Que pensez-vous d’un rassemblent à Aokas pour soutenir Issad Rebrab et les créateurs de richesses et d’emplois En général?
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Re: Que pensez-vous d’un rassemblent à Aokas pour soutenir Issad Rebrab et les créateurs de richesses et d’emplois En général?
Abdelhamid Mameri Il faut choisir une date.
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Re: Que pensez-vous d’un rassemblent à Aokas pour soutenir Issad Rebrab et les créateurs de richesses et d’emplois En général?
on a besoin d'une forte mobilisation Abdelhamid.
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Re: Que pensez-vous d’un rassemblent à Aokas pour soutenir Issad Rebrab et les créateurs de richesses et d’emplois En général?
Abdeslam Bouchouareb sur les traces de Chakib Khelil
17:48 mardi 29 septembre 2015 | Par Samir Allam | Actualité
17:48 mardi 29 septembre 2015 | Par Samir Allam | Actualité
Depuis plusieurs mois, Abdeslam Bouchouareb construit la future industrie algérienne. Sa « stratégie » commence à se dessiner à travers les projets annoncés : identifier les secteurs les plus concernés par les importations et lancer des projets d’usines pour réduire la facture des achats à l’étranger.
C’est ainsi que l’Algérie est en train de construire plusieurs cimenteries qui viendront s’ajouter à celles existantes. But : atteindre l’autosuffisance pour ne plus importer les 3 millions de tonnes annuellement. À partir de 2017, l’Algérie sera excédentaire de plus de 10 millions de tonnes par an.
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Mais vu le rythme de ralentissement des travaux dans le BTP à cause de la crise mais aussi des capacités de réalisation – l’Algérie ne construira pas éternellement des logements – l’excédent sera sans doute beaucoup plus important. Se posera alors la question : que va-t-on faire de ces usines ? Exporter ? Peu probable. Le ciment est un produit très difficile à exporter et la concurrence internationale est rude.
L’autre exemple concerne l’automobile. Là encore, la facture des importations est lourde, à près de 5 milliards de dollars par an. Que propose M. Bouchouareb ? Construire des usines de montage. Le premier projet avec Renault est entré en production. D’autres, notamment avec Peugeot, Fiat et Iveco, devraient être lancées prochainement.
Là encore, la « stratégie » de Bouchouareb devrait rapidement montrer ses limites : dans deux ou trois ans, l’Algérie se trouvera avec une production de quelques centaines de milliers de voitures low cost (sur la base des estimations avancées, chaque usine produirait 75 000 véhicules/an). Que va-t-on faire de toute cette production ? Sachant que dans l’automobile, la situation est plus compliquée : les modèles produits en Algérie ne sont pas éligibles à l’export. Et ces usines de montage vont anéantir tout espoir de doter l’Algérie d’une vraie industrie automobile.
Ces deux exemples illustrent bien les incohérences de la politique du ministre Abdeslam Bouchouareb. Une politique qui rappelle celle menée par Chakib Khelil dans le secteur des hydrocarbures au milieu des années 2000. L’ancien ministre de l’Énergie avait fait des choix contestables : une surexploitation des puits et une absence d’investissements dans l’aval pétrolier (pétrochimie, raffinage, etc.). Des choix qui coûtent aujourd’hui cher à l’Algérie dans un contexte de crise pétrolière.
Chakib Khelil avait tracé sa stratégie sans consulter personne. Il avait du mépris pour les parlementaires et une préférence pour les étrangers et quelques hommes d’affaires de son cercle restreint. Abdeslam Bouchouareb applique la même recette, sans légitimité populaire, ni résultats. Au risque de mener l’industrie algérienne vers un nouveau désastre. Ce jour-là, il est vrai, le ministre sera loin d’Alger. Comme Chakib Khelil aujourd’hui.
