Vox populi : J’ai fait un rêve (I have a dream)
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Vox populi : J’ai fait un rêve (I have a dream)
Vox populi : J’ai fait un rêve (I have a dream)
J’avais fait un rêve qui m’a paru si vrai que même au petit matin, j’y croyais toujours. J’aurais aimé le vivre et le voir dans la réalité, que je payerai cher pour le voir un jour se matérialiser. Je ne sais pas si ce sont les rumeurs qui courent ou bien ma profonde pensée qui ont enfanté ce rêve doux, de petits enfants.
Peut-être, c’est tout simplement l’espoir en moi, qui a donné naissance à cette fable dans mon esprit. Est-il un rêve prémonitoire, que le pays va se ressaisir et aller vers un changement radical et divorcer définitivement avec les anciennes pratiques ? J’aimerai dire oui sans toutefois y croire, mais gardons le sentiment néanmoins la pensée, même si l’idée est du domaine de l’absurde. Albert Enstein n’a-t-il pas dit que «dès lors que l’idée n’est pas absurde, elle est sans espoir.» Dans mon rêve, je me suis trouvé face à face avec un homme et ce dernier dans son bureau m’avait demandé de former un gouvernement, car il aimerait bien changer la totalité de sa composante actuelle. Il m’avait prévenu que je ne serai pas chef du gouvernement, ma mission s’arrête une fois le gouvernement formé, y compris le Premier ministre ou le chef du gouvernement ! Il est très délicat de trouver des hommes à la hauteur de l’attente, des hommes qui feront tout ce qui est en leur pouvoir pour pallier tous les manques et redresser tous les torts qui ont été faits à la nation depuis les années quatre-vingt. Ma tâche est particulièrement rude, je dois trouver des sommités dans chaque domaine. En réalité, ce n’est pas ce qui manque, mais accepteront-ils de rentrer au bled et d’y travailler ? Ceux qui sont déjà au pays accepteront-ils de prendre les rênes de ces ministères sans s’exposer ? N’est-il pas dans l’esprit de chacun le sort réservé à Tayeb El- Watani qui a payé de sa vie, le fait d’avoir accepté d’être aux commandes du bateau Algérie quand il prenait eau de toutes parts. En face de lui, beaucoup d’idées m’ont traversé l’esprit à une vitesse grand V, j’étais sur le point de refuser mais je me suis dit que si je contribuais d’une façon ou d’une autre au changement, je ne dois pas me dérober et après dénigrer la composante du prochain gouvernement qui sera formé. J’ai accepté mais j’ai demandé à ce que un mois complet me soit accordé pour revenir avec une liste d’hommes d’Etat dignes de ce nom. On s’est séparé sur cette condition, j’ai pris congé de lui. La même journée à j-30 : j’ai contacté le premier qui j’estime fera l’affaire dans l’industrie, en l’occurrence Dassi Barber. Mon choix s’est porté sur lui car avec ses propres finances, il avait fait des merveilles pour l’Algérie. Il a construit des usines ; il avait mis des produits sur le marché, il avait créé de l’emploi, et ce bien qu’on lui ait mis des bâtons dans les roues en ce qui concerne les assiettes de terrain et toute la paperasse qui est demandée. Alors j’avais pensé à lui dans le sens où cet homme aura les finances d’un pays comme le nôtre et le pouvoir d’un ministre pour faire le choix et vite du terrain qui lui plaît pour implanter telle ou telle usine, et l’industrie du pays deviendra florissante en peu de temps. Je pense qu’on a besoin de cette trempe d’hommes pour redorer le blason de ce pays et lui donner cette toile industrielle qui lui manque. On doit arriver à produire ce qu’on mange, de quoi s’habiller, les machines avec quoi travailler, les véhicules avec quoi se déplacer, les bateaux, les trains, les avions et tous les moyens air, mer, terre pour transporter nos biens et nos personnes. Ce dernier en allant le consulter, s’il était prêt à prendre les rênes de ce département sensible, il était même d’accord à nationaliser ses propres biens et les remettre à l’Etat. Toutefois, à la condition que si les choses prennent une autre direction, il les récupérera. Il avait ajouté qu’il n’aimerait pas voir ses biens revendus à des spéculateurs pour un dinar symbolique comme ceux du peuple qui étaient construits par le défunt Houari Boumediene et quelques décennies après sa mort, on avait vu tout le tissu industriel démembré. J’ai pensé aussi à une autre personne pour s’occuper des universités et de l’enseignement supérieur, ce dernier qui fait le bonheur des sociétés japonaises aura suffisamment vécu dans une société qui adore le travail, la recherche et l’innovation, qu’il fera un plan de secours à notre université qui est plongée dans la médiocrité la