Ces barons-voleurs qui ont fait l’Amérique
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Ces barons-voleurs qui ont fait l’Amérique
Ces barons-voleurs qui ont fait l’Amérique
Ils s’appellent Cornelius Vanderbilt (1794-1877), Andrew Carnegie (1853-1919), John D. Rockefeller (1839-1937), Jonh Pierpont Morgan (1837-1913)… “the biggest of the big businessmen” pour les uns, “The Barons Robbers” pour les autres, tout dépend de quel coté de la barrière on se trouve. Comme disait L. Fueurbach “dans un palais on pense autrement que dans une chaumière”.
Ils avaient fait leur fortune durant la guerre civile en vendant sans parti pris, nourriture et uniformes aux deux armées du nord et du sud. Comme l’argent n’a pas d’odeur, il n’a aussi pas de clan. Sa valeur est perçue de la même manière aussi bien dans les bars et les maisons closes que dans les maisons de Dieu. C’est sans doute pour cela que les américains appellent le billet vert the Good Green Buck. Qu’il soit vieux ou flambant neuf sa valeur est la même. Aujourd’hui, il peut être entre les seins d’une prostituée et le lendemain atterrir avec la même valeur entre les mains saintes d’un curé qui demande à dieu de pardonner leurs pêches aux hommes. Aprés tout, les seins sont saints diront les théoriciens de l’unification des mondes parallèles du vice et de la vertue. Puisque l’espace est courbe, les mondes parallèles se rencontrent. Finie, la planitude de l’esprit hérité de la géométrie euclidienne. Maître dollar est la pour converger les extrêmes. Il mesure à la fois l’effort et la générosité de l’homme qui peuvent prendre des valeurs aussi bien positive quenegatives. Tant- pis aussi pour la concavité de l’esprit dans un espace convexe. Même l’économie capitaliste semble rejoindre le rêve marxiste de la société égalitaire. N’en déplaise à Marx qui est mort, souhaitant à l’homme tous les malheurs du monde plutôt qu’un bonheur capitaliste. Dans notre espace courbe, le bonheur de l’homme semble finalement se trouver, quelque part, dans la zone d’équilibre, entre le capitaliste createur de richesses et l’humanisme marxiste qui les distribue.
Jonh Pierpont Morgan (1837-1913)
Puisque la loi américaine de l’époque de la guerre civile permettait à tout citoyen, non désireux de faire la guerre, de payer quelqu’un d’autre pour la faire à sa place, ces profiteurs de guerre, avaient suffisamment d’argent et de sens des affaires qui ne leur permettaient, certes, pas d’acheter la vie mais de s’épargner très sensiblement les risques potentiels de mourir misérables. Les américains contemporains n’arrêtent pas de croire au miracle de l’argent et rejoignent Morgan dans sa formule “there is nothing money can’t buy” (Il n’y a rien que l’argent ne peut pas acheter). Les plus réalistes disent que ” money doesn’t make every thing good but, no money makes every thing bad (ce n’est pas qu’avec l’argent tout va bien, c’est que sans argent tout va mal).
Si ces noms seront reconnus dans certains milieux comme de grands businessmen, la vox populi les désignera en tête d’affiche des barons voleurs qui ont volé tout le monde pour s’enrichir. Ils ont annoncé la couleur dés la première décennie du vingtième siècle durant les 2 mandats du populaire président Théodore Roosevelt. Aprés avoir éliminé toute concurrence dans les secteurs économiques les plus importants à savoir le pétrole , l’acier et le transport, ces quatre hommes avaient, contre la volonté du président Roosevelt, creé ce qui était convenu d’appeler pour la première fois dans le jargon de l’économie, le système des monopoles. Leur parfaite connaissance des lois américaines leur permettait d’utiliser à leur avantage la devise capitaliste de “let him go, let him pass” pour se faufiler entre les maillons de la justice américaine qui n’était pas préparée à contrecarrer certaines de leurs activités. Et dés qu’un maillon judiciaire semblait trop rétréci pour leur passage grossier, ils n’hésitaient pas à user de la corruption et de l’intimidation ainsi que d’autres pratiques que seule la morale savait bien mais inefficacement condamner.
