Deux chrétiennes converties à l'islam sequestrées dans des monastères
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Deux chrétiennes converties à l'islam sequestrées dans des monastères
La terreur islamiste frappe les Coptes en Egypte.
vendredi 19 novembre 2010, par Egypte, par Coptes, par Musulmans, par maisons brûlées
Des musulmans ont mis le feu à des habitations appartenant à la famille d’un Copte dans un village d’Egypte, à la suite de rumeurs selon lesquelles ce chrétien aurait eu un flirt avec une musulmane, a-t-on appris auprès de responsable de la sécurité.
La police a bouclé le village de al-Nawahid, dans la province de Qena (environ 450 km au sud du Caire) et arrêté plusieurs musulmans suspectés d’avoir incendié cinq maisons, un magasin et un entrepôt appartenant à cette personne.
La plupart des personnes impliquées sont des proches de la jeune musulmane, ont ajouté ces sources. La région de Qena, qui abrite une forte communauté copte orthodoxe, a déjà été par le passé le théâtre de violences entre communautés religieuses. En janvier dernier, six Coptes avaient été tués dans la ville de Nagaa-Hamadi par des hommes armés qui avaient ouvert le feu sur les fidèles qui sortaient d’une église où était célébrée une messe à la veille du Noël copte. Selon certaines versions cette tuerie aurait été motivée par le viol présumé d’une musulmane par un Copte de la région, mais le lien entre ces deux affaires, qui font l’objet de procès séparés, n’a pas été établi formellement.
Les Coptes, ou chrétiens d’Egypte, représentent 6 à 10% de la population égyptienne, dans sa grande majorité de confession musulmane sunnite. Ils se plaignent régulièrement d’être marginalisés au sein de leur propre pays, en particulier pour l’accès à la fonction publique. Les Coptes ont été la cible de menaces il y a deux semaines émanant d’une branche d’Al-Qaïda en Irak, qui les a accusés de séquestrer deux chrétiennes converties à l’islam. Ces menaces avaient été dénoncées tant par l’organisation islamiste égyptienne des Frères musulmans que par les responsables de l’institution sunnite d’al-Azhar, proche du pouvoir.
Obsèques de la victime copte assassinée dans l’Eglise par des intégristes musulmans
Des attentats de ce type ne sont pas les premiers. Pour rappel :
Crimes islamistes perpétués sur des Coptes et restés impunis
1978 - 5 Coptes dont 2 prêtres à Samalout (El Minia Haute Egypte)
1981 – 81 Coptes à El Zaouia El Hamra (Quartier au Caire)
1990 – 9 Coptes à Alexandrie
1991-1992 – 3 Coptes à Sohag (Haute Egypte)
1993 – 3 Coptes à Manfalout (Haute Egypte)
1994 – 6 Coptes au Monastère de Deir El Moharak (Haute Egypte)
1994-1995 – 40 Coptes à Mir (El Kosia Haute Egypte)
1996 – 4 Coptes à Ezbat El Akbat (El Badary Haute Egypte)
1997 – 22 Coptes à Naga Hamadi (Haute Egypte) dont 1 député Copte (Sobhy Soliman) à Sohag
1998- 1014 Coptes du même village d’ EL-KOCHEH ont été torturés par la police, selon les rapports de l’EOHR. Les officiers sont restés impunis, jusqu’à ce jour.
2000- janvier- une explosion de haine éclate au village d’El-Kosheh dans le sud de l’Egypte, suite à une banale dispute entre un copte et un musulman.
Vingt et un coptes sont massacrés, mutilés et brûlés, femmes et enfants inclus.
Des dizaines de maisons et de commerces coptes sont pillés, détruits et brûlés.
Sur cette affaire : Le 5 février 2001, la Cour condamne quatre musulmans, sur 96 accusés, l’un à dix ans de réclusion « pour meurtre non intentionnel » de la seule victime musulmane dans ce massacre (prise pour un Copte par les assassins) et deux ans de prison pour les trois autres « pour port illicite d’armes et dégradation d’un camion militaire ». Aucune condamnation pour les meurtres des 21 chrétiens !
On comprend mieux pourquoi les coptes ont pu, suite aux derniers assassinats de ce mois d’Avril, laisser élcater leur colère.
Les funérailles de l’un d’eux, tué vendredi, ont tourné à l’émeute interconfessionnelle. Musulmans et chrétiens se sont affrontés à coups de bâtons, des voitures ont été brûlées. « Nous réclamons nos droits, et le prix de notre sang », ont crié les coptes, qui ont aussi interpellé le Président Moubarak et accusé la police de passivité, voire de complicité, devant les violences à leur encontre
« Nous avons toujours fait profil bas, mais maintenant ça suffit ! Combien faudra-t-il de morts ? » disent les coptes.
