Malek Souagui vient d’ecrire son premier roman
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Malek Souagui vient d’ecrire son premier roman
Malek Souagui vient d’ecrire son premier roman
Un poète au verbe facile
Par L. Beddar
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Malek Souagui, ce jeune et brillant poète né en1975 à Seddouk, vient de publier chez les éditions Belles Lettres son premier recueil de poèmes. Le titre de son ouvrage, L’Arbre de la vie, résume à lui seul sa façon de penser et de concevoir les choses de la vie. Les textes sont le reflet de la vie quotidienne et recèlent des messages de sagesse et de discernement. Comme tout Kabyle qui aime sa Kabylie, il fait raviver les traditions ancestrales très anciennes dont certaines ont été perdues de vue, d’autres sont encore sauvegardées. Depuis son jeune âge, ce jeune poète à la renommée naissante s’intéresse à la poésie en écoutant les anciens réciter des contes et des proverbes kabyles du terroir qu’il retenait dans sa tête. Ce poète au verbe facile ne pense pas s’arrêter en si bon chemin, puisqu’il dit être sur la préparation d’un second recueil de poèmes qu’il ne tardera pas à terminer et à remettre à son éditeur. C’est à l’université Abderrahmane Mira de Béjaïa qu’il a aiguisé son intelligence en préparant un diplôme universitaire de documentaliste archiviste. Bibliothécaire dans une université, il qualifie le monde des livres de merveilleux. Il ne cesse de contribuer en faveur de la promotion de la culture kabyle.
«La Kabylie recèle encore des potentialités inestimables inexploitées sur le plan poétique. Elle est connue pour être le terroir d’une kyrielle de poètes aux talents avérés. Avant, par manque de supports écrits, les textes légués se transmettaient oralement de génération en génération. Maintenant, il existe beaucoup d’autres moyens sophistiqués pour sauvegarder ces trésors. Des poètes talentueux existent aussi. Rares sont les éditeurs qui acceptent d’éditer des ouvrages ayant trait à la poésie. Voilà pourquoi la plupart des auteurs méconnus éditent à compte d’auteur», a-t-il souligné. Pour les besoins de la promotion du livre, pour lui, il y a urgence à sensibiliser des gens à se cultiver par le biais de la lecture. «Il y a nécessité de création des espaces de lecture dans les milieux scolaires, les centres urbains et ruraux pour permettre aux écoliers et citoyens, notamment les amoureux de la littérature d’être constamment en contact avec le monde de la lecture. Cela permettrait de promouvoir la lecture chez les jeunes surtout et de susciter en eux le désir de lire qui devrait se graver dans leurs esprits», a-t-il ajouté. L’écriture de textes chez ce jeune poète est un long parcours. Comme une abeille qui butine le nectar des fleurs pour produire du miel, c’est en lisant abondamment qu’il est arrivé à avoir le verbe facile. En page 48 dans le poème Deux langues une pensée, l’auteur essaye d’expliquer les raisons qui l’ont poussé à écrire en langue française.
L. Beddar
http://www.depechedekabylie.com/cuture/97720-un-poete-au-verbe-facile.html
Un poète au verbe facile
Par L. Beddar
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Malek Souagui, ce jeune et brillant poète né en1975 à Seddouk, vient de publier chez les éditions Belles Lettres son premier recueil de poèmes. Le titre de son ouvrage, L’Arbre de la vie, résume à lui seul sa façon de penser et de concevoir les choses de la vie. Les textes sont le reflet de la vie quotidienne et recèlent des messages de sagesse et de discernement. Comme tout Kabyle qui aime sa Kabylie, il fait raviver les traditions ancestrales très anciennes dont certaines ont été perdues de vue, d’autres sont encore sauvegardées. Depuis son jeune âge, ce jeune poète à la renommée naissante s’intéresse à la poésie en écoutant les anciens réciter des contes et des proverbes kabyles du terroir qu’il retenait dans sa tête. Ce poète au verbe facile ne pense pas s’arrêter en si bon chemin, puisqu’il dit être sur la préparation d’un second recueil de poèmes qu’il ne tardera pas à terminer et à remettre à son éditeur. C’est à l’université Abderrahmane Mira de Béjaïa qu’il a aiguisé son intelligence en préparant un diplôme universitaire de documentaliste archiviste. Bibliothécaire dans une université, il qualifie le monde des livres de merveilleux. Il ne cesse de contribuer en faveur de la promotion de la culture kabyle.
«La Kabylie recèle encore des potentialités inestimables inexploitées sur le plan poétique. Elle est connue pour être le terroir d’une kyrielle de poètes aux talents avérés. Avant, par manque de supports écrits, les textes légués se transmettaient oralement de génération en génération. Maintenant, il existe beaucoup d’autres moyens sophistiqués pour sauvegarder ces trésors. Des poètes talentueux existent aussi. Rares sont les éditeurs qui acceptent d’éditer des ouvrages ayant trait à la poésie. Voilà pourquoi la plupart des auteurs méconnus éditent à compte d’auteur», a-t-il souligné. Pour les besoins de la promotion du livre, pour lui, il y a urgence à sensibiliser des gens à se cultiver par le biais de la lecture. «Il y a nécessité de création des espaces de lecture dans les milieux scolaires, les centres urbains et ruraux pour permettre aux écoliers et citoyens, notamment les amoureux de la littérature d’être constamment en contact avec le monde de la lecture. Cela permettrait de promouvoir la lecture chez les jeunes surtout et de susciter en eux le désir de lire qui devrait se graver dans leurs esprits», a-t-il ajouté. L’écriture de textes chez ce jeune poète est un long parcours. Comme une abeille qui butine le nectar des fleurs pour produire du miel, c’est en lisant abondamment qu’il est arrivé à avoir le verbe facile. En page 48 dans le poème Deux langues une pensée, l’auteur essaye d’expliquer les raisons qui l’ont poussé à écrire en langue française.
L. Beddar
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Zhafit- Admin
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