Collectif des étudiant(e)s de l’université de Bejaïa Démarcation, dénonciation et appel
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Collectif des étudiant(e)s de l’université de Bejaïa Démarcation, dénonciation et appel
Collectif des étudiant(e)s de l’université de Bejaïa
Démarcation, dénonciation et appel
Collectif des étudiant(e)s de l’université de Bejaïa
Démarcation, dénonciation et appel
Nous, collectif des étudiants, tenons à dénoncer et à nous démarquer des actes de vandalisme: saccage des administrations et des postes de garde de 1000 lits et de la nouvelle pépinière, incendie de la buanderie, du magasin et de la salle de sport de la R.U 17 octobre, fermeture de la D.O.U et de la R.N 09…..Œuvre d’un groupuscule de corrompus, sans aucun lien avec les étudiants, ayant provoqué la perturbation du déroulement des examens et un climat de terreur chez les étudiant(e)s et les travailleurs des œuvres universitaires en grève pour satisfaire leur revendications légitimes.
Par ailleurs, nous condamnons vivement ces actes fascistes, vandales, étrangers aux pratiques syndicales des étudiants, et qui ne sont que l’émanation dudit groupuscule, chiens de garde de certains intérêts privés, dans le secteur des œuvres universitaires et nous tenons aussi à dénoncer et condamner fermement la complicité des pouvoirs publics et des services de sécurités, qui sont restés spectateurs de ces événements tragiques.
Etudiants, étudiantes, l’heure est grave, nous ne pouvons rester indifférents devant l’humiliation et la hogra que nous subissons quotidiennement, à cet effet nous vous appelons à venir assister massivement à l’assemblée générale qui se tiendra au niveau du bloc 3 du campus Aboudaou, le mardi 4 juin 2013 à 10h00 pour débattre de la situation de notre université et des actions à entreprendre.
Non à ce climat de terreur et d’insécurité dans notre université !
Vive l’union des étudiant(e)s !
Vive l’auto-organisation des étudiant(e)s !
Une attaque contre un seul est une attaque contre tous !
Bejaïa, le 04/06/2013
Démarcation, dénonciation et appel
Collectif des étudiant(e)s de l’université de Bejaïa
Démarcation, dénonciation et appel
Nous, collectif des étudiants, tenons à dénoncer et à nous démarquer des actes de vandalisme: saccage des administrations et des postes de garde de 1000 lits et de la nouvelle pépinière, incendie de la buanderie, du magasin et de la salle de sport de la R.U 17 octobre, fermeture de la D.O.U et de la R.N 09…..Œuvre d’un groupuscule de corrompus, sans aucun lien avec les étudiants, ayant provoqué la perturbation du déroulement des examens et un climat de terreur chez les étudiant(e)s et les travailleurs des œuvres universitaires en grève pour satisfaire leur revendications légitimes.
Par ailleurs, nous condamnons vivement ces actes fascistes, vandales, étrangers aux pratiques syndicales des étudiants, et qui ne sont que l’émanation dudit groupuscule, chiens de garde de certains intérêts privés, dans le secteur des œuvres universitaires et nous tenons aussi à dénoncer et condamner fermement la complicité des pouvoirs publics et des services de sécurités, qui sont restés spectateurs de ces événements tragiques.
Etudiants, étudiantes, l’heure est grave, nous ne pouvons rester indifférents devant l’humiliation et la hogra que nous subissons quotidiennement, à cet effet nous vous appelons à venir assister massivement à l’assemblée générale qui se tiendra au niveau du bloc 3 du campus Aboudaou, le mardi 4 juin 2013 à 10h00 pour débattre de la situation de notre université et des actions à entreprendre.
Non à ce climat de terreur et d’insécurité dans notre université !
Vive l’union des étudiant(e)s !
Vive l’auto-organisation des étudiant(e)s !
Une attaque contre un seul est une attaque contre tous !
Bejaïa, le 04/06/2013
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Re: Collectif des étudiant(e)s de l’université de Bejaïa Démarcation, dénonciation et appel
Université de Béjaïa - Marches et empoignades entre étudiants
Une marche de contestation depuis le Campus Aboudaou jusqu'au Campus de ThargaOuzemour a été organisée pour dénoncer les actes de vandalisme commis par un groupe d'étudiants dans trois résidences universitaires, à savoir 17 Octobre, La nouvelle Pépinière et Les 1000 lits. Arrivés à la résidence U Iryahen, une empoignade s'est produite entre étudiants des deux camps. Sept étudiants dont trois filles ont été blessés.
