Rassemblement citoyen à aokas samedi 02 juin 2018 pour la libération de Merzouk Touati
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Re: Rassemblement citoyen à aokas samedi 02 juin 2018 pour la libération de Merzouk Touati
Rassemblement citoyen à aokas samedi 02 juin 2018 pour la libération de Merzouk Touati
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Re: Rassemblement citoyen à aokas samedi 02 juin 2018 pour la libération de Merzouk Touati
Aokas samedi 02 juin 2018
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Re: Rassemblement citoyen à aokas samedi 02 juin 2018 pour la libération de Merzouk Touati
Aokas : Rassemblement de citoyens pour la libération du détenu Merzouk Touati.
Auteur : Wahiba Arbouche Messaci
Le verdict prononcé par la cour de Béjaia à l’encontre du blogueur Merzouk Touati a décontenancé plus d’un. Pour cause, la lourde peine de 10 ans de prison est d’une profonde iniquité. Mais bien plus, le « cas Touati » n’est qu’un épisode subsumé dans une logique globale. Le rouleau compresseur de la répression vient pallier à la logique d’achat de la paix sociale précédemment étendu.
Le musellement des libertés collectives et individuelles est le miroir, malgré lui, d’un pouvoir en perte de perspectives. Prendre l’affaire de Merzouk Touati comme un cas isolé et la réduire à un simple travers judiciaire c’est prendre le problème d’un mauvais pied, mais surtout faire beaucoup d’honneur au pouvoir qui sera blanchi d’une politique dont lui-même tire les ficelles. Quelques soient les tenants et aboutissants de cette affaire, la position de principe de la défense de la liberté d’expression, qui constitue l’alpha et l’oméga de toute vie démocratique, est d’une nécessité capitale.
Une centaine de personnes se sont convergées vers la place Katia Bengana jouxtant la poste d’Aokas vers 21H30 ce samedi. Un appel au rassemblement a été lancé par la société civile en vue d’une action de solidarité avec le blogueur. Le rassemblement est ponctué d’une marche improvisée jusqu’au siège de l’APC d’Aokas où une prise de parole a été tenue. Dans le même sillage, la réunion au siège de la CDDH le 2 du mois en cours a dégagé un « Comité pour la libération de TOUATI Merzoug » et un rassemblemen est prévu pour le 6 de ce mois.
Pour rappel le blogueur Merzouk Touati est officiellement condamné pour « intelligence avec les agents d’une puissance étrangère de nature à nuire à la situation militaire ou diplomatique de l’Algérie ». Incarcéré depuis janvier 2017 après avoir diffusé sur son blog une vidéo d’un entretien avec le porte-parole du ministère israélien des Affaires étrangères et avoir appelé sur son compte Facebook à protester contre la loi de Finances 2017. Il a écopé d’une peine de 10 ans de prison ferme, assortie d’une amende de 50 000 DA. Membres d’organisations ont réagi à une « condamnation disproportionnée et injustifiée », dont la LADDH, Amnesty International et RSF, cette dernière dans son classement de 2018 a placé l’Algérie à la 136 place sur 180 pays en matière de liberté de la presse.
Monsieur Merzouk Touati semble jouer le rôle de bouc émissaire dans l’objectif d’accréditer la thèse de « la main étrangère ». Dans la parfaite lignée de l’interdiction des cafés littéraires (Aokas, Béjaia…), l’intimidation contre les minorités religieuses (Ahmadite), la réponse autoritaire face aux mouvements de lutte (Résidents, retraités de l’armée…) et bien d’autres cas, l’affaire de Merzouk Touati participe à une logique de répression globale d’un pouvoir qui sent la terre se dérober sous ses pieds. À la crise économique vient s’adosser la crise de succession à moins de 11 mois de l’échéance électorale. Un climat de crispation s’installe au sein du pouvoir qui en absence d’un Bonaparte de consensus, préfère s’orienter vers le musellement des libertés individuelles et collectives et une large répression qui tend à instaurer un régime préventif.
Dans l’objectif de contrecarrer le rouleau compresseur répressif du pouvoir, il revient à la société de s’organiser et de faire valoir ses droits. C’est aux forces réellement démocratiques qu’incombe la tâche de la défense des acquis sociaux et démocratiques. Leur silence est synonyme d’auto-condamnation, et « Un homme qui se condamne lui-même, on a toujours envie de taper dessus (…) pour briser en mille morceaux le peu de dignité qui lui reste » pour paraphraser Sartre.
