dire une chose pareille, à savoir que le tsunami aurait pu être provoqué par une action humaine ?
Rendez-vous compte, monsieur, il n'y a aucune commune mesure entre l'énergie que les humains sont capables de produire avec une arme et celle du tsunami. Votre hypothèse ne tient pas
Ah oui ? Il faut quelle énergie pour déclencher une avalanche terriblement destructrice ? Quand les conditions sont réunies, à peu près rien. Du genre, quelques sons. Au bout de l'avalanche, des dizaines de morts et un village détruit avec, au départ, un simple pétard de la bonne taille. N'importe quel scientifique et terroriste amateur sait cela.
Décidément, c'est difficile, la pédagogie scientifique. Alors, s'il vous plait, lisez jusqu'au bout l'article de Jean-Pierre Petit (adresse en fin de cette page).
Son introduction technique sur les séismes sous-marins est un peu longue, l'on se demande où il veut en venir. Mais passé le seuil, alors, l'on comprend : déclencher le tsunami du 26 décembre, avec cette puissance formidable - 30 000 bombes atomiques type Hiroshima lit-on ici ou là - aurait pu exiger, en réalité, une énergie extrêmement plus faible et, en l'occurrence, parfaitement à la portée de certaines armées actuelles sur cette planète.
Autrement dit, sans même aller jusqu'aux armes à plasma - pourtant, il faut bien aussi les essayer quelque part, celles-là, comme les bombes nucléaires ; et le fond des océans, justement, est le meilleur endroit après l'espace - une simple bombe nucléaire "classique" aurait parfaitement pu suffire à déclencher le séisme à l'origine du tsunami.
Ah oui, à propos, pourquoi donc les bases américaines qui auraient pu être touchées ont-elles été prévenues, quand, dans le même temps, le patron de la météorologie thailandaise - qui vient d'être suspendu de ses fonctions - prenait la décision de ne pas prévenir les populations de l'arrivée imminente du tsunami pour ne pas perturber la saison touristique ? C'est juste au question au passage.
À moins que la probable explosion mise en œuvre dans les fonds marins - les sous-marins les plus performants savent faire, pas de souci - n'ait été qu'un essai dont les conséquences n'auraient pas été bien mesurées ?
Quelle idée, tout de même, d'aller faire des essais d'armes nouvelles juste sous le nez de Sumatra, dans une région qui, justement comme par hasard, regroupe des milliers de musulmans version intégriste ou prétendus tels qui ne rêvent que de faire sécession ?
Hasard de la nature ? Dans une région où il n'y a peu ou pas de tsunami ? (tsunami - raz-de-marée d'origine sismique - est un mot japonais, pas indonésien…). Et, oui, l'Océan Indien connaît fort peu de tsunamis… : le spécialiste des tsunamis, c'est le Pacifique, pas l'Indien…
Bon, arrêtons les délires techno-scientifiques. Ces gens-là sont fous, c'est bien connus, ils ont même inventé les téléphones-appareils photos en couleurs portables.
Qui donc aurait intérêt à provoquer une catastrophe pareille ? Et si cette "catastrophe", du point de vue de ceux qui décident de notre vie et de nos morts, n'était… pas grand chose ? Combien de morts en Irak depuis le début du conflit ? Nous sommes dans les mêmes zones de chiffres. La seule différence est que, là, c'est en une seule fois.
Pour un militaire normalement constitué, je ne vois pas que cette différence ait vraiment une importance pour sa conscience : 150 000 morts en deux ans ou 150 000 morts en deux heures, c'est toujours 150 000 morts. Et quand, en plus, l'on peut être sûr que, pour l'essentiel, ils seront musulmans, c'est toujours ça de gagné sur cette vermine qui fait tant d'enfants : n'oubliez pas, l'essentiel des musulmans, sur la planète, ce ne sont pas les arabes, ce sont les Indonésiens…
Anecdotiquement, 10% des députés de la Knesset, le parlement israëlien, viennent de voter une proposition de loi visant à déporter les Palestiniens sur les côtes de l'Inde dépeuplées par le tsunami… Ce n'est pas un gag, même si cette proposition de loi restera proposition.
Bonne année tout de même. Les oiseaux chantent, les femmes sont belles, le printemps va revenir et les magistrats mafieux de notre bonne terre de France tentent de se cacher…
Peut-être allons-nous, les uns et les autres qui entendons ne pas mourir complètement abrutis par les manipulations politico-médiatiques, devoir nous poser cette année quelques questions :
comment nous donner des media honnêtes et lucides et nous débarrasser de ces instruments de propagande militaire qui se font passer pour des journaux ou des médias d'information ? Vaste question…
Ou encore :
comment les peuples souverains de la planète vont-ils pouvoir retirer aux organisations nazies qui gèrent aujourd'hui les systèmes militaro-scientifiques les plus puissants de la planète leur pouvoir démesuré de vie et de mort sur l'espèce toute entière ?
Je suis preneur des réponses, je ne les ai pas.
Ah, j'allais oublié : tous mes vœux de courage et de confiance à Chesnot et Malbrunot pour leur retour d'Irak. À ce jour, mis sous pression par le Ministre des Affaires Étrangères et la DGSE, Chesnot et Malbrunot se taisent. Ils semblent avoir oublié les engagements d'honnêteté et de vérité pris avant leur départ d'Irak. Je peux comprendre, la pression des militaires français, ce n'est pas facile à gérer. Qu'ils sachent juste ceci : vous n'êtes pas seuls et beaucoup de gens honnêtes comptent sur vous. Nous avons besoin que vous parliez pour dire ce que vous savez des subtiles réalités irakiennes actuelles, du côté CIA, Mossad, DGSE et autres systèmes… Merci de vous exprimer, nous vous écoutons.
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