AIT AHMED: l'abus de trop ?
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AIT AHMED: l'abus de trop ?
Tournée des popotes 24 heures après l'officialisation de la participation du FFS aux prochaines législatives. " Aït Ahmed a donné son accord, le conseil national décide de participer aux législatives", titre sans rire un journal électronique. " l'instruction du Zaïm tient lieu de loi et de débat.
Le conseil national c'est pour la déco" ironise un journaliste de la presse écrite chargé de suivre le FFS. "C'est un féodal, définitivement un féodal." fulmine l'élu APW du FFS de Béjaïa qui avait déploré hier une offrande sacrificielle du parti à Bouteflika. L'interdiction d'aborder en plénière deux sujets qui brûlent toutes les lèvres ( la rentrée secrète à Alger du président du FFS et la vente illégale de la maison incessible mise à sa disposition par le pouvoir ) occupe plus que jamais les discussions de la base. " S'il y a une élection qu'il faut boycotter depuis 1962, c'est bien celle du 10 mai 2012" soutient cet ancien député du FFS qui ajoute " aller voter au moment où dans et autour du pays le sang et les larmes coulent à flot chaque jour pour exiger le changement a quelque chose d'indigne." Pour faire diversion et ne pas assumer une décision abracadabrante, Aît Ahmed ne déroge pas à une tactique bien rodée: déverser sa haine sur les autres, tous les autres qui sont des traitres. Pourtant, au lendemain du son coup de force de ce 2 mars, il semble que le vieux dirigeant présume un peu trop de sa capacité à continuer à faire avaler des couleuvres. La toile grouille d'informations qui relatent ses contorsions politiques depuis 1949; autant de coups que les uns et les autres avaient accepté de taire par faiblesse ou appréhension de faire le jeu du pouvoir. "J'ai tout avalé: les accusations grotesques lancées contre les anciens militants qui lui demandaient de rentrer en Algérie, les accointances avec le FIS, la maison incessible, le cabinet noir, le jeu trouble de l'hiver 2011 contre les manifestants mais là toutes les bornes sont dépassées, il ne se contente pas de tirer profit de notre soumission; il nous humilie. Et là nous ne laisserons pas faire" avertit un membre de la direction qui promet des démarcations publiques, "par devoir politique et puis c'est une question de dignité humaine." On notera cependant que, pour l'instant, les auteurs de ces griefs ne se sont pas exprimés publiquement.
Le conseil national c'est pour la déco" ironise un journaliste de la presse écrite chargé de suivre le FFS. "C'est un féodal, définitivement un féodal." fulmine l'élu APW du FFS de Béjaïa qui avait déploré hier une offrande sacrificielle du parti à Bouteflika. L'interdiction d'aborder en plénière deux sujets qui brûlent toutes les lèvres ( la rentrée secrète à Alger du président du FFS et la vente illégale de la maison incessible mise à sa disposition par le pouvoir ) occupe plus que jamais les discussions de la base. " S'il y a une élection qu'il faut boycotter depuis 1962, c'est bien celle du 10 mai 2012" soutient cet ancien député du FFS qui ajoute " aller voter au moment où dans et autour du pays le sang et les larmes coulent à flot chaque jour pour exiger le changement a quelque chose d'indigne." Pour faire diversion et ne pas assumer une décision abracadabrante, Aît Ahmed ne déroge pas à une tactique bien rodée: déverser sa haine sur les autres, tous les autres qui sont des traitres. Pourtant, au lendemain du son coup de force de ce 2 mars, il semble que le vieux dirigeant présume un peu trop de sa capacité à continuer à faire avaler des couleuvres. La toile grouille d'informations qui relatent ses contorsions politiques depuis 1949; autant de coups que les uns et les autres avaient accepté de taire par faiblesse ou appréhension de faire le jeu du pouvoir. "J'ai tout avalé: les accusations grotesques lancées contre les anciens militants qui lui demandaient de rentrer en Algérie, les accointances avec le FIS, la maison incessible, le cabinet noir, le jeu trouble de l'hiver 2011 contre les manifestants mais là toutes les bornes sont dépassées, il ne se contente pas de tirer profit de notre soumission; il nous humilie. Et là nous ne laisserons pas faire" avertit un membre de la direction qui promet des démarcations publiques, "par devoir politique et puis c'est une question de dignité humaine." On notera cependant que, pour l'instant, les auteurs de ces griefs ne se sont pas exprimés publiquement.
Ali Graïchi
rebelle kabyle- Nombre de messages : 6839
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Re: AIT AHMED: l'abus de trop ?
