Le Malaise berbére dans la constitution algérienne
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Le Malaise berbére dans la constitution algérienne
Le Malaise berbére dans la constitution algérienne
Avec deux partis kabyles qui travaillent dans la légalité, la seule vraie résistance à notre effacement culturel semble être, apparemment, le relief ; il décourage les renards idéologues des vallées baathistes à joindre dans leur campagne arabisante nos villages kabyles, sur nos montagnes, perchés. Les acteurs du FFS et du RCD qui avaient si bien activé dans l’illégalité semblent avouer leur inefficacité politique sous les sédiments des pétrodollars. Tels, Bougre D’âne et Bougre D’Andouille, nos deux partis ne font qu’un, sous le piège tendu par 10 Centimes Le Petit Franc du sinistre clan d’Oujda. Pas la moindre manifestation d’envergure à mettre en garde le pouvoir, pas la moindre marche contre l’humiliant 3e mandat, pas le moindre fêtard ni pour Yennayer ni pour le 20 Avril.
Tout se passe comme si la Kabylie ne peut rien devant cette machine corruptrice du pouvoir. Mère, le mur est haut écrivait Kateb Yacine dans Nedjma. La seule force qui s’aventure tant bien que MAK à faire du bruit autour de notre cause, c’est le parti du vieux et inébranlable routier de la cause, Ferhat M’Henni. Nos députés élus ont-ils pris du goût à la paie bien garnie qui a précédé la débâcle constitutionnelle, et au parfum des secrétaires qu’ils soumettraient dans leurs bureaux à la promotion canapé. Leurs cris aussi forts soient-ils ne peuvent être perçus par une APN volumineuse bien payée pour défendre les vieux réflexes du statut quo. Les 19 députés du RCD, sur lesquels on compte défendre notre cause, par rapport à la totalité des membres de l’APN, ne représentent même pas une erreur de Calcul. Pour une Algérie berbère à 30%, ce n’est même pas de la figuration. Faire attention au confort absolu, il corrompt absolument. La gloire se trouve sur le chemin épineux qu’emprunte le MAK plutôt que sur le chemin de roses tracé par le pouvoir. Tout se passe comme si, vis-à-vis d’un tel pouvoir, le seul moyen d’activer est de le faire en clandestinité. Au fait, ratifier une constitution qui ne nous reconnait pas et fonctionner sous les deniers d’un pouvoir qui décide au compte goutte sur notre capacité d’agir peut s’avérer être un dangereux leurre. Quand on accepte de jouer au domino avec un pouvoir qui change les règles de jeu à volonté et à sa convenance, quel que soit le nombre de combinaisons qu’offre le jeu, les règles et les pièces sont toujours les mêmes. Dès que c’est fermé, ça recommence.
L’Algérie, finalement, ne serait pas un produit de la culture et de l’histoire mais une sorte de propriété privée dont la définition et le destin dépendent de la personne ou du clan qui nous gouverne. De ce point de vue, l’histoire apparaitrait comme une garce du fait qu’elle prend toujours le côté de celui qui la… raconte. On était gaulois sous la France, arabes sous le clan d’Oujda et ça se passera toujours comme ça tant qu’un colon en chassera un autre, tant que l’Algérie ne reviendra pas à ses fils qui l’aimeront dans toute sa réalité et sa dimension historique d’est à l’ouest, du nord au sud. Il n’y a que ceux qui ne sont pas satisfaits de leur héritage nord-africain qui vont aller chercher leurs origines ailleurs. Les américains sont présents en Amérique depuis seulement deux siècles et aucun américain ne fait référence à ses origines anglaises, françaises ou allemandes. Ils se sentent tous américains et ils vivent pleinement leur américanité. Chez nous, les arabes sont dans la Berbérie depuis quatorze siècles et ils n’arrêtent pas de se référer au Yémen. Ces enfants d’Oujda qui nous gouvernent sont-ils à la recherche d’une supériorité, genre alaouite, du Maroc où ils sont nés. Après avoir décolonisé selon l’axe Dunkerque-Tamanrasset, on se doit de le faire de nouveau suivant l’axe océan Indien-océan atlantique. Terrible destin que celui de nous autres berbères que, ni les gaulois, ni les arabes n’en veulent entendre parler sur cette planète. Qu’a-t-on fait pour être si mal aimés sur notre propre terre ? Comment ose-t-on chanter les prouesses guerrières d’un Antar Ibn Chaddad dont on évoque à peine les origines éthiopiennes, et omettre de mentionner les exploits du carthaginois Hannibal, un vrai fils de l’Afrique du nord qui, après avoir conquis la péninsule ibérique, avait lancé une attaque avec ses éléphants sur l’Italie pour y demeurer pendant quinze ans à la porte de Rome. N’en déplaise au KKK d’Oujda, l’histoire le reconnait comme l’inventeur de la stratégie de guerre et lui réserve une place tant honorable aux cotés d’Alexandre le Grand, de Plutarque et de Jules César. D’innombrables films et de documentaires lui ont été réservés mais aucun n’avait eu la chance de paraitre dans notre “chacha”, ni aucune trace de lui dans nos manuels scolaires.
