L’Etat finance un journal privé noyauté par les Frères musulmans égyptiens avec l’argent des Algériens
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L’Etat finance un journal privé noyauté par les Frères musulmans égyptiens avec l’argent des Algériens
Le journal arabophone Echorouk, qui tire une bonne partie de ses bénéfices de la publicité institutionnelle que lui octroie l’Agence nationale d’édition et de publicité (Anep), s’affiche clairement comme l’outil de propagande de la secte des Frères musulmans en Egypte. Dans son édition électronique d’aujourd’hui jeudi, quatre titres défilent en haut de la page d’accueil qui en disent long sur l’implication directe de cet instrument dans les événements qui secouent l’Egypte : Holocauste en Egypte : Al-Sissi brûle les manifestants à Rabia Al-Adawiyya ; Des personnalités politiques algériennes appellent à la rupture des relations diplomatiques avec l’Egypte ; Les chaînes de télévision des partisans [de Moubarak] appellent à l’assassinat des innocents ; Comment 35 ans de dispersion de sit-in ont conduit à un bain de sang. Ce journal algérien, dont le directeur a avoué récemment qu’il était noyauté par les Frères musulmans et qu’il n’en maîtrisait plus la ligne éditoriale, entièrement vouée à la défense de l’extrémisme religieux, revient insidieusement, dans un de ses articles, sur l’intervention des forces de sécurité algériennes en juin 1991 pour évacuer les places du 1er-Mai et des Martyrs, occupées pendant plus de deux semaines par les militants du FIS. Non seulement ce journal manipule l’opinion publique en affirmant que cette intervention a été la cause de la mort de «200 000 Algériens», mais il feint d’ignorer que durant cette opération, menée à l’époque par la Gendarmerie nationale, aucune victime n’avait été déplorée, hormis le décès d’un capitaine de la gendarmerie touché mortellement à la tête par un projectile (une boule de pétanque) lancé par un manifestant. Cette propagande, outre qu’elle s’assimile à une ingérence flagrante dans les affaires internes d’un pays souverain, est financée par une institution publique algérienne, à travers l’argent du Trésor public alloué aux collectivités locales. Subrepticement, le journal Echorouk incite à la violence en Egypte et, par ricochet, souffle sur la braise encore fumante du terrorisme en Algérie pour tenter de la rallumer. Cet organe central des Frères musulmans égyptiens est imprimé sur les rotatives de la Société d’impression d’Alger (SIA), une imprimerie publique qui peine à recouvrer ses créances qui se chiffrent à plusieurs centaines de milliards. Des centaines de milliards qui ont servi à créer une chaîne de télévision éponyme dédiée elle aussi à la propagande pro-Frères musulmans.
M. Aït Amara
M. Aït Amara
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Re: L’Etat finance un journal privé noyauté par les Frères musulmans égyptiens avec l’argent des Algériens
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