Selon le journal- forcément islmamophobe puisque faisant un lien entre pays musulman et assassinat de chrétiens- Libération du 17 Avril 2006 : http://www.liberation.fr/page.php?A...
"Ils sont nombreux à penser émigrer. Le succès électoral des Frères musulmans aux récentes législative a exacerbé les tensions, alors que se multiplient les rumeurs de conversions forcées. « L’Etat et le patriarche Chenouda III [le « pape » copte, ndlr] disent à chaque fois de rester calmes et de préserver l’unité nationale, mais les coptes sont des exclus », reprend Mariam.
A l’instar de nombreux coreligionnaires, elle estime que la situation s’est gravement détériorée depuis quelques années. « Le problème va au-delà des intégristes, tous les musulmans nous considèrent comme des inférieurs. » « Ils voudraient nous convertir de force », explique à son tour une jeune femme préférant demeurer anonyme. Elle en est certaine, « l’Etat passe des accords avec les islamistes contre les chrétiens ». Elle en veut pour preuve la libération, la semaine dernière, de 900 anciens membres des Gamaat al-Islamiya, un mouvement terroriste qui avait ensanglanté l’Egypte dans les années 1990, et dont les cibles principales étaient les touristes et les coptes."
.
UNE AVOCATE COPTE EST AGRESSÉE PAR LES AVOCATS DES FRÈRES MUSULMANS 7 Février 2009
Pour précision :
Succès électoral des frères musulmans :
Officiellement interdits en Égypte mais tolérés ils s’affichent désormais ouvertement dans le débat politique. Le parti fondamentaliste détient 88 sièges sur 444 à l’Assemblée égyptienne, score d’autant plus impressionnant compte que la Confrérie n’avaient présenté des candidats que dans le tiers seulement des circonscriptions.
Symbole de ce changement, le quotidien Al Ahram ouvre désormais largement ses colonnes aux Frères musulmans qui s’expriment dans des tribunes ou des interviews ès qualités alors que leur parti est toujours, officiellement, interdit.
Enlèvements et conversions forcées :
Thérèsa Kamal avait disparu le 3 janvier. La police affirmait alors que l’adolescente de 19 ans s’était convertie volontairement à l’islam.
Après une manifestation pacifique de trois jours des chrétiens coptes de Wadi El Natroun devant les bureaux de la police, les autorités avaient promis une entrevue de la famille avec la jeune fille.
Cependant, à la date prévue pour la rencontre, Tarek Haykal, un officier de la police de sécurité de l’Etat (SSI), a injurié Saïd Kamal, le frère de Thérèsa, avant de le chasser de son bureau. Saïd Kamal n’a pas pu voir sa soeur.La famille Kamal a relancé ses recherches après que la tante de Thérèsa a reçu un bref coup de téléphone de l’adolescente qui disait qu’elle était détenue contre sa volonté et qu’elle n’avait pas encore cédé à ses ravisseurs qui voulaient la forcer à se convertir à l’islam. Après trois mois de recherches, Thérèsa a finalement été retrouvée par son frère Saïd kamal dans une famille musulmane du désert bédouin d’El-Ga’ar, près de son village natal de Wadi El Natroun, à 70 kilomètres au nord ouest du Caire.
Une fusillade visant la communauté chrétienne a fait sept morts mercredi soir dans le sud du pays.
Encadrée par ses présumés ravisseurs, et ne laissant apparaître que ses yeux sous son voile, Thérèsa Kamal a participé à l’entretien avec son frère pendant près de 90 minutes mais n’a parlé qu’une seule fois pour dire d’une voix tremblante : "Je me suis convertie à l’islam. J’ai trouvé la bonne voie". Des jeunes filles coptes sont régulièrement enlevées et forcées de se convertir à l’islam. Certaines, attirées par de jeunes hommes musulmans, quittent volontairement leur famille et se convertissent à l’islam pour échapper à la pauvreté ou à des situations familiales difficiles.
Mais de nombreux rapports montrent que les autorités et la police ne coopèrent pas avec les familles qui cherchent à retrouver leurs filles. Sans la coopération de la police, il est difficile de vérifier les motivations de la conversion de ces jeunes filles et un temps précieux est perdu avant de pouvoir éventuellement les retrouver.
vendredi 19 novembre 2010, par Egypte, par Coptes, par Musulmans, par maisons brûlées
Des musulmans ont mis le feu à des habitations appartenant à la famille d’un Copte dans un village d’Egypte, à la suite de rumeurs selon lesquelles ce chrétien aurait eu un flirt avec une musulmane, a-t-on appris auprès de responsable de la sécurité.