Un collectif d’étudiants de l’université de Béjaïa a organisé hier une marche de contestation depuis le Campus Aboudaoua jusqu’au Campus de Tharga Ouzemour pour dénoncer les actes de vandalisme commis par un groupe d’étudiants dans trois résidences universitaires, à savoir 17 Octobre, La nouvelle Pépinière et Les 1000 lits. Une assemblée générale a été tenue au Campus Aboudaoua avant le début de cette action pour laquelle ont adhéré plus 300 étudiants. Arrivés à la résidence U Iryahen, une empoignade s’est produite entre étudiants des deux camps. Sept étudiants dont trois filles ont été blessés. Cinq d’entre eux dont deux filles ont été évacués à l’hôpital pour des soins. La marche s’est poursuivie après l’intervention des services de l’ordre jusqu’au Campus Aboudaoua où une deuxième assemblée générale a eu lieu ou moment ou nous mettons sous presse. Une deuxième marche allait se tenir vers le siège de la wilaya. Les représentants des comités de cités de Tharaga Ouzemour, Amriw, les 1000 lits ainsi que plusieurs associations estudiantines ont dénoncé dans leurs interventions les actes de sabotage qui ont eu lieu dans les résidences universitaires et ont appelé les autorités à mettre sur place une enquête sérieuse pour débusquer les coupables et les arrêter, afin de mettre un terme à l’insécurité qui prévaut dans l’université de Béjaïa depuis deux années au moins. Le groupe de «Baltagia» sème la terreur et menace et les étudiants et les travailleurs, nous dira un membre d’une association. Dans une déclaration de «démarcation, dénonciation et appel» qui nous a été envoyée au milieu de la journée d’hier, le collectif des étudiant (e) s de l’université de Béjaïa «dénonce et se démarque des actes de vandalisme: saccage des administrations et des loges de garde de 1000 lits et de la nouvelle pépinière, incendie de la buanderie, du magasin et de la salle de sport de la R.U 17 Octobre, fermeture de la DOU et de la R.N 09». Le collectif précise que «ces actes de vandalisme sont l’œuvre d’un groupuscule de corrompus, sans aucun lien avec les étudiants, ayant provoqué la perturbation du déroulement des examens et un climat de terreur chez les étudiant(e) s et les travailleurs des œuvres universitaires en grève pour leurs droits légitimes». Le collectif des étudiants «condamne vivement ces actes fascistes, vandales, étrangers aux pratiques syndicales des étudiants, et qui ne sont que l’émanation dudit groupuscule, dont la motivation est liée à certains intérêts privés, dans le secteur des œuvres universitaires». Les rédacteurs de la déclaration dénoncent également ce qu’il qualifie de «complicité des pouvoirs publics et des services de sécurité qui sont restés spectateurs de ces événements tragiques». Ils estiment que «l’heure est grave». Et d’ajouter : «Nous ne pouvons rester indifférents devant l’humiliation et la hogra que nous subissons quotidiennement» lit-on encore dans le document.
Une marche de contestation depuis le Campus Aboudaou jusqu'au Campus de ThargaOuzemour a été organisée pour dénoncer les actes de vandalisme commis par un groupe d'étudiants dans trois résidences universitaires, à savoir 17 Octobre, La nouvelle Pépinière et Les 1000 lits. Arrivés à la résidence U Iryahen, une empoignade s'est produite entre étudiants des deux camps. Sept étudiants dont trois filles ont été blessés.