En 2009, au moment où les arabes des 2 Arabies, la vraie et la conquise, chantent dans le meilleur accueil du monde la grandeur de l’empire arabe dans une ville berberoromaine, les leaders du Congrès Mondial Amazigh se font intimider par la police à Tizi-Ouzou comme de vulgaires petits voyoux. Même les journalistes de Al Djazeera, semblent, en interviewant nos berbéristes, s’étonner de voir une région de 10 millions d’habitants réclamer sa langue et ses particularismes identitaires alors que l’Emirat de Qatar, lui-même, qui abrite Al Djazeera ne compte que 350 000 citoyens qataris et qu’il est né de sa sécession du Bahreïn après une rébellion orchestrée par l’Angleterre. Plus récemment encore, il a même pris la décision, de se retirer de l’Union des Emirates Arabes. Peut-on reprocher aux qataris qui ont, aujourd’hui, probablement, le PNB le plus haut du monde d’avoir fait sécession avec leurs voisins avec qui ils partagent la même race et la même langue ? Comble de l’ironie, ce sont eux qui semblent avoir un problème avec nos revendications. Savent-ils que toutes les populations de ces petits pays du Golfe réunis, chacun, autour de son puits de pétrole, ne font pas en nombre celle de la Kabylie ? Sans aucun doute, avec Al Djazeera qui concurrence CNN, ils le savent fort bien. Mais, comme dans toutes les logiques de deux poids, deux mesures, les non voyants ne sont pas forcément les aveugles.
Nous devons avoir cette autonomie de raconter à nos enfants nos héros dans nos livres d’histoire, de nommer nos rues et nos villages après nos femmes et nos hommes qui ont fait, quelque part dans le temps, la grandeur de notre peuple pour perpétuer leur courage et leur bravoure et de bien huiler la chaine de transmission des valeurs ancestrales afin de connecter nos générations futures avec nos aïeux , le seul moyen de sauvegarder notre mémoire historique que tente d’effacer notre pouvoir bathiste qui entretient une injustice culturelle abjecte à notre égard. Il faut, pour cela, avoir une certaine autonomie avec ce pouvoir qui veut taire ce qu’il y’a en nous de meilleur pour nous présenter comme un peuple tout juste bon à garder les chèvres, là haut, dans nos montagnes, tout prés d’Arabsat. Un profile que nous a forgé le pouvoir à coup de stéréotypes et de propagande au point que dans nos grandes villes, notre jeunesse éprouve de la honte à s’exprimer dans sa langue maternelle ou à s’affirmer comme berbère. Et, pourtant, il n’ya pas de domaine au niveau national ou africain où nous n’avons pas culminé, que ce soit dans la musique ou dans le sport, dans la culture, la littérature, la science, la technique et les arts. Il n’y a pas de bataille où nous n’avons pas donné le meilleur de nous-mêmes, les meilleurs de nos hommes pour la sauvegarde de notre terre prospère où beaucoup de mères ont souffert. La preuve que nos gènes qui gênent sont intacts et n’ont rien à envier à ceux qui veulent s’autoproclamer comme nos maitres d’Arabie. 19 000 kabyles avaient rejoint l’armée turque pour intercepter notre nouvel ancêtre le gaulois à Sidi Fredj, des milliers de nos Kabyles ont été déportés en Nouvelle Calédonie par ce même ancêtre pour avoir refusé de lui céder nos terres. Lors de la guerre d’Algérie nous avons été vaillants et contre l’Agression marocaine aussi. Nous avons toujours été braves et nous ne voulons pas d’un pouvoir qui cultive en nous ce sentiment de lâcheté afin d’abandonner notre identité pour une autre. Si des milliards de dollars sont investis pour qu’un compatriote d’Oued Souf puisse promouvoir et développer la langue de sa mère, pourquoi la langue de ma mère qui m’est chère ne jouirait-elle pas du même droit ? Je suis un algérien, n’est-ce pas, et plus algérien que moi c’est le déluge.
Où est donc l’intérêt d’un berbere, jaloux de sa culture, à ratifier une constitution qui s’adresse exclusivement à ses concitoyens arabes ?
