a quoi joue le journal Ennahar? l'antikabylisme fait-il vendre les journaux?
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Azul- Nombre de messages : 29959
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Re: a quoi joue le journal Ennahar? l'antikabylisme fait-il vendre les journaux?
Ennahar s’en prend de nouveau au Président de l’Anavad, Ferhat Mehenni
Le journal Ennahar tente le sensationnel avec du réchauffé
De Tizi-Wezzu, par Saïd Tissegouine
En lisant avec sérénité l’assemblage de mots, alignés adroitement par F. Ismaïl, on s’aperçoit qu’en fin de compte, les motivations réelles des responsables d’Ennahar, en tentant le sensationnel avec du réchauffé, ne peuvent être que du marketing pour le canard. Cela renseigne par conséquent - pour celles et ceux qui ne le savent pas encore - que l’évocation de Ferhat Mehenni, GPK et Mouvement pour l’Autonomie de la Kabylie (MAK) fait bien vendre le journal.
08/10/2011 - 21:48 mis a jour le 08/10/2011 - 21:53 par Saïd Tissegouine
Ce n’est pas un hasard si le rédacteur en chef d’Ennahar a mis en légende la photo du président du GPK et à côté en gros caractère « un quart de million d’euros par mois que verse Mohamed VI à Ferhat Mehenni. Rien que cette légende, des coups de coude et des bousculades se font devant le buraliste pour s’arracher Ennahar. Sur le plan purement de marketing, il faut bien reconnaître le géni du directeur de la publication et du rédacteur en chef du canard arabophone. La fin justifie les moyens, dit-on.
En effet, l’utilisation du nom de Ferhat Mehenni et des sigles du GPK et MAK, a permis à Ennahar , en termes de vente, de décrocher une bonne place sur le marché national de l’information et de la communication. Mieux encore, Ennahar est cité comme source par des médias confrères. Cependant, le lecteur a le droit de s’interroger sur la qualité de l’information qu’on lui sert. Un article journalistique rapportant une fausse information s’appelle un canular. Et servir un canular d’une façon délibérée à un lecteur relève tout simplement de l’escroquerie. Une escroquerie informative d’abord, intellectuelle ensuite. Pire encore un canular peut être à l’origine de graves dégâts. C’est à ces deux niveaux justement que le journal arabophone devrait se sentir responsable et concerné. La belle plume de F. Ismaïl, se basant sur les simples déclarations d’un certain Idir Djouder, se met à étaler des mots mensongers. Le nommé Ider Djouder est fort connu dans les milieux militants pour la démocratie et la revalorisation de la langue et culture amazighes. Bien sûr, l’homme est connu pour ses reniements et ses coups bas. Si Ennahar était nourri uniquement par l’intérêt de son lectorat, il aurait pu et dû saisir Ferhat Mehenni pour recueillit sa propre version suite aux allégations du sieur Ider Djouher.
Nous savons que Ennahar jouit d’une excellente santé financière et ses dirigeants ne sont pas des radins. Autrement dit, F. Ismaïl pouvait fort bien obtenir auprès de son employeur un billet d’avion Alger-Paris-Alger et un montant en euro nécessaire pour accomplir sa mission journalistique dans la capitale française. Ceci naturellement dans la mesure où il ne pouvait pas avoir Ferhat Mehenni au téléphone à partir de son bureau d’Alger. Non, Ennahar a préféré se baser sur une seule source pour servir la lecture à son lectorat. Et pour preuve, même la mise au point apportée par Ferhat Mehenni suite au premier article le diffamant, n’a jamais été publiée. Idem concernant celles apportées par les différents cadres du MAK pour informer les lecteurs d’Ennahar de la réalité des faits. Est-ce à déduire donc qu’Ennahar avait peur de la vérité ? Assurément non. Loin s’en faut même. Nous réitérons que le premier objectif de ce quotidien national d’information arabophone est le marketing. Le second, le plus dangereux, est la déstabilisation de la Kabylie. De connivence avec certaines officines du pouvoir, Ennahar décide de décapiter la Kabylie. Celle-ci, de par ses choix tant en dynamique et structures mises en place que l’homme mobilisé pour les diriger, quant à son autonomie est vue comme un danger au système algérien mis en place depuis I962. Il semble bien curieux en effet pourquoi que ce n’est qu’à partir de 2010, année de l’instauration du Gouvernement Provisoire Kabyle, que les attaques en règle ont commencé contre Ferhat Mehenni.