Auteur : Wahiba Arbouche Messaci
Le verdict prononcé par la cour de Béjaia à l’encontre du blogueur Merzouk Touati a décontenancé plus d’un. Pour cause, la lourde peine de 10 ans de prison est d’une profonde iniquité. Mais bien plus, le « cas Touati » n’est qu’un épisode subsumé dans une logique globale. Le rouleau compresseur de la répression vient pallier à la logique d’achat de la paix sociale précédemment étendu.
Le musellement des libertés collectives et individuelles est le miroir, malgré lui, d’un pouvoir en perte de perspectives. Prendre l’affaire de Merzouk Touati comme un cas isolé et la réduire à un simple travers judiciaire c’est prendre le problème d’un mauvais pied, mais surtout faire beaucoup d’honneur au pouvoir qui sera blanchi d’une politique dont lui-même tire les ficelles. Quelques soient les tenants et aboutissants de cette affaire, la position de principe de la défense de la liberté d’expression, qui constitue l’alpha et l’oméga de toute vie démocratique, est d’une nécessité capitale.
Une centaine de personnes se sont convergées vers la place Katia Bengana jouxtant la poste d’Aokas vers 21H30 ce samedi. Un appel au rassemblement a été lancé par la société civile en vue d’une action de solidarité avec le blogueur. Le rassemblement est ponctué d’une marche improvisée jusqu’au siège de l’APC d’Aokas où une prise de parole a été tenue. Dans le même sillage, la réunion au siège de la CDDH le 2 du mois en cours a dégagé un « Comité pour la libération de TOUATI Merzoug » et un rassemblemen est prévu pour le 6 de ce mois.
Pour rappel le blogueur Merzouk Touati est officiellement condamné pour « intelligence avec les agents d’une puissance étrangère de nature à nuire à la situation militaire ou diplomatique de l’Algérie ». Incarcéré depuis janvier 2017 après avoir diffusé sur son blog une vidéo d’un entretien avec le porte-parole du ministère israélien des Affaires étrangères et avoir appelé sur son compte Facebook à protester contre la loi de Finances 2017. Il a écopé d’une peine de 10 ans de prison ferme, assortie d’une amende de 50 000 DA. Membres d’organisations ont réagi à une « condamnation disproportionnée et injustifiée », dont la LADDH, Amnesty International et RSF, cette dernière dans son classement de 2018 a placé l’Algérie à la 136 place sur 180 pays en matière de liberté de la presse.
Monsieur Merzouk Touati semble jouer le rôle de bouc émissaire dans l’objectif d’accréditer la thèse de « la main étrangère ». Dans la parfaite lignée de l’interdiction des cafés littéraires (Aokas, Béjaia…), l’intimidation contre les minorités religieuses (Ahmadite), la réponse autoritaire face aux mouvements de lutte (Résidents, retraités de l’armée…) et bien d’autres cas, l’affaire de Merzouk Touati participe à une logique de répression globale d’un pouvoir qui sent la terre se dérober sous ses pieds. À la crise économique vient s’adosser la crise de succession à moins de 11 mois de l’échéance électorale. Un climat de crispation s’installe au sein du pouvoir qui en absence d’un Bonaparte de consensus, préfère s’orienter vers le musellement des libertés individuelles et collectives et une large répression qui tend à instaurer un régime préventif.
Dans l’objectif de contrecarrer le rouleau compresseur répressif du pouvoir, il revient à la société de s’organiser et de faire valoir ses droits. C’est aux forces réellement démocratiques qu’incombe la tâche de la défense des acquis sociaux et démocratiques. Leur silence est synonyme d’auto-condamnation, et « Un homme qui se condamne lui-même, on a toujours envie de taper dessus (…) pour briser en mille morceaux le peu de dignité qui lui reste » pour paraphraser Sartre.
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Re: Rassemblement citoyen à aokas samedi 02 juin 2018 pour la libération de Merzouk Touati
Aokas : Rassemblement de citoyens pour la libération du détenu Merzouk Touati.
Auteur : Wahiba Arbouche Messaci Dans Actualités 15 heures avant
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Pour rappel le blogueur Merzouk Touati est officiellement condamné pour « intelligence avec les agents d’une puissance étrangère de nature à nuire à la situation militaire ou diplomatique de l’Algérie ». Incarcéré depuis janvier 2017 après avoir diffusé sur son blog une vidéo d’un entretien avec le porte-parole du ministère israélien des Affaires étrangères et avoir appelé sur son compte Facebook à protester contre la loi de Finances 2017. Il a écopé d’une peine de 10 ans de prison ferme, assortie d’une amende de 50 000 DA. Membres d’organisations ont réagi à une « condamnation disproportionnée et injustifiée », dont la LADDH, Amnesty International et RSF, cette dernière dans son classement de 2018 a placé l’Algérie à la 136 place sur 180 pays en matière de liberté de la presse.
