Commentaire de Kamal Amari concernant le discours de Said Sadi à Souk El Tenine , Bgayet
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Commentaire de Kamal Amari concernant le discours de Said Sadi à Souk El Tenine , Bgayet
Commentaire de Kamal Amari concernant le discours de Said Sadi à Souk El Tenine , Bgayet
Je te remercie Hafit pour cet énorme effort que tu as fait. C'est un discours que j'ai écouté avec passion et c'est important pour nous loin du pays de comprendre ce qui se trame avec ce régime finissant et destructeur notamment de notre qui est rebelle et hostile à ce régime. C'est un discours que je trouve pédagogique et non démagogique. Avec sa vision et ses analyses sérieuses , le Dr SAID SADI est convaincu que le DRS est le dernier rempart pour y arriver à mettre l'Algérie sur rail. je pense que la dissolution du DRS est une exigence historique même si on sait que c'est difficile actuellement mais après une élection sérieuse sous l’observation internationale pourrait divulguée la réalité du terrain. Qui ne sait pas que maintenant c'est la politique des quotas et que les vrais représentants ne sont pas élus en dehors de quelques élus notamment issus des régions de la kabylie sinon le reste c'est de la fraude caractérisée et systématique. A mon il n' y a que les débats entre citoyens qui pourraient casser tous les tabous et que l'opinion publique soit éclairée. Et elle a besoin de l'éclairage pour déjouer les vrais complots contre la population notamment kabyle car celle -ci refuse de s'inscrire dans de ce régime corrompu et corrupteur.
Et j'attends à Hafit la suite car je suis resté à ma faim. je ne sais est ce que tu as enregistré les questions. Je pense que vigilance et riposte intelligente s'impose pour un pouvoir mortifère et grabataire qui agit comme une bête blessée. Déjouer ses desseins est un devoir de toute personne capable d'éclaircir la situation car l'Algérie n'est pas leur propriété mais un héritage des martyrs qui ont donné leur sang pour un État de droit , démocratique et social. Donc ce que que peut faire quelqu'un dans l'optique de s'inscrire dans le sens de l'Histoire. Nous n'avons pas le droit d'être sourd au discours constructeur.
Kamal Amari
Je te remercie Hafit pour cet énorme effort que tu as fait. C'est un discours que j'ai écouté avec passion et c'est important pour nous loin du pays de comprendre ce qui se trame avec ce régime finissant et destructeur notamment de notre qui est rebelle et hostile à ce régime. C'est un discours que je trouve pédagogique et non démagogique. Avec sa vision et ses analyses sérieuses , le Dr SAID SADI est convaincu que le DRS est le dernier rempart pour y arriver à mettre l'Algérie sur rail. je pense que la dissolution du DRS est une exigence historique même si on sait que c'est difficile actuellement mais après une élection sérieuse sous l’observation internationale pourrait divulguée la réalité du terrain. Qui ne sait pas que maintenant c'est la politique des quotas et que les vrais représentants ne sont pas élus en dehors de quelques élus notamment issus des régions de la kabylie sinon le reste c'est de la fraude caractérisée et systématique. A mon il n' y a que les débats entre citoyens qui pourraient casser tous les tabous et que l'opinion publique soit éclairée. Et elle a besoin de l'éclairage pour déjouer les vrais complots contre la population notamment kabyle car celle -ci refuse de s'inscrire dans de ce régime corrompu et corrupteur.
Et j'attends à Hafit la suite car je suis resté à ma faim. je ne sais est ce que tu as enregistré les questions. Je pense que vigilance et riposte intelligente s'impose pour un pouvoir mortifère et grabataire qui agit comme une bête blessée. Déjouer ses desseins est un devoir de toute personne capable d'éclaircir la situation car l'Algérie n'est pas leur propriété mais un héritage des martyrs qui ont donné leur sang pour un État de droit , démocratique et social. Donc ce que que peut faire quelqu'un dans l'optique de s'inscrire dans le sens de l'Histoire. Nous n'avons pas le droit d'être sourd au discours constructeur.
Kamal Amari
Zhafit- Admin
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Date d'inscription : 26/04/2008
Zhafit- Admin
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Re: Commentaire de Kamal Amari concernant le discours de Said Sadi à Souk El Tenine , Bgayet
Salima Kahina
Allez chiche trouvez une seule femme dans cette assemblée "démocratique" (même l'enfant est un garçons, c'est fort!)...De beaux discours, intelligence politique mais le changement est partiel: le courage de dire oui mais la force d'agir? Il y a du boulot les démocrates algériens (kabyles, de souk el-Tenine)...
Allez chiche trouvez une seule femme dans cette assemblée "démocratique" (même l'enfant est un garçons, c'est fort!)...De beaux discours, intelligence politique mais le changement est partiel: le courage de dire oui mais la force d'agir? Il y a du boulot les démocrates algériens (kabyles, de souk el-Tenine)...
Zhafit- Admin
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Re: Commentaire de Kamal Amari concernant le discours de Said Sadi à Souk El Tenine , Bgayet
Zhafit a écrit:Salima Kahina
Allez chiche trouvez une seule femme dans cette assemblée "démocratique" (même l'enfant est un garçons, c'est fort!)...De beaux discours, intelligence politique mais le changement est partiel: le courage de dire oui mais la force d'agir? Il y a du boulot les démocrates algériens (kabyles, de souk el-Tenine)...
