Après les printemps arabes, les espoirs déçus
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Après les printemps arabes, les espoirs déçus
RSF et la liberté de la presse dans les pays arabes
Après les printemps arabes, les espoirs déçus
Par : Rubrique Radar
À l’occasion de la publication du classement mondial 2013, Reporters sans frontières publie pour la première fois un indice annuel de la liberté de la presse. Après les printemps arabes et les mouvements contestataires qui, en 2011, avaient provoqué des hausses et des chutes, le classement mondial de la liberté de la presse 2013 publié par Reporters sans frontières marque un retour à une configuration plus habituelle. Le rang d’un grand nombre de pays est moins lié à l’intensité de l’actualité politique.
La précédente édition du classement était fondée sur une actualité particulièrement riche, portée par les printemps arabes, dressant le bilan du lourd prix payé par les acteurs de l’information à la couverture des mouvements de contestation. En 2012, des cas de figure se distinguent entre les pays où des changements de régime se sont produits (Tunisie, Égypte, Libye), les États où les rébellions et leur répression ont encore cours (Syrie, Bahreïn) et, enfin, les pays où les autorités ont réussi à faire suffisamment de compromis et de promesses pour calmer de potentielles revendications de changement politique et/ou socioéconomiques (Maroc, Algérie, Oman, Jordanie, Arabie Saoudite...). L’Algérie pointe à la peu enviable 125e place.
Après les printemps arabes, les espoirs déçus
Par : Rubrique Radar
À l’occasion de la publication du classement mondial 2013, Reporters sans frontières publie pour la première fois un indice annuel de la liberté de la presse. Après les printemps arabes et les mouvements contestataires qui, en 2011, avaient provoqué des hausses et des chutes, le classement mondial de la liberté de la presse 2013 publié par Reporters sans frontières marque un retour à une configuration plus habituelle. Le rang d’un grand nombre de pays est moins lié à l’intensité de l’actualité politique.
La précédente édition du classement était fondée sur une actualité particulièrement riche, portée par les printemps arabes, dressant le bilan du lourd prix payé par les acteurs de l’information à la couverture des mouvements de contestation. En 2012, des cas de figure se distinguent entre les pays où des changements de régime se sont produits (Tunisie, Égypte, Libye), les États où les rébellions et leur répression ont encore cours (Syrie, Bahreïn) et, enfin, les pays où les autorités ont réussi à faire suffisamment de compromis et de promesses pour calmer de potentielles revendications de changement politique et/ou socioéconomiques (Maroc, Algérie, Oman, Jordanie, Arabie Saoudite...). L’Algérie pointe à la peu enviable 125e place.
Madona- Nombre de messages : 3426
Date d'inscription : 30/01/2009
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