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Re: Que pensez-vous d’un rassemblent à Aokas pour soutenir Issad Rebrab et les créateurs de richesses et d’emplois En général?
http://www.tsa-algerie.com/20150929/abdeslam-buchouareb-sur-les-traces-de-chakib-khelil/
laic-aokas- Nombre de messages : 14024
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Re: Que pensez-vous d’un rassemblent à Aokas pour soutenir Issad Rebrab et les créateurs de richesses et d’emplois En général?
https://www.youtube.com/watch?v=VOHqI7oWFbw
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Re: Que pensez-vous d’un rassemblent à Aokas pour soutenir Issad Rebrab et les créateurs de richesses et d’emplois En général?
https://www.facebook.com/IssadRebrab?fref=ts
laic-aokas- Nombre de messages : 14024
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Re: Que pensez-vous d’un rassemblent à Aokas pour soutenir Issad Rebrab et les créateurs de richesses et d’emplois En général?
ENTRETIEN
Issad Rebrab dénonce et accuse
09:58 mercredi 23 septembre 2015 | Par Hadjer Guenanfa | Actualité
Issad Rebrab, PDG du groupe Cevital(© NewPress)
Issad Rebrab dénonce et accuse
09:58 mercredi 23 septembre 2015 | Par Hadjer Guenanfa | Actualité
Issad Rebrab, PDG du groupe Cevital(© NewPress)
Est-ce que vous avez inondé le marché comme vous l’aviez annoncé pour faire face à la pénurie de sucre ?
Bien sûr, nous sommes en train d’inonder le marché. Pour la seule journée du 17 septembre, nous avons livré 5 995 tonnes de sucre alors que les besoins du marché national sont évalués à 3 500 tonnes par jour. Nous avons constaté qu’il n’y a eu aucun problème d’approvisionnement à l’ouest et au centre du pays. À l’est, nous avons enregistré une demande plus importante que d’habitude dans les wilayas qui se trouvent sur les frontières avec la Tunisie et la Libye.
Comment expliquez-vous cette pénurie ?
Nous avons été confrontés à la même situation en 2013 avec le printemps arabe en Libye. Nous pensons qu’une partie du sucre livrée sur le marché a traversé les frontières et nous avons aujourd’hui réglé le problème en livrant d’avantage de sucre au niveau de ces régions.
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Donc, il ne s’agit pas d’une réédition du scénario de 2011 ?
Beaucoup de gens croyaient qu’il y avait une pénurie de sucre et de l’huile alors que ça n’a jamais été le cas. En 2011, les services du (ministère) du Commerce, la gendarmerie et le fisc avaient créé une brigade. Celle-ci était partie contrôler les grossistes. Elle avait alors saisi toute marchandise dont les propriétaires ne disposaient pas de factures. Les grossistes s’étaient alors donnés le mot et avaient baissé rideaux. Un anneau de la chaîne de distribution a été rompu. Les épiceries et les superettes n’étaient donc pas alimentées alors que nos distributeurs n’arrivaient pas à vendre leurs marchandises.
Cevital est régulièrement pointée du doigt. Pensez-vous qu’il y a une volonté de vous nuire ?
Je ne sais pas. Mais il y a quelque chose que je ne comprends pas. J’ai lu récemment un article indiquant que j’étais déstabilisé par la chute du général Toufik et que j’étais en négociation avec les Chinois pour vendre 49% des parts de Cevital. Pourquoi je vais penser à vendre un fleuron comme Cevital à un étranger ou à des étrangers ? Dans tous les cas, il n’a jamais été question de vendre Cevital. Et si je voudrais le mettre en vente, je le ferais via la Bourse d’Alger car je considère que Cevital est, et restera, un patrimoine national !
Étiez-vous proche du général Toufik ?
Si j’étais proche du général Toufik, mes projets n’auraient pas été bloqués. Je vous signale que certains de nos projets sont bloqués depuis une dizaine d’années. Ils pensent que nous sommes proches de lui parce que nous avons réussi. Dans leur esprit, on ne peut pas réussir sans être proche du pouvoir.
Abdelmalek Sellal a appelé les Algériens à travailler davantage. Pensez-vous qu’il sera écouté ?
Je pense qu’il doit commencer par régler le problème des projets qui sont bloqués actuellement et dont il est au courant. La bureaucratie et les blocages ne sont pas au niveau des fonctionnaires mais au plus haut niveau de l’État ! En décembre 2012, Abdelmalek Sellal avait envoyé une commission interministérielle à Béjaïa pour notre projet de trituration de graines oléagineuses. Cette commission dirigée par l’actuel ministre des Travaux publics qui était secrétaire général du ministère de l’Intérieur à l’époque avait donné un avis favorable. Le rapport a été remis au Premier ministre. Pourquoi il n’a pas débloqué ce projet qui devait dégager trois milliards de dollars pour l’Algérie ?
