Citations de Max Stirner
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Citations de Max Stirner
Citations de Max Stirner
"As-tu déjà vu un Esprit ? Moi? non, mais ma grand-mère en a vu. C'est comme moi : je n'en ai jamais vu, mais ma grand-mère en avait qui lui couraient sans cesse dans les jambes ; et, par respect pour le témoignage de nos grands-mères, nous croyons à l'existence des esprits."
(Max Stirner / 1806-1856 / L'Unique et sa propriété / 1845)
"Dieu et l'humanité ne se préoccupent de rien, de rien que d'eux-mêmes. Laissez-moi donc, à mon tour, m'intéresser à moi-même, moi qui, comme Dieu, ne suis rien pour les autres, moi qui suis mon tout, moi qui suis l'unique."
(Max Stirner / 1806-1856 / L'Unique et sa propriété / 1845)
"La liberté ne peut être que toute la liberté ; un morceau de liberté n'est pas la liberté."
(Max Stirner / 1806-1856 / L'Unique et sa propriété / 1845)
"La domination de l'État ne diffère pas de celle de l'Eglise : l'une s'appuie sur la piété, l'autre sur la moralité."
(Max Stirner / 1806-1856 / L'Unique et sa propriété / 1845)
"Les plus récentes révoltes contre Dieu ne sont que des insurrections théologiques."
(Max Stirner / 1806-1856 / L'Unique et sa propriété / 1845)
"Lorsqu'une association s'est cristallisée en société, elle a cessé d'être une association, vu que l'association est un acte continuel de réassociation. Elle est devenue une association à l'état d'arrêt, elle s'est figée. [...] Elle n'est plus que le cadavre de l'association ; en un mot, elle est devenue société communauté."
(Max Stirner / 1806-1856 / L'Unique et sa propriété / 1845)
"La religion de l'Humanité n'est que la dernière métamorphose de la religion chrétienne."
(Max Stirner / 1806-1856 / L'Unique et sa propriété / 1845)
"Le Protestantisme a proprement organisé en l'homme un véritable service de "police occulte". L'espion, le guetteur "Conscience", surveille chaque mouvement de l'esprit, et tout geste, toute pensée est à ses yeux une "affaire de conscience", c'est-à-dire une affaire de police. C'est cette scission de l'homme en "instincts naturels" et "conscience" (canaille intérieure et police intérieure) qui fait le Protestant."
(Max Stirner / 1806-1856 / L'Unique et sa propriété / 1845)
"On a coutume de louer le Protestantisme de ce qu'il a remis en honneur le temporel, comme par exemple le mariage, l'État, etc. Mais en réalité le temporel en tant que temporel, le profane, lui est bien plus indifférent encore qu'au Catholicisme; non seulement le catholique laisse subsister le monde profane, mais il ne s'interdit pas de goûter aux jouissances mondaines, tandis que le protestant, lorsqu'il raisonne et qu'il est conséquent, travaille à anéantir le temporel par le seul fait qu'il le sanctifie."
(Max Stirner / 1806-1856 / L'Unique et sa propriété / 1845)
"Tout vagabondage déplaît d'ailleurs au bourgeois, et il existe aussi des vagabonds de l'esprit, qui, étouffant sous le toit qui abritait leurs pères, s'en vont chercher au loin plus d'air et plus d'espace. Au lieu de rester au coin de l'âtre familial à remuer les cendres d'une opinion modérée, au lieu de tenir pour des vérités indiscutables ce qui a consolé et apaisé tant de générations avant eux, ils franchissent la barrière qui clôt le champ paternel et s'en vont, par les chemins audacieux de la critique, où les mène leur indomptable curiosité de douter."
(Max Stirner / 1806-1856 / L'Unique et sa propriété / 1845)
"La crainte de Dieu proprement dite est, depuis longtemps ébranlée, et un "athéisme" plus ou moins conscient, reconnaissable extérieurement à un abandon général du culte, est devenu involontairement la note dominante. Mais on a reporté sur l'Homme ce qu'on a pris à Dieu, et la puissance de l'Humanité s'est accrue de ce que la piété à perdu en importance : "l'Homme" est le Dieu actuel, et la crainte de l'Homme a remplacé l'ancienne crainte de Dieu. Mais comme l'homme ne représente qu'un autre être suprême, l'être suprême n'a fait que se métamorphoser, et la crainte de l'Homme n'est qu'une autre forme de la crainte de Dieu. Nos athées sont de pieuses gens."
(Max Stirner / 1806-1856 / L'Unique et sa propriété / 1845)
"Je n'ai basé ma cause sur Rien."
(Max Stirner / 1806-1856 / L'Unique et sa propriété / 1845)
"L'Homme n'a tué Dieu que pour être lui-même le seul Dieu dans les cieux."
(Max Stirner / 1806-1856)
"As-tu déjà vu un Esprit ? Moi? non, mais ma grand-mère en a vu. C'est comme moi : je n'en ai jamais vu, mais ma grand-mère en avait qui lui couraient sans cesse dans les jambes ; et, par respect pour le témoignage de nos grands-mères, nous croyons à l'existence des esprits."
