La presse nationale et la revue "Lumiere-Tafat"
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La presse nationale et la revue "Lumiere-Tafat"
Des pages de lumière article paru dans l'Expression
TAFUKT EST NÉE
Des pages de lumière
04 mars 2006 - Page : 21
La revue traite de sujets d’actualité avec beaucoup de réalisme et surtout avec un esprit critique.
Tafukt, dans le parler aokassien et ses environs immédiats, Itij, dans d’autres régions qui veut dire soleil, est une revue qui vient de naître qui, comme son nom l’indique, brillera sur bien des esprits.
La revue traite de sujets d’actualité avec beaucoup de réalisme et surtout avec un esprit critique. Autrement dit, avec esprit cartésien et analytique. «Le premier numéro de Tafukt que voici, se veut être l’incarnation d’une lumière qui éclaire le chemin des esprits victimes des aliénations culturelles», annoncent les rédacteurs, d’emblée, dans l’éditorial de cette revue éditée par l’association culturelle d’Aokas (Azday Adelsan n Weqas).
Les sujets riches et variés, parfois sortant des sentiers battus, qui vont de la culture, jeunesse, jusqu’à l’informatique, attirent toute l’attention du lecteur tant les thèmes sont présentés avec beaucoup de consistance et sûrement après un travail mené sur le terrain.
Sans amoindrir de la valeur et apport des autres textes, l’article intitulé «Logements sociaux à l’aube de la mondialisation» signé par le rédacteur en chef, en l’occurrence, Hafit Zaouche, l’un des initiateurs de la revue, est des plus attrayants tant l’auteur apporte une autre perception de la chose. «Le logement social est une autoroute qui mène droit vers l’assistanat et la ghettoïsation des populations...». En d’autres termes, cela favorisera l’apparition de nouvelles moeurs et la dégradation des valeurs, surtout quand on arrache un paysan à sa terre et qu’on l’implante dans une cité urbaine, ce qui provoquerait, à quelques exceptions près, un «déracinement». Cela nous mènera à dire qu’il faut plutôt encourager l’habitat rural, un dispositif lancé par l’Etat, ces dernières années. Il va sans dire que ces logements sont des cités-dortoirs tout simplement car construits sans aucune esthétique ni aménagement (espaces verts... des blocs de béton, voilà tout).
On y évoque aussi la drogue, ce fléau qui ronge notre société et, au premier degré la jeunesse et ce, dans des proportions alarmantes. Le problème d’un drogué n’est pas seulement individuel mais «se répercute aussi sur la société. Les toxicomanes se procurent de la drogue en commettant des vols, des agressions ou en se livrant à la prostitution (cas des femmes)». L’histoire de L’arch Aït M’hemmed, habitants autochtones et fondateurs d’Aokas, a été relatée en langue amazighe par Nessr Madjdoub.
Pour ce qui est du volet culturel, outre les poèmes, on a interviewé un chanteur de la région en l’occurrence Warsine, à l’occasion de la sortie de son nouvel album.
Cependant, le fait le plus inouï, c’est cette histoire digne des films hollywoodiens vécue par Zaouche Hafit, initiateur et rédacteur en chef de la revue, où il a raconté ses péripéties judiciaires et policières après le 11 septembre 2001 dans un article intitulé «Le cauchemar américain». «Une fois en détention à Florence située au milieu du désert Mojave d’Arizona, ils m’ont isolé dans une cellule et j’étais accusé d’appartenir à l’organisation de Ben Laden (Al Qaîda)...», raconte l’auteur avec dépit et beaucoup d’émotion.
Nonobstant un bon choix dans les textes et une analyse assez rationnelle dans le traitement des thèmes, il n’en demeure pas moins que sur le plan rédactionnel, on doit s’affirmer encore davantage quitte à faire appel à des plumes plus expérimentées et, par ricochet, à des correcteurs.
Cette revue qui sera mensuelle, selon les dires de son rédacteur en chef, est en vente pour la modique somme de 70 DA. Bonne continuation!
Abdeslam AOUADENE
Aokas : Après Tafukt, Tafat
Cinq mois après la parution du numéro zéro de la revue Tafukt sous l’égide de l’Association culturelle d’Aokas, son équipe rédactionnelle s’est retirée de cette dernière et veut voler de ses propres ailes.