Andrew Carnegie (1853-1919)
Ça ne m’a, personnellement, pas étonné d’apprendre que Morgan avait sublimé la puissance de l’argent en disant qu’avec l’argent on peut tout faire mais ça m’a étonné de savoir que Rockefeller et Carnegie avaient dit que l’argent des riches doit servir les pauvres.
Carnegie, en révolutionnant l’industrie de l’acier avec une méthode très efficace qui permettait de transformer le fer en acier avait donné un coup de boost à l’économie américaine. Plus tard, il vendit sa Carnegie Steel Corporation à J.P.Morgan qui la rebaptisa US Steel Corporation et qui devint la première compagnie américaine à valoir un milliard de dollars. Carnegie donna la moitié de sa fortune aux écoles et aux organisations de bienfaisance, il construisit plus de 3000 librairies publiques ainsi que le fameux Carnegie Hall à New York City.
La banque J.P Morgan and Company, de son coté, avait le controle des transports maritimes du téléphone, télégraphe, l’énergie électrique et la moitié des chemins de fer américains.
Ironie de la politique, le président Roosevelt qui s’était acharné contre le système des monopoles, devait, à 2 reprises solliciter J.P Morgan pour l’aider à sauver son gouvernement de la faillite.
Jonh D.Rockefeller, après avoir lancé sa Standard Oil en 1870 dans l’Ohio, est parvenu à accumuler des richesses colossales en s’octroyant plus de 90% des raffineries américaines. Sa richesse a atteint à un moment donné 2% du budget américain, soit une somme de 190 milliards de dollars actuels, soit plus de 3 fois la fortune de Bill Gates. Son fameux Rockefeller Center à Manhattan, le plus grand complexe privé du monde, mérite avec ses 19 bâtiments dont une tour de 70 étages qui appartient à General Electric, le nom d’une ville dans une ville. A l’entrée du bâtiment international, se trouve la statue d’Atlas portant le globe terrestre sur ses épaules. Ignorant dans tous les sens la signification d’une telle statue en tel endroit, je me suis dit qu’elle serait une insinuation de Rockefeller lui-même que les grands de sa stature sont tellement rangés par les problèmes de ce monde que l’existence leur est à charge.
Il a donné un demi milliard de dollars pour démarrer l’université de Chicago, l’institut Rockefeller pour la recherche en médecine et les maisons de charité. Son fils J. D. Rockefeller Jr avait hérité, non seulement, de sa richesse mais aussi de sa générosité. Il est connu pour avoir dédié à l”ONU (ex Ligue des Nations)le terrain où est bâti le Quartier Général de celle-ci à New York dans le but d’encourager la réalisation d’un parlement planétaire. A New York, les Rockefeller ont construit une cathédrale géante, en art gothique,pour la promotion des idées libérales.
