« un livre dans la main, la main dans la main », à Aokas.

La dictature algérienne, comme toutes les autres, est à la fois patiente et perverse. Dans son entreprise d’assujettissement de la société, elle compte beaucoup sur le temps et mise sur l’essoufflement des résistances. Mais, au besoin, elle n’hésite pas à réprimer les récalcitrances. Face à sa perversité et à son instinct répressif, il s’est néanmoins toujours trouvé des individus qui, défiant l’indifférence de la majorité et les découragements sournois des élites faussaires, ont su « opposer au pessimisme de la raison l’optimisme de l’action » et assurer la permanence du combat pour les libertés. Une bonne partie de ces individus a été présente hier, « un livre dans la main, la main dans la main », à Aokas



Amar Ingrachen

La dictature algérienne, comme toutes les autres, est à la fois patiente et perverse. Dans son entreprise d’assujettissement de la société, elle compte beaucoup sur le temps et mise sur l’essoufflement des résistances. Mais, au besoin, elle n’hésite pas à réprimer les récalcitrances. Face à sa perversité et à son instinct répressif, il s’est néanmoins toujours trouvé des individus qui, défiant l’indifférence de la majorité et les découragements sournois des élites faussaires, ont su « opposer au pessimisme de la raison l’optimisme de l’action » et assurer la permanence du combat pour les libertés. Une bonne partie de ces individus a été présente hier, « un livre dans la main, la main dans la main », à Aokas



Amar Ingrachen