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rebelle kabyle- Nombre de messages : 6839
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Re: AIT AHMED: l'abus de trop ?
Tournée des popotes 24 heures après l'officialisation de la participation du FFS aux prochaines législatives. " Aït Ahmed a donné son accord, le conseil national décide de participer aux législatives", titre sans rire un journal électronique. " l'instruction du Zaïm tient lieu de loi et de débat.
Le conseil national c'est pour la déco" ironise un journaliste de la presse écrite chargé de suivre le FFS. "C'est un féodal, définitivement un féodal." fulmine l'élu APW du FFS de Béjaïa qui avait déploré hier une offrande sacrificielle du parti à Bouteflika. L'interdiction d'aborder en plénière deux sujets qui brûlent toutes les lèvres ( la rentrée secrète à Alger du président du FFS et la vente illégale de la maison incessible mise à sa disposition par le pouvoir ) occupe plus que jamais les discussions de la base. " S'il y a une élection qu'il faut boycotter depuis 1962, c'est bien celle du 10 mai 2012" soutient cet ancien député du FFS qui ajoute " aller voter au moment où dans et autour du pays le sang et les larmes coulent à flot chaque jour pour exiger le changement a quelque chose d'indigne." Pour faire diversion et ne pas assumer une décision abracadabrante, Aît Ahmed ne déroge pas à une tactique bien rodée: déverser sa haine sur les autres, tous les autres qui sont des traitres. Pourtant, au lendemain du son coup de force de ce 2 mars, il semble que le vieux dirigeant présume un peu trop de sa capacité à continuer à faire avaler des couleuvres. La toile grouille d'informations qui relatent ses contorsions politiques depuis 1949; autant de coups que les uns et les autres avaient accepté de taire par faiblesse ou appréhension de faire le jeu du pouvoir. "J'ai tout avalé: les accusations grotesques lancées contre les anciens militants qui lui demandaient de rentrer en Algérie, les accointances avec le FIS, la maison incessible, le cabinet noir, le jeu trouble de l'hiver 2011 contre les manifestants mais là toutes les bornes sont dépassées, il ne se contente pas de tirer profit de notre soumission; il nous humilie. Et là nous ne laisserons pas faire" avertit un membre de la direction qui promet des démarcations publiques, "par devoir politique et puis c'est une question de dignité humaine." On notera cependant que, pour l'instant, les auteurs de ces griefs ne se sont pas exprimés publiquement.
Ali Graïchi
Le conseil national c'est pour la déco" ironise un journaliste de la presse écrite chargé de suivre le FFS. "C'est un féodal, définitivement un féodal." fulmine l'élu APW du FFS de Béjaïa qui avait déploré hier une offrande sacrificielle du parti à Bouteflika. L'interdiction d'aborder en plénière deux sujets qui brûlent toutes les lèvres ( la rentrée secrète à Alger du président du FFS et la vente illégale de la maison incessible mise à sa disposition par le pouvoir ) occupe plus que jamais les discussions de la base. " S'il y a une élection qu'il faut boycotter depuis 1962, c'est bien celle du 10 mai 2012" soutient cet ancien député du FFS qui ajoute " aller voter au moment où dans et autour du pays le sang et les larmes coulent à flot chaque jour pour exiger le changement a quelque chose d'indigne." Pour faire diversion et ne pas assumer une décision abracadabrante, Aît Ahmed ne déroge pas à une tactique bien rodée: déverser sa haine sur les autres, tous les autres qui sont des traitres. Pourtant, au lendemain du son coup de force de ce 2 mars, il semble que le vieux dirigeant présume un peu trop de sa capacité à continuer à faire avaler des couleuvres. La toile grouille d'informations qui relatent ses contorsions politiques depuis 1949; autant de coups que les uns et les autres avaient accepté de taire par faiblesse ou appréhension de faire le jeu du pouvoir. "J'ai tout avalé: les accusations grotesques lancées contre les anciens militants qui lui demandaient de rentrer en Algérie, les accointances avec le FIS, la maison incessible, le cabinet noir, le jeu trouble de l'hiver 2011 contre les manifestants mais là toutes les bornes sont dépassées, il ne se contente pas de tirer profit de notre soumission; il nous humilie. Et là nous ne laisserons pas faire" avertit un membre de la direction qui promet des démarcations publiques, "par devoir politique et puis c'est une question de dignité humaine." On notera cependant que, pour l'instant, les auteurs de ces griefs ne se sont pas exprimés publiquement.
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