POURQUOI LE TERRORISME ISLAMIQUE N’EXISTE PAS AU JAPON ?
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POURQUOI LE TERRORISME ISLAMIQUE N’EXISTE PAS AU JAPON ?
POURQUOI LE TERRORISME ISLAMIQUE N’EXISTE PAS AU JAPON ?
16 septembre 2015 3 commentaires 724
Par Y.K. Cherson
16 septembre 2015 3 commentaires 724
En 2011, les musulmans sunnites étaient responsables du plus grand nombre d’attaques terroristes et de décès par attentat pour la troisième année consécutive.
En 2011, les musulmans étaient responsables de 94 pour cent des décès dus à des attentats terroristes. Depuis 2011, avec l’apparition d’ISIS, le nombre des décès a fortement augmenté, la part des responsables musulmans dans le terrorisme mondial approchant progressivement les 100%.
En 2013, selon le département d’état des États-Unis, il y a eu 9707 attaques terroristes dans le monde, provoquant plus de 17 800 morts et plus de 32 500 blessés. En outre, plus de 2990 personnes ont été enlevées ou prises en otage. Des informations sur les auteurs ont été signalées pour 32 % des attentats terroristes en 2013. Et, de ces 32 %, ou de ces 17 800 décès, à eux seuls, trois groupes musulmans : Talibans, ISIS et Boko Haram, étaient responsables de 31,76% des attentats et de 5655 morts !
Les terroristes musulmans peuvent être fiers : Leur part dans les attentats du monde est maintenant proche de 100%.
Il semblerait qu’il n’y ait pas un seul pays où les musulmans ne dévoile le caractère terroriste de leur religion… Mais non ! Il existe un tel pays. Il s’agit d’un des pays les plus développés au monde, et son caractère démocratique est reconnu dans le monde entier, un véritable allié des États-Unis et un membre de l’OTAN, où ne se compte pas eu un seul attentat terroriste musulman, ou même une seul émeuteà cause des caricatures de Mahomet parues dans certains journaux danois ou français.
Le nom de ce pays chanceux est le Japon. (vidéo en anglais)
Bien sûr, le Japon a atteint cet objectif grâce à certaines politiques d’intégration super efficaces et à l’aide de technologies des plus avancées, consacrant des milliards de yens à la construction de mosquées et autres lieux musulmans, interdisant le porc dans tous les lieux publics, introduisant des horaires séparés pour les garçons et les filles dans les piscines des écoles publiques, les médecins japonais de sexe masculin ne touchant jamais leurs patientes musulmanes, celles-ci obtenant de substantielles aides sociales chaque fois qu’elles ont un enfant, des tribunaux de la Sharia ayant par ailleurs été introduits dans le système judiciaire du Japon, et le Coran étant devenu un livre sacré au Japon …
Non, rassurez-vous, les Japonnais n’ont rien fait de la sorte ! Ce que le Japon a fait pour éviter les problèmes reliés aux musulmans a été beaucoup plus simple et moins cher : il a pratiquement fermé ses portes aux musulmans.
Officiellement, l’immigration au Japon n’est pas fermée aux musulmans. Mais, le nombre des permis d’immigration donnés aux candidats en provenance des pays islamiques est très faible. L’obtention d’un visa de travail n’est pas facile pour les adeptes de l’Islam, même s’ils sont des médecins, des ingénieurs et des cadres envoyés par des entreprises étrangères. En conséquence, le Japon est « un pays sans musulman ».
