Glissement de terrain à Ait Ali Oumhend, Taskriout ( Bejaia)
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Re: Glissement de terrain à Ait Ali Oumhend, Taskriout ( Bejaia)
c'est un glissement irréparable une chose est sur
you and me- Nombre de messages : 2902
Date d'inscription : 29/04/2008
Re: Glissement de terrain à Ait Ali Oumhend, Taskriout ( Bejaia)
et le pire est a venir
you and me- Nombre de messages : 2902
Date d'inscription : 29/04/2008
Re: Glissement de terrain à Ait Ali Oumhend, Taskriout ( Bejaia)
évidement, puisque des spécialistes prétendent une catastrophe qui peut causer l'irréparable, Bordj Mira peut être effacée de la carte géographique dans un moment ou un autre parce que le glissement continue de jour en jour, et il peut bloquer le oued d'Ait Smail, en suite, l'eau du oued peut détruire tout.
pour le moment, le Wali de Bejaia, après sa visite aujourd'hui sur les lieux, a promis une bonne prise en charge, a savoir l'envoie d'une commission spécialisé dans le domaine.
et à propos de Bordj Mira centre, pas mal de gens ont quitté leurs maisons pour éviter tout risque...
pour le moment, le Wali de Bejaia, après sa visite aujourd'hui sur les lieux, a promis une bonne prise en charge, a savoir l'envoie d'une commission spécialisé dans le domaine.
et à propos de Bordj Mira centre, pas mal de gens ont quitté leurs maisons pour éviter tout risque...
Re: Glissement de terrain à Ait Ali Oumhend, Taskriout ( Bejaia)
enfaite j'ai entendu que le glissement se complique de plus en plus n'est ce pas sofiane !!!!!
you and me- Nombre de messages : 2902
Date d'inscription : 29/04/2008
Amar Ghoul : ministre des Travaux publics ou chef de chantier de l’autoroute est-ouest ?
Depuis maintenant une semaine, les habitants du village Ouled Ali dans la commune de Taskriout, à 60 kilomètres à l'est de Bejaia, vivent dans l'isolement. L'unique route qui dessert ce village situé au pied de la montagne est coupée par un important glissement de terrain. Ce denier menace des habitations et d'autres routes dans cette commune pauvre de la wilaya de Bejaia. Les populations ont beaucoup de mal à s'approvisionner en produits alimentaires et en gaz butane.
Le glissement a été provoqué par les pluies torrentielles qui se sont abattues la semaine passée sur cette région montagneuse. Ces pluies ont également provoqué la fermeture du chemin de wilaya qui relie Béjaïa à Setif, via Bouandas. Les habitants d'Ouled Ali redoutent désormais le pire avec le retour des pluies depuis mardi dans cette région. Les populations de Bordj Mira et de la commune limitrophe d'Ait Smail s'inquiètent aussi de l'avancée du glissement de terrain qui risque d'emporter tout sur son passage.
Mais Taskriout n'est pas un cas unique. D'autres routes de Bejaia ont été sérieusement affectées par les récentes intempéries. D'importants axes routiers de cette wilaya sont restés fermés à la circulation automobile durant plusieurs jours et d'autres le sont toujours. Les récentes pluies ont montré l'extrême vulnérabilité du réseau routier national face aux intempéries.
Mais il y a plus inquiétant : le ministre des travaux publics Amar Ghoul n'a pas jugé nécessaire de se rendre dans cette wilaya pour s'enquérir de la situation et constater sur place les dégâts afin de prendre les mesures nécessaires pour construire des routes capables de tenir en cas de fortes intempéries. M. Ghoul a préféré poursuivre «sa tournée» sur le chantier de l'autoroute est-ouest.
Depuis le début de l'année, le ministre des Travaux publics s'est rendu trois fois sur le chantier de l'autoroute, soit une moyenne d'une visite tous les six jours. Le 4 janvier, il était à Bordj Bou Arreridj, le 5 sur le chantier de la rocade autoroutière d'Alger et le 10 il était sur le chantier de l'autoroute à Ain Defla. Durant la même période, M. Ghoul a visité aussi les chantiers de son secteur dans la capitale.
En 2008, le ministre des Travaux publics s'est rendu des dizaines de fois sur les chantiers de l'autoroute est-ouest. Il a donné des centaines d'instructions et menacé à plusieurs reprises de représailles les entreprises en leur demandant de respecter les délais de réalisation. M. Ghoul peut aussi se montrer moins menaçant : il a par exemple félicité les Chinois pour leur travail sur cette future autoroute.
Un ministre dont la mission est de mettre en place la politique nationale des travaux publics s'est transformé en chef de chantier de l'autoroute est-ouest. Ses déplacements sur ce chantier irritent les responsables techniques en charge de sa réalisation. La visite d'un ministre nécessite en effet de la préparation, donc beaucoup de temps à perdre qui ne sera pas utilisé pour avancer dans les travaux.