Eh oui! on voit plus de femmes aux rassemblements ,conferences,meetings,congrés....etc des islamistes que chez nos soit-disants parti democrates;ah ! l'illusion de democratie à la sauce said n'aith saadi ! grand pompier devant l'eternel ;toujours fidéle a la feuille de route comme meilleur sous traitant de notre "ghetoisation".
L'moussévha- Nombre de messages : 243
Localisation : entre ciel et terre
Date d'inscription : 27/04/2008
Pourquoi la femme est absente!
J'essaierais de tenter de répondre sur les raisons de l'absence des femmes durant la rencontre de Dr. SAID SADI à Souk El Tenine ( Bgayeth) ou ailleurs. En fait les raisons sont multiples mais je vais essayer de donner quelques raisons, selon notre petite expérience. Premièrement le poids de la religion est pour beaucoup de choses. La femme a été marginalisée dans les prises de décisions politiques. Donc aujourd'hui nous accusons un grand retard en matière de participation féminine. Deuxièmement on peut citer la question culturelle. La femme était toujours sacrifiée en limitant sa mission à des tâches bien précises et que la question relative aux prises de décisions politiques est réservée exclusivement aux hommes. L'espace de la vie publique est exclusivement masculin.
Maintenant la question se pose pourquoi la femme notamment rurale ne s'intéresse pas à vie politique...Ou pourquoi la politique n'attire pas la gent féminine...Est ce le poids de la société ou le regard de celle-ci qui bloque l'émergence de la femme...Est-ce que ce sont aussi les luttes rudes pour décrocher une place de leader devant un parterre d'hommes....Faut-il un opter pour un système de parité pour encourager la femme à s'intéresser à l'activité politique....Franchement je n'ai pas de réponse mais un débat s'impose pour trouver des solutions à cette problématique qui mériterait une attention particulière. Oui il faut la présence féminine est une exigence historique pour faire avancer le projet de société moderniste capable traduire les aspirations d'une société réellement démocratique dans laquelle la femme est le pivot notamment pour contrecarrer la vision rétrograde du rôle de la femme dans la société.....Oui je suis tout à fait d'accord de dire que la femme était absente et c'est dommage pour notre société qui n'accorde pas assez d'importance à la voix de la femme qui est, en fait, présente et ne pourrait être absente dans une société qui est appelée à s'ouvrir ou disparaître en tant qu'entité.
Franchement j'aimerais bien avoir des réponses de nos internautes afin d'avancer dans le débat en acceptant de se remettre en cause et de voir le mal qui est en nous....Dans toute société il faut qu'on accepte la reconnaissances de nos déficits en matière de l'égalité entre l'homme et la femme. Le débat est ouvert.
Maintenant la question se pose pourquoi la femme notamment rurale ne s'intéresse pas à vie politique...Ou pourquoi la politique n'attire pas la gent féminine...Est ce le poids de la société ou le regard de celle-ci qui bloque l'émergence de la femme...Est-ce que ce sont aussi les luttes rudes pour décrocher une place de leader devant un parterre d'hommes....Faut-il un opter pour un système de parité pour encourager la femme à s'intéresser à l'activité politique....Franchement je n'ai pas de réponse mais un débat s'impose pour trouver des solutions à cette problématique qui mériterait une attention particulière. Oui il faut la présence féminine est une exigence historique pour faire avancer le projet de société moderniste capable traduire les aspirations d'une société réellement démocratique dans laquelle la femme est le pivot notamment pour contrecarrer la vision rétrograde du rôle de la femme dans la société.....Oui je suis tout à fait d'accord de dire que la femme était absente et c'est dommage pour notre société qui n'accorde pas assez d'importance à la voix de la femme qui est, en fait, présente et ne pourrait être absente dans une société qui est appelée à s'ouvrir ou disparaître en tant qu'entité.
Franchement j'aimerais bien avoir des réponses de nos internautes afin d'avancer dans le débat en acceptant de se remettre en cause et de voir le mal qui est en nous....Dans toute société il faut qu'on accepte la reconnaissances de nos déficits en matière de l'égalité entre l'homme et la femme. Le débat est ouvert.
Lutsha- Nombre de messages : 24
Date d'inscription : 27/05/2009
Re: Commentaire de Kamal Amari concernant le discours de Said Sadi à Souk El Tenine , Bgayet
trés facile de mettre tout sur le dos de la religion ,vraiment trop facile et trop ridicule en même temps.
il explique l'absence des femmes par le facteur religion, n'importe quoi.
pourquoi ne pas dire carrément la vérité et dire que nos femmes ne s'intéressent pas ,alors là pas du tout à la chose politique ,car elles savent que c'est pas leur premier soucis ni encore moin un soucis.
nos femmes ne cherchent qu'à se marier avec de vrais hommes ,qui assument leur responsabilité d'homme ,un point c'est tout.