Cornelius Vanderbilt (1794-1877)
Cornelius Vanderbilt est descendant d’une famille hollandaise arrivée aux Etats-Unis dans des conditions extrêmement pauvres. Il était connu sous le sobriquet de commodore qui était un grade militaire utilisé dans certaines marines pour designer tout officier dont le grade dépasse celui de capitaine. Ce New Yorkais de Staten Island avait fait son beurre dans les transports ferroviaires et maritimes. Il construisît la plus grand ligne ferroviaire américaine, The New York Central. Père d’une famille de 13 enfants il est considéré comme le patriarche de la famille Vandebilt et l’un des hommes les plus riches de l’histoire de l’Amérique. En 1849, profitant de la fièvre de la ruée vers l’or qui s’était emparée de toute l’Amérique, il convertît sa flotte au transport de voyageurs (gold rushers) des côtes Atlantiques vers les côtes californiennes à travers l’isthme de Panama qui séparait sur 77 kms l’océan Atlantique de l’océan pacifique. Le canal de Panama n’étant pas opérationnel (le canal a été construit de 1904 à 1914 sous Theodore Roosevelt), les voyageurs en provenance des cotes atlantiques, descendaient de leur bateau au niveau de la partie atlantique de l’isthme, traversaient à dos d’âne ou de mulet les 77 kms de l’isthme pour aboutir à sa partie pacifique ; de là, ils prenaient un autre bateau pour remonter le pacifique vers les côtes californiennes. Durant la guerre civile (1861-65) il disposa une partie de sa flotte pour aider les forces de L’Union sous le commandement d’Abraham Lincoln. A sa mort il a laissé la plus part de sa fortune à sa famille qui construira un fabuleux château de 70 chambres à Newport, dans l’état de Rhode Island. Les Vanderbilt ayant un jour organisé une fête dans leur château, les invités s’étant amusés à creuser dans des pots remplis de sables, « insuspectablement » disposés alentours, découvrirent, dans chaque pot, enfouis sous la couche de sable, des diamants et des pierres précieuses en tout genre.
Pour le meilleur et pour le pire, le système des monopoles, tout en mettant en colère et en faillite les petits détaillants, avait propulsé dés 1915 l’économie américaine, boiteuse au début du siècle, au premier rang mondial. Aux yeux des uns, ces monopolistes demeurent toujours ces barons-voleurs qui se sont enrichis au mépris de la morale, aux yeux des autres, ils sont toujours “the biggest of big businessmen” qui ont fait de l’économie une véritable science en l’extrayant du bricolage et des petits calculs d’épiciers. Une science qui évolue selon des lois économiques bien établies et qui nous impose une nouvelle forme de cartésianisme : Je produis donc je suis.
Rachid C.
Ils s’appellent Cornelius Vanderbilt (1794-1877), Andrew Carnegie (1853-1919), John D. Rockefeller (1839-1937), Jonh Pierpont Morgan (1837-1913)… “the biggest of the big businessmen” pour les uns, “The Barons Robbers” pour les autres, tout dépend de quel coté de la barrière on se trouve. Comme disait L. Fueurbach “dans un palais on pense autrement que dans une chaumière”.
Ils avaient fait leur fortune durant la guerre civile en vendant sans parti pris, nourriture et uniformes aux deux armées du nord et du sud. Comme l’argent n’a pas d’odeur, il n’a aussi pas de clan. Sa valeur est perçue de la même manière aussi bien dans les bars et les maisons closes que dans les maisons de Dieu. C’est sans doute pour cela que les américains appellent le billet vert the Good Green Buck. Qu’il soit vieux ou flambant neuf sa valeur est la même. Aujourd’hui, il peut être entre les seins d’une prostituée et le lendemain atterrir avec la même valeur entre les mains saintes d’un curé qui demande à dieu de pardonner leurs pêches aux hommes. Aprés tout, les seins sont saints diront les théoriciens de l’unification des mondes parallèles du vice et de la vertue. Puisque l’espace est courbe, les mondes parallèles se rencontrent. Finie, la planitude de l’esprit hérité de la géométrie euclidienne. Maître dollar est la pour converger les extrêmes. Il mesure à la fois l’effort et la générosité de l’homme qui peuvent prendre des valeurs aussi bien positive quenegatives. Tant- pis aussi pour la concavité de l’esprit dans un espace convexe. Même l’économie capitaliste semble rejoindre le rêve marxiste de la société égalitaire. N’en déplaise à Marx qui est mort, souhaitant à l’homme tous les malheurs du monde plutôt qu’un bonheur capitaliste. Dans notre espace courbe, le bonheur de l’homme semble finalement se trouver, quelque part, dans la zone d’équilibre, entre le capitaliste createur de richesses et l’humanisme marxiste qui les distribue.