Pourtant, les groupements chinois Citic-Crcc et japonais Cojaal ont signé des contrats. Ils se sont engagés sur des délais de réalisation fermes, en échange de 12 milliards de dollars pour seulement 900 km d'autoroutes. «Le ministre n'a rien à faire sur ce chantier. Les entreprises se sont engagées sur des délais et doivent les respecter, sinon il faudrait appliquer des pénalités de retard», estime un haut responsable qui a requis l'anonymat.
La politique de Amar Ghoul est très critiquée dans son secteur et aussi au sommet de l'Etat. Beaucoup de techniciens et de hauts responsables ne comprennent pas en effet l'utilité des visites ministérielles sur le chantier de l'autoroute. D'autant que l'état du réseau routier est catastrophique: à Alger, beaucoup de cités ne disposent pas de voiries goudronnées comme à Bordj El Kiffan et Bordj El Bahri. A l'intérieur du pays, la situation est plus grave: les routes mal entretenues, manquent de signalisation et d'éclairage, ce qui rend la circulation extrêmement dangereuse.
tout sut l'Algérie du 21 01 2009.
Le glissement a été provoqué par les pluies torrentielles qui se sont abattues la semaine passée sur cette région montagneuse. Ces pluies ont également provoqué la fermeture du chemin de wilaya qui relie Béjaïa à Setif, via Bouandas. Les habitants d'Ouled Ali redoutent désormais le pire avec le retour des pluies depuis mardi dans cette région. Les populations de Bordj Mira et de la commune limitrophe d'Ait Smail s'inquiètent aussi de l'avancée du glissement de terrain qui risque d'emporter tout sur son passage.
Mais Taskriout n'est pas un cas unique. D'autres routes de Bejaia ont été sérieusement affectées par les récentes intempéries. D'importants axes routiers de cette wilaya sont restés fermés à la circulation automobile durant plusieurs jours et d'autres le sont toujours. Les récentes pluies ont montré l'extrême vulnérabilité du réseau routier national face aux intempéries.
Mais il y a plus inquiétant : le ministre des travaux publics Amar Ghoul n'a pas jugé nécessaire de se rendre dans cette wilaya pour s'enquérir de la situation et constater sur place les dégâts afin de prendre les mesures nécessaires pour construire des routes capables de tenir en cas de fortes intempéries. M. Ghoul a préféré poursuivre «sa tournée» sur le chantier de l'autoroute est-ouest.
Depuis le début de l'année, le ministre des Travaux publics s'est rendu trois fois sur le chantier de l'autoroute, soit une moyenne d'une visite tous les six jours. Le 4 janvier, il était à Bordj Bou Arreridj, le 5 sur le chantier de la rocade autoroutière d'Alger et le 10 il était sur le chantier de l'autoroute à Ain Defla. Durant la même période, M. Ghoul a visité aussi les chantiers de son secteur dans la capitale.
En 2008, le ministre des Travaux publics s'est rendu des dizaines de fois sur les chantiers de l'autoroute est-ouest. Il a donné des centaines d'instructions et menacé à plusieurs reprises de représailles les entreprises en leur demandant de respecter les délais de réalisation. M. Ghoul peut aussi se montrer moins menaçant : il a par exemple félicité les Chinois pour leur travail sur cette future autoroute.
Un ministre dont la mission est de mettre en place la politique nationale des travaux publics s'est transformé en chef de chantier de l'autoroute est-ouest. Ses déplacements sur ce chantier irritent les responsables techniques en charge de sa réalisation. La visite d'un ministre nécessite en effet de la préparation, donc beaucoup de temps à perdre qui ne sera pas utilisé pour avancer dans les travaux.
Pourtant, les groupements chinois Citic-Crcc et japonais Cojaal ont signé des contrats. Ils se sont engagés sur des délais de réalisation fermes, en échange de 12 milliards de dollars pour seulement 900 km d'autoroutes. «Le ministre n'a rien à faire sur ce chantier. Les entreprises se sont engagées sur des délais et doivent les respecter, sinon il faudrait appliquer des pénalités de retard», estime un haut responsable qui a requis l'anonymat.
La politique de Amar Ghoul est très critiquée dans son secteur et aussi au sommet de l'Etat. Beaucoup de techniciens et de hauts responsables ne comprennent pas en effet l'utilité des visites ministérielles sur le chantier de l'autoroute. D'autant que l'état du réseau routier est catastrophique: à Alger, beaucoup de cités ne disposent pas de voiries goudronnées comme à Bordj El Kiffan et Bordj El Bahri. A l'intérieur du pays, la situation est plus grave: les routes mal entretenues, manquent de signalisation et d'éclairage, ce qui rend la circulation extrêmement dangereuse.
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rebai_s- Nombre de messages : 1785
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laic-aokas- Nombre de messages : 14024
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