Alliance entre le FFS, le FLN et le RND à Tizi-Ouzou: Samir Bouakouir : "le FFS veut réclamer sa part de la rente"
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Alliance entre le FFS, le FLN et le RND à Tizi-Ouzou: Samir Bouakouir : "le FFS veut réclamer sa part de la rente"
L’alliance scellée entre le FFS, le FLN et le RND pour contrôler les Assemblées locales à Tizi-Ouzou conforte les contestataires de l’actuelle direction du parti de Hocine Aït Ahmed. « S’allier politiquement avec les partis du système qui ont ruiné le pays et qui l’ont mené au bord du gouffre, c’est se rendre complice de cette logique de chaos qui est en train de s’installer dans le pays », condamne Samir Bouakouir, ancien cadre du FFS, dans une déclaration à TSA.
Dans le passé, « des arrangements » étaient trouvés entre les candidats élus de différents partis politiques pour le bon fonctionnement des collectivités locales, a-t-il rappelé. « Mais ils se faisaient à l’échelle locale, et donc des élus. Ça n’engageait pas les appareils politiques des partis. La différence est là », ajoute M. Bouakouir.
Le protocole d’accord signé jeudi et à travers lequel les trois formations s’engagent à s’entraider pour contrôler les collectivités locales est « plus un accord politique entre l’appareil du FFS, celui du RND et celui du FLN qu’une histoire d’arithmétique comme le prétend la direction » du parti, a?t?il insisté. Mais cette nouvelle alliance ne surprend pas cet ancien cadre du FFS.
« Je suis surpris par le fait que le FFS n’ait pas rejoint le gouvernement », explique?t?il. Car si le parti a rejoint « le système rentier », c’est, selon lui, pour réclamer sa part. La nouvelle stratégie de la direction du FFS « est de plus en plus visible et manifeste », a?t?il dit. « On a déjà dénoncé la dérive, tout cela nous donne raison ».
De plus en plus de militants rejoignent le mouvement de contestation
Avec d’autres anciens cadres et ex?responsables du parti, Samir Bouakouir a lancé un mouvement de contestation contre l’actuelle direction du parti. « De plus en plus de militants qui étaient hésitants au début, rejoignent le mouvement qui s’inscrit dans la préservation de ce qui était l’idéal du parti », affirme?t?il aujourd’hui. Des rencontres devraient se tenir prochainement.
Selon lui, « la direction du parti refuse d’ouvrir un débat sur la stratégie politique, la ligne, ce qui est anormal. Aujourd’hui, le mécontentement est généralisé et nous avons une direction qui est isolée ». Dans ce contexte, Samir Bouakouir lance un appel au président du parti, Hocine Aït Ahmed, pour mettre un terme « au processus de normalisation du FFS » et pour « imposer l’organisation d’une conférence nationale pour débattre de la ligne et de la stratégie politique ».
Dans le passé, « des arrangements » étaient trouvés entre les candidats élus de différents partis politiques pour le bon fonctionnement des collectivités locales, a-t-il rappelé. « Mais ils se faisaient à l’échelle locale, et donc des élus. Ça n’engageait pas les appareils politiques des partis. La différence est là », ajoute M. Bouakouir.
Le protocole d’accord signé jeudi et à travers lequel les trois formations s’engagent à s’entraider pour contrôler les collectivités locales est « plus un accord politique entre l’appareil du FFS, celui du RND et celui du FLN qu’une histoire d’arithmétique comme le prétend la direction » du parti, a?t?il insisté. Mais cette nouvelle alliance ne surprend pas cet ancien cadre du FFS.
« Je suis surpris par le fait que le FFS n’ait pas rejoint le gouvernement », explique?t?il. Car si le parti a rejoint « le système rentier », c’est, selon lui, pour réclamer sa part. La nouvelle stratégie de la direction du FFS « est de plus en plus visible et manifeste », a?t?il dit. « On a déjà dénoncé la dérive, tout cela nous donne raison ».
De plus en plus de militants rejoignent le mouvement de contestation
Avec d’autres anciens cadres et ex?responsables du parti, Samir Bouakouir a lancé un mouvement de contestation contre l’actuelle direction du parti. « De plus en plus de militants qui étaient hésitants au début, rejoignent le mouvement qui s’inscrit dans la préservation de ce qui était l’idéal du parti », affirme?t?il aujourd’hui. Des rencontres devraient se tenir prochainement.
Selon lui, « la direction du parti refuse d’ouvrir un débat sur la stratégie politique, la ligne, ce qui est anormal. Aujourd’hui, le mécontentement est généralisé et nous avons une direction qui est isolée ». Dans ce contexte, Samir Bouakouir lance un appel au président du parti, Hocine Aït Ahmed, pour mettre un terme « au processus de normalisation du FFS » et pour « imposer l’organisation d’une conférence nationale pour débattre de la ligne et de la stratégie politique ».
Aokas Revolution- Nombre de messages : 3967
Date d'inscription : 30/06/2009
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