Les attaques dirigées contre le représentant légitime de la Kabylie sont maladroites certes mais répétitives. Au début de la création du MAK, soit juste après les massacres commis sur les jeunes kabyles, la presse qui fait aujourd’hui dans l’intoxication, prenait en dérision les responsables du MAK et leurs actions. Même les responsables qui dirigeaient les appareils de contrôle de l’Etat faisaient la risette en lisant un entrefilet dans quelque canard ayant trait à quelque événement créé par la famille militante et patriotique du MAK.
Ce n’est pas le cas aujourd’hui. Ces mêmes responsables ayant fait souvent risette en cette première décennie du troisième millénaire font à présent ménage avec la panique. Celle-ci a augmenté de plusieurs degrés après notamment que le représentant légitime du peuple kabyle, sur invitation officielle, eut rencontré les responsables du Pentagone et du Sénat américain. Y a t-il un responsable algérien, avant ou après Ferhat Mehenni, qui a été reçu par à titre officiel ou officieux par les hautes instances dirigeantes américaines pendant onze jours ? Et si Ferhat Mehenni a eu des échanges politiques avec les hauts responsables américains, ce n’est certainement pas à cause de ses beaux yeux. La raison exacte est toute simple : Il était porteur d’un message politique fiable et il était considéré comme un homme d’Etat responsable. Aussi, un homme hissé à un tel niveau de responsabilité politique ne peut forcément pas tomber dans les petits jeux malsains d’Ennahar.
Il est à se demander de ce que pourrait attendre le sultan marocain, Mohamed VI, de Ferhat Mehenni en lui versant tous les mois un quart de million d’euros. A conjecturer que le souverain marocain, pour des raisons quelconques, fasse recours au poids et la compétence du président du GPK, les moyens financiers qu’il mettrait alors à sa disposition dépasseraient largement 250. 000 euros par mois. La trésorerie royale marocaine n’est quand même pas indigente à ce point.
Par ailleurs, comment Ennahar et sa source, en l’occurrence, Idir Djouder, peuvent-ils connaître les ressources financières du MAK-GPK ? Ennahar doit savoir que le MAK dispose d’un service d’information et de communication. Et le GPK aussi. Autrement dit, si ce journal veut assurer une information juste et crédible à son lectorat concernant les activités politiques du MAK et du GPK, il n’a qu’à s’adresser à ses structures compétentes en matière. Aussi bien au sein du MAK que GPK, la rétention de l’information n’existe pas. Même Ferhat Mehenni n’est pas avare en mots vis-à-vis des médias. Mais en revanche, si Ennahar veut venir en aide aux services psychologiques et de propagande du Département du renseignement et de la Sécurité (DRS), il doit faire preuve de plus de compétence. Tout compte fait, Ennahar dont le lectorat est déjà important aurait tout à gagner à rester professionnel du journalisme. Le DRS et autres offices obscures sont capables de se débrouiller tous seuls. De toute façon, personne ne peut les soustraire à leur millénarisme.
http://www.tamurt.info/le-journal-ennahar-tente-le-sensationnel-avec-du-rechauffe,1975.html?lang=fr
Le journal Ennahar tente le sensationnel avec du réchauffé
De Tizi-Wezzu, par Saïd Tissegouine
En lisant avec sérénité l’assemblage de mots, alignés adroitement par F. Ismaïl, on s’aperçoit qu’en fin de compte, les motivations réelles des responsables d’Ennahar, en tentant le sensationnel avec du réchauffé, ne peuvent être que du marketing pour le canard. Cela renseigne par conséquent - pour celles et ceux qui ne le savent pas encore - que l’évocation de Ferhat Mehenni, GPK et Mouvement pour l’Autonomie de la Kabylie (MAK) fait bien vendre le journal.
08/10/2011 - 21:48 mis a jour le 08/10/2011 - 21:53 par Saïd Tissegouine
Ce n’est pas un hasard si le rédacteur en chef d’Ennahar a mis en légende la photo du président du GPK et à côté en gros caractère « un quart de million d’euros par mois que verse Mohamed VI à Ferhat Mehenni. Rien que cette légende, des coups de coude et des bousculades se font devant le buraliste pour s’arracher Ennahar. Sur le plan purement de marketing, il faut bien reconnaître le géni du directeur de la publication et du rédacteur en chef du canard arabophone. La fin justifie les moyens, dit-on.