Elle éditera durant le mois de mai le numéro suivant de cette revue mais sous une autre appellation qui est d’ailleurs en relation avec le nom donné à la première. Donc à défaut de Tafukt (soleil), c’est Tafat (lumière).
Sous la houlette de son initiateur et directeur, Zaouche Hafit, le numéro un de la revue Tafat a vu le jour et traite de tous les sujets d’actualité, notamment l’histoire, le tourisme, l’immigration, le social, l’économie et tout ce qui est en relation avec la région du Sahel qui s’étend de Tichy à Melbou.
Une nouveauté dans ce numéro qui est une réussite totale : c’est l’introduction de placards publicitaires pour le compte des commerçants de la région qui leur ont rapporté un peu d’argent pour pouvoir éditer cette revue illustrée et en couleurs.
Nous espérons que le deuxième numéro sera édité dans un mois comme promis par son directeur afin qu’il y ait une réelle succession de revues mensuelles.
A. Gana
In Dépêche de Kabylie
25/06/06
ET LA LUMIERE FUT ! aricle paru à Racines-Izuran
Le deuxième numéro de la revue TAFUKT sort sous le nouveau nom de LUMIERE. Un nouveau nom, mais aussi une nouvelle ligne éditoriale.
Après l’écho favorable rendu par les lecteurs du numéro 00 de la revue TAFUKT, à travers courrier, E-Mails et postes sur Aokas-Forum (www.aokas.forumactif.com) qui est le premier partenaire de la revue ; les lecteurs ont désormais à déguster le numéro 01 dont lequel de belles surprises les attendent. En effet, la revue LUMIERE est éditée en grand format, en couleurs et traitant un nombre plus important de sujets, ce qui fait que ce numéro est un volume de 32 pages présentant un cocktail de sujets ; dans la rubrique TOURISME, S.KASMI présente les attractions touristiques de la région du Sahel, répondant ainsi, au bon moment, à une question que se pose tout vacancier cherchant une destination pour passer un bel été. Un autre article signé par le même auteur raconte une visite dans la GROTTE FEERIQUE. Un article qui pourra être un guide pour les nouveaux visiteurs de ce monde sous terrain et une sorte de souvenir et de prospectus, parce que illustré par deux photos inédites, pour les autres. Dans la rubrique MUSIC, S.CHERFI rends hommage et fait découvrir un chanteur assassiné en France en 1989 dans des conditions douteuses ; MEKSA, en l’occurrence. SALAH N’AIT MUHAND, dans la rubrique NOS TRADITION, nous traduit et commente un poème chanté jadis par les femmes ; un poème qui se révèle d’une inestimable valeur historique. H.OUARET , par un grand travail de recherche, nous met l’histoire des habitants des Babors sur un plat en argent. Le rédacteur en chef signe un article qui dénonce les fins politiques de l’industrie cinématographique et un autre qui décrit l’autre face des pays prisés dans une grande ampleur de l’immigration. S.REKIK introduit un sujet dans la rubrique sociale par : « la marche vers l’auto-destruction physique n’est pas un choix, on y est conduit quand la douleur dépasse les ressources qui permettent d’y faire face. » le suicide donc. L.CHABANE a animé la rubrique ECONOMIE par deux articles qui sont une analyse et une mise en garde : l’état, principale agent économique et Aokas ; région au potentiel dormant. R.HELLAL a choisi, dans la rubrique MULTIMIDIA, de nous offrir des astuces pour être un bon internaute ; des moteurs de recherche spécifiques à des besoins de recherche sur le net (web, fichiers …etc.) et des logiciels accélérateurs de téléchargement y sont présentés. En bonus, l’équipe de la rédaction nous offre plus de 600 prénoms berbères, un bouquet de blagues, une grille de mots croisés, un poster, quelques devinettes et une dizaine de cartes postales.
La nouvelle ligne éditoriale s’inscrit dans un combat culturel à valeurs universelles. Aokas forum est à la fois une source de critique et d’articles qui peuvent enrichir les colonnes de la revue. Les lecteurs sont donc invités à être rédacteurs.
Nous avons remarqué l’intérêt porté par la presse nationale (LE JEUNE INDEPENDENT, LA DEPECHE DE KABYLIE, …) au numéro 00 de la revue, chose qui a, peut être, aidé à trouver une dizaine de partenaires publicitaires qui ont choisie la revue LUMIERE pour faire leurs réclames et vanter leurs produits.