n'essayant pas de voiler la vérité de la défaillance de nos hommes et de leur qualité trés contestable d'hommes responsables
il explique l'absence des femmes par le facteur religion, n'importe quoi.
pourquoi ne pas dire carrément la vérité et dire que nos femmes ne s'intéressent pas ,alors là pas du tout à la chose politique ,car elles savent que c'est pas leur premier soucis ni encore moin un soucis.
nos femmes ne cherchent qu'à se marier avec de vrais hommes ,qui assument leur responsabilité d'homme ,un point c'est tout.
n'essayant pas de voiler la vérité de la défaillance de nos hommes et de leur qualité trés contestable d'hommes responsables
Re: Commentaire de Kamal Amari concernant le discours de Said Sadi à Souk El Tenine , Bgayet
Tu vois bien a y a zemmour que tout cela ne peut pas etre credible .ce Monsieur , plutot que de se remettre en cause , au lieu de denoncer le machisme retrograde des kabyles ( ceux des montagnes surtout ) ,prefere trouver une justification à l'abscence total de femmes à cette rencontre de souk el tenine .Pour y arriver ; le procedé est connu et il est simple : c'est la faute à l'islam .
Personnellement depuis toujours , je n'ai jamais aperçu une seule fois Monsieur Said Sadi en compagnie de son epouse .N'allez pas me dire que Said sadi , figure emblematique des luttes democratiques , (apres Ait Ahmed biensur) , soit un mysogyne qui domine ou meprise son epouse ! Seulement voila , connaissant le machisme exacerbé de nos societes tribales ,il prefere aller à leur rencontre ,seul .En bon psychiatre il sait qu'il est inutile et contreproductif de blesser la sensibilté virile des machos et phallocrates des males kabyles .
Nous dominons nos femmes ,donc , nous existons.
Bien à toi azemour.
albatros- Nombre de messages : 79
Date d'inscription : 27/01/2011
Re: Commentaire de Kamal Amari concernant le discours de Said Sadi à Souk El Tenine , Bgayet
je n'aime pas comme tu le dis monsieur albatros le fait qu'à chaque probléme posé chez un kabyle , le responsable est tout désigné ,c'est l'islam . je n'aime pas trop cette fuite en avant depuis la nuit des temps des kabyles.
l'islam est totalement innocent de cet état de fait.
l'islam est totalement innocent de cet état de fait.
Mais on cherche l'origine ce désintéressement !
Je tiens à préciser que je ne prétends pas détenir la vérité lorsque j'ai donné mon point de vue sur la question épineuse d'essayer de comprendre le pourquoi du comment...Tant mieux que le débat est lancé. Pour dire que le poids de la religion est absent dans cette question j'aimerais bien croire mais ce qu'une hypothèse et je ne parle pas en tant que spécialiste sur la question. Je n'ai aucune prétention de l'être. J'essaye de participer au débat et qu'on reste respectueux les uns envers les autres. Pour que le débat puisse avancer, il faut un minimum d'éthique pour tenter de répondre et encourager tout le monde à y mettre son avis pour éventuellement contribuer intellectuellement à déchiffrer la réalité qui est malheureusement complexe qui nécessite un effort considérable pour décoder ce qui relève de l'attitude et comportement de n'importe quelle société. Lorsque j'évoque le poids de la religion je ne vise pas l'islam. Car notre société est résultante de toutes les religion. Certes peut-être avec une domination de la religion musulmane. C'est vrai peut-être il faut qu'on fasse attention de faire des raccourcis mais ce ne sont que des tentatives de réponses. Alors essayons de répondre sans pour autant prétendre détenir la vérité. J'accepte toute la critique mais avec un minimum de code éthique pour qu'on puisse débattre. Malheureusement la question de la religion devrait être abordée mais aussi avec une certaine objectivité pour éviter d'éventuels dérapages, ce qui pourrait dissuader les gens sincères qui ont pour seul souci d'essayer tout simplement de comprendre et de s'exprimer dans un climat de respect mutuel. C'est la condition sine qua non pour que le débat puisse avoir un sens et continuer aussi d'exister.
Il ne devrait pas y avoir de question taboue. Tout est soumis au débat. Amicalement
Il ne devrait pas y avoir de question taboue. Tout est soumis au débat. Amicalement
Lutsha- Nombre de messages : 24
Date d'inscription : 27/05/2009
Re: Commentaire de Kamal Amari concernant le discours de Said Sadi à Souk El Tenine , Bgayet
j'ai eu une longue discussion avec une militante du RCD d'Annaba, a cette question, vous reprochez quoi aux militants du RCD et démocrates en général ? elle a repondu " je déplore vraiment le fait que nos militants ne font pas participer leurs femmes et leurs filles dans leurs combat. Contrairement aux mouvances islamistes ou on trouve toutes les femmes et filles de leurs militants participer à leurs combats. Essayez de faire une virée à un bureau de n’importe quel parti de la mouvance islamiste, vous serrez surpris par l’importance de la gente féminine dans leurs bureaux. Je suis aussi déçu par le fait que nos militants ne se marient pas avec nos militantes. La femme célibataire est très mal vue en chez nous. La femme militante ne peut être comprise que par un militant"
Zhafit- Admin
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Date d'inscription : 26/04/2008
Re: Commentaire de Kamal Amari concernant le discours de Said Sadi à Souk El Tenine , Bgayet
l’homme algérien doit contribuer a l’épanouissement de la femme algérienne, comme l’ont fait leurs homologues américains et européens qui ont beaucoup fait pour que les femmes américaines et européennes atteignent le niveau qu’elles ont actuellement. Aux USA y’a la fameuse « affirmative action » qui favorise les femmes et les hommes de couleurs pour rattraper leurs retard séculaire sur l’homme blanc. Je ne connais pas un homme qui ne souhaite pas avoir une femme mince, cultivée, en d’autres terme une véritable partenaire. Pour que la femme algérienne arrive a être belle, mince, cultivée, elle doit faire du sport, faire les études, voyager, lire des bouquins,…
Nos hommes doivent dépasser leurs hypocrisies !
