ATTENTAT EXÉCUTÉ PAR KASMI M'HAMED, DIT AHMED AUBERTIER : 1957
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ATTENTAT EXÉCUTÉ PAR KASMI M'HAMED, DIT AHMED AUBERTIER : 1957
ATTENTAT EXÉCUTÉ PAR KASMI M'HAMED, DIT AHMED AUBERTIER : 1957
Ce récit raconte un pan de la Révolution algérienne de 1954 déclenchée depuis trois ans déjà dans la région d’Aokas, appelée alors Oued-Marsa, administration coloniale coiffant quatorze communes. Cette guerre de libération contre le colonialisme qui répandit sang et souffrances au sein du peuple algérien, avait tôt fait de réunir ce dernier autour des groupes armés.
La population remplissait plusieurs devoirs : elle assurait l’hébergement des maquisards, alimentait les fonds de la Révolution par des cotisations régulières, collectait et diffusait des informations... La population apportait résolument au mouvement Révolutionnaire un soutien matériel, financier et moral. La devise « La Révolution par le peuple et pour le peuple » était à ce titre un témoignage de reconnaissance à l’ensemble des citoyens qui avaient pris à bras le corps la destinée de leur patrie...
Chabane Zaid et Kasmi M’Hamed étaient respectivement cuisiniers chez les colons - père et fils - Henri et M. A. Déjà, avant le déclenchement de la Révolution, trois intellectuels de la région, en l’occurrence, Hamadi si Mohamed, Djabri Mohand et Chabane Si Amr, tous issus de l’école constantinoise d’Ibn Badis, avaient suscité chez les deux jeunes Algériens le vent de liberté.
Cette prise de conscience ne quittera jamais l’esprit des deux cuisiniers. Aussi attendaient-ils une occasion favorable pour se saisir des armes qu’ils avaient repérées dans la ferme où ils travaillaient – cinq carabines italiennes, deux pistolets, une caisse de munitions et un fusil de chasse à cinq coups – et rejoindre leurs compatriotes dans le maquis.
Or, les circonstances amenèrent Chabane Zaid à partir en France où il sera enrôlé dans la Fédération FLN[1]. Quant à Kasmi M’Hamed, il réussira finalement à s’emparer d’une arme de son patron et ira rejoindre les Moudjahidine dans les montagnes kabyles. On le surnommera « Ahmed Aubertier » allusion au lieu où il exerçait son métier de cuistot. Si bien que, plus tard, ce pseudonyme identifiera plus sûrement la personne que son nom propre.
Sa parfaite connaissance de la région et des habitudes du colon A. le désigna plus tôt que prévu pour accomplir une mission dont l’impact psychologique pouvait donner un nouvel élan à la Révolution dans la région : il s’agissait ni plus ni moins d’attenter à la vie de son ancien patron, M., et de s’emparer éventuellement de quelques armes. Depuis qu’il eut pris connaissance de sa mission, Kasmi M’Hamed ne cessa plus de repasser dans sa tête la phrase de son chef :
« Tu sais, la réussite de cette opération confortera incontestablement la confiance de la population dans notre lutte armée, et en même temps, elle sèmera le doute et l’émoi au sein de l’ennemi. »
A. H. était le nom de ce vieux colon gras et ventripotent qui était toujours flanqué de sa levrette haute en jambes, au corps allongé et au museau effilé ; la silhouette de cette chienne de chasse et d’agrément était devenue familière dans tout le village et dans l’exploitation agricole qui s’étendait sur plusieurs hectares.
Cependant, malgré ses dehors plutôt paisibles, le gros propriétaire - au propre et au figuré - était habité par la hantise de subir un assaut des maquisards. D’autant que son fils, M., un officier militaire de réserve, chauvin, austère et impitoyable, fut l’un des artisans sanguinaires et cruels des massacres du 08 mai 1945 de triste mémoire. Actuellement, il commandait des garnisons stationnées à Mansouriah et au lieudit « Les falaises », site situé à une quinzaine de kilomètres d’Aokas.