Il n’y a aucune estimation fiable sur le pourcentage de la population musulmane au Japon, et le chiffre de 30 000 avancé par certains est sans doute exagéré. D’aucuns l’estiment à quelques centaines. Ce chiffre représente probablement le nombre de musulmans pratiquant ouvertement l’Islam. Invité à donner une estimation sur le véritable nombre de musulmans au Japon, l’ex-président de l’Association Islamique du Japon, Abu Bakr Morimoto, a répondu, « Pour le dire franchement, seulement un millier. Je veux dire qu’au sens large, si nous n’excluons pas ceux qui sont devenus musulmans dans le but de se marier par exemple et qui ne pratiquent pas, le nombre serait probablement de quelques milliers. »
On a demandé à un des dirigeants de la communauté musulmane au Japon, Nur Ad-Din Mori : « Quel est le pourcentage de la population musulmane au Japon ? » Il a répondu, « La réponse pour le moment est un sur cent mille. »
La population du Japon est de 130 millions de personnes, donc, si ces propos sont exacts, alors, il doit y avoir autour de 1300 musulmans. De plus, les musulmans qui obtiennent des permis d’immigration et ont vécu de nombreuses années dans le pays ont très peu de chances de devenir des citoyens japonais.
Le Japon a officiellement interdit l’islamisation (Dawah), et tout musulman qui encourage activement la conversion à l’islam est considéré comme indésirable. Les « promoteurs de l’Islam » trop actifs sont menacés d’expulsion et parfois même de prison.
La langue arabe est enseignée par très peu d’instituts universitaires. Je n’en connais qu’un : l’Institut arabe de Tokyo. L’Université Internationale du Japon à Tokyo ne propose pas de cours d’arabe.
L’importation du Coran en arabe est pratiquement impossible, et la seule version autorisée est une version «révisée » en japonais.
Jusqu’à récemment, il n’y avait que deux mosquées au Japon : à Tokyo et à Kobe. Maintenant, il y a au Japon environ 30 mosquées d’un seul étage et de faibles capacité.
Pour la société japonaise les musulmans doivent prier à la maison, mais pas les rues ou sur les places. Au Japon, de telles « démonstrations », méritent de fortes amendes, et jusqu’à l’expulsion des contrevenants.
Très souvent, les entreprises japonaises qui cherchent des travailleurs étrangers notent spécifiquement qu’elles ne sont pas intéressées par les musulmans.
Il n’y a pas la moindre trace de charia au Japon, et la nourriture halal est extrêmement rare.
Les Japonais ont tendance à percevoir l’Islam comme une « religion étrange et dangereuse » qu’un véritable japonais doit éviter, et les meurtres récents de deux ressortissants japonais, Haruna Yukawa et Kenji Goto, par ISIS, n’ont pas contribué à améliorer l’opinion des Japonais à ce sujet.
Les Japonais ne ressentent aucune culpabilité pour une approche « discriminatoire » envers l’islam et, évidemment, ils ne pensent pas qu’ils devraient présenter des excuses aux musulmans pour la façon négative dont ils perçoivent leur religion. Le Japon accepte le gaz et le pétrole arabe et il entretient de bonnes relations avec les exportateurs arabes, mais il refuse l’islam et l’immigration musulmane, qu’il considère probablement appropriés pour d’autres, mais pas pour le Japon.
Les Musulmans au Japon n’organisent pas d’émeutes ni ne stigmatisent les Japonais comme « racistes », ils ne brûlent pas de voitures ni ne décapitent des soldats japonais pour avoir été en Afghanistan, en Irak ou ailleurs, et pas un seul japonais n’a été victime d’une attaque terroriste musulmane sur le sol japonais.
Peut-être que l’Europe et les États-Unis devraient se pencher sur le modèle japonais ?
* Cette information provient de rapports déclassifiés du Centre National Antiterrorisme. Le Centre National Antiterrorisme fournit au Département d’État les données statistiques dont il a besoin et le centre a été créé pour fournir aux organismes gouvernementaux ce genre d’informations.Source : PrisonPlanet.com
Traduit par PLEINSFEUX.ORGPar Y.K. Cherson
rebelle kabyle- Nombre de messages : 6838
Date d'inscription : 12/02/2011
Re: POURQUOI LE TERRORISME ISLAMIQUE N’EXISTE PAS AU JAPON ?
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rebelle kabyle- Nombre de messages : 6838
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