Nos hommes doivent dépasser leurs hypocrisies !
Zhafit- Admin
- Nombre de messages : 13508
Date d'inscription : 26/04/2008
Re: Commentaire de Kamal Amari concernant le discours de Said Sadi à Souk El Tenine , Bgayet
Albatros, moi j'ai vu Said Sadi avec sa femme, Djoher, plusieurs fois.
albatros a écrit:
Tu vois bien a y a zemmour que tout cela ne peut pas etre credible .ce Monsieur , plutot que de se remettre en cause , au lieu de denoncer le machisme retrograde des kabyles ( ceux des montagnes surtout ) ,prefere trouver une justification à l'abscence total de femmes à cette rencontre de souk el tenine .Pour y arriver ; le procedé est connu et il est simple : c'est la faute à l'islam .
Personnellement depuis toujours , je n'ai jamais aperçu une seule fois Monsieur Said Sadi en compagnie de son epouse .N'allez pas me dire que Said sadi , figure emblematique des luttes democratiques , (apres Ait Ahmed biensur) , soit un mysogyne qui domine ou meprise son epouse ! Seulement voila , connaissant le machisme exacerbé de nos societes tribales ,il prefere aller à leur rencontre ,seul .En bon psychiatre il sait qu'il est inutile et contreproductif de blesser la sensibilté virile des machos et phallocrates des males kabyles .
Nous dominons nos femmes ,donc , nous existons.
Bien à toi azemour.
Zhafit- Admin
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Date d'inscription : 26/04/2008
Re: Commentaire de Kamal Amari concernant le discours de Said Sadi à Souk El Tenine , Bgayet
Djoher Sadi : Une femme courage
On dit souvent que derrière un grand homme, il y a toujours une femme. Si cela est valable pour le couple Djoher et Saïd Sadi, ce n’est pas sans une nuance de taille.
mercredi 7 avril 2004.
Car c’est côte à côte que Djoher et Saïd se battent depuis bientôt 27 ans pour l’idéal qu’ils partagent : une Algérie forte, multiple et démocratique. « C’est de sa force qu’il puise la sienne », raconte d’eux une militante du RCD, une compagne de longue haleine.
Et c’est à peine croyable que ce petit brin de femme puisse receler autant de force, tant Djoher semble timide et effacée. Revenue de la campagne électorale qu’elle a menée aux côtés de son mari, candidat à la présidentielle du 8 avril en tant que militante du RCD, elle nous accorde quelques minutes pour se remémorer les souvenirs douloureux de leur lutte commune.
« J’ai rencontré Saïd à l’Université, nous étions tous les deux engagés dans le combat culturel berbère », se rappelle madame Sadi. « Lorsque je l’ai épousé en 1977, je savais très bien qui il était et ce qu’il faisait, c’était mon choix. » Un choix qui vaudra pourtant à la jeune femme bien des soubresauts. Licenciée en histoire, Djoher ne pourra jamais obtenir un poste d’enseignante. « On m’en a empêchée de crainte de dévier l’histoire officielle », raconte-t-elle avec une pointe d’amertume. Elle sera archiviste à l’Office national des archives jusqu’en 1993 avant de quitter son poste après avoir assisté à l’assassinat d’un policier devant le portail de l’établissement.
Si la période du terrorisme a été difficile pour les Sadi, leurs ennuis ont pourtant commencé bien avant cette époque-là. Harcelé par la sécurité militaire sous le règne de Chadli, le couple traverse une véritable période de vaches maigres. « Ce n’était pas facile d’être madame Sadi à cette époque », enchaîne Djoher, qui a énormément souffert des persécutions incessantes de la sécurité militaire contre son mari qui activait à cette époque dans la clandestinité en tant que militant du FFS.
Lorsqu’elle évoque la première arrestation de Saïd Sadi en 1980, Djoher a les larmes aux yeux. « J’ai vécu cet événement comme un véritable drame », lâche -t-elle avec émotion. « Je voyais mon mari disparaître pour au moins 20 ans, je me disais que mon fils aura 22 ans lorsqu’il reverra son père », confie-t-elle encore. Malgré la détresse, l’angoisse et l’incompréhension de l’entourage, de la famille face au combat « suicidaire » de Saïd, Djoher ne doutera pourtant jamais de la justesse de cette cause. Elle subissait les événements avec stoïsme et force de caractère, « peut-être parce que j’avais une mère qui a participé à la Révolution », explique-t-elle. Peut-être aussi parce que Saïd lui-même demeurait imperturbable dans ces moments difficile.