Le gouvernement se dit pourtant déterminé à encourager la production et les investisseurs dans un contexte marqué par la chute du prix des hydrocarbures…
Parler, c’est simple ! Régler les problèmes des opérateurs, c’est une autre question. Comme vous le savez, un de nos plus grands ateliers -SAMHA à Sétif- a été ravagé par le feu en 2014 pendant le ramadan. Cela fait maintenant plus d’un an que nous prenons en charge 650 salariés, au chômage technique, en attendant la fin de la reconstruction de cette unité.
Au mois de novembre 2014, mes services avaient déposé une demande d’autorisation d’importation d’une ligne de production de machines à laver neuves et ultramodernes. Pour des raisons de gain de temps, nous l’avons complétée par une ligne de production d’occasion rénovée pour la fabrication de tambours. Nous devions démarrer la production au mois de mars dernier pour permettre le plein emploi aux 650 salariés au chômage technique et exporter la quasi-totalité de la production pour une valeur de 80 millions d’euros par an. Mes services n’ont obtenu aucune réponse du ministère de l’Industrie.
Comment avez-vous réagi ?
En février 2015, j’ai contacté le secrétaire général de l’UGTA. Je lui ai dit : « Vous voulez qu’on crée des emplois et qu’on les maintienne ? Appelez votre ami le ministre de l’Industrie pour qu’il débloque notre projet ». Il en a effectivement parlé avec M. Bouchouareb. Ce dernier lui avait promis de le faire dans les jours qui suivraient. En réalité, rien n’a été fait. Fin avril 2015, lors d’une réception, j’ai fait rappeler au ministre de l’Industrie, M. Bouchouareb, le déblocage de notre ligne de production de machines à laver. Il me réitéra sa promesse de le faire au mois de mai. Promesse non tenue. Vers le 10 juillet 2015, j’ai demandé à M. Ali Haddad, président du FCE, d’intercéder auprès de son ami Bouchouareb pour les mêmes raisons. Le 15 juillet 2015, Ali Haddad m’appelle pour m’informer qu’il avait fait part de mes doléances à Monsieur le ministre de l’Industrie et que ce dernier lui a répondu qu’il ne pouvait donner une suite favorable et qu’il ne permettrait pas à M. Rebrab ou Cevital d’introduire du matériel d’occasion obsolète.
J’ai introduit maintes demandes d’audience auprès de M. Bouchouareb – restées lettres mortes – pour lui démontrer que Cevital a toujours investi dans des équipements de dernière génération ce qui a toujours fait sa force dans la compétition internationale d’autant plus que cette ligne de production est orientée à 99% à l’exportation.
Ce problème d’équipements vous a été formulé par le ministère de l’Industrie ?
Les services du ministère de l’Industrie n’ont évoqué ce problème ni en novembre, ni en décembre, ni janvier, ni en février, ni en mars, ni en mai, ni en juin. Si Monsieur le ministre de l’Industrie nous avait répondu au mois de novembre ou décembre 2014, nous aurions pris nos dispositions pour passer commande d’une ligne neuve pour les tambours. Je n’aurai pas perdu 80 millions d’euros d’exportation pour une affaire de 4,5 millions d’Euros. Je n’aurais pas continué à payer les 650 salariés une année de plus, alors qu’ils sont au chômage technique. Ce qui est regrettable, c’est la discrimination car plusieurs dossiers d’équipements d’occasion pour d’autres opérateurs ont été signés.
Où en êtes-vous actuellement ?
Monsieur le Premier ministre a également été informé. Il a promis lui aussi de débloquer la situation mais rien n’a été fait à ce jour. Notre chaîne de production ne sera malheureusement opérationnelle qu’au mois de mars 2016 au lieu de mars 2015. Quelle perte de temps et d’argent ! Un véritable gâchis ! Comment nos décideurs peuvent-ils aujourd’hui prétendre encourager la production nationale, la création d’emplois et les exportations ?
