OÙ SONT LES FEMMES ?

Abderrahmane Yefsah Que celui qui vient à une conférence s'amène avec sa femme, un point c'est tout.

Rachid Oulbsir Je suis à plus de plus de 300 conférences depuis 2010. Il y a eu des cas où le public était féminin à plus des trois quarts. A Amalou, à Ighil Ali, à Barbacha, à Ibekaren, à TIZI et tout récemment à Bgayet. Ce sont des exemples à bien étudier pour dégager le comment du pourquoi

Khodir Madani pourquoi chercher la participation forcée de la femme, elle est libre, le jour ou elle pensera que les conditions de son déplacement sont réunies elle viendra. Ou peut être voulez vous qu'on légifère avec 30% de déplacement pour que des conférences se tiennent. la liberté de choisir dépend de l'environnement que nous construisons.

Chafiaa Nath Ouaamar Amiri Si chaque conférencier et ceux qui assistaient aux différentes conférences qui se tenaient un peu partout, accompagnaient leurs femmes, soeurs, filles où bien amies, le problème serait déjà résolu, mais hélas! Pour convaincre les autres, il faut d'abord commencer par soi même, donner le bon exemple de démocratie et d'égalité des genres! C'est ce qui arrive même au sein des partis politiques qui se disaient démocrates. Wivghan atvedel adhizwir g mawlane wekham! Il y'a un début à tout ! mes salutations

Siwan Abba Il faut prendre un micro et aller demander aux femmes : pourquoi vous n'allez pas assister aux conférences ? On aura les réponses. Pour que la société évolue dans le sens que nous voulons, il faut que beaucoup de choses changent au préalable. Pour le moment d'autres travaillent pour que la société reste figée et coincée. On n'est pas dans un pays normal.

Aksel Amzal Dans les années 60, j'étais collégien, interne au CEG d'Azazga, le seul à l'époque! ! Quand arrivait le dimanche, on se précipitait vers le cinéma de la ville où les western, notamment faisaient fureur! En 70 arriva un couple d'enseignants belges: Mr et Mme Berger . La femme fut mon enseignante de français, c'était une vraie poupée! Elle nous raconta qu'elle était allée un jour au cinéma de la ville avec son mari et qu'elle était évidement la seule femme dans la salle et que pratiquement tous les spectateurs, en grande majorité, la regardaient elle, plutôt que le film, pendant toute la soirée de la projection ! C'était sa première et dernière séance de cinéma à Azazga ! !

Djillali Haddar Tout a fait...
faisons que la femme viens d elle même. ...
bonne soirée

Helene Marx en tout cas en algerie les associations de femmes, les clubs de femmes, les asso d'artisanes et d'agricultrices existent, dans les villages, les quartiers, pourquoi ne pas les contacter au lieu de lancer des appels au secours ! ce sont vos voisines ; est ce que vous avez essaye d'inviter des femmes directement via les associations habituelles et choisi un theme de conference qui les interessent et les interpellent ? et non je ne pense surtout pas à un theme religieux;

Samia Mehabaseren il y a une solution toute simple : chaque homme ramène sa femme . pour celles qui ne sont pas mariées, chaque homme ramène sa sœur, sa cousine, sa nièce, . pour celles qui sont veuves , chaque fils ramène sa mère. voilà , na3ya g lahdhur , si vous ne faites pas ça , vous allez passez votre vie à regarder " les femmes des autres " en cachette.

Voilà des féministes qui nous demandant de "RAMENER NOS FEMMES" !?quel insulte pour la femme libre Dites nous comment les Ramener AVEC HAIK BLANC OU UN HIDJAB,

Salah Yermeche Notre diva Domrane, représente à elle seule nos femmes. Le problème c'est que même si c'est une femme qui donnerait une conférence, les femmes ne viendraient pas, particulièrement celles de notre génération (de l'indépendance), quasiment toutes incultes pour n'avoir jamais été à l'école. En majorité elles ont un complexe d'infériorité, et elles se désintéressent complètement de la chose extérieure (culturelle, politique, et même de loisir). Elles préfèrent garder la maison, leurs petits-enfants, regarder la télé de leur convenance (il y a le choix)... Leur souhait principal: leur foutre la paix. Ce n'est plus les femmes qui faisaient la queue avec leurs petits amis devant les salles de cinéma (Olympia, Triomphe, El Mougar, Plaza, Le Paris, Le Régent...) pour voir des films indous, égyptiens, américains (rarement algérien). En plus, pour les femmes, une conférence en plein mois de ramadan, la préférence est vite trouvée : se calfeutrée chez soi face à la télé ou tourner autour des marmites... Pour ce qui des droits, je suis convaincu qu'elles sont rares celles auxquelles leurs pères, maris, fils ou frères imposent quoi que ce soit. L'ère de ces pratiques est révolue, me semble-t-il.