(Max Stirner / 1806-1856 / L'Unique et sa propriété / 1845)
"Dieu et l'humanité ne se préoccupent de rien, de rien que d'eux-mêmes. Laissez-moi donc, à mon tour, m'intéresser à moi-même, moi qui, comme Dieu, ne suis rien pour les autres, moi qui suis mon tout, moi qui suis l'unique."
(Max Stirner / 1806-1856 / L'Unique et sa propriété / 1845)
"La liberté ne peut être que toute la liberté ; un morceau de liberté n'est pas la liberté."
(Max Stirner / 1806-1856 / L'Unique et sa propriété / 1845)
"La domination de l'État ne diffère pas de celle de l'Eglise : l'une s'appuie sur la piété, l'autre sur la moralité."
(Max Stirner / 1806-1856 / L'Unique et sa propriété / 1845)
"Les plus récentes révoltes contre Dieu ne sont que des insurrections théologiques."
(Max Stirner / 1806-1856 / L'Unique et sa propriété / 1845)
"Lorsqu'une association s'est cristallisée en société, elle a cessé d'être une association, vu que l'association est un acte continuel de réassociation. Elle est devenue une association à l'état d'arrêt, elle s'est figée. [...] Elle n'est plus que le cadavre de l'association ; en un mot, elle est devenue société communauté."
(Max Stirner / 1806-1856 / L'Unique et sa propriété / 1845)
"La religion de l'Humanité n'est que la dernière métamorphose de la religion chrétienne."
(Max Stirner / 1806-1856 / L'Unique et sa propriété / 1845)
"Le Protestantisme a proprement organisé en l'homme un véritable service de "police occulte". L'espion, le guetteur "Conscience", surveille chaque mouvement de l'esprit, et tout geste, toute pensée est à ses yeux une "affaire de conscience", c'est-à-dire une affaire de police. C'est cette scission de l'homme en "instincts naturels" et "conscience" (canaille intérieure et police intérieure) qui fait le Protestant."
(Max Stirner / 1806-1856 / L'Unique et sa propriété / 1845)
"On a coutume de louer le Protestantisme de ce qu'il a remis en honneur le temporel, comme par exemple le mariage, l'État, etc. Mais en réalité le temporel en tant que temporel, le profane, lui est bien plus indifférent encore qu'au Catholicisme; non seulement le catholique laisse subsister le monde profane, mais il ne s'interdit pas de goûter aux jouissances mondaines, tandis que le protestant, lorsqu'il raisonne et qu'il est conséquent, travaille à anéantir le temporel par le seul fait qu'il le sanctifie."
(Max Stirner / 1806-1856 / L'Unique et sa propriété / 1845)
"Tout vagabondage déplaît d'ailleurs au bourgeois, et il existe aussi des vagabonds de l'esprit, qui, étouffant sous le toit qui abritait leurs pères, s'en vont chercher au loin plus d'air et plus d'espace. Au lieu de rester au coin de l'âtre familial à remuer les cendres d'une opinion modérée, au lieu de tenir pour des vérités indiscutables ce qui a consolé et apaisé tant de générations avant eux, ils franchissent la barrière qui clôt le champ paternel et s'en vont, par les chemins audacieux de la critique, où les mène leur indomptable curiosité de douter."
(Max Stirner / 1806-1856 / L'Unique et sa propriété / 1845)
"La crainte de Dieu proprement dite est, depuis longtemps ébranlée, et un "athéisme" plus ou moins conscient, reconnaissable extérieurement à un abandon général du culte, est devenu involontairement la note dominante. Mais on a reporté sur l'Homme ce qu'on a pris à Dieu, et la puissance de l'Humanité s'est accrue de ce que la piété à perdu en importance : "l'Homme" est le Dieu actuel, et la crainte de l'Homme a remplacé l'ancienne crainte de Dieu. Mais comme l'homme ne représente qu'un autre être suprême, l'être suprême n'a fait que se métamorphoser, et la crainte de l'Homme n'est qu'une autre forme de la crainte de Dieu. Nos athées sont de pieuses gens."
(Max Stirner / 1806-1856 / L'Unique et sa propriété / 1845)
"Je n'ai basé ma cause sur Rien."
(Max Stirner / 1806-1856 / L'Unique et sa propriété / 1845)
"L'Homme n'a tué Dieu que pour être lui-même le seul Dieu dans les cieux."
(Max Stirner / 1806-1856)
laic-aokas- Nombre de messages : 14024
Date d'inscription : 03/06/2011
Re: Citations de Max Stirner
les esprits existent réellement ,moi en tout cas ,je crois ma grand mére ,pas par respect hypocrite comme l'est cet hypocrite de chrétien de max stirner ,mais je l'a crois parcequ'elle ne ment pas ,pas comme la pute de grand mére chrétienne de toujours de max striner de mes couilles .
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