« Sa sérénité me donnais de la force et du courage », affirme Djoher. Madame Sadi confie alors son fils en bas âge à sa mère et se lance dans le combat pour la libération de son mari en activant dans les commissions des détenus. « Les gens étais terrorisés, lorsqu’il me rencontraient, ils changeaient de trottoir, mais je ne leur en veux pas. » Le plus dure fut cependant de préserver les enfants. A l’époque où Saïd Sadi est emprisonné pour la deuxième fois en 1985, la cadette des Sadi avait cinq ans et avait très mal pris l’incarcération de son père, « il fallait lui expliquer que son père n’était pas en prison, parce que qu’il avait fait du mal », confie Djoher avant de poursuivre : « Lorsque nous allions lui rendre visite à la prison, je disais à la petite que son père était là pour soigner les prisonniers. » Aujourd’hui, Djoher revisite ces souvenirs comme un mauvais film.
Elle travaille aujourd’hui dans une boîte de communication, s’occupe de son mari et de ses quatre enfants, et participe activement à la vie du parti. Etre première dame d’Algérie ? Djoher y pense sereinement comme son mari et comme des milliers d’Algériens qui soutiennent Saïd Sadi. « Je ne voudrais pas de la responsabilité politique. Mais je voudrais bien activer dans le domaine associatif, aider les gens en détresse et engager un vaste mouvement de solidarité national », souhaite Djoher Sadi qui estime que le sacrifice ne doit jamais être oublié mais qu’il ne faut surtout pas qu’il laisse de la rancœur.
« Le combat, c’est d’abord l’espoir, tant de femmes l’ont déjà prouvé dans leur pays. »
Monia Zergane, elwatan.com
http://www.algerie-dz.com/article406.html
On dit souvent que derrière un grand homme, il y a toujours une femme. Si cela est valable pour le couple Djoher et Saïd Sadi, ce n’est pas sans une nuance de taille.
mercredi 7 avril 2004.
Car c’est côte à côte que Djoher et Saïd se battent depuis bientôt 27 ans pour l’idéal qu’ils partagent : une Algérie forte, multiple et démocratique. « C’est de sa force qu’il puise la sienne », raconte d’eux une militante du RCD, une compagne de longue haleine.
Et c’est à peine croyable que ce petit brin de femme puisse receler autant de force, tant Djoher semble timide et effacée. Revenue de la campagne électorale qu’elle a menée aux côtés de son mari, candidat à la présidentielle du 8 avril en tant que militante du RCD, elle nous accorde quelques minutes pour se remémorer les souvenirs douloureux de leur lutte commune.
« J’ai rencontré Saïd à l’Université, nous étions tous les deux engagés dans le combat culturel berbère », se rappelle madame Sadi. « Lorsque je l’ai épousé en 1977, je savais très bien qui il était et ce qu’il faisait, c’était mon choix. » Un choix qui vaudra pourtant à la jeune femme bien des soubresauts. Licenciée en histoire, Djoher ne pourra jamais obtenir un poste d’enseignante. « On m’en a empêchée de crainte de dévier l’histoire officielle », raconte-t-elle avec une pointe d’amertume. Elle sera archiviste à l’Office national des archives jusqu’en 1993 avant de quitter son poste après avoir assisté à l’assassinat d’un policier devant le portail de l’établissement.
Si la période du terrorisme a été difficile pour les Sadi, leurs ennuis ont pourtant commencé bien avant cette époque-là. Harcelé par la sécurité militaire sous le règne de Chadli, le couple traverse une véritable période de vaches maigres. « Ce n’était pas facile d’être madame Sadi à cette époque », enchaîne Djoher, qui a énormément souffert des persécutions incessantes de la sécurité militaire contre son mari qui activait à cette époque dans la clandestinité en tant que militant du FFS.
Lorsqu’elle évoque la première arrestation de Saïd Sadi en 1980, Djoher a les larmes aux yeux. « J’ai vécu cet événement comme un véritable drame », lâche -t-elle avec émotion. « Je voyais mon mari disparaître pour au moins 20 ans, je me disais que mon fils aura 22 ans lorsqu’il reverra son père », confie-t-elle encore. Malgré la détresse, l’angoisse et l’incompréhension de l’entourage, de la famille face au combat « suicidaire » de Saïd, Djoher ne doutera pourtant jamais de la justesse de cette cause. Elle subissait les événements avec stoïsme et force de caractère, « peut-être parce que j’avais une mère qui a participé à la Révolution », explique-t-elle. Peut-être aussi parce que Saïd lui-même demeurait imperturbable dans ces moments difficile.
