vers la création d'un FFS paralléle

Il y aura bientôt deux FFS sur la scène nationale ! Près de 150 dissidents de ce parti, venus de Kabylie surtout, mais aussi d’Alger, de Sétif, de Bordj Bou Arréridj et même de Berriane (Ghardaïa), se sont réunis vendredi à la salle de cinéma du 20-Août 1956 d’Akbou, dans la wilaya de Béjaïa, pour une « rencontre nationale de militants protestataires du Front des forces socialistes (FFS) », annonce le Jeune Indépendant.
Ces frondeurs qui se désignent « refondateurs du parti », comptent installer des structures parallèles à celles officielles dirigées par Karim Tabbou. et son secrétariat national, qu’ils accusent d’être «un appareil à la solde du pouvoir».
Ils ont placé leur réunion sous le slogan «Pour la pérennité des idéaux du FFS validés par la raison et l’Histoire». Les plus en vue dans la salle sont les ex-députés Abdeslam Ali Rachedi, Hamid Ouazar, Nacer Mezzar, Zoubir Laïnceur et Saïd Madjour. Aux côtés de ces derniers et d’anciens militants de 1963 on a remarqué également la présence de quelques anciens secrétaires nationaux et même des cadres qui ont assisté au dernier congrès, le quatrième, du plus vieux parti algérien d’opposition, à l’image d’Ahmed Aït Chérif ou du Dr Lakhdar Amokrane qui a d’ailleurs présidé le bureau de cette réunion.
Comme on peut le deviner, la charge fut violente contre Karim Tabbou, devenu « un gamin naïf et sans expérience» pour les plus indulgents et «un chargé de mission par le pouvoir pour détruire le FFS» aux yeux des plus virulents. Mais les intervenants s’en sont pris aussi à Hocine Aït Ahmed, l’historique et charismatique président du parti, dont certains ont dénoncé le culte de la personnalité et ont assuré que «le mal du FFS vient d’Aït Ahmed»,
Pour les « frondeurs », le constat est limpide : le FFS, conduit par l’actuelle direction, va droit vers sa propre perte ; il est à l’état cadavérique; il est un appareil séparé de ses militants et de la société ; il est normalisé et est entré dans les rangs.

Et l’avenir ? Abdeslam Ali Rachedi a fait des propositions qui ont été approuvées par la majeure partie de l’assistance. L’ex-député, exclu du FFS en 1999, a proposé un nom à ce mouvement de protestation, à savoir FFS-commission nationale, qui sera doté, à terme, «d’un organe délibérant institué, d’un secrétariat national et d’un siège». Dans son volet organique, cette nouvelle structure se chargera, a-t-il ajouté, «de recenser et de rassembler tous les militants déçus du FFS». Sur le plan politique, «il faudrait redynamiser l’action politique sur le terrain pour être réellement aux côtés de la société». Quant au volet, des concepts et des idées, il s’agira de «réactualiser le programme du FFS», a-t-il dit, en le remettant à jour et en s’impliquant dans les débats nationaux.
«Nous devrons avoir des positions claires sur des volets tels que les privatisations, le code de la famille, les terres agricoles ou encore la révision de la Constitution», a-t-il dit, affirmant que le «FFS devra être une force d’opposition et de proposition».
Avant d’opter pour une telle démarche, les militants présents ont préconisé de lancer «un appel à Aït Ahmed sous forme de lettre ouverte».
La prochaine réunion aura lieu le 29 septembre, anniversaire de la création du FFS.

L.M. (avec A. M.-Jeune Indépendant)

lire quelques commentaires:

http://www.lematindz.net/news/1917-vers-la-creation-dun-ffs-parallele.html

Les contestataires de retour... et en force
La proclamation du FFS bis reportée à octobre

Les contestataires du FFS ont décidé de reporter tous les travaux, devant mener à la création d’un FFS bis (authentique), à l’après-Ramadhan. La date du 29 septembre, tant débattue lors de leur dernière rencontre, n’a pas reçu le consensus nécessaire pour faire la proclamation de ce parti en gestation à cette date, car coïncidant avec les préparatifs de l’Aïd. Cette nouvelle structure devrait voir la participation de plusieurs cadres dissidents, dont des ex-députés, des ex-membres du conseil national et de l’exécutif ainsi que des figures emblématiques de la rébellion de 1963. Il faut rappeler que cette contestation a été initiée par des militants, d’abord à l’intérieur du parti il y a de cela près de 2 ans, après la sentence prise par la direction nationale de procéder à leur exclusion pure et simple. Les rangs des dissidents ont grossi jusqu’à pratiquement vider le FFS de sa sève, avec la bénédiction de Hocine Aït Ahmed qui a trouvé en Karim Tabou la personne idoine pour mener la barque, en dépit de la désapprobation prononcée et criée des militants de base et de la majorité des cadres poussés sur voie de garage.