Rachid C
Avec deux partis kabyles qui travaillent dans la légalité, la seule vraie résistance à notre effacement culturel semble être, apparemment, le relief ; il décourage les renards idéologues des vallées baathistes à joindre dans leur campagne arabisante nos villages kabyles, sur nos montagnes, perchés. Les acteurs du FFS et du RCD qui avaient si bien activé dans l’illégalité semblent avouer leur inefficacité politique sous les sédiments des pétrodollars. Tels, Bougre D’âne et Bougre D’Andouille, nos deux partis ne font qu’un, sous le piège tendu par 10 Centimes Le Petit Franc du sinistre clan d’Oujda. Pas la moindre manifestation d’envergure à mettre en garde le pouvoir, pas la moindre marche contre l’humiliant 3e mandat, pas le moindre fêtard ni pour Yennayer ni pour le 20 Avril.
Tout se passe comme si la Kabylie ne peut rien devant cette machine corruptrice du pouvoir. Mère, le mur est haut écrivait Kateb Yacine dans Nedjma. La seule force qui s’aventure tant bien que MAK à faire du bruit autour de notre cause, c’est le parti du vieux et inébranlable routier de la cause, Ferhat M’Henni. Nos députés élus ont-ils pris du goût à la paie bien garnie qui a précédé la débâcle constitutionnelle, et au parfum des secrétaires qu’ils soumettraient dans leurs bureaux à la promotion canapé. Leurs cris aussi forts soient-ils ne peuvent être perçus par une APN volumineuse bien payée pour défendre les vieux réflexes du statut quo. Les 19 députés du RCD, sur lesquels on compte défendre notre cause, par rapport à la totalité des membres de l’APN, ne représentent même pas une erreur de Calcul. Pour une Algérie berbère à 30%, ce n’est même pas de la figuration. Faire attention au confort absolu, il corrompt absolument. La gloire se trouve sur le chemin épineux qu’emprunte le MAK plutôt que sur le chemin de roses tracé par le pouvoir. Tout se passe comme si, vis-à-vis d’un tel pouvoir, le seul moyen d’activer est de le faire en clandestinité. Au fait, ratifier une constitution qui ne nous reconnait pas et fonctionner sous les deniers d’un pouvoir qui décide au compte goutte sur notre capacité d’agir peut s’avérer être un dangereux leurre. Quand on accepte de jouer au domino avec un pouvoir qui change les règles de jeu à volonté et à sa convenance, quel que soit le nombre de combinaisons qu’offre le jeu, les règles et les pièces sont toujours les mêmes. Dès que c’est fermé, ça recommence.
L’Algérie, finalement, ne serait pas un produit de la culture et de l’histoire mais une sorte de propriété privée dont la définition et le destin dépendent de la personne ou du clan qui nous gouverne. De ce point de vue, l’histoire apparaitrait comme une garce du fait qu’elle prend toujours le côté de celui qui la… raconte. On était gaulois sous la France, arabes sous le clan d’Oujda et ça se passera toujours comme ça tant qu’un colon en chassera un autre, tant que l’Algérie ne reviendra pas à ses fils qui l’aimeront dans toute sa réalité et sa dimension historique d’est à l’ouest, du nord au sud. Il n’y a que ceux qui ne sont pas satisfaits de leur héritage nord-africain qui vont aller chercher leurs origines ailleurs. Les américains sont présents en Amérique depuis seulement deux siècles et aucun américain ne fait référence à ses origines anglaises, françaises ou allemandes. Ils se sentent tous américains et ils vivent pleinement leur américanité. Chez nous, les arabes sont dans la Berbérie depuis quatorze siècles et ils n’arrêtent pas de se référer au Yémen. Ces enfants d’Oujda qui nous gouvernent sont-ils à la recherche d’une supériorité, genre alaouite, du Maroc où ils sont nés. Après avoir décolonisé selon l’axe Dunkerque-Tamanrasset, on se doit de le faire de nouveau suivant l’axe océan Indien-océan atlantique. Terrible destin que celui de nous autres berbères que, ni les gaulois, ni les arabes n’en veulent entendre parler sur cette planète. Qu’a-t-on fait pour être si mal aimés sur notre propre terre ? Comment ose-t-on chanter les prouesses guerrières d’un Antar Ibn Chaddad dont on évoque à peine les origines éthiopiennes, et omettre de mentionner les exploits du carthaginois Hannibal, un vrai fils de l’Afrique du nord qui, après avoir conquis la péninsule ibérique, avait lancé une attaque avec ses éléphants sur l’Italie pour y demeurer pendant quinze ans à la porte de Rome. N’en déplaise au KKK d’Oujda, l’histoire le reconnait comme l’inventeur de la stratégie de guerre et lui réserve une place tant honorable aux cotés d’Alexandre le Grand, de Plutarque et de Jules César. D’innombrables films et de documentaires lui ont été réservés mais aucun n’avait eu la chance de paraitre dans notre “chacha”, ni aucune trace de lui dans nos manuels scolaires.