Un collectif d’étudiants de l’université de Béjaïa a organisé hier une marche de contestation depuis le Campus Aboudaoua jusqu’au Campus de Tharga Ouzemour pour dénoncer les actes de vandalisme commis par un groupe d’étudiants dans trois résidences universitaires, à savoir 17 Octobre, La nouvelle Pépinière et Les 1000 lits. Une assemblée générale a été tenue au Campus Aboudaoua avant le début de cette action pour laquelle ont adhéré plus 300 étudiants. Arrivés à la résidence U Iryahen, une empoignade s’est produite entre étudiants des deux camps. Sept étudiants dont trois filles ont été blessés. Cinq d’entre eux dont deux filles ont été évacués à l’hôpital pour des soins. La marche s’est poursuivie après l’intervention des services de l’ordre jusqu’au Campus Aboudaoua où une deuxième assemblée générale a eu lieu ou moment ou nous mettons sous presse. Une deuxième marche allait se tenir vers le siège de la wilaya. Les représentants des comités de cités de Tharaga Ouzemour, Amriw, les 1000 lits ainsi que plusieurs associations estudiantines ont dénoncé dans leurs interventions les actes de sabotage qui ont eu lieu dans les résidences universitaires et ont appelé les autorités à mettre sur place une enquête sérieuse pour débusquer les coupables et les arrêter, afin de mettre un terme à l’insécurité qui prévaut dans l’université de Béjaïa depuis deux années au moins. Le groupe de «Baltagia» sème la terreur et menace et les étudiants et les travailleurs, nous dira un membre d’une association. Dans une déclaration de «démarcation, dénonciation et appel» qui nous a été envoyée au milieu de la journée d’hier, le collectif des étudiant (e) s de l’université de Béjaïa «dénonce et se démarque des actes de vandalisme: saccage des administrations et des loges de garde de 1000 lits et de la nouvelle pépinière, incendie de la buanderie, du magasin et de la salle de sport de la R.U 17 Octobre, fermeture de la DOU et de la R.N 09». Le collectif précise que «ces actes de vandalisme sont l’œuvre d’un groupuscule de corrompus, sans aucun lien avec les étudiants, ayant provoqué la perturbation du déroulement des examens et un climat de terreur chez les étudiant(e) s et les travailleurs des œuvres universitaires en grève pour leurs droits légitimes». Le collectif des étudiants «condamne vivement ces actes fascistes, vandales, étrangers aux pratiques syndicales des étudiants, et qui ne sont que l’émanation dudit groupuscule, dont la motivation est liée à certains intérêts privés, dans le secteur des œuvres universitaires». Les rédacteurs de la déclaration dénoncent également ce qu’il qualifie de «complicité des pouvoirs publics et des services de sécurité qui sont restés spectateurs de ces événements tragiques». Ils estiment que «l’heure est grave». Et d’ajouter : «Nous ne pouvons rester indifférents devant l’humiliation et la hogra que nous subissons quotidiennement» lit-on encore dans le document.
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Re: Collectif des étudiant(e)s de l’université de Bejaïa Démarcation, dénonciation et appel
Béjaïa : Des étudiants dénoncent les actes de vandalisme dans les cités Universitaires
mardi 04 juin 2013 à 16:49 · 1 Commentaire - Patager sur : Votre Facebook - Votre Twitter -
[email=?subject=B%C3%A9ja%C3%AFa%20:%20Des%20%C3%A9tudiants%20d%C3%A9noncent%20les%20actes%20de%20vandalisme%20dans%20les%20cit%C3%A9s%20Universitaires&body=http://bejaia-aujourdhui.com/2013/06/bejaia-des-etudiants-denoncent-les-actes-de-vandalisme-dans-les-cites-universitaires/]Email cet article[/email]
Suite aux derniers incidents survenus dans les trois cités
universitaires de Béjaia, Iryahen, 1000 Lits et la cité du 17 octobre,
plusieurs étudiants ont exprimé leur mécontentement vis-à-vis de ces
actes et tenu à s’en démarquer.
Le comité Tahar Djaout de la cité de Mille lits a rendu public hier
un communiqué dans lequel ils expriment clairement leur position contre
ces actes de violence et appellent l’ensemble des étudiants à rester
vigilants et à se démarquer de ces agissements. « Nous, membres du
comité de cité Tahar Djaout, représentant des étudiants, tenons à
dénoncer et à nous démarquer des actes de vandalismes: saccage des
administrations et des postes de garde des cités universitaires,
fermeture de la D.O.U et de la R.N 09, provoquant panique chez les
étudiant(e)s et perturbations du déroulement des examens. Par ailleurs,
nous condamnons vivement ces actes fascistes, vandales et étrangers aux
pratiques syndicales des étudiants, et nous tenons aussi à dénoncer et
condamner la complicité des pouvoirs publics et des services de
sécurités, qui sont restés spectateurs de ces évènements tragiques »,
lit-on dans le communiqué.
Blocage de la RN 09 et la RN 12
Après avoir perpétré, durant la nuit d’avant-hier des actes de
vandalisme à travers les cités universitaires 17 octobre et celle
d’Ireyahen, un groupe d’étudiants a procédé, hier matin, à la fermeture
de la RN 09, à hauteur du pont Scala, pour réclamer la libération des
quatre étudiants (?) interpellés par les forces de l’ordre suite à ces
graves incidents. Selon une source au fait de cette affaire, qui a
défrayé la chronique locale, ces évènements ont débuté après que le
directeur de la DOU, Direction des Œuvres Universitaires ait sollicité,
jeudi dernier, l’intervention de la force publique pour rouvrir le siège
de la DOU de Bejaia, fermé par des protestataires. Un membre du comité
des étudiants de la résidence d’Ireyahen a été arrêté par la police.