Monsieur Merzouk Touati semble jouer le rôle de bouc émissaire dans l’objectif d’accréditer la thèse de « la main étrangère ». Dans la parfaite lignée de l’interdiction des cafés littéraires (Aokas, Béjaia…), l’intimidation contre les minorités religieuses (Ahmadite), la réponse autoritaire face aux mouvements de lutte (Résidents, retraités de l’armée…) et bien d’autres cas, l’affaire de Merzouk Touati participe à une logique de répression globale d’un pouvoir qui sent la terre se dérober sous ses pieds. À la crise économique vient s’adosser la crise de succession à moins de 11 mois de l’échéance électorale. Un climat de crispation s’installe au sein du pouvoir qui en absence d’un Bonaparte de consensus, préfère s’orienter vers le musellement des libertés individuelles et collectives et une large répression qui tend à instaurer un régime préventif.
Dans l’objectif de contrecarrer le rouleau compresseur répressif du pouvoir, il revient à la société de s’organiser et de faire valoir ses droits. C’est aux forces réellement démocratiques qu’incombe la tâche de la défense des acquis sociaux et démocratiques. Leur silence est synonyme d’auto-condamnation, et « Un homme qui se condamne lui-même, on a toujours envie de taper dessus (…) pour briser en mille morceaux le peu de dignité qui lui reste » pour paraphraser Sartre.
Auteur : Wahiba Arbouche Messaci Dans Actualités 15 heures avant
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Le musellement des libertés collectives et individuelles est le miroir, malgré lui, d’un pouvoir en perte de perspectives. Prendre l’affaire de Merzouk Touati comme un cas isolé et la réduire à un simple travers judiciaire c’est prendre le problème d’un mauvais pied, mais surtout faire beaucoup d’honneur au pouvoir qui sera blanchi d’une politique dont lui-même tire les ficelles. Quelques soient les tenants et aboutissants de cette affaire, la position de principe de la défense de la liberté d’expression, qui constitue l’alpha et l’oméga de toute vie démocratique, est d’une nécessité capitale.
Une centaine de personnes se sont convergées vers la place Katia Bengana jouxtant la poste d’Aokas vers 21H30 ce samedi. Un appel au rassemblement a été lancé par la société civile en vue d’une action de solidarité avec le blogueur. Le rassemblement est ponctué d’une marche improvisée jusqu’au siège de l’APC d’Aokas où une prise de parole a été tenue. Dans le même sillage, la réunion au siège de la CDDH le 2 du mois en cours a dégagé un « Comité pour la libération de TOUATI Merzoug » et un rassemblemen est prévu pour le 6 de ce mois.
Une centaine de personnes se sont convergées vers la place Katia Bengana jouxtant la poste d’Aokas vers 21H30 ce samedi. Un appel au rassemblement a été lancé par la société civile en vue d’une action de solidarité avec le blogueur. Le rassemblement est ponctué d’une marche improvisée jusqu’au siège de l’APC d’Aokas où une prise de parole a été tenue. Dans le même sillage, la réunion au siège de la CDDH le 2 du mois en cours a dégagé un « Comité pour la libération de TOUATI Merzoug » et un rassemblemen est prévu pour le 6 de ce mois.
Pour rappel le blogueur Merzouk Touati est officiellement condamné pour « intelligence avec les agents d’une puissance étrangère de nature à nuire à la situation militaire ou diplomatique de l’Algérie ». Incarcéré depuis janvier 2017 après avoir diffusé sur son blog une vidéo d’un entretien avec le porte-parole du ministère israélien des Affaires étrangères et avoir appelé sur son compte Facebook à protester contre la loi de Finances 2017. Il a écopé d’une peine de 10 ans de prison ferme, assortie d’une amende de 50 000 DA. Membres d’organisations ont réagi à une « condamnation disproportionnée et injustifiée », dont la LADDH, Amnesty International et RSF, cette dernière dans son classement de 2018 a placé l’Algérie à la 136 place sur 180 pays en matière de liberté de la presse.
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Re: Rassemblement citoyen à aokas samedi 02 juin 2018 pour la libération de Merzouk Touati
Aokas 02 juin 2018: Libérez Merzouk Touati
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