Depuis, le FFS a enregistré une saignée de ses militants et connaît des dissenssions graves, à telle enseigne que lors des élections du 29 novembre 2007, il obtient des résultats plus qu’humiliants jusqu’à perdre l’APC et l’APW de Tizi-Ouzou traditionnellement acquises.

Le mois d’octobre s’annonce bruyant au sein du parti d’Aït Ahmed, les contestataires entendent se faire respecter par le chef charismatique.

B. T. La Dépêche de Kabylie.

Un FFS bis, c'est du veritable opportunisme... Ali Rachedi a perdu les pedales...aprés "El Badil"...

Karim Tabbou répond au groupe de Ali Rachedi


Le premier secétaire du FFS, Karim Tabbou, a affirmé au quotidien El Khabar que l'action du groupe de Ali Rachedi Abdeslam s'inscrit dans le registre des tentatives du pouvoir de destabliser le parti et de détourner sa direction des prochaines échéances. Karim Tabbou a déclaré que ces peuso-fondateurs du FFS n'ont aucun lien organique avec le parti. ”Ali Rachedi Abdeslam est en dissidence depuis 1999. Depuis, il a crée deux partis politiques (El Badil et ESsabil) et adopté des positions contraires à celles adoptées par le FFS. Faut-il rappeler sa candidature à l'élection présidentielle de 2004 que le FFS a boycottée ?”, a ajouté Tabbou. ,

Concernant Hamid Ouazzar, Tabbou a rappelé que ce dernier était radié du FFS et qu'il était membre fondateur de l'UDR, parti crée par Amara Benyounes.

Par ailleurs, Tabbou a accusé ce groupe de travailler avec le pouvoir pour casser le FFS et discréditer les partis aux yeux de la population.

lire quelques reponses: cliquez sur ce lien

http://ffs1963.unblog.fr/2008/09/10/karim-tabbou-repond-au-groupe-de-ali-rachedi/comment-page-2/#comments

mohand arezki a dit:

voici la liste des personnes qui composent le ffs- soumission national
1- ali rachedi abdesslam, créer 2 partis+ une tentative de se présenter aux présidentielles de 2004 et plus grave vouloir rejoindre le rcd en 2007.
2- hamid ouazzar, fondateur de l’udr de amara benyounes hachakoum
3- nacer mezzar c’est lui qui a installer bouadi a l’apc de azazga, et organiser une opa sur le parti a tizi
4- naceur benslama, ex maire de chemini, connu pour ses aquantence avec les féodalités locales, ” on se souviens de lui quant il signé un arrete interdisant l’affichage sur le terretoire de sa commune”… ” et déclarant dans un conseil fédéral de vgayet” votre couverture politique est sale… peut etre mais pas comme celle de benslama
5- cherif melbouci… spécialiste des coups tordu et des chèque sans provision, en plus de cela il ” ose poser et retourner la chose en problème politique” depuis qu’il est avec les frondeur il est toujours en costume, il faut pas lui envouloir allah ghaleb c’est un vieux ” c’est un chikh sans provission”
6- said major, je lui donnerais exactement sa position au elections de 1997, quant il fut élu député, mais quelle honte major, c’est le sommum de la nulité et l’erisie
7- ramdane benani. ex p/apc de lni. nome vache folle par les militants de tizi, reyclé dans la orruption et les affaire devenu entrepreneur. l’homme au 11 voix parle de démocratie, soyons serieux meme le pouvoir mise sur des tocards.

la liste n’est pas close, mais je ne vais pas gacher votre soirée, j’ai bcp de respect pour vous, donc je m’arrache, car a force de continuer je commence à avoir des nosés

une analyse très dure et sa va blessé les militants du FFS

LA GROGNE S’AMPLIFIE CHEZ LES FRONDEURS DU FFS
QUE VA FAIRE AÏT AHMED ?

