RACHID BOUDJEDRA REVIENT AVEC SON CROQUE MORT : "L’Algérie n’est pas un pays, c’est une drogue"
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RACHID BOUDJEDRA REVIENT AVEC SON CROQUE MORT : "L’Algérie n’est pas un pays, c’est une drogue"
Le romancier Algérien Rachid Boudjedra, enfin il se consacre à la politique, peut être qu’il tente de prendre le train en marche, mais il le dit dans son dernier ouvrage : ‘’L’Algérie ce n’est pas un pays, c’est une drogue » un livre qui vient d’être édité chez Grasset (France).
Tellement les éditeurs en Algérie devenus trop gourmands, ils contribuent pour freiner la culture de l’écriture par leurs conditions draconiennes que les auteurs Algériens ont fuit vers l’étranger pour éditer leurs œuvres. Boudjedra, parle de la Révolution Algérienne à travers Jeanne la française, un récit passionnel. Le travesti entre la déclaration du 1er Novembre 1954 et les discours officiels depuis 1962. Il enveloppe le tout dans l’histoire d’une citoyenne française, qui revient en Algérie pour y répandre les cendres de son père, qui a passé de longues années en Algérie à confectionner les cercueils réservés aux soldats français abattus par l’ALN et aussi pour les militants nationalistes condamnés à mort et exécutés. Une histoire qui a peut être donnée des chiffres à l’auteur qui est sortie de sa coquille, pour nous transporter dans le temps mais en marche arrière, dans un environnement d’un passé qui ne veut pas passer. Boudjedra nous le révèle dans une enveloppe politisée après 49 ans d’indépendance pour nous dire que Jeanne la Française, tient toujours à ce que cette terre d’Algérie est toujours convoitée par l’ancien occupant dont les cendres de cet ancien croque mort reviennent pour y être répandus dans un sol qui ne lui a jamais appartenu. Une version analogique dans un monde numérique. Pour les Algériens, bon gré malgré, l’Algérie est une drogue, car nous l’aimons et nous nous sacrifions pour elle, ya Rachid !
Tellement les éditeurs en Algérie devenus trop gourmands, ils contribuent pour freiner la culture de l’écriture par leurs conditions draconiennes que les auteurs Algériens ont fuit vers l’étranger pour éditer leurs œuvres. Boudjedra, parle de la Révolution Algérienne à travers Jeanne la française, un récit passionnel. Le travesti entre la déclaration du 1er Novembre 1954 et les discours officiels depuis 1962. Il enveloppe le tout dans l’histoire d’une citoyenne française, qui revient en Algérie pour y répandre les cendres de son père, qui a passé de longues années en Algérie à confectionner les cercueils réservés aux soldats français abattus par l’ALN et aussi pour les militants nationalistes condamnés à mort et exécutés. Une histoire qui a peut être donnée des chiffres à l’auteur qui est sortie de sa coquille, pour nous transporter dans le temps mais en marche arrière, dans un environnement d’un passé qui ne veut pas passer. Boudjedra nous le révèle dans une enveloppe politisée après 49 ans d’indépendance pour nous dire que Jeanne la Française, tient toujours à ce que cette terre d’Algérie est toujours convoitée par l’ancien occupant dont les cendres de cet ancien croque mort reviennent pour y être répandus dans un sol qui ne lui a jamais appartenu. Une version analogique dans un monde numérique. Pour les Algériens, bon gré malgré, l’Algérie est une drogue, car nous l’aimons et nous nous sacrifions pour elle, ya Rachid !
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