Jonh Pierpont Morgan (1837-1913)
Puisque la loi américaine de l’époque de la guerre civile permettait à tout citoyen, non désireux de faire la guerre, de payer quelqu’un d’autre pour la faire à sa place, ces profiteurs de guerre, avaient suffisamment d’argent et de sens des affaires qui ne leur permettaient, certes, pas d’acheter la vie mais de s’épargner très sensiblement les risques potentiels de mourir misérables. Les américains contemporains n’arrêtent pas de croire au miracle de l’argent et rejoignent Morgan dans sa formule “there is nothing money can’t buy” (Il n’y a rien que l’argent ne peut pas acheter). Les plus réalistes disent que ” money doesn’t make every thing good but, no money makes every thing bad (ce n’est pas qu’avec l’argent tout va bien, c’est que sans argent tout va mal).
Si ces noms seront reconnus dans certains milieux comme de grands businessmen, la vox populi les désignera en tête d’affiche des barons voleurs qui ont volé tout le monde pour s’enrichir. Ils ont annoncé la couleur dés la première décennie du vingtième siècle durant les 2 mandats du populaire président Théodore Roosevelt. Aprés avoir éliminé toute concurrence dans les secteurs économiques les plus importants à savoir le pétrole , l’acier et le transport, ces quatre hommes avaient, contre la volonté du président Roosevelt, creé ce qui était convenu d’appeler pour la première fois dans le jargon de l’économie, le système des monopoles. Leur parfaite connaissance des lois américaines leur permettait d’utiliser à leur avantage la devise capitaliste de “let him go, let him pass” pour se faufiler entre les maillons de la justice américaine qui n’était pas préparée à contrecarrer certaines de leurs activités. Et dés qu’un maillon judiciaire semblait trop rétréci pour leur passage grossier, ils n’hésitaient pas à user de la corruption et de l’intimidation ainsi que d’autres pratiques que seule la morale savait bien mais inefficacement condamner.
Andrew Carnegie (1853-1919)
Ça ne m’a, personnellement, pas étonné d’apprendre que Morgan avait sublimé la puissance de l’argent en disant qu’avec l’argent on peut tout faire mais ça m’a étonné de savoir que Rockefeller et Carnegie avaient dit que l’argent des riches doit servir les pauvres.
Carnegie, en révolutionnant l’industrie de l’acier avec une méthode très efficace qui permettait de transformer le fer en acier avait donné un coup de boost à l’économie américaine. Plus tard, il vendit sa Carnegie Steel Corporation à J.P.Morgan qui la rebaptisa US Steel Corporation et qui devint la première compagnie américaine à valoir un milliard de dollars. Carnegie donna la moitié de sa fortune aux écoles et aux organisations de bienfaisance, il construisit plus de 3000 librairies publiques ainsi que le fameux Carnegie Hall à New York City.
La banque J.P Morgan and Company, de son coté, avait le controle des transports maritimes du téléphone, télégraphe, l’énergie électrique et la moitié des chemins de fer américains.
Ironie de la politique, le président Roosevelt qui s’était acharné contre le système des monopoles, devait, à 2 reprises solliciter J.P Morgan pour l’aider à sauver son gouvernement de la faillite.
Jonh D.Rockefeller, après avoir lancé sa Standard Oil en 1870 dans l’Ohio, est parvenu à accumuler des richesses colossales en s’octroyant plus de 90% des raffineries américaines. Sa richesse a atteint à un moment donné 2% du budget américain, soit une somme de 190 milliards de dollars actuels, soit plus de 3 fois la fortune de Bill Gates. Son fameux Rockefeller Center à Manhattan, le plus grand complexe privé du monde, mérite avec ses 19 bâtiments dont une tour de 70 étages qui appartient à General Electric, le nom d’une ville dans une ville. A l’entrée du bâtiment international, se trouve la statue d’Atlas portant le globe terrestre sur ses épaules. Ignorant dans tous les sens la signification d’une telle statue en tel endroit, je me suis dit qu’elle serait une insinuation de Rockefeller lui-même que les grands de sa stature sont tellement rangés par les problèmes de ce monde que l’existence leur est à charge.