LUMIERE brille mensuellement. L’équipe de rédaction se fixe comme but et défit de réduire cet intervalle d’apparition des numéros lumineux, pour ainsi ramener la revue LUMIERE à être un bimensuel en un premier temps, ensuite un hebdomadaire. Un site sur le web est créé pour toucher un plus grand nombre de lecteurs :
http://lumiere-tafat.ifrance.com/
LUMIERE, bienvenue à la scène médiatique !
longue vie à Tafukt, le jeune independant
Bureau de Béjaia
Hassane Madi
Aokas, parution d’une nouvelle revue culturelle
‘’Tafukt’’ voit son jour
Excellente idée que de rassembler toutes les plumes de la région pour donner naissance à une revue culturelle intitulée Tafukt (soleil ).
On achète une revue, un peu par hasard, dans un kiosque de ville, il s’agit en effet de Tichy ou d’aokas, on s’attend à la réputation touristique, portrait des villes de Béjaia, pittoresque de stéréotypé. Et puis, lisant les premières pages. C’est l’éblouissement !
On tient là, d’évidence, les vestiges culturels et archéologiques sur lesquels repose la région du littoral (Aokas et Tichy ), son histoire, ses coutumes traditionnelles, superbement ravivées, mais aussi une revue de passion et de savoir.
Voici, donc, le résumé que l’on retient dés la lecture des premières pages de la revue, dans son premier numéro, éditée par l’association du centre culturel aokas. C’est ainsi qu’un groupe de jeunes studieux, dirigé par M. Zaouche Abdelhafid ; un célèbre inconnu, rentré récemment des Etats Unis d’Amérique.
En effet, Tafukt a mis l’accent sur la sauvegarde et la réhabilitation du patrimoine archéologique, culturel et artistique de la région.
Il est d’ailleurs l’un des objectifs assignés à cette revue.
Son rédacteur en chef M. Zaouche, que nous avons rencontré dans un café de la ville, nous a fait part de son intention, qui vise à mettre en exergue, dans les prochaines éditions la culture te la langue amazighe, tout en précisant que la région de Béjaia montre un grand intérêt à ce sujet. ‘’ Malheureusement les jeunes ignorent cela!’’ Se désole-t-il.
Les 24 pages de cette revue, bien écrite se lisent avec grand intérêt, il en existe, cependant, des erreurs de rédaction, pour dire que toute la revue est écrite à la première personne du singulier. Son rédacteur en chef reconnaît les erreurs qui sont glissées, qu’il espère à corriger dans les prochains numéros.
Dans Tafukt,donc, peu de culture qui s’est traduite par une interview du jeune chanteur Waret Hocine, et l’insertion de l’un de ses poèmes traitant de l’amour et de la mansuétude.
Autant pour l’histoire, polarisée sur un récit se rapportant aux origines ancestrales des habitants de la région.
Rien n’est négligé, ni le problème de logement, ni celui d’immigration ou encore du sport.
Mais l’article le plus saisissant est certainement celui écrit par le rédacteur en chef, traitant de l’immigration. Il s’agit en effet, du cauchemar vécu par M. Zaouche, qui avait séjourné quelques années aux USA, avant d’être traité de malfrat puis expulsé en 2002 vers l’Algérie, suite aux attentats terroristes qui ont secoué le pentagone. La simple raison pour laquelle est expulsé, c’est que Abdelhafid portait un prénom Arabo-musulman.
Ce nouveau produit culturel, pratiquement fait revivre le travail proprement culturel et artistique des jeunes créateurs. La revue s’est mise aussi à redonner vie et espoir à une région, encore hantée par le spectre du suicide.
C’est une revue à lire et à méditer… une lecture plus étoffée sur le site Internet : www.aokas.forumactif.com
Longue vie à Tafukt.
TAFUKT EST NÉE
Des pages de lumière
04 mars 2006 - Page : 21
La revue traite de sujets d’actualité avec beaucoup de réalisme et surtout avec un esprit critique.
Tafukt, dans le parler aokassien et ses environs immédiats, Itij, dans d’autres régions qui veut dire soleil, est une revue qui vient de naître qui, comme son nom l’indique, brillera sur bien des esprits.
