La France commence à voler l'argent des algériens comme avec les juifs en 1944
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Gel des avoirs d'un ressortissant algérien en France 19/02/2013
Les avoirs bancaires de Abdelghani Hadef, commerçant algérien installé en France, ont été gelés par arrêté du ministère de l'Economie français au motif que cet homme «promeut le jihad armé contre la France et le terrorisme», ce que son avocate réfute en bloc. L'arrêté ministériel est même paru le 10 février au «Journal officiel».
L'identité du commerçant, son nom de guerre présumé ainsi que le nom de son commerce, à Mantes-la-Jolie, dans la banlieue de Paris en France, y sont divulgués.
Selon l'arrêté, «les fonds, instruments financiers et ressources économiques qui lui appartiennent, font l'objet d'une mesure de gel d'avoirs. Sont interdits les mouvements ou transfert de fonds, instruments financiers et ressources économiques» à son bénéfice.
Les dispositions de cet arrêté sont entrées en vigueur le 10 février pour six mois. Ce texte stipule que la décision du gel des avoirs peut être contestée dans les deux mois à compter de sa notification, soit par recours gracieux au ministère de l'Economie et des Finances, soit par recours contentieux auprès du tribunal administratif de Paris. M. Hadef a eu connaissance du gel de ses avoirs bancaires en voulant retirer de l'argent «en vue d'acheter des médicaments pour les envoyer à son fils», a fait savoir son avocate, Me Nawel Gafsia.
Selon elle, son client qui «réside en France depuis plus de trente ans, n'a jamais été inquiété par la police et son casier judiciaire est vide», a-t-elle affirmé à l'AFP. M. Hadef demandait depuis 2006 un regroupement familial pour son épouse, puis pour son fils, né en 2009, «très malade», et qui vivent en Algérie. Il a obtenu gain de cause en octobre 2012.
Mais depuis décembre 2012, ce ressortissant algérien de 45 ans est expulsable selon une décision de la Commission des expulsions.
L'avis favorable à son expulsion ainsi que le gel de ses avoirs interviendraient suite à une note de la Direction centrale du renseignement intérieur qui le décrit comme proche des groupes terroristes. Pourtant, «pendant trente ans, son titre de séjour a été renouvelé sans souci», note Me Gafsia. «Si je suis comme ils le disent, pourquoi, depuis tout ce temps, les policiers ne m'ont jamais interpellé ? Je n'ai jamais fréquenté de terroristes, je ne suis jamais parti à l'étranger et je n'ai jamais prêché», s'est défendu Abdelghani Hadef sur les colonnes d'un journal français.
Les avoirs bancaires de Abdelghani Hadef, commerçant algérien installé en France, ont été gelés par arrêté du ministère de l'Economie français au motif que cet homme «promeut le jihad armé contre la France et le terrorisme», ce que son avocate réfute en bloc. L'arrêté ministériel est même paru le 10 février au «Journal officiel».
L'identité du commerçant, son nom de guerre présumé ainsi que le nom de son commerce, à Mantes-la-Jolie, dans la banlieue de Paris en France, y sont divulgués.
Selon l'arrêté, «les fonds, instruments financiers et ressources économiques qui lui appartiennent, font l'objet d'une mesure de gel d'avoirs. Sont interdits les mouvements ou transfert de fonds, instruments financiers et ressources économiques» à son bénéfice.
Les dispositions de cet arrêté sont entrées en vigueur le 10 février pour six mois. Ce texte stipule que la décision du gel des avoirs peut être contestée dans les deux mois à compter de sa notification, soit par recours gracieux au ministère de l'Economie et des Finances, soit par recours contentieux auprès du tribunal administratif de Paris. M. Hadef a eu connaissance du gel de ses avoirs bancaires en voulant retirer de l'argent «en vue d'acheter des médicaments pour les envoyer à son fils», a fait savoir son avocate, Me Nawel Gafsia.
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adanaw- Nombre de messages : 99
Date d'inscription : 15/02/2013
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