Dans une déclaration rendue publique hier, et dont nous avons reçu une copie, les meneurs du front de redressement du FFS, qui avaient déjà tenu un regroupement à Béjaïa (Akbou), il y a de cela plus d'un mois, comptent revenir à la charge de manière très forte dès la fin des fêtes de l'Aïd. Rien ne va plus, semble-t-il, au FFS, le plus vieux parti de l'opposition que préside le charismatique leader, Hocine Aït Ahmed. Depuis que de véritables campagnes d'épuration ont été entamées sous la direction de l'actuel premier secrétaire, Karim Tabbou, dans le seul but, nous dit-on, de ne pas écouter des sons discordants, des démissions en cascade ont été observées. Si bien que l'actuel mouvement, qui refuse ostensiblement qu'on l'appelle «mouvement de redressement» ou bien «FFS parallèle», se revendique au contraire de la ligne originelle, celle-là même qui devrait agréer à un leader historique et révolutionnaire comme le fut Hocine Aït Ahmed. C'est en gros ce que nous explique un des meneurs de ce mouvement, Hanafi Si Larbi, ancien élu à l'APW d'Alger et membre du secrétariat national, pour lequel «il n'y a pas d'abus d'autorité de la part du président du parti, mais bel et bien abus d'allégeance ». Et de se demander, cassant un tabbou phénoménal : «Comment un homme, qui se prétend partisan de l'alternance, peut-il garder le même poste de leader pendant 46 bonnes et longues années ?» Ainsi, et même après l'échec cuisant de ce parti aux dernières élections, et la démission de son premier secrétaire, celui-ci a quand même été reconduit à son poste, ce qui, aux yeux de certains meneurs de ce mouvement, une sorte de «prime à la médiocrité», si ce n'est une «prime à l'allégeance».

Toujours est-il qu'en cette date historique (29 septembre) symbolisant la naissance de ce parti, les leaders de ce mouvement, constitués par un grand nombre d'anciens cadres et élus du FFS, reviennent une fois de plus à la charge dans une déclaration fracassante, cela en attendant une rencontre nationale dont la tenue est prévue pour après l'Aïd. Dans cette déclaration, donc, nous pouvons lire, que « la direction nationale du FFS a eu tort de fermer toutes les portes du dialogue et de procéder à une purge pernicieuse (…). Dans ces conditions, peuventils rester crédibles lorsqu'ils revendiquent la réhabilitation du politique et la démocratisation des institutions du pays ? ». Et d'ajouter que « continuer à vouloir justifier leur attitude en invoquant le spectre du DRS à chaque fois que des voix contestatrices s'élèvent, ne peut convaincre personne ». Ainsi donc, le mot d'ordre de ce mouvement, qui semble bel et bien avoir l'avenir devant lui, à voir l'état de déliquescence auquel en est arrivé le FFS, au point où il a même désigné un secrétaire national qui devait être condamné à la prison pour escroquerie et chèque sans provision, consiste en ceci : «Un meilleur futur, une réponse aux besoins et aux attentes des Algériennes et des Algériens, un FFS plus juste et plus respectueux de ses principes fondateurs. En un mot, une meilleure démocratie pour tous ». Il est rappelé, en effet, qu' « un an après la parodie de congrès organisée, en violation des normes juridiques et démocratiques minimales exigées pour ce type d'échéance statutaire, l'heure est à un bilan sans complaisance. La plupart de nos sections sont inopérantes. Le nouveau concept de commission administrative a aggravé notre situation organique. Un changement de cap s'avère vital pour notre parti. Nous sommes tenus, les uns et les autres, de nous reprendre. Cet anniversaire vient nous le rappeler ». S'il n'y a rien à attendre de Tabbou et des siens, le salut pourrait peut-être venir d'Aït Ahmed lui-même, pour peu qu'il oeuvre à écouter un peu moins son fameux cabinet noir, et à se mettre au diapason de sa base militante ainsi que de la société profonde algérienne. loin de se borner à son simple rôle de parti politique, le FFS, s'il ne se ressaisit pas, expliquent ces militants, qui ont tous été approchés par le FLN, le RND, le RCD, et qui ont refusé de figurer en tête de liste lors des dernières élections, demeurant ainsi fidèles à leur parti et à leurs idéaux, risque de ne plus jamais être ce creuset au sein duquel devra s'effectuer « l'édification d'un pôle d'opposition démocratique, capable de peser dans les futurs rapports politiques ». Il est à signaler que l'ancien leader du FFS, qui en avait fait les beaux jours à une certaine époque, Ahmed Djeddaï en l'occurrence, a refusé de se prononcer sur cette crise, alors que lui-même est une des premières victimes de Tabbou et des siens. Il semble que Djeddaï, qui a bien profité du temps où des élus FFS contrôlaient des communes comme celle de la très convoitée Dély Ibrahim, ait décidé de se consacrer à ses affaires et à son cabinet médical, ce que lui reprochent amèrement ceux qui sont demeurés farouchement fidèles à la ligne originelle de ce parti. Si le parti persiste dans cette démarche, alors que ses rangs ne cessent de se clairsemer, il risque fort, humiliation suprême il faut le dire, de ne pas pouvoir jouer un quelconque rôle lors des prochaines présidentielles, auxquelles il a prévu de prendre part.

