La mort du commandant Mira vue par New York Times, du 7 novembre 1959.
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La mort du commandant Mira vue par New York Times, du 7 novembre 1959.
Il n y pas de chefs rebelles vivants en Algérie, affirment les Français
Le 6 novembre – L’Armée française a annoncé ce soir la mort du Major Mira, chef nationaliste rebelle dans la région de Kabylie au nord de l’Algérie. Elle a affirmé que les 6 régions rebelles sont aujourd’hui sans chefs. Major Mira, de son vrai nom Oum...ira Abderrahmane, a pris les commandes de la région de Kabylie après la mort en mars dernier, du colonel Amirouche, un des leaders militaires rebelles les plus efficaces.
Les français affirment que les cinq autres anciens chefs de rébellion sont, soit, exécutés par des camarades-nationalistes ou vivent à l’étranger.
Le chef de la 6ème région, partie sud du centre algérien, a été exécuté par les rebelles en août dernier avec quatre des ses collaborateurs les plus influents, a affirmé un porte-parole français ce soir. M’Hamed, chef de la région 4, région de l’algérois, a trouvé la mort dans des circonstances floues, a-t-il déclaré. Il a ajouté qu’au moment de sa mort, une purge était menée dans la région de l’algérois.
D’autres chefs rebelles à l’extérieur de l’Algérie
Le chef rebelle de l’Ouest algérien dirige des opérations depuis le Maroc, alors que les chefs des deux régions Est ont leurs bureaux en Tunisie, a déclaré le porte-parole.
L’annonce de la mort du Major Mira est venue vingt-quatre heures après une importante et inhabituelle activité militaire.
Les Français ont annoncé que 130 combattants nationalistes ont été, soit, tués ou capturés lors d’une douzaine d’accrochages durant deux jours. Un équipement militaire dont une Bazooka, une arme lourde et plusieurs armes automatiques légères a été saisi, ont-ils ajouté.
Major Mira voyageait à pieds dans les montagnes accompagné seulement de quatre gardes du corps lorsque son groupe a été surpris par une patrouille française cet après-midi, ont déclaré les français.
New York Times, édition du 7 novembre 1959.
Le 6 novembre – L’Armée française a annoncé ce soir la mort du Major Mira, chef nationaliste rebelle dans la région de Kabylie au nord de l’Algérie. Elle a affirmé que les 6 régions rebelles sont aujourd’hui sans chefs. Major Mira, de son vrai nom Oum...ira Abderrahmane, a pris les commandes de la région de Kabylie après la mort en mars dernier, du colonel Amirouche, un des leaders militaires rebelles les plus efficaces.
Les français affirment que les cinq autres anciens chefs de rébellion sont, soit, exécutés par des camarades-nationalistes ou vivent à l’étranger.
Le chef de la 6ème région, partie sud du centre algérien, a été exécuté par les rebelles en août dernier avec quatre des ses collaborateurs les plus influents, a affirmé un porte-parole français ce soir. M’Hamed, chef de la région 4, région de l’algérois, a trouvé la mort dans des circonstances floues, a-t-il déclaré. Il a ajouté qu’au moment de sa mort, une purge était menée dans la région de l’algérois.
D’autres chefs rebelles à l’extérieur de l’Algérie
Le chef rebelle de l’Ouest algérien dirige des opérations depuis le Maroc, alors que les chefs des deux régions Est ont leurs bureaux en Tunisie, a déclaré le porte-parole.
L’annonce de la mort du Major Mira est venue vingt-quatre heures après une importante et inhabituelle activité militaire.
Les Français ont annoncé que 130 combattants nationalistes ont été, soit, tués ou capturés lors d’une douzaine d’accrochages durant deux jours. Un équipement militaire dont une Bazooka, une arme lourde et plusieurs armes automatiques légères a été saisi, ont-ils ajouté.
Major Mira voyageait à pieds dans les montagnes accompagné seulement de quatre gardes du corps lorsque son groupe a été surpris par une patrouille française cet après-midi, ont déclaré les français.
New York Times, édition du 7 novembre 1959.
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Date d'inscription : 03/06/2011
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