Vous ne croyez pas en l’existence d’une réelle volonté pour régler les problèmes auxquels sont confrontés les producteurs ?
Je ne crois pas du tout à leur discours tant que les projets industriels ne sont pas débloqués. Certains le sont depuis plus de dix ans. M. Sellal et M. Bouchouareb sont au courant. Il me semble que nos décideurs n’ont ni la volonté politique, ni la vision, ni l’ambition pour notre pays.
Des dispositions ont pourtant été prises pour régler certains problèmes dont celui du foncier industriel par exemple…
Il y a un très grand fossé entre le discours et la réalité. Je vais vous donner un cas concret. Plusieurs sociétés sidérurgiques internationales nous ont contactés pour délocaliser (leurs activités) en Algérie ou vers le Maroc. On les a convaincus de choisir l’Algérie. J’ai contacté un wali et lui ai présenté le projet qui devrait créer 5 000 postes d’emploi et faire passer notre pays du stade d’importateur à celui d’exportateur pour les produits sidérurgiques.
J’ai demandé un site de 150 hectares pour loger tout le projet. Au départ, il m’avait donné son accord. Il m’avait demandé d’envoyer mes collaborateurs. Ces derniers se sont déplacés. On leur a dit que le terrain n’était pas encore déclassé, que le dossier doit être envoyé au Premier ministère et qu’on ne peut pas leur donner 150 hectares mais 25, 30 ou à la limite 50 hectares. Je recontacte le wali qui m’a affirmé : « Je n’y peux rien. Si vous voulez débloquer la situation, vous voyez avec le Premier ministre ».
Il m’a dit qu’il ne pouvait s’occuper que des PME/PMI. Les grands projets ne sont pas de son ressort mais de celui du ministère de l’Industrie. Je suis extrêmement surpris que les décideurs gèrent la pénurie du foncier industriel au lieu de gérer l’abondance. Comment peut-on développer l’industrie nationale, créer des emplois, diversifier l’économie, quand on fait de la rétention du foncier industriel dans le plus grand pays d’Afrique. Comment peut-on demander à un investisseur qui doit orienter une partie de sa production à l’exportation d’aller investir dans le Sud du pays ? Est-ce qu’ils comprennent réellement ce qu’est la compétitivité ? Quel est le coût de la logistique ? Est-ce qu’ils pensent qu’on peut exporter si on n’est pas compétitifs par rapport à la concurrence internationale ?
D’un côté, ils (décideurs) réunissent les walis pour leur dire, selon ce que j’ai lu dans la presse : on vous donne les pleins pouvoirs, développez vos régions, vous serez notés sur le nombre d’emplois crées et l’attractivité de votre région pour les investisseurs. D’un autre côté, il n’y a aucune prise de décision possible.
Est-ce que vous comptez réintégrer le FCE ?
À quoi cela pourrait me servir ? Aujourd’hui, le FCE appelle le pouvoir à libérer l’initiative. Il n’est pas écouté.
Quel impact aura la dévaluation du dinar sur les entreprises ?
D’abord, je voudrais préciser quelque chose. Certains journaux ont évoqué la baisse des prix des matières premières sur les marchés internationaux en se demandant pourquoi elle n’a pas été répercutée sur les prix des produits en Algérie. Ils ont oublié que le dinar a été dévalué de 20 à 25%. S’il n’y avait pas eu cette baisse des prix des matières premières, on aurait augmenté nos prix à cause de la dévaluation du dinar. Ensuite, il faut savoir qu’il y a une baisse de la consommation dans le monde entier et les prix des matières premières ont chuté à tous les niveaux. Ce qui fait qu’il y a une offre qui est bien supérieure à la demande. Dans l’immédiat, il n’y aura pas d’augmentation des prix en Algérie.
Est-ce que cette dévaluation du dinar est bénéfique pour Cevital puisqu’il s’agit d’un groupe qui exporte ?