« Sa sérénité me donnais de la force et du courage », affirme Djoher. Madame Sadi confie alors son fils en bas âge à sa mère et se lance dans le combat pour la libération de son mari en activant dans les commissions des détenus. « Les gens étais terrorisés, lorsqu’il me rencontraient, ils changeaient de trottoir, mais je ne leur en veux pas. » Le plus dure fut cependant de préserver les enfants. A l’époque où Saïd Sadi est emprisonné pour la deuxième fois en 1985, la cadette des Sadi avait cinq ans et avait très mal pris l’incarcération de son père, « il fallait lui expliquer que son père n’était pas en prison, parce que qu’il avait fait du mal », confie Djoher avant de poursuivre : « Lorsque nous allions lui rendre visite à la prison, je disais à la petite que son père était là pour soigner les prisonniers. » Aujourd’hui, Djoher revisite ces souvenirs comme un mauvais film.
Elle travaille aujourd’hui dans une boîte de communication, s’occupe de son mari et de ses quatre enfants, et participe activement à la vie du parti. Etre première dame d’Algérie ? Djoher y pense sereinement comme son mari et comme des milliers d’Algériens qui soutiennent Saïd Sadi. « Je ne voudrais pas de la responsabilité politique. Mais je voudrais bien activer dans le domaine associatif, aider les gens en détresse et engager un vaste mouvement de solidarité national », souhaite Djoher Sadi qui estime que le sacrifice ne doit jamais être oublié mais qu’il ne faut surtout pas qu’il laisse de la rancœur.
« Le combat, c’est d’abord l’espoir, tant de femmes l’ont déjà prouvé dans leur pays. »
Monia Zergane, elwatan.com
http://www.algerie-dz.com/article406.html
Zhafit- Admin
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Re: Commentaire de Kamal Amari concernant le discours de Said Sadi à Souk El Tenine , Bgayet
http://liberte-algerie.com/edit_archive.php?id=21997
Zhafit- Admin
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Zhafit- Admin
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OUI c'est un déficit à combler
Merci Hafit pour ce message qui nous permet d'avancer dans le débat sur cette question que je trouve primordiale. Mais nous devrions tous justement mettre fin à notre hypocrisie de croire que ce sont les autres. Pourquoi c'est ma femme qui va militer et pas celle de l'autre. Mais ça c'est aussi facile de formuler des accusations et casser des tabous quitte à avoir de sérieux problèmes avec la famille en dépit du poids du regard de l'autre. Oui je suis d'accord de dire que le mal est en nous. Mais rien n'empêche de réfléchir sur les causes de ces comportements incompréhensibles. Nous sommes malheureusement de remonter loin dans l'Histoire pour détecter les influences d'une société. L'Homme est résultante de toutes ces influences. Comme aussi l'Homme influe à son tour sur les autres. Donc soyons un peu indulgent par rapport à cette car avant tout c'est une question de culture. Si on investit pas depuis le jeune âge par rapport au statut de la femme dans la société , nous allons perdre la bataille. En dépit de l'instruction de la femme mais sa participation dans le domaine politique est de plus en plus difficile et c'est le même cas pour les cas pour les hommes mais un degré moindre bien sûr. Donc il faut aussi le relier à la question de projet de société et de la réalité politique dans notre pays. Nous ne sommes pas en Démocratie mais dans un semblant de Démocratie. L'expression n'est pas tolérée ni pour l'homme ni pour la femme. A part bien sûr pour le faire dans un cadre très limité, réservé à une élite bien précise mais dès que ça devient une menace au régime il intervient pour réprimer. Par conséquent les Droits de l'Homme en bafoués. Qui droits de l'Homme sous -entend l'homme et la femme.
Essayons de remonter loin dans l'Histoire pour tenter d'apporter quelques éléments de réponse et ensuite agir en conséquence pour y remédier. Je le répète nul ne peut prétendre détenir la vérité mais chacun a sa vérité. Alors que chacun puisse défendre sa vérité sans être obligé d'utiliser des insultes. Discuter sagement et d'une manière responsable pour vraiment construire cette conscience collective. Enfin la femme est aussi responsable de sa destinée. Qu'elle s'implique donc!
Ce sont les hommes qui parlent de femmes pour les défendre. Étant donné la femme est aujourd'hui instruite, donc elle pourrait arracher sa place sans pour autant ignorer la nécessité qu'elle soit encouragée par un cadre législatif pour occuper des postes politiques. C'est problématique dans un pays dans lequel tout est ' manipulable" . Cherchons la lueur de lumière car on est toujours aveugle même si nous avons des yeux pour voir.
Essayons de remonter loin dans l'Histoire pour tenter d'apporter quelques éléments de réponse et ensuite agir en conséquence pour y remédier. Je le répète nul ne peut prétendre détenir la vérité mais chacun a sa vérité. Alors que chacun puisse défendre sa vérité sans être obligé d'utiliser des insultes. Discuter sagement et d'une manière responsable pour vraiment construire cette conscience collective. Enfin la femme est aussi responsable de sa destinée. Qu'elle s'implique donc!
Ce sont les hommes qui parlent de femmes pour les défendre. Étant donné la femme est aujourd'hui instruite, donc elle pourrait arracher sa place sans pour autant ignorer la nécessité qu'elle soit encouragée par un cadre législatif pour occuper des postes politiques. C'est problématique dans un pays dans lequel tout est ' manipulable" . Cherchons la lueur de lumière car on est toujours aveugle même si nous avons des yeux pour voir.