plus totale. Il optera certainement pour une langue comme l’anglais pour les cours qui sous d’autres cieux sont dispensés à cette frange de citoyens qui sont les étudiants dignes de ce nom. Il dispensera ces langues dans les lycées ou à la limite une année de langue sera dispensée après l’obtention du bac actuel, qui est délivré pratiquement à tout le monde. Ce monsieur, en l’occurrence Habba Noureddine, est un fils de Biskra qui est une lumière et si vous avez le temps de consulter Internet et les innovations qu’il a faites, vous trouverez qu’il a déposé plus de cent vingt-trois brevets d’inventions. Ce monsieur, si on lui donne l’enseignement supérieur et la recherche scientifique, on n’aura plus besoin d’attendre les tests de l’Institut Pasteur pour vous injecter le vaccin qui est une sorte de roulette russe, à savoir vous allez survivre ou au contraire, vous allez passer de vie à trépas. Il sera en mesure de former les gens de demain qui auront une pensée cartésienne, ils vont développer des assises scientifiques pour que l’Algérien n’attendra pas la venue de médicaments, la pièce de rechange du scanner, les produits chimiques et les additifs pour faire l’analyse du sang ou autre. On n’aurait plus besoin de ces MIG de Russie qui ne sont pas tout à fait fiables et qu’on sera obligé de les remettre au constructeur une fois la supercherie découverte. Combien d’autres biens matériels et de produits qui sont passés sans qu’on se rende compte, qui sont impropres à la consommation ? Si ce monsieur prend le commandement de ce département, on verra plus les enseignants des universités parmi les plus démunis des prolétaires. On ne verra plus ces derniers à la quête d’une place sous d’autres cieux au détriment de cette partie qui a payé un prix fort pour les former et les rendre fructueux. Il ne permettra pas à nos cerveaux d’aller se vendre sur le marché le plus offrant. Je n’ai cité que ces deux noms et je me suis réveillé. J’aimerais bien, une nuit parmi d’autres, que je reprenne ma quête somnambule pour trouver les autres qui doivent correspondre par leurs compétences aux exigences du poste et ne pas ramener des ministres genre joker qui peuvent passer de la pomme de terre, du porc au vaccin du porc, sans aucune compétence ni d’ailleurs formation.
Gouchène, Aokas (Béjaïa)
Le soir d’algerie
J’avais fait un rêve qui m’a paru si vrai que même au petit matin, j’y croyais toujours. J’aurais aimé le vivre et le voir dans la réalité, que je payerai cher pour le voir un jour se matérialiser. Je ne sais pas si ce sont les rumeurs qui courent ou bien ma profonde pensée qui ont enfanté ce rêve doux, de petits enfants.
Peut-être, c’est tout simplement l’espoir en moi, qui a donné naissance à cette fable dans mon esprit. Est-il un rêve prémonitoire, que le pays va se ressaisir et aller vers un changement radical et divorcer définitivement avec les anciennes pratiques ? J’aimerai dire oui sans toutefois y croire, mais gardons le sentiment néanmoins la pensée, même si l’idée est du domaine de l’absurde. Albert Enstein n’a-t-il pas dit que «dès lors que l’idée n’est pas absurde, elle est sans espoir.» Dans mon rêve, je me suis trouvé face à face avec un homme et ce dernier dans son bureau m’avait demandé de former un gouvernement, car il aimerait bien changer la totalité de sa composante actuelle. Il m’avait prévenu que je ne serai pas chef du gouvernement, ma mission s’arrête une fois le gouvernement formé, y compris le Premier ministre ou le chef du gouvernement ! Il est très délicat de trouver des hommes à la hauteur de l’attente, des hommes qui feront tout ce qui est en leur pouvoir pour pallier tous les manques et redresser tous les torts qui ont été faits à la nation depuis les années quatre-vingt. Ma tâche est particulièrement rude, je dois trouver des sommités dans chaque domaine. En réalité, ce n’est pas ce qui manque, mais accepteront-ils de rentrer au bled et d’y travailler ? Ceux qui sont déjà au pays accepteront-ils de prendre les rênes de ces ministères sans s’exposer ? N’est-il pas dans l’esprit de chacun le sort réservé à Tayeb El- Watani qui a payé de sa vie, le fait d’avoir accepté d’être aux commandes du bateau Algérie quand il prenait eau de toutes parts. En face de lui, beaucoup d’idées m’ont traversé l’esprit à une vitesse grand V, j’étais sur le point de refuser mais je me suis dit que si je contribuais d’une façon ou d’une autre au changement, je ne dois pas me dérober et après dénigrer la composante du prochain gouvernement qui sera formé. J’ai accepté mais j’ai demandé à ce que un mois complet me soit