Pour les exportateurs, c’est une excellente chose. Certes, nos nouveaux investissements vont nous coûter 20% à 25% plus cher, mais la dévaluation ne pose pas de problèmes pour Cevital. Le groupe a besoin qu’on libère l’économie pour qu’il puisse produire et exporter. Vous savez bien que dans cinq ans (2020), on aura 10 millions de nouveaux demandeurs d’emplois. Dans moins de dix ans, la population algérienne atteindra 50 millions d’habitants. Nous allons consommer plus de gaz, d’électricité et de carburant qui vont venir en déduction des quantités exportées aujourd’hui. Dites-moi, avec quoi vous allez faire face à cette situation ?
Pensez-vous que ce soit les projets d’Issad Rebrab qui posent problème ?
Moi, je pose une question aux décideurs de ce pays : est ce qu’ils ont réellement une volonté politique pour débloquer la situation ? Je suis écœuré et en colère devant l’inertie et les blocages du ministre de l’Industrie qui bloque le secteur industriel et le Premier ministre qui ne fait rien pour débloquer la situation. Ils (décideurs) vont mener le pays à la catastrophe. Ils sont incapables de convaincre le Président pour libérer les initiatives, libérer l’entreprise pour la création de richesse et d’emplois. Pourtant le FCE et son président qui font partie de leurs amis ont insisté à plusieurs reprises pour libérer les initiatives.
Pourquoi ils sont sourds ? Pourquoi ils sont autistes ? Pourquoi ils reçoivent les entrepreneurs étrangers et ne répondent même pas au courrier et au téléphone pour certains entrepreneurs algériens en dehors de leurs amis ?
Pourtant ils savent bien que seule l’entreprise productive diversifiée est la seule garante d’un développement durable, de la création d’emplois et de richesses durables. Pourquoi nous empêchent-ils de participer à la construction de notre pays ? Est-ce qu’ils considèrent que ce pays est leur patrimoine ? Qu’ils sachent que l’Algérie n’est le patrimoine de personne, elle appartient à tous les Algériens !
laic-aokas- Nombre de messages : 14024
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Re: Que pensez-vous d’un rassemblent à Aokas pour soutenir Issad Rebrab et les créateurs de richesses et d’emplois En général?
http://www.tsa-algerie.com/20150923/issad-rebrab-denonce-et-accuse/
laic-aokas- Nombre de messages : 14024
Date d'inscription : 03/06/2011
Re: Que pensez-vous d’un rassemblent à Aokas pour soutenir Issad Rebrab et les créateurs de richesses et d’emplois En général?
http://www.ouvalalgerie.com/news/1033-Mais-les-commentaires-son-violents-et-indescents.html
laic-aokas- Nombre de messages : 14024
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Re: Que pensez-vous d’un rassemblent à Aokas pour soutenir Issad Rebrab et les créateurs de richesses et d’emplois En général?
http://www.kabylie-news.com/2015/06/video-issad-rebrab-lalgerie-est-le-seul.html
laic-aokas- Nombre de messages : 14024
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Re: Que pensez-vous d’un rassemblent à Aokas pour soutenir Issad Rebrab et les créateurs de richesses et d’emplois En général?
http://www.chouf-chouf.com/actualites/issad-rebrab-elu-pdg-africain-de-lannee/
laic-aokas- Nombre de messages : 14024
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Re: Que pensez-vous d’un rassemblent à Aokas pour soutenir Issad Rebrab et les créateurs de richesses et d’emplois En général?
L'Etat algérien amplifie son acharnement contre l'investisseur kabyle : Issad Rebrab.
07/10/2015 - 17:54
KABYLIE (SIWEL) - Depuis plusieurs mois, l’homme d’affaires kabyle, Issad Rabrab, subit un acharnent politique de la part des tenants du pouvoir algérien.
Avec cette affaire Rebrab, l’Etat algérien confirme plus que jamais son caractère foncièrement anti-kabyle. Que peut signifier la désignation de Rebrab comme « méchant loup » sinon de le contraindre à abandonner tout projet structurant en Kabylie, et qui en a pourtant tant besoin. En définitive, l’objectif final du pouvoir algérien incarné par le nommé Abdelaziz Bouteflika est de maintenir dans une indigence économique la Kabylie, condition usine-qua- non à son maintien à cette Algérie. Et à lire en filigrane la stratégie d’El Mouradia, c’est d’engendrer la colère des Kabyles contre le Mouvement pour l’Autodétermination de la Kabylie (MAK). Des exemples du passé n’ont pas manqué. Lors du bombardement meurtrier de Londres en 1940, beaucoup de citoyens anglais ont reproché à Winston Churchill de refuser d’abdiquer comme le maréchal Philippe Pétain devant les Nazis. Beaucoup de Français ont essayé de coller l’étiquette d’ « aventurier » au général Charles de Gaules suite à son appel du 18 Juin proclamant la France libre.
