NON A LA CENSURE

Montréal samedi 29 juillet 2017
Rassemblement devant le consulat d’Algérie à Montréal pour dénoncer les interdictions de conférences à Aokas
" NON A LA CENSURE "

Montréal samedi 29 juillet 2017
Rassemblement devant le consulat d’Algérie à Montréal pour dénoncer les interdictions de conférences à Aokas
" NON A LA CENSURE "
je connais plus de 95% des visages et ils sont tous d'Aokas!
la liberté d'expression est-elle une affaire Aokassienne?
où sont passés le reste des kabyles? pourquoi ils n'ont pas jugé utile de se rassembler pour dénoncer une grave atteinte à la liberté d'expression?
le tribalisme même au Canada, l'un des pays les plus melting pot du monde!
mmis n tadart-iw, wlid houmti, ta3na, daglanegh...

Montréal samedi 29 juillet 2017
Rassemblement devant le consulat d’Algérie à Montréal pour dénoncer les interdictions de conférences à Aokas.
je ne sais pas quoi faire? rire ou pleurer?

Louenas Hassani Du débat jaillit la lumière en effet, comme le stipule la banderole. On peut faire le tour du monde, pour paraphraser Ghandi, aucun tour ne vaudrait celui de faire un tour en soi-même pour s'auto-critiquer, apprendre dans la remise en cause, grandir en prenant concrètement conscience de son imperfection. Il nous appartient donc de réfléchir au sujet pour grandir!

Louenas Hassani Du débat jaillit la lumière en effet, comme le stipule la banderole. On peut faire le tour du monde, pour paraphraser Ghandi, aucun tour ne vaudrait celui de faire un tour en soi-même pour s'auto-critiquer, apprendre dans la remise en cause, grandir en prenant concrètement conscience de son imperfection. Il nous appartient donc de réfléchir au sujet pour grandir!

#Aokas on t'aime! Tendresse de Montréal.

Louenas Hassani Du débat jaillit la lumière en effet, comme le stipule la banderole. On peut faire le tour du monde, pour paraphraser Ghandi, aucun tour ne vaudrait celui de faire un tour en soi-même pour s'auto-critiquer, apprendre dans la remise en cause, grandir en prenant concrètement conscience de son imperfection. Il nous appartient donc de réfléchir au sujet pour grandir!

Louenas Hassani C'est malheureux à dire, mais nous sommes encore les victimes de la tribu que nous refoulons comme des soldats en nous. Nous avons la langue facile quand il s'agit de critiquer le système, le pouvoir en place, le régionalisme négatif installé insidieusement par l'État, mais nous oublions qu'il puise en nous après tout. Regarde par exemple la question de l'ouverture de Tamazight sur la pluralité linguistique de l'espace berbère. C'est à croire que la langue maternelle de Mammeri est incritiquable, quasi-sacrée, impossible d'être remise en cause. Passe pour le citoyen de Kherrata, de Melbou, d'Aokas, de Tichy, de Tipaza, de Batna... Il suffit de dire Oula ou Atha publiquement... et les railleries fusent. Pourquoi? Eh bien, parce que nous reproduisons les mêmes travers que ceux des idéologies dominatrices dans notre pays. Le jour d'ou nous apprendrons pratiquement que personne, mais alors personne, ne détient la vérité ou l'apanage de l'explication du monde, ce jour-là, nous pourrons enfin aller de l'avant.

Louenas Hassani C'est malheureux à dire, mais nous sommes encore les victimes de la tribu que nous refoulons comme des soldats en nous. Nous avons la langue facile quand il s'agit de critiquer le système, le pouvoir en place, le régionalisme négatif installé insidieusement par l'État, mais nous oublions qu'il puise en nous après tout. Regarde par exemple la question de l'ouverture de Tamazight sur la pluralité linguistique de l'espace berbère. C'est à croire que la langue maternelle de Mammeri est incritiquable, quasi-sacrée, impossible d'être remise en cause. Passe pour le citoyen de Kherrata, de Melbou, d'Aokas, de Tichy, de Tipaza, de Batna... Il suffit de dire Oula ou Atha publiquement... et les railleries fusent. Pourquoi? Eh bien, parce que nous reproduisons les mêmes travers que ceux des idéologies dominatrices dans notre pays. Le jour d'ou nous apprendrons pratiquement que personne, mais alors personne, ne détient la vérité ou l'apanage de l'explication du monde, ce jour-là, nous pourrons enfin aller de l'avant.