Béjaïa : les buralistes demandent des quotas supplémentaires de Mon Journal

Décidément, Mon Journal ne cesse de faire du chemin pour devenir tout simplement l’un des quotidiens les plus convoités par les lecteurs de la wilaya de Béjaïa et même selon des échos qui nous sont parvenus dans la majeure partie des wilayas du pays.
La demande est tellement importante que les buralistes de toute la région de la capitale des Hammadides sont confrontés aux exigences des lecteurs.
«Figurez-vous que j’étais obligé de demander un quota supplémentaire de ce quotidien qui est très apprécié ces derniers temps à tel point que je me suis posé la question sur les raisons qui poussent tant tout le monde à l’acheter.
Personnellement, je ne me suis pas rendu compte, tellement je suis pris par le boulot, mais un ami avait attiré mon attention sur la ligne éditoriale du journal, et croyez-moi, effectivement, plus on le lit plus, on découvre les vérités et certains détails sur la gestion des décideurs qui nous gouvernent.
Eh bien, chapeau les amis», nous a déclaré un buraliste de Béjaïa. Même son de cloche dans plusieurs kiosques répartis à travers la wilaya.
Des lecteurs des régions reculées du chef-lieu trouvent également un certain plaisir à feuilleter Mon Journal.
«La une du journal est tout simplement spectaculaire et le mot n’est pas fort. On y décrit une vérité que tout le monde sait, mais qu’on ne peut révéler.
Vous savez, le mode de gestion de ce pays, mais aussi la corruption à grande échelle qui sévit sont restées en travers de la gorge des Algériens.
Lorsque ces mêmes Algériens voient leurs richesses passer devant leur nez sans avoir le droit d’y toucher.
Ils expriment leur colère en s’adonnant à la coupure des axes routiers.
Il y a enfin les informations qui concernent les régions déshéritées de la wilaya qui font quelquefois réagir les autorités locales et les citoyens de ces régions.
On ne peut souhaiter que longue vie à ce quotidien et un grand courage à toute l’équipe rédactionnelle à sa tête Hichem Aboud, que nous soutenons corps et âme», nous dira un retraité et lecteur assidû de Mon Journal de la région d’Aokas.
Hamid Nabet

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