Le ministre algérien de l’industrie, en l’occurrence Abdeslam Bouchouareb, connu déjà dans le passé pour ses tirs aux boulets rouges contre le MAK, a usé de toutes une batterie d’arguments plus ou moins fallacieux les uns que les autres, pour stigmatiser Issad Rebrab. En effet, dans une sortie médiatique, Abdeslam Bouachouareb a poussé l’outrecuidance jusqu’ désigner l’investisseur d’At Dwala de favoriser plus le consommateur français que le consommateur "algérien".
Selon bien l’oui dire, un mandat d’arrêt aurait été lancé contre Issad Rabarab. Une affaire qui nous rappelle celle du mandat d’arrêt émis par l’Etat algérien contre le président du Gouvernement Provisoire Kabyle, Ferhat Mehenni.
Le ministre algérien de l’intérieur a démenti l’information ce qu’il n’a jamais fait pour le cas du président de l'Anavad.
Le MAK, dès le début de cette affaire, a apporté son soutien indéfectible à Issad Rabrab. Le mouvement souverainiste kabyle, estime qu’en en sus de la transformation des usines et des centres de formation en casernes militaires, la construction des prisons sur des terres agricoles, la prolifération des campements militaires à la place des infrastructures nécessaires au développement économique, l’application de la politique de la terre brûlée, la destruction de l’environnement et la politique de terreur qui vise entre autre à travers les kidnappings à faire fuir les investisseurs, le pouvoir algérien cherche carrément à créer la ruine et la désolation de la Kabylie. L’attaque frontale contre les hommes d’affaires kabyles en est la dernière preuve. Le crime de Lèse-majesté de Rebrab est l’investissement, qui est pourtant loin du montant annuel que perçoit l’hôpital de Val-de-Grâce de la part du Chef d’Etat algérien, qu’il a effectué en Kabylie. En somme, il n’est point besoin d’être Jérémie pour savoir qu’à travers cet acharnement, les autorités algériennes veulent pousser le groupe Cévital à se délocaliser de la Kabylie.
Le rassemblement qui aura lieu le 10 octobre à At Dwala-centre sera l’occasion pour le MAK de dénoncer une fois de plus le terrorisme économique dirigé contre la Kabylie à travers des opérations d’intimidations menées contre les investisseurs dans le désir d’y investir, à l'instar de Rebrab.
Le MAK tient à rassurer les investisseurs kabyles dont Issad Rebrab, qui ont choisi de s'installer en Kabylie, de son soutien des plus indéfectibles face aux intimidations dirigées contre eux par les forces occultes et rétrogrades d’Alger.
ya
SIWEL 071754 OCT 15
07/10/2015 - 17:54
KABYLIE (SIWEL) - Depuis plusieurs mois, l’homme d’affaires kabyle, Issad Rabrab, subit un acharnent politique de la part des tenants du pouvoir algérien.
Le crime de lèse-majesté dont est coupable l’homme, qui a manifesté sa volonté de créer un pôle industriel avec un accompagnement d’un million d’emploi directs à Cap Djinet (Boumerdès) et que l’Etat algérien, toute honte bue, a rejeté la proposition, n’est rien d’autre que d’avoir investi en Kabylie.
Si Issaâd Rabrab avait boudé sa terre natale, comme d’autre l’ont fait, Bouteflika et ses serviteurs l’auraient glorifié et
lui auraient forcé la main pour être leur ministre
La société civile kabyle a exprimé sa solidarité avec le président du groupe Cévital. Le rassemblement qui aura lieu le 10 octobre à At Dwala-centre sera l’occasion pour le MAK de rassurer de nouveau les investisseurs kabyles dont Issad Rabrab , qui ont choisi de s'installer en Kabylie, de son soutien des plus indéfectibles face aux intimidations dirigées contre eux par les forces occultes et rétrogrades d’Alger.
