BÉJAÏA Le squat des trottoirs toujours de mise
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BÉJAÏA Le squat des trottoirs toujours de mise
BÉJAÏA :Le squat des trottoirs toujours de mise
Après une certaine accalmie plus ou moins observée au niveau de certains quartiers et localités, revoilà le squat des trottoirs qui revient de plus beau. C'est le cas de Béjaïa-ville,Tichy, Bacarro, Aokas… pour ne citer que ces localités ; c'est le diktat des commerçants et autres trabendistes. Après un coup de force, qui reste tout de même à parfaire, décidé par des collectivités locales, il y a environs deux ans, pour le nettoyage de ces espaces publics de tout accaparement illégal, les choses commençaient hélas, juste après, à revenir comme auparavant, doucement mais sûrement. Les propriétaires d'échoppes ayant pignon sur rue, considèrent ces endroits comme des propriétés privés. Sinon comment expliquer cet accaparement sans vergogne aucune des lieux publics en exposant qui ses fruits et légumes, qui ses articles vestimentaires et un autre une enseigne au milieu du trottoir pour annoncer qu'il vend telle chose ou tel objet… Quant aux cafétérias on fait carrément sortir les tables sur ces trottoirs rendant la circulation des passagers encombrante, jusqu'à contraindre parfois certains à marcher sur la voie automobile avec tous les risques que cela peut engendrer.
Abdeslam Aouadène
Le Courrier d'Algerie
Après une certaine accalmie plus ou moins observée au niveau de certains quartiers et localités, revoilà le squat des trottoirs qui revient de plus beau. C'est le cas de Béjaïa-ville,Tichy, Bacarro, Aokas… pour ne citer que ces localités ; c'est le diktat des commerçants et autres trabendistes. Après un coup de force, qui reste tout de même à parfaire, décidé par des collectivités locales, il y a environs deux ans, pour le nettoyage de ces espaces publics de tout accaparement illégal, les choses commençaient hélas, juste après, à revenir comme auparavant, doucement mais sûrement. Les propriétaires d'échoppes ayant pignon sur rue, considèrent ces endroits comme des propriétés privés. Sinon comment expliquer cet accaparement sans vergogne aucune des lieux publics en exposant qui ses fruits et légumes, qui ses articles vestimentaires et un autre une enseigne au milieu du trottoir pour annoncer qu'il vend telle chose ou tel objet… Quant aux cafétérias on fait carrément sortir les tables sur ces trottoirs rendant la circulation des passagers encombrante, jusqu'à contraindre parfois certains à marcher sur la voie automobile avec tous les risques que cela peut engendrer.
Abdeslam Aouadène
Le Courrier d'Algerie
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Date d'inscription : 26/04/2008
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