En effet, l’utilisation du nom de Ferhat Mehenni et des sigles du GPK et MAK, a permis à Ennahar , en termes de vente, de décrocher une bonne place sur le marché national de l’information et de la communication. Mieux encore, Ennahar est cité comme source par des médias confrères. Cependant, le lecteur a le droit de s’interroger sur la qualité de l’information qu’on lui sert. Un article journalistique rapportant une fausse information s’appelle un canular. Et servir un canular d’une façon délibérée à un lecteur relève tout simplement de l’escroquerie. Une escroquerie informative d’abord, intellectuelle ensuite. Pire encore un canular peut être à l’origine de graves dégâts. C’est à ces deux niveaux justement que le journal arabophone devrait se sentir responsable et concerné. La belle plume de F. Ismaïl, se basant sur les simples déclarations d’un certain Idir Djouder, se met à étaler des mots mensongers. Le nommé Ider Djouder est fort connu dans les milieux militants pour la démocratie et la revalorisation de la langue et culture amazighes. Bien sûr, l’homme est connu pour ses reniements et ses coups bas. Si Ennahar était nourri uniquement par l’intérêt de son lectorat, il aurait pu et dû saisir Ferhat Mehenni pour recueillit sa propre version suite aux allégations du sieur Ider Djouher.
Nous savons que Ennahar jouit d’une excellente santé financière et ses dirigeants ne sont pas des radins. Autrement dit, F. Ismaïl pouvait fort bien obtenir auprès de son employeur un billet d’avion Alger-Paris-Alger et un montant en euro nécessaire pour accomplir sa mission journalistique dans la capitale française. Ceci naturellement dans la mesure où il ne pouvait pas avoir Ferhat Mehenni au téléphone à partir de son bureau d’Alger. Non, Ennahar a préféré se baser sur une seule source pour servir la lecture à son lectorat. Et pour preuve, même la mise au point apportée par Ferhat Mehenni suite au premier article le diffamant, n’a jamais été publiée. Idem concernant celles apportées par les différents cadres du MAK pour informer les lecteurs d’Ennahar de la réalité des faits. Est-ce à déduire donc qu’Ennahar avait peur de la vérité ? Assurément non. Loin s’en faut même. Nous réitérons que le premier objectif de ce quotidien national d’information arabophone est le marketing. Le second, le plus dangereux, est la déstabilisation de la Kabylie. De connivence avec certaines officines du pouvoir, Ennahar décide de décapiter la Kabylie. Celle-ci, de par ses choix tant en dynamique et structures mises en place que l’homme mobilisé pour les diriger, quant à son autonomie est vue comme un danger au système algérien mis en place depuis I962. Il semble bien curieux en effet pourquoi que ce n’est qu’à partir de 2010, année de l’instauration du Gouvernement Provisoire Kabyle, que les attaques en règle ont commencé contre Ferhat Mehenni.
Les attaques dirigées contre le représentant légitime de la Kabylie sont maladroites certes mais répétitives. Au début de la création du MAK, soit juste après les massacres commis sur les jeunes kabyles, la presse qui fait aujourd’hui dans l’intoxication, prenait en dérision les responsables du MAK et leurs actions. Même les responsables qui dirigeaient les appareils de contrôle de l’Etat faisaient la risette en lisant un entrefilet dans quelque canard ayant trait à quelque événement créé par la famille militante et patriotique du MAK.
Ce n’est pas le cas aujourd’hui. Ces mêmes responsables ayant fait souvent risette en cette première décennie du troisième millénaire font à présent ménage avec la panique. Celle-ci a augmenté de plusieurs degrés après notamment que le représentant légitime du peuple kabyle, sur invitation officielle, eut rencontré les responsables du Pentagone et du Sénat américain. Y a t-il un responsable algérien, avant ou après Ferhat Mehenni, qui a été reçu par à titre officiel ou officieux par les hautes instances dirigeantes américaines pendant onze jours ? Et si Ferhat Mehenni a eu des échanges politiques avec les hauts responsables américains, ce n’est certainement pas à cause de ses beaux yeux. La raison exacte est toute simple : Il était porteur d’un message politique fiable et il était considéré comme un homme d’Etat responsable. Aussi, un homme hissé à un tel niveau de responsabilité politique ne peut forcément pas tomber dans les petits jeux malsains d’Ennahar.