Il a donné un demi milliard de dollars pour démarrer l’université de Chicago, l’institut Rockefeller pour la recherche en médecine et les maisons de charité. Son fils J. D. Rockefeller Jr avait hérité, non seulement, de sa richesse mais aussi de sa générosité. Il est connu pour avoir dédié à l”ONU (ex Ligue des Nations)le terrain où est bâti le Quartier Général de celle-ci à New York dans le but d’encourager la réalisation d’un parlement planétaire. A New York, les Rockefeller ont construit une cathédrale géante, en art gothique,pour la promotion des idées libérales.
Cornelius Vanderbilt (1794-1877)
Cornelius Vanderbilt est descendant d’une famille hollandaise arrivée aux Etats-Unis dans des conditions extrêmement pauvres. Il était connu sous le sobriquet de commodore qui était un grade militaire utilisé dans certaines marines pour designer tout officier dont le grade dépasse celui de capitaine. Ce New Yorkais de Staten Island avait fait son beurre dans les transports ferroviaires et maritimes. Il construisît la plus grand ligne ferroviaire américaine, The New York Central. Père d’une famille de 13 enfants il est considéré comme le patriarche de la famille Vandebilt et l’un des hommes les plus riches de l’histoire de l’Amérique. En 1849, profitant de la fièvre de la ruée vers l’or qui s’était emparée de toute l’Amérique, il convertît sa flotte au transport de voyageurs (gold rushers) des côtes Atlantiques vers les côtes californiennes à travers l’isthme de Panama qui séparait sur 77 kms l’océan Atlantique de l’océan pacifique. Le canal de Panama n’étant pas opérationnel (le canal a été construit de 1904 à 1914 sous Theodore Roosevelt), les voyageurs en provenance des cotes atlantiques, descendaient de leur bateau au niveau de la partie atlantique de l’isthme, traversaient à dos d’âne ou de mulet les 77 kms de l’isthme pour aboutir à sa partie pacifique ; de là, ils prenaient un autre bateau pour remonter le pacifique vers les côtes californiennes. Durant la guerre civile (1861-65) il disposa une partie de sa flotte pour aider les forces de L’Union sous le commandement d’Abraham Lincoln. A sa mort il a laissé la plus part de sa fortune à sa famille qui construira un fabuleux château de 70 chambres à Newport, dans l’état de Rhode Island. Les Vanderbilt ayant un jour organisé une fête dans leur château, les invités s’étant amusés à creuser dans des pots remplis de sables, « insuspectablement » disposés alentours, découvrirent, dans chaque pot, enfouis sous la couche de sable, des diamants et des pierres précieuses en tout genre.
Pour le meilleur et pour le pire, le système des monopoles, tout en mettant en colère et en faillite les petits détaillants, avait propulsé dés 1915 l’économie américaine, boiteuse au début du siècle, au premier rang mondial. Aux yeux des uns, ces monopolistes demeurent toujours ces barons-voleurs qui se sont enrichis au mépris de la morale, aux yeux des autres, ils sont toujours “the biggest of big businessmen” qui ont fait de l’économie une véritable science en l’extrayant du bricolage et des petits calculs d’épiciers. Une science qui évolue selon des lois économiques bien établies et qui nous impose une nouvelle forme de cartésianisme : Je produis donc je suis.
Rachid C.
laic-aokas- Nombre de messages : 14024
Date d'inscription : 03/06/2011
Re: Ces barons-voleurs qui ont fait l’Amérique
http://www.kabyleuniversel.com/?p=557
laic-aokas- Nombre de messages : 14024
Date d'inscription : 03/06/2011
Re: Ces barons-voleurs qui ont fait l’Amérique
s'agit il de chaabane rachid? cet immigré de tizi n'berber établi depuis des lustres en amérique .
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