Béjaïa : après avoir soufflé sa première bougie, Mon Journal très convoité

Après avoir visité de nombreux kiosques à travers la wilaya, grande a été notre surprise de relever un grand attrait pour Mon Journal.
«Depuis quelques jours ce quotidien se vend comme des petits pains, je ne sais pas ce qui s’est passé, mais tout le monde le demande. Je tâcherai de commander un quota plus important vu l’engouement du lectorat pour ce quotidien », nous précisera un buraliste de Bordj-Mira à 60 km à l’est de Béjaïa. Plus loin à Souk-el-Tenine, même son de cloche.
Il était exactement 10h30, lorsque nous sommes passés acheter le journal dans un kiosque à Aokas. « Il n’en reste plus, d’habitude il est toujours là. J’ai effectivement remarqué ces derniers temps que le quotidien marche bien et bah ! Je dirai tant mieux», ajoutera le buraliste de la même localité.
A Béjaïa, et plus exactement au niveau des quatre- chemins où se trouve une grande librairie avec une diversification de titres étalés, nous étions arrivés à nous procurer un exemplaire, il ne restait d’ailleurs que deux. Un acheteur venait juste de faire son apparition dans la boutique. « S’il vous plaît, El Watan, Le Soir et « Mon Journal » ? « Pour ce dernier, il ne m’en reste plus, mais essayez de voir en ville, peut-être que vous en trouverez » lui répondit le libraire. C’est dire que Mon Journal a bien fait son chemin en si peu de temps, nonobstant un terrain parsemé d’embûches, et là ce ne sont certainement pas les mordus de la presse qui nous contrediront. Bon vent quand même.
Hamid Nabet

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