les trois premieres Algeriennes qui ont gouté aux joies du vol en parapente en solo sont des Aokassiennes
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Re: les trois premieres Algeriennes qui ont gouté aux joies du vol en parapente en solo sont des Aokassiennes
Le parapente féminin prend de la hauteur
le 03.11.16 | 10h00 Réagissez
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Ces adhérentes de l’aéroclub d’Aokas l’Aile du Cap, créé il y a tout juste quelques mois par des membres d’un autre aéroclub de Souk El Ténine, le Dream Flight Sahel, font partie du premier noyau du parapente féminin dans le pays. Non sans difficultés. Car pour en arriver là, il a fallu deux ans de préparation.
D’ordinaire, c'est-à-dire quand toutes les conditions et tous les moyens sont réunis, il faut beaucoup moins de temps, nous dit Yassine Belkacemi, moniteur de l’aéroclub et l’un des pionniers de la discipline en Algérie. Privilège dont ne disposent malheureusement pas les amateurs du parapente en Algérie. Pour nos trois parapentistes, elles ont dû casser leur tirelire pour s’offrir une voile et exercer leur passion.
Une discipline à la marge
Le manque de moyens et l’absence d’une réglementation propre à la discipline ont fait que le parapente, en dépit de l’intérêt toujours grandissant que lui vouent les jeunes, reste à la marge, comme c’est le cas d’ailleurs des autres sports aériens. Introduit en 2007 en Algérie et pratiqué depuis cette date, ce n’est pas pour autant que le parapente est réglementé.
Même si la discipline est incluse dans la nomenclature de la Fédération algérienne des sports aériens (FASA), le flou reste total à son sujet vis-à-vis de la loi. «La loi régit l’exercice de certaines activités aériennes employant des aéronefs, mais pas le parapente, et ce, même s’il se pratique librement. Pour nous, sa réglementation est vitale, elle nous servira à faire valoir nos droits en cas d’incidents, par exemple», nous dira Yassine Belkacemi.
Privé de ce cadre légal, le parapente en Algérie baigne dans la confusion et connaît beaucoup de situations paradoxales. Mohammed Boutegrabet, trésorier de l’Aile du Cap, s’étonne, par exemple, du fait que l’Etat interdise l’introduction du matériel de l’étranger, sans pour autant interdire la discipline. Pour un dilemme, c’en est bien un ! Pis, par absence d’un organisme de contrôle qui validera la viabilité du matériel, les voiles notamment, les pratiquants de parapente doivent passer par l’expertise étrangère. A cela s’ajoute, bien entendu, l’absence de subventions pour ce sport et d’espace de pratique.
Persévérance
Si depuis toujours les sites-écoles de décollage et d’atterrissage ont été ouverts volontiers par des particuliers, avec la massification de la discipline, ces derniers se montrent de moins en moins généreux, confie Yassine Belkacemi. S’il était dans les règles, le parapente pourrait bénéficier, comme les autres disciplines sportives, de subventions et d’infrastructures appropriées. En attendant que cela se réalise, plusieurs clubs de parapente, dont quatre à Béjaïa, continuent de résister et de faire le bonheur de centaines de personnes à travers l’Algérie dans le dénuement total et avec les moyens du bord.
Ces clubs brillent malgré tout par leur dynamisme qui s’illustre dans l’organisation de plusieurs activités de formation, de baptême de l’air et d’initiation au vol et de stage. La dynamique se veut, de surcroît, nationale, en ce sens qu’elle vise à faire aimer le parapente dans les quatre coins du pays. Le dernier stage en date a été organisé du 4 au 10 octobre par la FASA, qui a assuré une formation pour le maniement et une autre pour les femmes venues des wilayas de Tlemcen, Béjaïa, Laghouat et Tizi Ouzou.
Mohand Hamed-Khodja
le 03.11.16 | 10h00 Réagissez
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Pour la première fois en Algérie, des femmes ont goûté aux joies du vol en parapente en solo. Agées entre 22 et 26 ans, Raghdi Noura et Souad et Hayet Aïssat, originaires de Béjaïa, ont décollé, le 6 octobre dernier, du site d’Assouel et survolé la région d’Ath Zikki, à Bouzeguène, dans la wilaya de Tizi Ouzou, avec comme seule assistance une radio à distance.