Wassim Benrabah

Liste des meneurs de ce mouvement qui promet de faire beaucoup parler de lui dans les prochaines semaines :

Ahmed Ali Tahar (ancien militant de la cause nationale et du FFS 1963), Dr.Ait Belkacem Hamid(militant) , Ait Chérif Ahmed (ex-secrétaire national, ex-président de la commission nationale de discipline), Aissani Farid (ex-secrétaire national à l'immigration), Dr.Amokrane Lakhdar (ex-secrétaire national et membre du conseil national), Amri Makhlouf (militant), Belala Ramdane (ancien FFS 63), Benadda Zahar(ex-secrétaire national), Bouaggache Hakim (ex-porte parole du parti),BrahimALGER. Doci Mohamed (ex-1er secrétaire de section), Chaker Djamel (ex-exécutif de section), Firad Laid (ex membre du conseil national), Gaci Aomar (militant), Hanifi Massinissa(section universitaire), Ibrahim Abdelkader (ex-federal, ex-membre du conseil national), Kaouane Abdelkamel (militant), Kaci Ramdane (ancien FFS63), Kharouni Razik (ex-1er secrétaire de section), Melbouci Chérif, Messaoudi Belkacem (ex-federal, ex-membre du conseil national), Mohand Oussaid Abdelkader (ancien FFS 63), Mokhnache Aziz (ex-1er secrétaire de section), Ouarab Youcef, Ould Taleb Mahmoud, Ramdani Salem (ancien militant de la cause nationale et du FFS63), Sid Mohamed (ex-1er secrétaire de section), Si Larbi Hanafi (ex-membre du conseil national), Taalba Nadia (ex-présidente du FFS Ile de France) Yanat Mahfoud (ex-président par intérim du FFS immigration), Zouia Farid (ex-exécutif de section), Abdesselam Ali Rachedi, ancien premier secrétaire du FFS et ancien député…

un parti où la force et la dictature est le premier mot d'ordre n'est pas exempt de ce types de crises.les déclarations du premier sécrétaire de ce parti qui sont à chaque fois offensante d'une maniére loin des discours politiques plus proche du discour de la rue nous renseigne sur l'etat de ce parti qui peine à trouver un consensus autout d'un premier secrétaire digne de ce poste.l'absence de hauts cadres au sein de ce parti le laisse place aux inculte venir prendre de hautes résponsabilité qui leurs echape bien evidement.on peut pas prendre une fonction qui nous dépasse.
le FFS aussi est victime d'un pont noir dans son histoire.on trouve maintennant des familles qui culpabilise ce parti de ne rien faire pour eux et de ne pas exercer une pression sur le pouvoir pour les indemniser aprés les évenements de 1963.