La police a bouclé le village de al-Nawahid, dans la province de Qena (environ 450 km au sud du Caire) et arrêté plusieurs musulmans suspectés d’avoir incendié cinq maisons, un magasin et un entrepôt appartenant à cette personne.
La plupart des personnes impliquées sont des proches de la jeune musulmane, ont ajouté ces sources. La région de Qena, qui abrite une forte communauté copte orthodoxe, a déjà été par le passé le théâtre de violences entre communautés religieuses. En janvier dernier, six Coptes avaient été tués dans la ville de Nagaa-Hamadi par des hommes armés qui avaient ouvert le feu sur les fidèles qui sortaient d’une église où était célébrée une messe à la veille du Noël copte. Selon certaines versions cette tuerie aurait été motivée par le viol présumé d’une musulmane par un Copte de la région, mais le lien entre ces deux affaires, qui font l’objet de procès séparés, n’a pas été établi formellement.
Les Coptes, ou chrétiens d’Egypte, représentent 6 à 10% de la population égyptienne, dans sa grande majorité de confession musulmane sunnite. Ils se plaignent régulièrement d’être marginalisés au sein de leur propre pays, en particulier pour l’accès à la fonction publique. Les Coptes ont été la cible de menaces il y a deux semaines émanant d’une branche d’Al-Qaïda en Irak, qui les a accusés de séquestrer deux chrétiennes converties à l’islam. Ces menaces avaient été dénoncées tant par l’organisation islamiste égyptienne des Frères musulmans que par les responsables de l’institution sunnite d’al-Azhar, proche du pouvoir.
Obsèques de la victime copte assassinée dans l’Eglise par des intégristes musulmans
Des attentats de ce type ne sont pas les premiers. Pour rappel :
Crimes islamistes perpétués sur des Coptes et restés impunis
1978 - 5 Coptes dont 2 prêtres à Samalout (El Minia Haute Egypte)
1981 – 81 Coptes à El Zaouia El Hamra (Quartier au Caire)
1990 – 9 Coptes à Alexandrie
1991-1992 – 3 Coptes à Sohag (Haute Egypte)
1993 – 3 Coptes à Manfalout (Haute Egypte)
1994 – 6 Coptes au Monastère de Deir El Moharak (Haute Egypte)
1994-1995 – 40 Coptes à Mir (El Kosia Haute Egypte)
1996 – 4 Coptes à Ezbat El Akbat (El Badary Haute Egypte)
1997 – 22 Coptes à Naga Hamadi (Haute Egypte) dont 1 député Copte (Sobhy Soliman) à Sohag
1998- 1014 Coptes du même village d’ EL-KOCHEH ont été torturés par la police, selon les rapports de l’EOHR. Les officiers sont restés impunis, jusqu’à ce jour.
2000- janvier- une explosion de haine éclate au village d’El-Kosheh dans le sud de l’Egypte, suite à une banale dispute entre un copte et un musulman.
Vingt et un coptes sont massacrés, mutilés et brûlés, femmes et enfants inclus.
Des dizaines de maisons et de commerces coptes sont pillés, détruits et brûlés.
Sur cette affaire : Le 5 février 2001, la Cour condamne quatre musulmans, sur 96 accusés, l’un à dix ans de réclusion « pour meurtre non intentionnel » de la seule victime musulmane dans ce massacre (prise pour un Copte par les assassins) et deux ans de prison pour les trois autres « pour port illicite d’armes et dégradation d’un camion militaire ». Aucune condamnation pour les meurtres des 21 chrétiens !
On comprend mieux pourquoi les coptes ont pu, suite aux derniers assassinats de ce mois d’Avril, laisser élcater leur colère.
Les funérailles de l’un d’eux, tué vendredi, ont tourné à l’émeute interconfessionnelle. Musulmans et chrétiens se sont affrontés à coups de bâtons, des voitures ont été brûlées. « Nous réclamons nos droits, et le prix de notre sang », ont crié les coptes, qui ont aussi interpellé le Président Moubarak et accusé la police de passivité, voire de complicité, devant les violences à leur encontre
« Nous avons toujours fait profil bas, mais maintenant ça suffit ! Combien faudra-t-il de morts ? » disent les coptes.