Ayant effectué chacune quatre vols en monoplace, elles venaient de signer officiellement la naissance du parapente féminin autonome en Algérie. C’est tout à l’honneur de ces trois jeunes femmes courageuses, puisqu’elles pourront, selon le souhait de leurs moniteurs, représenter éventuellement l’Algérie dans les compétitions internationales.Ces adhérentes de l’aéroclub d’Aokas l’Aile du Cap, créé il y a tout juste quelques mois par des membres d’un autre aéroclub de Souk El Ténine, le Dream Flight Sahel, font partie du premier noyau du parapente féminin dans le pays. Non sans difficultés. Car pour en arriver là, il a fallu deux ans de préparation.
D’ordinaire, c'est-à-dire quand toutes les conditions et tous les moyens sont réunis, il faut beaucoup moins de temps, nous dit Yassine Belkacemi, moniteur de l’aéroclub et l’un des pionniers de la discipline en Algérie. Privilège dont ne disposent malheureusement pas les amateurs du parapente en Algérie. Pour nos trois parapentistes, elles ont dû casser leur tirelire pour s’offrir une voile et exercer leur passion.
Une discipline à la marge
Le manque de moyens et l’absence d’une réglementation propre à la discipline ont fait que le parapente, en dépit de l’intérêt toujours grandissant que lui vouent les jeunes, reste à la marge, comme c’est le cas d’ailleurs des autres sports aériens. Introduit en 2007 en Algérie et pratiqué depuis cette date, ce n’est pas pour autant que le parapente est réglementé.
Même si la discipline est incluse dans la nomenclature de la Fédération algérienne des sports aériens (FASA), le flou reste total à son sujet vis-à-vis de la loi. «La loi régit l’exercice de certaines activités aériennes employant des aéronefs, mais pas le parapente, et ce, même s’il se pratique librement. Pour nous, sa réglementation est vitale, elle nous servira à faire valoir nos droits en cas d’incidents, par exemple», nous dira Yassine Belkacemi.
Privé de ce cadre légal, le parapente en Algérie baigne dans la confusion et connaît beaucoup de situations paradoxales. Mohammed Boutegrabet, trésorier de l’Aile du Cap, s’étonne, par exemple, du fait que l’Etat interdise l’introduction du matériel de l’étranger, sans pour autant interdire la discipline. Pour un dilemme, c’en est bien un ! Pis, par absence d’un organisme de contrôle qui validera la viabilité du matériel, les voiles notamment, les pratiquants de parapente doivent passer par l’expertise étrangère. A cela s’ajoute, bien entendu, l’absence de subventions pour ce sport et d’espace de pratique.
Persévérance
Si depuis toujours les sites-écoles de décollage et d’atterrissage ont été ouverts volontiers par des particuliers, avec la massification de la discipline, ces derniers se montrent de moins en moins généreux, confie Yassine Belkacemi. S’il était dans les règles, le parapente pourrait bénéficier, comme les autres disciplines sportives, de subventions et d’infrastructures appropriées. En attendant que cela se réalise, plusieurs clubs de parapente, dont quatre à Béjaïa, continuent de résister et de faire le bonheur de centaines de personnes à travers l’Algérie dans le dénuement total et avec les moyens du bord.
Ces clubs brillent malgré tout par leur dynamisme qui s’illustre dans l’organisation de plusieurs activités de formation, de baptême de l’air et d’initiation au vol et de stage. La dynamique se veut, de surcroît, nationale, en ce sens qu’elle vise à faire aimer le parapente dans les quatre coins du pays. Le dernier stage en date a été organisé du 4 au 10 octobre par la FASA, qui a assuré une formation pour le maniement et une autre pour les femmes venues des wilayas de Tlemcen, Béjaïa, Laghouat et Tizi Ouzou.
Mohand Hamed-Khodja
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Re: les trois premieres Algeriennes qui ont gouté aux joies du vol en parapente en solo sont des Aokassiennes
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Re: les trois premieres Algeriennes qui ont gouté aux joies du vol en parapente en solo sont des Aokassiennes
je viens d'apprendre avec une immense joie que les trois premieres Algeriennes qui ont gouté aux joies du vol en parapente en solo sont des Aokassiennes (Raghdi Noura et Souad et Aissat Hayet) ... Qui doute encore du génie de la femme Aokassienne? je suis trés ému..
laic-aokas- Nombre de messages : 14024
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Re: les trois premieres Algeriennes qui ont gouté aux joies du vol en parapente en solo sont des Aokassiennes
les trois premières Algeriennes qui ont gouté aux joies du vol en parapente en solo sont des Aokassiennes
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