KARIM TABBOU À TIZI OUZOU :
«La fronde au FFS est une manipulation du pouvoir»


Le premier secrétaire national du FFS, Karim Tabbou, a animé hier une conférence à la Maison de la culture Mouloud- Mammeri de Tizi Ouzou, à l'occasion du 45e anniversaire de la création du Front des forces socialistes. Le conférencier a passé en revue toutes les périodes importantes de l'histoire contemporaine de l'Algérie mais aussi de son parti dont il considérera «la création comme une réponse à une violation du pouvoir en 1963». Lors de cette conférence placée sous le thème anniversaire-bilan, Tabbou qui s'est longuement attardé sur certains faits historiques, a voulu interposer certaines dates comme 1958 (création du GPRA) 1963 (création du FFS) et 1988 (événements d'octobre) pour «comprendre ce qui nous arrive aujourd'hui et remettre à leurs places certains repères à même d'expliquer la situation actuelle (sic)». Dans le même sillage, il insistera à adresser un message à l'endroit des jeunes en leur disant : «nous devons assumer notre responsabilité devant l'histoire». De parallèle en parallèle, le premier secrétaire du plus vieux parti d'opposition tentera d'expliquer comment le pouvoira mis en place une certaine «mécanique qui a toujours fonctionné entre la violence contre les populations et la liquidation physique». C'est ainsi, a-t-il ajouté, que «la violence a été érigée en mode de gestion, au même titre que la manipulation, la corruption…». Le tableau dressé est des plus sombres. Tantôt ironisant, tantôt prenant un air des plus sérieux, il assimilera la situation du pays au «tableau de bord d'un véhicule dont tous les voyants sont au rouge». C'est pourquoi il a préconisé de tout revoir si l'on ne veut pas retomber dans les mêmes échecs. D'autres points aussi importants les uns que les autres ont été évoqués par le conférencier notamment les prochaines échéances électorales, comprendre l'élection présidentielle. Il a estimé que nous assistons à la mise en place d'une grande pièce théâtrale politique et que l'agitation a déjà commencé : «Les medahates et les medahinnes sont à l'oeuvre pour plaire au prince du moment», dira-t-il encore. Ironique, il dira que l'Algérie est le pays qui a organisé le plus d'élections au monde pour le moins de démocratie et qu'on fait semblant de faire bouger les choses pour que tout reste en place. Il dira que pour certains, la question du 3ème mandat est déjà réglée et les décideurs pensent déjà au 4ème. En opposant il ajoutera que « tout processus de sortie de crise ne peut être mené par une seule et unique tendance» en évoquant l'initiative des 3 (Aït Ahmed, Mehri et Hamrouche , initiative qu'il n'a pas hésité de qualifier d'un « choix politique visant à réengager le pays dans une voie salvatrice ». Tabbou n'a pas manqué d'avertir aussi sur les risques d'une révolte sociale qui couve : «nous allons êtres confrontés à la nécessité de gérer un sentiment de révolte et tous les indices montrent que le pays risque de basculer dans des situations graves ».Très attendue, son intervention sur la crise qui secoue son parti a été laissée comme dernier point de l'intervention. Pour expliquer la fronde qui s'est emparée de certains militants de son parti, Tabbou a estimé que c'est l'oeuvre du pouvoir en place. « le pouvoir tente de normaliser, d'évacuer et de mettre de côté le FFS en lui créant des problèmes de l'intérieur » précisera-t-il avant de qualifier le mouvement de fronde de chahut. « Le FFS est comme un aigle, il prend de l'altitude quand le ciel est plein de corbeaux», dira-t-il à leur endroit pour clore son intervention qui a été suivie de la remise de médaille aux familles des combattants de 1963 et le dépôt d'une gerbe de fleurs au carré des martyrs de M'douha.

Brahim Boubchir

Il y'a longtemps que nous vivons dans un monde paralléle , meme les plus grands de nos marchés sont paralléles .

je ne sait pas pourquoi ajouter une autre formation FFS II, paraléle ou stéreotype... déjà le FFS qui nous pleurniche les dégats du pouvoir central d'Alger ne fait rien, alors pourquoi ajouter un autre ...

c'est vrai asmaali ,à force que le ffs ne fait que pleurnicher et nous chanter "son éternel junte d'alger" ,on est arrivé à la conclusion que ce pouvoir est éternel et indéboulonnable .
le pouvoir doit féliciter son agent de mission le ffs pour avoir accompli avec brio et panache sa mission de "docéliser" la kaylie et de la rendre non seulement pascifique mais passive et inerte
bravo monsieur ait ahmed d'avoir fait des kabyles des pleurnichards mais surtout des gens loin de l'action ,qui est la vraie solution de rechange
le ffs est le pompier du pouvoir ,le rcd est le par choc du pouvoir aux coup de buttoir de la mouvance islamiste ,et ainsi chacun son role dans cette piéce théatrale