En guise de représailles, ses collègues, qui ont bloqué, dans l’après
midi d’hier, à la circulation automobile, sur la RN 09, se sont
attaqués, durant la nuit, aux sièges des administrations des cités
universitaires 17 octobre et d’Ireyahen, en saccageant les vitres et les
outils de travail qui se trouvaient à l’intérieur des bureaux.
L’intervention des forces de l’ordre s’est soldée par l’arrestation de
quatre meneurs de ces actes de saccages, a indiqué notre source.
La vie des étudiants résidents (es) mise en danger
Le pire a été évité de justesse, suite à la déclaration d’un incendie
au niveau de la buanderie de la cité universitaire 17 octobre. Le bilan
de ces graves incidents fait état de plusieurs blessés, parmi les rangs
des étudiantes de la cité 17 octobre. Prises de panique devant la
gravité et la violence ayant caractérisés ces évènements, plusieurs
étudiantes se sont évanouies ou tombées en descendant l’escalier des
blocs où elles logeaient. A en croire notre source, ce groupe qu’on
appelle étudiants sont en fait « des ratés pédagogiques, des ex
étudiants et un groupe mafieux qui essayent de s’emparer la gestion des
affaires de la DOU et faire pression sur son directeur pour confier des
marché à certains fournisseurs vireux ». Certains incriminent les
pouvoirs publics et le black out total des autorités locales, qui ont
« laissé faire et négligé cette situation durant des années »
mardi 04 juin 2013 à 16:49 · 1 Commentaire - Patager sur : Votre Facebook - Votre Twitter -
[email=?subject=B%C3%A9ja%C3%AFa%20:%20Des%20%C3%A9tudiants%20d%C3%A9noncent%20les%20actes%20de%20vandalisme%20dans%20les%20cit%C3%A9s%20Universitaires&body=http://bejaia-aujourdhui.com/2013/06/bejaia-des-etudiants-denoncent-les-actes-de-vandalisme-dans-les-cites-universitaires/]Email cet article[/email]
Suite aux derniers incidents survenus dans les trois cités
universitaires de Béjaia, Iryahen, 1000 Lits et la cité du 17 octobre,
plusieurs étudiants ont exprimé leur mécontentement vis-à-vis de ces
actes et tenu à s’en démarquer.
Le comité Tahar Djaout de la cité de Mille lits a rendu public hier
un communiqué dans lequel ils expriment clairement leur position contre
ces actes de violence et appellent l’ensemble des étudiants à rester
vigilants et à se démarquer de ces agissements. « Nous, membres du
comité de cité Tahar Djaout, représentant des étudiants, tenons à
dénoncer et à nous démarquer des actes de vandalismes: saccage des
administrations et des postes de garde des cités universitaires,
fermeture de la D.O.U et de la R.N 09, provoquant panique chez les
étudiant(e)s et perturbations du déroulement des examens. Par ailleurs,
nous condamnons vivement ces actes fascistes, vandales et étrangers aux
pratiques syndicales des étudiants, et nous tenons aussi à dénoncer et
condamner la complicité des pouvoirs publics et des services de
sécurités, qui sont restés spectateurs de ces évènements tragiques »,
lit-on dans le communiqué.
Blocage de la RN 09 et la RN 12
Après avoir perpétré, durant la nuit d’avant-hier des actes de
vandalisme à travers les cités universitaires 17 octobre et celle
d’Ireyahen, un groupe d’étudiants a procédé, hier matin, à la fermeture
de la RN 09, à hauteur du pont Scala, pour réclamer la libération des
quatre étudiants (?) interpellés par les forces de l’ordre suite à ces
graves incidents. Selon une source au fait de cette affaire, qui a
défrayé la chronique locale, ces évènements ont débuté après que le
directeur de la DOU, Direction des Œuvres Universitaires ait sollicité,
jeudi dernier, l’intervention de la force publique pour rouvrir le siège
de la DOU de Bejaia, fermé par des protestataires. Un membre du comité
des étudiants de la résidence d’Ireyahen a été arrêté par la police.
En guise de représailles, ses collègues, qui ont bloqué, dans l’après
midi d’hier, à la circulation automobile, sur la RN 09, se sont
attaqués, durant la nuit, aux sièges des administrations des cités
universitaires 17 octobre et d’Ireyahen, en saccageant les vitres et les
outils de travail qui se trouvaient à l’intérieur des bureaux.