En 2009, au moment où les arabes des 2 Arabies, la vraie et la conquise, chantent dans le meilleur accueil du monde la grandeur de l’empire arabe dans une ville berberoromaine, les leaders du Congrès Mondial Amazigh se font intimider par la police à Tizi-Ouzou comme de vulgaires petits voyoux. Même les journalistes de Al Djazeera, semblent, en interviewant nos berbéristes, s’étonner de voir une région de 10 millions d’habitants réclamer sa langue et ses particularismes identitaires alors que l’Emirat de Qatar, lui-même, qui abrite Al Djazeera ne compte que 350 000 citoyens qataris et qu’il est né de sa sécession du Bahreïn après une rébellion orchestrée par l’Angleterre. Plus récemment encore, il a même pris la décision, de se retirer de l’Union des Emirates Arabes. Peut-on reprocher aux qataris qui ont, aujourd’hui, probablement, le PNB le plus haut du monde d’avoir fait sécession avec leurs voisins avec qui ils partagent la même race et la même langue ? Comble de l’ironie, ce sont eux qui semblent avoir un problème avec nos revendications. Savent-ils que toutes les populations de ces petits pays du Golfe réunis, chacun, autour de son puits de pétrole, ne font pas en nombre celle de la Kabylie ? Sans aucun doute, avec Al Djazeera qui concurrence CNN, ils le savent fort bien. Mais, comme dans toutes les logiques de deux poids, deux mesures, les non voyants ne sont pas forcément les aveugles.
Nous devons avoir cette autonomie de raconter à nos enfants nos héros dans nos livres d’histoire, de nommer nos rues et nos villages après nos femmes et nos hommes qui ont fait, quelque part dans le temps, la grandeur de notre peuple pour perpétuer leur courage et leur bravoure et de bien huiler la chaine de transmission des valeurs ancestrales afin de connecter nos générations futures avec nos aïeux , le seul moyen de sauvegarder notre mémoire historique que tente d’effacer notre pouvoir bathiste qui entretient une injustice culturelle abjecte à notre égard. Il faut, pour cela, avoir une certaine autonomie avec ce pouvoir qui veut taire ce qu’il y’a en nous de meilleur pour nous présenter comme un peuple tout juste bon à garder les chèvres, là haut, dans nos montagnes, tout prés d’Arabsat. Un profile que nous a forgé le pouvoir à coup de stéréotypes et de propagande au point que dans nos grandes villes, notre jeunesse éprouve de la honte à s’exprimer dans sa langue maternelle ou à s’affirmer comme berbère. Et, pourtant, il n’ya pas de domaine au niveau national ou africain où nous n’avons pas culminé, que ce soit dans la musique ou dans le sport, dans la culture, la littérature, la science, la technique et les arts. Il n’y a pas de bataille où nous n’avons pas donné le meilleur de nous-mêmes, les meilleurs de nos hommes pour la sauvegarde de notre terre prospère où beaucoup de mères ont souffert. La preuve que nos gènes qui gênent sont intacts et n’ont rien à envier à ceux qui veulent s’autoproclamer comme nos maitres d’Arabie. 19 000 kabyles avaient rejoint l’armée turque pour intercepter notre nouvel ancêtre le gaulois à Sidi Fredj, des milliers de nos Kabyles ont été déportés en Nouvelle Calédonie par ce même ancêtre pour avoir refusé de lui céder nos terres. Lors de la guerre d’Algérie nous avons été vaillants et contre l’Agression marocaine aussi. Nous avons toujours été braves et nous ne voulons pas d’un pouvoir qui cultive en nous ce sentiment de lâcheté afin d’abandonner notre identité pour une autre. Si des milliards de dollars sont investis pour qu’un compatriote d’Oued Souf puisse promouvoir et développer la langue de sa mère, pourquoi la langue de ma mère qui m’est chère ne jouirait-elle pas du même droit ? Je suis un algérien, n’est-ce pas, et plus algérien que moi c’est le déluge.
Où est donc l’intérêt d’un berbere, jaloux de sa culture, à ratifier une constitution qui s’adresse exclusivement à ses concitoyens arabes ?
Rachid C
laic-aokas- Nombre de messages : 14024
Date d'inscription : 03/06/2011
Re: Le Malaise berbére dans la constitution algérienne
http://www.kabyleuniversel.com/?p=252
laic-aokas- Nombre de messages : 14024
Date d'inscription : 03/06/2011
Re: Le Malaise berbére dans la constitution algérienne
une revendication"politique" qu'on assimile à unphénoméne naturel !!
mais il est vrai que le ridicule ne tue plus de nos jours .la bétise humaine à de beaux jours devant elle
mais il est vrai que le ridicule ne tue plus de nos jours .la bétise humaine à de beaux jours devant elle
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