accordé pour revenir avec une liste d’hommes d’Etat dignes de ce nom. On s’est séparé sur cette condition, j’ai pris congé de lui. La même journée à j-30 : j’ai contacté le premier qui j’estime fera l’affaire dans l’industrie, en l’occurrence Dassi Barber. Mon choix s’est porté sur lui car avec ses propres finances, il avait fait des merveilles pour l’Algérie. Il a construit des usines ; il avait mis des produits sur le marché, il avait créé de l’emploi, et ce bien qu’on lui ait mis des bâtons dans les roues en ce qui concerne les assiettes de terrain et toute la paperasse qui est demandée. Alors j’avais pensé à lui dans le sens où cet homme aura les finances d’un pays comme le nôtre et le pouvoir d’un ministre pour faire le choix et vite du terrain qui lui plaît pour implanter telle ou telle usine, et l’industrie du pays deviendra florissante en peu de temps. Je pense qu’on a besoin de cette trempe d’hommes pour redorer le blason de ce pays et lui donner cette toile industrielle qui lui manque. On doit arriver à produire ce qu’on mange, de quoi s’habiller, les machines avec quoi travailler, les véhicules avec quoi se déplacer, les bateaux, les trains, les avions et tous les moyens air, mer, terre pour transporter nos biens et nos personnes. Ce dernier en allant le consulter, s’il était prêt à prendre les rênes de ce département sensible, il était même d’accord à nationaliser ses propres biens et les remettre à l’Etat. Toutefois, à la condition que si les choses prennent une autre direction, il les récupérera. Il avait ajouté qu’il n’aimerait pas voir ses biens revendus à des spéculateurs pour un dinar symbolique comme ceux du peuple qui étaient construits par le défunt Houari Boumediene et quelques décennies après sa mort, on avait vu tout le tissu industriel démembré. J’ai pensé aussi à une autre personne pour s’occuper des universités et de l’enseignement supérieur, ce dernier qui fait le bonheur des sociétés japonaises aura suffisamment vécu dans une société qui adore le travail, la recherche et l’innovation, qu’il fera un plan de secours à notre université qui est plongée dans la médiocrité la plus totale. Il optera certainement pour une langue comme l’anglais pour les cours qui sous d’autres cieux sont dispensés à cette frange de citoyens qui sont les étudiants dignes de ce nom. Il dispensera ces langues dans les lycées ou à la limite une année de langue sera dispensée après l’obtention du bac actuel, qui est délivré pratiquement à tout le monde. Ce monsieur, en l’occurrence Habba Noureddine, est un fils de Biskra qui est une lumière et si vous avez le temps de consulter Internet et les innovations qu’il a faites, vous trouverez qu’il a déposé plus de cent vingt-trois brevets d’inventions. Ce monsieur, si on lui donne l’enseignement supérieur et la recherche scientifique, on n’aura plus besoin d’attendre les tests de l’Institut Pasteur pour vous injecter le vaccin qui est une sorte de roulette russe, à savoir vous allez survivre ou au contraire, vous allez passer de vie à trépas. Il sera en mesure de former les gens de demain qui auront une pensée cartésienne, ils vont développer des assises scientifiques pour que l’Algérien n’attendra pas la venue de médicaments, la pièce de rechange du scanner, les produits chimiques et les additifs pour faire l’analyse du sang ou autre. On n’aurait plus besoin de ces MIG de Russie qui ne sont pas tout à fait fiables et qu’on sera obligé de les remettre au constructeur une fois la supercherie découverte. Combien d’autres biens matériels et de produits qui sont passés sans qu’on se rende compte, qui sont impropres à la consommation ? Si ce monsieur prend le commandement de ce département, on verra plus les enseignants des universités parmi les plus démunis des prolétaires. On ne verra plus ces derniers à la quête d’une place sous d’autres cieux au détriment de cette partie qui a payé un prix fort pour les former et les rendre fructueux. Il ne permettra pas à nos cerveaux d’aller se vendre sur le marché le plus offrant. Je n’ai cité que ces deux noms et je me suis réveillé. J’aimerais bien, une nuit parmi d’autres, que je reprenne ma quête somnambule pour trouver les autres qui doivent correspondre par leurs compétences aux exigences du poste et ne pas ramener des ministres genre joker qui peuvent passer de la pomme de terre, du porc au vaccin du porc, sans aucune compétence ni d’ailleurs formation.
Gouchène, Aokas (Béjaïa)
Le soir d’algerie
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Date d'inscription : 26/04/2008
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