Religion, libertés de conscience et d’opinion : Ce que dit la Constitution algérienne
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Religion, libertés de conscience et d’opinion : Ce que dit la Constitution algérienne
L’article 2 stipule que « l’Islam est la religion d’Etat ».
L’article 36 stipule que « la liberté de conscience et la liberté d’opinion sont inviolables ».
L’article 144 bis 2 de la constitution algérienne qui a été amendée en 2001 instaure «des peines d'emprisonnements de 3 à 5 ans pour quiconque offensera le prophète (…) et dénigrera les dogmes de l'Islam par voie d'écrit, de dessin, de déclaration et de tout autre moyen».
Lire l'article original : Me Mohamed Aït Mimoun, avocat des deux non-jeûneurs : «Rompre le jeûne ne constitue pas un délit» | DNA - Dernières nouvelles d'Algérie
L’article 36 stipule que « la liberté de conscience et la liberté d’opinion sont inviolables ».
L’article 144 bis 2 de la constitution algérienne qui a été amendée en 2001 instaure «des peines d'emprisonnements de 3 à 5 ans pour quiconque offensera le prophète (…) et dénigrera les dogmes de l'Islam par voie d'écrit, de dessin, de déclaration et de tout autre moyen».
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Taremant.Ighil.Alemmas- Nombre de messages : 562
Date d'inscription : 17/08/2011
laic-aokas- Nombre de messages : 14024
Date d'inscription : 03/06/2011
folle- Nombre de messages : 3347
Date d'inscription : 25/01/2009
Re: Religion, libertés de conscience et d’opinion : Ce que dit la Constitution algérienne
L’article 2 stipule que « l’Islam est la religion d’Etat ».
L’article 36 stipule que « la liberté de conscience et la liberté d’opinion sont inviolables ».
L’article 144 bis 2 de la constitution algérienne qui a été amendée en 2001 instaure «des peines d'emprisonnements de 3 à 5 ans pour quiconque offensera le prophète (…) et dénigrera les dogmes de l'Islam par voie d'écrit, de dessin, de déclaration et de tout autre moyen».
Me Mohamed Aït Mimoun, avocat des deux non-jeûneurs : «Rompre le jeûne ne constitue pas un délit» |
L’article 36 stipule que « la liberté de conscience et la liberté d’opinion sont inviolables ».
L’article 144 bis 2 de la constitution algérienne qui a été amendée en 2001 instaure «des peines d'emprisonnements de 3 à 5 ans pour quiconque offensera le prophète (…) et dénigrera les dogmes de l'Islam par voie d'écrit, de dessin, de déclaration et de tout autre moyen».
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folle- Nombre de messages : 3347
Date d'inscription : 25/01/2009
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