La revue traite de sujets d’actualité avec beaucoup de réalisme et surtout avec un esprit critique. Autrement dit, avec esprit cartésien et analytique. «Le premier numéro de Tafukt que voici, se veut être l’incarnation d’une lumière qui éclaire le chemin des esprits victimes des aliénations culturelles», annoncent les rédacteurs, d’emblée, dans l’éditorial de cette revue éditée par l’association culturelle d’Aokas (Azday Adelsan n Weqas).
Les sujets riches et variés, parfois sortant des sentiers battus, qui vont de la culture, jeunesse, jusqu’à l’informatique, attirent toute l’attention du lecteur tant les thèmes sont présentés avec beaucoup de consistance et sûrement après un travail mené sur le terrain.
Sans amoindrir de la valeur et apport des autres textes, l’article intitulé «Logements sociaux à l’aube de la mondialisation» signé par le rédacteur en chef, en l’occurrence, Hafit Zaouche, l’un des initiateurs de la revue, est des plus attrayants tant l’auteur apporte une autre perception de la chose. «Le logement social est une autoroute qui mène droit vers l’assistanat et la ghettoïsation des populations...». En d’autres termes, cela favorisera l’apparition de nouvelles moeurs et la dégradation des valeurs, surtout quand on arrache un paysan à sa terre et qu’on l’implante dans une cité urbaine, ce qui provoquerait, à quelques exceptions près, un «déracinement». Cela nous mènera à dire qu’il faut plutôt encourager l’habitat rural, un dispositif lancé par l’Etat, ces dernières années. Il va sans dire que ces logements sont des cités-dortoirs tout simplement car construits sans aucune esthétique ni aménagement (espaces verts... des blocs de béton, voilà tout).
On y évoque aussi la drogue, ce fléau qui ronge notre société et, au premier degré la jeunesse et ce, dans des proportions alarmantes. Le problème d’un drogué n’est pas seulement individuel mais «se répercute aussi sur la société. Les toxicomanes se procurent de la drogue en commettant des vols, des agressions ou en se livrant à la prostitution (cas des femmes)». L’histoire de L’arch Aït M’hemmed, habitants autochtones et fondateurs d’Aokas, a été relatée en langue amazighe par Nessr Madjdoub.
Pour ce qui est du volet culturel, outre les poèmes, on a interviewé un chanteur de la région en l’occurrence Warsine, à l’occasion de la sortie de son nouvel album.
Cependant, le fait le plus inouï, c’est cette histoire digne des films hollywoodiens vécue par Zaouche Hafit, initiateur et rédacteur en chef de la revue, où il a raconté ses péripéties judiciaires et policières après le 11 septembre 2001 dans un article intitulé «Le cauchemar américain». «Une fois en détention à Florence située au milieu du désert Mojave d’Arizona, ils m’ont isolé dans une cellule et j’étais accusé d’appartenir à l’organisation de Ben Laden (Al Qaîda)...», raconte l’auteur avec dépit et beaucoup d’émotion.
Nonobstant un bon choix dans les textes et une analyse assez rationnelle dans le traitement des thèmes, il n’en demeure pas moins que sur le plan rédactionnel, on doit s’affirmer encore davantage quitte à faire appel à des plumes plus expérimentées et, par ricochet, à des correcteurs.
Cette revue qui sera mensuelle, selon les dires de son rédacteur en chef, est en vente pour la modique somme de 70 DA. Bonne continuation!
Abdeslam AOUADENE
Aokas : Après Tafukt, Tafat
Cinq mois après la parution du numéro zéro de la revue Tafukt sous l’égide de l’Association culturelle d’Aokas, son équipe rédactionnelle s’est retirée de cette dernière et veut voler de ses propres ailes.
Elle éditera durant le mois de mai le numéro suivant de cette revue mais sous une autre appellation qui est d’ailleurs en relation avec le nom donné à la première. Donc à défaut de Tafukt (soleil), c’est Tafat (lumière).
Sous la houlette de son initiateur et directeur, Zaouche Hafit, le numéro un de la revue Tafat a vu le jour et traite de tous les sujets d’actualité, notamment l’histoire, le tourisme, l’immigration, le social, l’économie et tout ce qui est en relation avec la région du Sahel qui s’étend de Tichy à Melbou.