Selon le journal- forcément islmamophobe puisque faisant un lien entre pays musulman et assassinat de chrétiens- Libération du 17 Avril 2006 : http://www.liberation.fr/page.php?A...
"Ils sont nombreux à penser émigrer. Le succès électoral des Frères musulmans aux récentes législative a exacerbé les tensions, alors que se multiplient les rumeurs de conversions forcées. « L’Etat et le patriarche Chenouda III [le « pape » copte, ndlr] disent à chaque fois de rester calmes et de préserver l’unité nationale, mais les coptes sont des exclus », reprend Mariam.
A l’instar de nombreux coreligionnaires, elle estime que la situation s’est gravement détériorée depuis quelques années. « Le problème va au-delà des intégristes, tous les musulmans nous considèrent comme des inférieurs. » « Ils voudraient nous convertir de force », explique à son tour une jeune femme préférant demeurer anonyme. Elle en est certaine, « l’Etat passe des accords avec les islamistes contre les chrétiens ». Elle en veut pour preuve la libération, la semaine dernière, de 900 anciens membres des Gamaat al-Islamiya, un mouvement terroriste qui avait ensanglanté l’Egypte dans les années 1990, et dont les cibles principales étaient les touristes et les coptes."
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UNE AVOCATE COPTE EST AGRESSÉE PAR LES AVOCATS DES FRÈRES MUSULMANS 7 Février 2009
Pour précision :
Succès électoral des frères musulmans :
Officiellement interdits en Égypte mais tolérés ils s’affichent désormais ouvertement dans le débat politique. Le parti fondamentaliste détient 88 sièges sur 444 à l’Assemblée égyptienne, score d’autant plus impressionnant compte que la Confrérie n’avaient présenté des candidats que dans le tiers seulement des circonscriptions.
Symbole de ce changement, le quotidien Al Ahram ouvre désormais largement ses colonnes aux Frères musulmans qui s’expriment dans des tribunes ou des interviews ès qualités alors que leur parti est toujours, officiellement, interdit.
Enlèvements et conversions forcées :
Thérèsa Kamal avait disparu le 3 janvier. La police affirmait alors que l’adolescente de 19 ans s’était convertie volontairement à l’islam.
Après une manifestation pacifique de trois jours des chrétiens coptes de Wadi El Natroun devant les bureaux de la police, les autorités avaient promis une entrevue de la famille avec la jeune fille.
Cependant, à la date prévue pour la rencontre, Tarek Haykal, un officier de la police de sécurité de l’Etat (SSI), a injurié Saïd Kamal, le frère de Thérèsa, avant de le chasser de son bureau. Saïd Kamal n’a pas pu voir sa soeur.La famille Kamal a relancé ses recherches après que la tante de Thérèsa a reçu un bref coup de téléphone de l’adolescente qui disait qu’elle était détenue contre sa volonté et qu’elle n’avait pas encore cédé à ses ravisseurs qui voulaient la forcer à se convertir à l’islam. Après trois mois de recherches, Thérèsa a finalement été retrouvée par son frère Saïd kamal dans une famille musulmane du désert bédouin d’El-Ga’ar, près de son village natal de Wadi El Natroun, à 70 kilomètres au nord ouest du Caire.
Une fusillade visant la communauté chrétienne a fait sept morts mercredi soir dans le sud du pays.
Encadrée par ses présumés ravisseurs, et ne laissant apparaître que ses yeux sous son voile, Thérèsa Kamal a participé à l’entretien avec son frère pendant près de 90 minutes mais n’a parlé qu’une seule fois pour dire d’une voix tremblante : "Je me suis convertie à l’islam. J’ai trouvé la bonne voie". Des jeunes filles coptes sont régulièrement enlevées et forcées de se convertir à l’islam. Certaines, attirées par de jeunes hommes musulmans, quittent volontairement leur famille et se convertissent à l’islam pour échapper à la pauvreté ou à des situations familiales difficiles.
Mais de nombreux rapports montrent que les autorités et la police ne coopèrent pas avec les familles qui cherchent à retrouver leurs filles. Sans la coopération de la police, il est difficile de vérifier les motivations de la conversion de ces jeunes filles et un temps précieux est perdu avant de pouvoir éventuellement les retrouver.
l.hakik- Nombre de messages : 74
Date d'inscription : 31/12/2010
Re: Deux chrétiennes converties à l'islam sequestrées dans des monastères
la panique a accaparée les médias occientaux aprés une vague de reconversion à l'islam sans précédent des désormais ex-chrétiens .
l'islam se porte trés bien ,al hamdoullilah
l'islam se porte trés bien ,al hamdoullilah
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