Lutsha- Nombre de messages : 24
Date d'inscription : 27/05/2009
Re: Commentaire de Kamal Amari concernant le discours de Said Sadi à Souk El Tenine , Bgayet
Zhafit a écrit:j'ai eu une longue discussion avec une militante du RCD d'Annaba, a cette question, vous reprochez quoi aux militants du RCD et démocrates en général ? elle a repondu " je déplore vraiment le fait que nos militants ne font pas participer leurs femmes et leurs filles dans leurs combat. Contrairement aux mouvances islamistes ou on trouve toutes les femmes et filles de leurs militants participer à leurs combats. Essayez de faire une virée à un bureau de n’importe quel parti de la mouvance islamiste, vous serrez surpris par l’importance de la gente féminine dans leurs bureaux. Je suis aussi déçu par le fait que nos militants ne se marient pas avec nos militantes. La femme célibataire est très mal vue en chez nous. La femme militante ne peut être comprise que par un militant"
Elle a raison cette militante . Il y a un abime entre les discours et les comportements des militants Rcd et Ffs.
albatros- Nombre de messages : 79
Date d'inscription : 27/01/2011
Re: Commentaire de Kamal Amari concernant le discours de Said Sadi à Souk El Tenine , Bgayet
il n'ya aucun abime entre les discours du rcdet ses pratiques ,on va pas quand même supplier nos femmes et soeurs de s'intéresser à la chose politique ,on doit pas se substituer aux combats de nos femmes etsoeurs ,c'est à elles et à elles seules de s'imposer .
je suis pour l'égalité des chances ,et si maintenant nos femmes nous surpassent et arrivent à s'imposer alors tant mieux .
je suis pour l'égalité des chances ,et si maintenant nos femmes nous surpassent et arrivent à s'imposer alors tant mieux .
Écoutons KATEB YACINE sur le poids de la religion !
Écoutons Kateb Yacine un écrivain inclassable et un intellectuel perturbateur en expliquant le poids de la religion. Il faut aussi écouter la deuxième vidéo dans laquelle il explique clairement l'origine du statut réservé à la femme. Ça c'est de KATEB yacine et non d'un simple écrivain mais un grand visionnaire. Soyons attentifs à ses propos.
voici le lien :
https://www.facebook.com/l.php?u=http%3A%2F%2Fwww.youtube.com%2Fwatch%3Fv%3DHOnJ-L4hWzM%26feature%3Dshare&h=xAQCVYOhbAQD0AKpVOqWI2SV6b-2Yx6_rWjLg51v1mUDPIg
Lutsha- Nombre de messages : 24
Date d'inscription : 27/05/2009
Kateb Yacine : '' la femme est opprimée au nom de l'islam''
Selon Kateb Yacine la femme est opprimée au nom de l'islam , au nom de la religion...
Lutsha- Nombre de messages : 24
Date d'inscription : 27/05/2009
Re: Commentaire de Kamal Amari concernant le discours de Said Sadi à Souk El Tenine , Bgayet
slt . ridicule de réduire la non présence de la femme la médiocrité kabyle ou c psq elle veut pas intéresser ou a l’islam .... ,2 exemple qui vont résumer que ts ce que vous avais dit et du blabla.la 1er c que la femme et opprimer dans ts les domaine sans exception, la 2em c que c pas soul ment la femme kabyle ou arabe ou musulmane qui est opprimer , l’inégalité des sexe existe au monde entier sans exception , mais bien sur a des degré différant .et pr comprendre cette différence tous l'enjeu ce pose dans le mode de production"l’économie" qui détermine a lui seul les autre secteur(social, culturel, religieux),revenant a l'histoire, il y'avais des période ou la femme domine l'homme(société dite matriarcal) et c psq c la femme qui de tien a cette époque le mode de production(la première économie qui étais l’agriculture) aujourd'hui l'homme domine c psq c lui qui de tien le mode de production et la meilleur preuve regarder autour de vous dans nos cartier, nos village quant une femme ou fille travaille et gagne de l'argent comme elle est respecter contrairement a celle qui travaille pas , et l'islam n'a rien a voir au origine ,même je dirai que l'apparition de l'islam étais progressiste concernant la situation de la femme, c psq avant l'islam dans les société arabe la femme est enstérer vivante,elle ce vends comme une marchandise qu’étais un objet séxuel et l'islam vien pr lui donner qlq droit mais c très peut ..et ca n’empêche pas que devant l’idéal qui est l’égalité des sexe .les l'islam opprime la femme dayeur toutes les religion et il ya tat de preuve , en islam il ya la apogamie et bcp d'autre chose ..en christianisme il ya un versé qui dit "l'homme est le chef de ca femme", en judaïsme une prier ou l'h remercie dieu de le le donner homme, par contre la femme dit"dieu merci de me donner comme je ss" c pas la même chose ahh ..je m'excuse le sujet exige de approfondir plus ...mais une chose est sur que la non participation de la femme a la politique ne se conjugue pas a des fétu liter de hypocrisie ou de la religion au autre chose ..c bcp plus profond ... et la solution n'ai que le renversement du mode de production actuel qui est le capitalisme ..qui est l'origine de ts les prob sans exception
lyescommuniste- Nombre de messages : 64
Date d'inscription : 19/11/2009
personne n'a parlé de réduction au facteur de la religion !