Une nouveauté dans ce numéro qui est une réussite totale : c’est l’introduction de placards publicitaires pour le compte des commerçants de la région qui leur ont rapporté un peu d’argent pour pouvoir éditer cette revue illustrée et en couleurs.
Nous espérons que le deuxième numéro sera édité dans un mois comme promis par son directeur afin qu’il y ait une réelle succession de revues mensuelles.
A. Gana
In Dépêche de Kabylie
25/06/06
ET LA LUMIERE FUT ! aricle paru à Racines-Izuran
Le deuxième numéro de la revue TAFUKT sort sous le nouveau nom de LUMIERE. Un nouveau nom, mais aussi une nouvelle ligne éditoriale.
Après l’écho favorable rendu par les lecteurs du numéro 00 de la revue TAFUKT, à travers courrier, E-Mails et postes sur Aokas-Forum (www.aokas.forumactif.com) qui est le premier partenaire de la revue ; les lecteurs ont désormais à déguster le numéro 01 dont lequel de belles surprises les attendent. En effet, la revue LUMIERE est éditée en grand format, en couleurs et traitant un nombre plus important de sujets, ce qui fait que ce numéro est un volume de 32 pages présentant un cocktail de sujets ; dans la rubrique TOURISME, S.KASMI présente les attractions touristiques de la région du Sahel, répondant ainsi, au bon moment, à une question que se pose tout vacancier cherchant une destination pour passer un bel été. Un autre article signé par le même auteur raconte une visite dans la GROTTE FEERIQUE. Un article qui pourra être un guide pour les nouveaux visiteurs de ce monde sous terrain et une sorte de souvenir et de prospectus, parce que illustré par deux photos inédites, pour les autres. Dans la rubrique MUSIC, S.CHERFI rends hommage et fait découvrir un chanteur assassiné en France en 1989 dans des conditions douteuses ; MEKSA, en l’occurrence. SALAH N’AIT MUHAND, dans la rubrique NOS TRADITION, nous traduit et commente un poème chanté jadis par les femmes ; un poème qui se révèle d’une inestimable valeur historique. H.OUARET , par un grand travail de recherche, nous met l’histoire des habitants des Babors sur un plat en argent. Le rédacteur en chef signe un article qui dénonce les fins politiques de l’industrie cinématographique et un autre qui décrit l’autre face des pays prisés dans une grande ampleur de l’immigration. S.REKIK introduit un sujet dans la rubrique sociale par : « la marche vers l’auto-destruction physique n’est pas un choix, on y est conduit quand la douleur dépasse les ressources qui permettent d’y faire face. » le suicide donc. L.CHABANE a animé la rubrique ECONOMIE par deux articles qui sont une analyse et une mise en garde : l’état, principale agent économique et Aokas ; région au potentiel dormant. R.HELLAL a choisi, dans la rubrique MULTIMIDIA, de nous offrir des astuces pour être un bon internaute ; des moteurs de recherche spécifiques à des besoins de recherche sur le net (web, fichiers …etc.) et des logiciels accélérateurs de téléchargement y sont présentés. En bonus, l’équipe de la rédaction nous offre plus de 600 prénoms berbères, un bouquet de blagues, une grille de mots croisés, un poster, quelques devinettes et une dizaine de cartes postales.
La nouvelle ligne éditoriale s’inscrit dans un combat culturel à valeurs universelles. Aokas forum est à la fois une source de critique et d’articles qui peuvent enrichir les colonnes de la revue. Les lecteurs sont donc invités à être rédacteurs.
Nous avons remarqué l’intérêt porté par la presse nationale (LE JEUNE INDEPENDENT, LA DEPECHE DE KABYLIE, …) au numéro 00 de la revue, chose qui a, peut être, aidé à trouver une dizaine de partenaires publicitaires qui ont choisie la revue LUMIERE pour faire leurs réclames et vanter leurs produits.
LUMIERE brille mensuellement. L’équipe de rédaction se fixe comme but et défit de réduire cet intervalle d’apparition des numéros lumineux, pour ainsi ramener la revue LUMIERE à être un bimensuel en un premier temps, ensuite un hebdomadaire. Un site sur le web est créé pour toucher un plus grand nombre de lecteurs :
http://lumiere-tafat.ifrance.com/
LUMIERE, bienvenue à la scène médiatique !
longue vie à Tafukt, le jeune independant
Bureau de Béjaia
Hassane Madi
Aokas, parution d’une nouvelle revue culturelle
‘’Tafukt’’ voit son jour
Excellente idée que de rassembler toutes les plumes de la région pour donner naissance à une revue culturelle intitulée Tafukt (soleil ).