Avec cette affaire Rebrab, l’Etat algérien confirme plus que jamais son caractère foncièrement anti-kabyle. Que peut signifier la désignation de Rebrab comme « méchant loup » sinon de le contraindre à abandonner tout projet structurant en Kabylie, et qui en a pourtant tant besoin. En définitive, l’objectif final du pouvoir algérien incarné par le nommé Abdelaziz Bouteflika est de maintenir dans une indigence économique la Kabylie, condition usine-qua- non à son maintien à cette Algérie. Et à lire en filigrane la stratégie d’El Mouradia, c’est d’engendrer la colère des Kabyles contre le Mouvement pour l’Autodétermination de la Kabylie (MAK). Des exemples du passé n’ont pas manqué. Lors du bombardement meurtrier de Londres en 1940, beaucoup de citoyens anglais ont reproché à Winston Churchill de refuser d’abdiquer comme le maréchal Philippe Pétain devant les Nazis. Beaucoup de Français ont essayé de coller l’étiquette d’ « aventurier » au général Charles de Gaules suite à son appel du 18 Juin proclamant la France libre.
Le ministre algérien de l’industrie, en l’occurrence Abdeslam Bouchouareb, connu déjà dans le passé pour ses tirs aux boulets rouges contre le MAK, a usé de toutes une batterie d’arguments plus ou moins fallacieux les uns que les autres, pour stigmatiser Issad Rebrab. En effet, dans une sortie médiatique, Abdeslam Bouachouareb a poussé l’outrecuidance jusqu’ désigner l’investisseur d’At Dwala de favoriser plus le consommateur français que le consommateur "algérien".
Selon bien l’oui dire, un mandat d’arrêt aurait été lancé contre Issad Rabarab. Une affaire qui nous rappelle celle du mandat d’arrêt émis par l’Etat algérien contre le président du Gouvernement Provisoire Kabyle, Ferhat Mehenni.
Le ministre algérien de l’intérieur a démenti l’information ce qu’il n’a jamais fait pour le cas du président de l'Anavad.
Le MAK, dès le début de cette affaire, a apporté son soutien indéfectible à Issad Rabrab. Le mouvement souverainiste kabyle, estime qu’en en sus de la transformation des usines et des centres de formation en casernes militaires, la construction des prisons sur des terres agricoles, la prolifération des campements militaires à la place des infrastructures nécessaires au développement économique, l’application de la politique de la terre brûlée, la destruction de l’environnement et la politique de terreur qui vise entre autre à travers les kidnappings à faire fuir les investisseurs, le pouvoir algérien cherche carrément à créer la ruine et la désolation de la Kabylie. L’attaque frontale contre les hommes d’affaires kabyles en est la dernière preuve. Le crime de Lèse-majesté de Rebrab est l’investissement, qui est pourtant loin du montant annuel que perçoit l’hôpital de Val-de-Grâce de la part du Chef d’Etat algérien, qu’il a effectué en Kabylie. En somme, il n’est point besoin d’être Jérémie pour savoir qu’à travers cet acharnement, les autorités algériennes veulent pousser le groupe Cévital à se délocaliser de la Kabylie.
Le rassemblement qui aura lieu le 10 octobre à At Dwala-centre sera l’occasion pour le MAK de dénoncer une fois de plus le terrorisme économique dirigé contre la Kabylie à travers des opérations d’intimidations menées contre les investisseurs dans le désir d’y investir, à l'instar de Rebrab.
Le MAK tient à rassurer les investisseurs kabyles dont Issad Rebrab, qui ont choisi de s'installer en Kabylie, de son soutien des plus indéfectibles face aux intimidations dirigées contre eux par les forces occultes et rétrogrades d’Alger.
ya
SIWEL 071754 OCT 15
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Re: Que pensez-vous d’un rassemblent à Aokas pour soutenir Issad Rebrab et les créateurs de richesses et d’emplois En général?
http://www.siwel.info/L-Etat-algerien-amplifie-son-acharnement-contre-l-investisseur-kabyle-Issad-Rebrab_a7904.html
Azul- Nombre de messages : 29959
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Re: Que pensez-vous d’un rassemblent à Aokas pour soutenir Issad Rebrab et les créateurs de richesses et d’emplois En général?