Il est à se demander de ce que pourrait attendre le sultan marocain, Mohamed VI, de Ferhat Mehenni en lui versant tous les mois un quart de million d’euros. A conjecturer que le souverain marocain, pour des raisons quelconques, fasse recours au poids et la compétence du président du GPK, les moyens financiers qu’il mettrait alors à sa disposition dépasseraient largement 250. 000 euros par mois. La trésorerie royale marocaine n’est quand même pas indigente à ce point.
Par ailleurs, comment Ennahar et sa source, en l’occurrence, Idir Djouder, peuvent-ils connaître les ressources financières du MAK-GPK ? Ennahar doit savoir que le MAK dispose d’un service d’information et de communication. Et le GPK aussi. Autrement dit, si ce journal veut assurer une information juste et crédible à son lectorat concernant les activités politiques du MAK et du GPK, il n’a qu’à s’adresser à ses structures compétentes en matière. Aussi bien au sein du MAK que GPK, la rétention de l’information n’existe pas. Même Ferhat Mehenni n’est pas avare en mots vis-à-vis des médias. Mais en revanche, si Ennahar veut venir en aide aux services psychologiques et de propagande du Département du renseignement et de la Sécurité (DRS), il doit faire preuve de plus de compétence. Tout compte fait, Ennahar dont le lectorat est déjà important aurait tout à gagner à rester professionnel du journalisme. Le DRS et autres offices obscures sont capables de se débrouiller tous seuls. De toute façon, personne ne peut les soustraire à leur millénarisme.
http://www.tamurt.info/le-journal-ennahar-tente-le-sensationnel-avec-du-rechauffe,1975.html?lang=fr
Azul- Nombre de messages : 29959
Date d'inscription : 09/07/2008
Re: a quoi joue le journal Ennahar? l'antikabylisme fait-il vendre les journaux?
c'est les mêmes procédés utilisés par les pseudo démocrates et autres ennemis de l'islam et de l'indépendance de l'algérie.
c'est de bonne guerre .
tout ce qui est anti sionisme et anti-BHL ,je le soutiens à fond la caisse
c'est de bonne guerre .
tout ce qui est anti sionisme et anti-BHL ,je le soutiens à fond la caisse
Re: a quoi joue le journal Ennahar? l'antikabylisme fait-il vendre les journaux?
il est pas necessaire de dire que le combat de Ferhat m'heni est un combat voué à l'echec d'avance.
la population kabyle n'est pas une société renfermé sur elle méme , elle est consciente que le combat bidon et lache de cet personne n'est pas leur combat.
il est trés simple pour Mr FERHAT M'HENI de justifier de ses finances de maniére claire en donnant des documents comptable et des preuves de ses financements si ils sont net!!
je sais qu'il ne peut pas le faire .
beaucoup de personnes qui étaient à ses cotés l'ont quittés car ils ont compris qu'il ne combattait pas pour la kabylie mais qu'il voulait juste réalisé un réve d'enfant celui de devenir le pharaon de la kabylie .
il veut étre un chef d'état, avec des grosses voitures et des gardes corps .
il veut faire le zaiimm des kabyle !
Le zaimisme est fini il faut se reveillé !
la population kabyle n'est pas une société renfermé sur elle méme , elle est consciente que le combat bidon et lache de cet personne n'est pas leur combat.
il est trés simple pour Mr FERHAT M'HENI de justifier de ses finances de maniére claire en donnant des documents comptable et des preuves de ses financements si ils sont net!!
je sais qu'il ne peut pas le faire .
beaucoup de personnes qui étaient à ses cotés l'ont quittés car ils ont compris qu'il ne combattait pas pour la kabylie mais qu'il voulait juste réalisé un réve d'enfant celui de devenir le pharaon de la kabylie .
il veut étre un chef d'état, avec des grosses voitures et des gardes corps .
il veut faire le zaiimm des kabyle !
Le zaimisme est fini il faut se reveillé !
Re: a quoi joue le journal Ennahar? l'antikabylisme fait-il vendre les journaux?
je cite " Le journal Ennahar tente le sensationnel avec du réchauffé "
c'est un peu le truc aussi des pseudos journalistes démocrates et kabylophiles .
c'est un peu le truc aussi des pseudos journalistes démocrates et kabylophiles .
moi- Nombre de messages : 8760
Date d'inscription : 30/01/2009
Azul- Nombre de messages : 29959
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