L’intervention des forces de l’ordre s’est soldée par l’arrestation de
quatre meneurs de ces actes de saccages, a indiqué notre source.
La vie des étudiants résidents (es) mise en danger
Le pire a été évité de justesse, suite à la déclaration d’un incendie
au niveau de la buanderie de la cité universitaire 17 octobre. Le bilan
de ces graves incidents fait état de plusieurs blessés, parmi les rangs
des étudiantes de la cité 17 octobre. Prises de panique devant la
gravité et la violence ayant caractérisés ces évènements, plusieurs
étudiantes se sont évanouies ou tombées en descendant l’escalier des
blocs où elles logeaient. A en croire notre source, ce groupe qu’on
appelle étudiants sont en fait « des ratés pédagogiques, des ex
étudiants et un groupe mafieux qui essayent de s’emparer la gestion des
affaires de la DOU et faire pression sur son directeur pour confier des
marché à certains fournisseurs vireux ». Certains incriminent les
pouvoirs publics et le black out total des autorités locales, qui ont
« laissé faire et négligé cette situation durant des années »
Azul- Nombre de messages : 29959
Date d'inscription : 09/07/2008
Re: Collectif des étudiant(e)s de l’université de Bejaïa Démarcation, dénonciation et appel
http://bejaia-aujourdhui.com/2013/06/bejaia-des-etudiants-denoncent-les-actes-de-vandalisme-dans-les-cites-universitaires/
Azul- Nombre de messages : 29959
Date d'inscription : 09/07/2008
Azul- Nombre de messages : 29959
Date d'inscription : 09/07/2008
Re: Collectif des étudiant(e)s de l’université de Bejaïa Démarcation, dénonciation et appel
Béjaïa : Echauffourées dans les résidences universitaires
dimanche 02 juin 2013 à 19:28 · 2 Commentaires - Patager sur : Votre Facebook - Votre Twitter -
[email=?subject=B%C3%A9ja%C3%AFa%20:%20Echauffour%C3%A9es%20dans%20les%20r%C3%A9sidences%20universitaires&body=http://bejaia-aujourdhui.com/2013/06/bejaia-echauffourees-dans-les-residences-universitaires/]Email cet article[/email]
Des échauffourées entre des étudiants et forces de l’ordre ont eu
lieu cet après-midi a l’extérieur de certaines résidences
universitaires de Béjaïa, rapportent des sources locales.
Les affrontements ont éclaté après l’intervention de la police pour
calmer des étudiants en colère qui ont saccagé des édifices à
l’intérieur des cités universitaires de Mille lits, entre autres. La
colère des étudiants est due selon les mêmes sources á la grève de 15
jours lancée par les travailleurs des résidences universitaires pour
exiger un meilleur statut.
Pour rappel, la direction des œuvres universitaires de Béjaia a été
saccagée au moins à deux reprises en moins d’une année par des
étudiants.
T.S
dimanche 02 juin 2013 à 19:28 · 2 Commentaires - Patager sur : Votre Facebook - Votre Twitter -
[email=?subject=B%C3%A9ja%C3%AFa%20:%20Echauffour%C3%A9es%20dans%20les%20r%C3%A9sidences%20universitaires&body=http://bejaia-aujourdhui.com/2013/06/bejaia-echauffourees-dans-les-residences-universitaires/]Email cet article[/email]
Des échauffourées entre des étudiants et forces de l’ordre ont eu
lieu cet après-midi a l’extérieur de certaines résidences
universitaires de Béjaïa, rapportent des sources locales.
Les affrontements ont éclaté après l’intervention de la police pour
calmer des étudiants en colère qui ont saccagé des édifices à
l’intérieur des cités universitaires de Mille lits, entre autres. La
colère des étudiants est due selon les mêmes sources á la grève de 15
jours lancée par les travailleurs des résidences universitaires pour
exiger un meilleur statut.
Pour rappel, la direction des œuvres universitaires de Béjaia a été
saccagée au moins à deux reprises en moins d’une année par des
étudiants.
T.S
Azul- Nombre de messages : 29959
Date d'inscription : 09/07/2008
Re: Collectif des étudiant(e)s de l’université de Bejaïa Démarcation, dénonciation et appel
http://bejaia-aujourdhui.com/2013/06/bejaia-echauffourees-dans-les-residences-universitaires/
Azul- Nombre de messages : 29959
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