La victime de la bavure militaire à Ighil Ali en passe d'être indemnisée

Le père de MOHAMED BOUZA a été destinataire d'une notification officielle signée par le wali de Bejaia pour être indemnisé dans l'ommédiat sur la bavure militaire commise par un convoi militaire en ratissage le 12 janvier 2011 dans un ratissage mené sur un maquis surplombant la commune d'IGHILA ALI sur son fils MOHAMED. La procédure de dédommagement de MOHAMED BOUZA( connu sous le nom de Mohand) tué par erreur alors qu'il chassait d'ordinaire des grives moyennant de le colle et de l'alfa, entre dans sa phase finale.Un montant de 196 millions est offert à ses deux parents( dont sa mère, ma grande sœur, décédée d'un coma diabétique le 2 septembre 2011) devrait être partagé à part égale avec l'épouse de défunt. On dit que l'intervention en personne du wali de Bejaia a été déterminante pour faire aboutir sans entraves bureaucratiques la procédure d'indemnisation dans les meilleurs délais possibles. Par contre, aucune information ne filtre sur les autres revendications exprimées lors d'une marche populaire secondaire aux obséques et qui a été organisé à IGHIL ALI ( chef-lieu de daira)et en marge de laquelle, une plate forme de revendications a été remise au chef de daira sous réserve qu'il la transmette aux autorités civiles et militaires compétentes. Les rédacteurs avaient mentionné entre autres" une enquête pour élucider les circonstances de la mort de la victime, le jugement de ceux qui étaient à l'origine de sa mort et la prise de précautions pour que de telles bavures ne se renouvellent plus" Aucune nouvelle d'une hypothétique plainte promise par le comité de suivi des droits de la victime au moment des faits pour être déposée contre x simultanément dans un tribunal civil que militaire à Constantine n'a donné le moindre rebondissement. De même que la rapport du médecin légiste qui devait faire conclure à la manière dont a été la mort à BOUZA MOHAMED né le 27 12 1963 n'a pas été remis à la famille. Beaucoup de zones d'ombres semblent entourer cette affaire. Pourquoi le parquet d'Akbou n'a-t-il pas. ouvert une information judiciaire? Un comité de suivi a pourtant promis d'impliquer la ligue pour la défense des droits de l'homme concernant une plainte pénale contre les responsables de la mort de la victime mais tout semble, avec le temps, s'être fendu, comme neige au soleil. Ces plaintes prétendues sont-elles en cours ou tout simplement classées définitivement ? Nous n'avons aucune information à ce sujet outre celle ayant trait à l'indemnisation de la victime. Beaucoup de zones d'ombres semblent assombrir le cours d'enquête de cette affaire. On ne sait pas si ceux qui ont ouvert le feu ou qui en ont donné l'ordre ont eu à répondre de leurs actes dans un tribunal militaire. Les questions qui reviennent sont: " pourquoi, on n'a pas tiré de tirs de sommation? Pourquoi, on n'a pas tiré dans les jambes et dans les zones vitales? Pourquoi avoir caché un PV su médecin légiste à la famille qui aurait pu peu-être révélé qu'on a peut-être tiré dans le dos d'une victime soit immobilisée soit en état de fuite? Que prévoient les lois de guerre dans ces Scénarios? D'abord, y a-t-il des lois de guerres encore en application dans ce monde où les chefs de guerre jouissent de l'impunité totale?

c'est une autre preuve que l'état algérien est juste.

l'état algérien est devenu plus juste depuis au moins 1999