On achète une revue, un peu par hasard, dans un kiosque de ville, il s’agit en effet de Tichy ou d’aokas, on s’attend à la réputation touristique, portrait des villes de Béjaia, pittoresque de stéréotypé. Et puis, lisant les premières pages. C’est l’éblouissement !
On tient là, d’évidence, les vestiges culturels et archéologiques sur lesquels repose la région du littoral (Aokas et Tichy ), son histoire, ses coutumes traditionnelles, superbement ravivées, mais aussi une revue de passion et de savoir.
Voici, donc, le résumé que l’on retient dés la lecture des premières pages de la revue, dans son premier numéro, éditée par l’association du centre culturel aokas. C’est ainsi qu’un groupe de jeunes studieux, dirigé par M. Zaouche Abdelhafid ; un célèbre inconnu, rentré récemment des Etats Unis d’Amérique.
En effet, Tafukt a mis l’accent sur la sauvegarde et la réhabilitation du patrimoine archéologique, culturel et artistique de la région.
Il est d’ailleurs l’un des objectifs assignés à cette revue.
Son rédacteur en chef M. Zaouche, que nous avons rencontré dans un café de la ville, nous a fait part de son intention, qui vise à mettre en exergue, dans les prochaines éditions la culture te la langue amazighe, tout en précisant que la région de Béjaia montre un grand intérêt à ce sujet. ‘’ Malheureusement les jeunes ignorent cela!’’ Se désole-t-il.
Les 24 pages de cette revue, bien écrite se lisent avec grand intérêt, il en existe, cependant, des erreurs de rédaction, pour dire que toute la revue est écrite à la première personne du singulier. Son rédacteur en chef reconnaît les erreurs qui sont glissées, qu’il espère à corriger dans les prochains numéros.
Dans Tafukt,donc, peu de culture qui s’est traduite par une interview du jeune chanteur Waret Hocine, et l’insertion de l’un de ses poèmes traitant de l’amour et de la mansuétude.
Autant pour l’histoire, polarisée sur un récit se rapportant aux origines ancestrales des habitants de la région.
Rien n’est négligé, ni le problème de logement, ni celui d’immigration ou encore du sport.
Mais l’article le plus saisissant est certainement celui écrit par le rédacteur en chef, traitant de l’immigration. Il s’agit en effet, du cauchemar vécu par M. Zaouche, qui avait séjourné quelques années aux USA, avant d’être traité de malfrat puis expulsé en 2002 vers l’Algérie, suite aux attentats terroristes qui ont secoué le pentagone. La simple raison pour laquelle est expulsé, c’est que Abdelhafid portait un prénom Arabo-musulman.
Ce nouveau produit culturel, pratiquement fait revivre le travail proprement culturel et artistique des jeunes créateurs. La revue s’est mise aussi à redonner vie et espoir à une région, encore hantée par le spectre du suicide.
C’est une revue à lire et à méditer… une lecture plus étoffée sur le site Internet : www.aokas.forumactif.com
Longue vie à Tafukt.
Zhafit- Admin
- Nombre de messages : 13508
Date d'inscription : 26/04/2008
Re: La presse nationale et la revue "Lumiere-Tafat"
merci pour toi
j'éspére que tafukt sera assé populaire pour que nos alliés nous oublient pas,
vive parce qu'elle vient de chez nous
j'éspére que tafukt sera assé populaire pour que nos alliés nous oublient pas,
vive parce qu'elle vient de chez nous
Re: La presse nationale et la revue "Lumiere-Tafat"
voila l'une des formes du militantisme, la production, et dont on peut etre fier, merci mille fois zhafit
rebai_s- Nombre de messages : 1785
Date d'inscription : 26/04/2008
AZDAY ADELSAN N WEQQAS....TAFUKT
TANEMMIRT...
AKLI AMNAY- Nombre de messages : 505
Age : 32
Localisation : Nngger
Date d'inscription : 22/05/2014
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