Affaire Rebrab : un désastre pour l’image de l’Algérie, un coup dur pour « l’État civil »
10:20 jeudi 8 octobre 2015 | Par Radia Touri | Actualité
Issad Rebrab, PDG du groupe Cevital (© D.R.)
10:20 jeudi 8 octobre 2015 | Par Radia Touri | Actualité
Issad Rebrab, PDG du groupe Cevital (© D.R.)
Les déclarations d’Issad Rebrab ont mis le gouvernement en état alerte. Après l’annonce du patron de Cevital qu’il fait l’objet d’un mandat d’arrêt en Algérie, plusieurs démentis officiels ont été apportés de la part des autorités. D’abord, le ministre de la Communication Hamid Grine a affirmé, hier mercredi matin, qu’« il n’y a aucun mandat d’arrêt contre » Issad Rebrab. Plus tard dans la journée, le général Hamel, Directeur général de la DGSN, a lui aussi démenti publiquement l’existence d’un mandat d’arrêt, précisant que Rebrab « peut rentrer et sortir comme il veut ».
Il est important de noter la célérité avec laquelle les démentis ont été apportés par les autorités, et pour cause : le pouvoir semble parfaitement conscient que la situation est absolument catastrophique pour son image et celle du pays. Le limogeage du général Toufik et la restructuration du DRS étaient présentés comme un moyen de se débarrasser d’un pouvoir parallèle opaque aux pratiques contestables. Depuis plusieurs mois, le gouvernement et la majorité présidentielle s’évertuent à faire la promotion « d’un État civil, d’un pouvoir civil et d’institutions civiles ».
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Mais voilà qu’Issad Rebrab, l’entrepreneur le plus influent d’Algérie, l’homme qui pèse quatre milliards de dollars, dont la crédibilité est à la fois nationale et internationale, annonce qu’un pouvoir parallèle et opaque « cherche à le faire taire » pour « avoir dénoncé les blocages inadmissibles dont [il] fait l’objet ». Des affirmations qui se retrouvent crédibilisées par les conditions d’arrestation du général Benhadid et les déclarations du ministre de l’Industrie contre Rebrab lors de la fameuse conférence de presse. Abdeslam Bouchouareb s’était transformé à l’occasion en véritable juge, prononçant les accusations et les condamnations. Des condamnations relayées en boucle par les médias publics et proches du pouvoir.
En plus d’avoir porté un coup dur à la promesse de « l’État civil », l’affaire Rebrab est un désastre pour l’image de l’Algérie auprès des milieux d’affaires à l’étranger. « C’est une catastrophe pour notre image », résume un membre de l’Exécutif.
Elle tombe, en effet, mal à un moment où l’Algérie cherche à attirer des investisseurs étrangers, en promettant des facilités – le nouveau Code des investissements a été adopté mardi en Conseil des ministres- et de la transparence. Deux promesses qui font défaut dans l’affaire Rebrab.
Azul- Nombre de messages : 29959
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Re: Que pensez-vous d’un rassemblent à Aokas pour soutenir Issad Rebrab et les créateurs de richesses et d’emplois En général?
http://www.algerie-focus.com/blog/2015/10/economie-le-jeu-dangereux-de-bouchouareb/
Azul- Nombre de messages : 29959
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Azul- Nombre de messages : 29959
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Re: Que pensez-vous d’un rassemblent à Aokas pour soutenir Issad Rebrab et les créateurs de richesses et d’emplois En général?
#Polémique Incroyable. Issad Rebrab ne fait pas confiance aux garanties lancés par le gouvernement, il veut obtenir des garanties publiques de la part du Président et du chef-d’État major. Nous rappelons que dans un entretien accordé à TSA mardi, le patron de Cevital avait exprimé ses craintes de se voir arrêter à l’aéroport dès son retour à Alger.
Azul- Nombre de messages : 29959
Date d'inscription : 09/07/2008
Re: Que pensez-vous d’un rassemblent à Aokas pour soutenir Issad Rebrab et les créateurs de richesses et d’emplois En général?
Solidaire avec Rebrab
Azul- Nombre de messages : 29959
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