Personne n'a parlé de réduction au poids de la religion mais un un facteur déterminant dans l'attribution du statut de la femme dans le statut. Il faut qu'on s'éloigne en utilisant un jargon de mépris mais plutôt élevons le niveau de débat et de ne pas se limiter à quelques mots dans un articles et de sélectionner un certain nombre de mots qui trahissent la dimension des propos des uns et des autres. Faisons un effort essayer justement d’approfondir la réflexion et essayer d'apporter quelques bribes ou pistes de réponse car ce n'est pas une simple lecture spontanée des sujets aussi complexes que la l'attitude et comportement d'une frange aussi sensible que la femme. Cette dernière est au centre de débat dans un projet de société. Donc responsable dans nos propos si nous voulons avancer dans les débats et de ne pas se fermer dans des discours stéréotypés. La réalité est complexe donc notre réflexion ne devrait aucunement être superficielle. Cependant ce n'est pas dans ce genre d'espace qu'on peut prétendre répondre définitivement mais plutôt si on arrive à se poser des questions de débat société c'est déjà une victoire. Alors soyons humble dans notre démarche.
Lutsha- Nombre de messages : 24
Date d'inscription : 27/05/2009
l'attribution du statut de la femme dans la société
Personne n'a parlé de réduction au poids de la religion mais un un facteur déterminant dans
Personne n'a parlé de réduction au poids de la religion mais un un facteur déterminant dans l'attribution du statut de la femme dans la société. Il faut qu'on s'éloigne en utilisant un jargon de mépris mais plutôt élevons le niveau de débat et de ne pas se limiter à quelques mots dans un articles et de sélectionner un certain nombre de mots qui trahissent la dimension des propos des uns et des autres. Faisons un effort essayer justement d’approfondir la réflexion et essayer d'apporter quelques bribes ou pistes de réponse car ce n'est pas une simple lecture spontanée des sujets aussi complexes que la l'attitude et comportement d'une frange aussi sensible que la femme. Cette dernière est au centre de débat dans un projet de société. Donc responsable dans nos propos si nous voulons avancer dans les débats et de ne pas se fermer dans des discours stéréotypés. La réalité est complexe donc notre réflexion ne devrait aucunement être superficielle. Cependant ce n'est pas dans ce genre d'espace qu'on peut prétendre répondre définitivement mais plutôt si on arrive à se poser des questions de débat société c'est déjà une victoire. Alors soyons humble dans notre démarche.
La polémique stérile est inutile, notre devoir est de faire l'effort de placer notre contribution et analyse dans une approche transdisciplinaire pour tenter d'élucider quelques questions qui vont toujours demeurer sans réponses. Une étude diachronique et synchronique s'impose pour réduire les malentendus qui pourraient exister entre différents contradicteurs avec un langage civilisé sinon c'est de n'importe quoi.
.
Lutsha- Nombre de messages : 24
Date d'inscription : 27/05/2009
Re: Commentaire de Kamal Amari concernant le discours de Said Sadi à Souk El Tenine , Bgayet
les signes de nervosités apparents et visible de kateb yacine sont dûs essentiellement à un alcoolisme trés avancé ,qui a dû altéré ses capacités intellectuelles et facultés mentales.
Lutsha a écrit:
Écoutons Kateb Yacine un écrivain inclassable et un intellectuel perturbateur en expliquant le poids de la religion. Il faut aussi écouter la deuxième vidéo dans laquelle il explique clairement l'origine du statut réservé à la femme. Ça c'est de KATEB yacine et non d'un simple écrivain mais un grand visionnaire. Soyons attentifs à ses propos.
voici le lien :
https://www.facebook.com/l.php?u=http%3A%2F%2Fwww.youtube.com%2Fwatch%3Fv%3DHOnJ-L4hWzM%26feature%3Dshare&h=xAQCVYOhbAQD0AKpVOqWI2SV6b-2Yx6_rWjLg51v1mUDPIg
Re: Commentaire de Kamal Amari concernant le discours de Said Sadi à Souk El Tenine , Bgayet
ah lutsha.. je me réjouie de de voir kateb yacin confirmer ce que je penser des religions ..et je le rejoins que la religion opprime la femme et pas seulement la femme .même l'homme .la religion est l'opium des peuples tel que a étais des par Karl marks , mais je ss pas dacors de prendre la chose d'un point de vu référentiel, ou de sacraliser les dire de kateb yacin,je pense que il faut relativiser les chose et je me ss bien expliquer que l’oppression de la femme a exister avant les religions ..et la religion n'ai qu'un moyen d'opprimer c pas une fin ..le but de l’oppression a des origine économique et ca reste jusqu’à maintenant (je vous conseil le livre AU ORIGINE DE LA FAMILLE ET DE LA PROPRIÉTÉ PRIVE de Karl marks .et actuellement la religion et une façon d'opprimer parmi d'autre
lyescommuniste- Nombre de messages : 64
Date d'inscription : 19/11/2009
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