Le colon faisait donc preuve d'une attention soutenue pour être prêt à se défendre contre toute atteinte éventuelle. Tous les jours, entre neuf heures et midi, il allait se poster à cent mètres de sa ferme, dans une petite clairière nommée Ighil Elbaz, d’où il surveillait avec ses énormes et puissantes jumelles tout le maquis alentour. L’ascension du sentier pédestre l’essoufflait, et c’était toujours en ahanant qu’il atteignait son poste d’observation. Armé d’un fusil à cinq coups, il lui arrivait à l’occasion de tirer sur un lièvre ou une caille. Cette détonation matinale ne surprenait personne outre mesure, et celui qui l’entendait songeait plutôt :
« Tiens, c’est sûrement le vieux A. qui vient d’ajuster un gibier. »
Le printemps venait d’entamer sa deuxième semaine. La splendeur du mois d’avril battait son plein. La verdure de la végétation et la floraison des arbres coloraient toute la belle région d’Aokas ; et le bleu de la mer, et le ciel d’azur, conféraient à cette station balnéaire un décor paradisiaque.
Ce fut ce jour éclatant que choisit Kasmi M’Hamed pour remplir sa mission. Avant même l’arrivée du colon à l’endroit dégarni d’arbres habituel, le maquisard prit position dans les fourrés, en contre-haut, à une distance respectueuse, ni trop loin, ni trop près de la cible, pour ne pas rater son coup.
Armé d’un fusil de chasse préalablement chargé, il attendit patiemment sa victime. Il ne manifestait nulle excitation. Un calme absolu l’enveloppa entièrement. Pour se donner cette contenance assurée, il imaginait qu’il était simplement à l’affût comme souvent à la chasse lorsque, petit, tapi derrière un buisson, il attendait avec son lance-pierre le débuché du gibier.
À l’heure coutumière, le corpulent colon parvint malaisément à son observatoire. Respirant avec peine, il s’affala sur la chaise cannée qui trônait toujours là, enleva son chapeau mou, puis s’employa à essuyer son front couvert de sueur. Son inévitable chienne gambadait dans la petite clairière sans jamais trahir la présence du maquisard que son flair de clébard a dû certainement sentir, mais dont l’odeur familière ne suscita chez elle aucune défiance. Kasmi M’Hamed fut déçu de ne pas voir le sanguinaire M.
accompagner son père ; car l’objectif assigné au maquisard était d’abord l’élimination du cruel officier. Tant pis, aujourd’hui sa victime sera le paternel du maudit chef militaire.
Un instant après, A. ajusta sa paire de jumelles pour scruter le versant de la montagne boisée quand, soudain, un coup de feu, un seul, sec et violent, retentit dans les sous-bois. Simultanément, le corps massif du colon s’abattit, la face contre terre, comme un sac de pommes de terre balancé d’un camion. Aussitôt, Kasmi M’Hamed se précipita sur le corps inerte, s’assura qu’il était réellement sans vie, ramassa le fusil, la cartouchière et les jumelles, puis se fondit dans les taillis. L’affaire fut menée en quelques secondes. Opération fulgurante...
Maintenant, Kasmi M’Hamed était en route vers le refuge basé au douar de Aït-Aïssa, au domicile de Aïdoune Hmana. Durant tout le parcours où il traversa au pas de course les lieudits El Kantara et Arrachouche, une réflexion se faisait écho dans sa tête.
« La Révolution triomphera ! La Révolution triomphera ! »
Le soleil venait de passer au zénith depuis quelques minutes. D’habitude, le vieux colon était toujours au rendez-vous à l’heure du déjeuner. Ce retard incompréhensible donna quelque inquiétude à Mme Marie R., la gouvernante des A. Ne voyant pas arriver son patron, elle résolut d’aller à sa rencontre en compagnie de deux soldats qui campaient en permanence dans la ferme. La découverte du corps ensanglanté lui arracha des cris d’orfraie. Dès lors, l’annonce de la liquidation du riche colon se répandit comme une traînée de poudre dans toute la région.
Non loin de la ferme coloniale, un groupe d’ouvriers des Ponts & Chaussées continuaient des travaux de réfection d’une route goudronnée. Ayant eu vent de l’attentat, et craignant que le fils M. A., connu pour son agressivité extrême, ne se vengeât sur ces pauvres manœuvres, les conscrits qui surveillaient le chantier les libérèrent sur le champ en leur conseillant de rentrer chez eux.
L’officier furieusement enragé, remua vainement ciel et terre pour, sinon arrêter, au moins connaître l’auteur du coup de fusil qui emporta la vie de son père. Les témoins auriculaires avaient certes entendu un coup de feu, mais tous avaient conclu à un tir du vieux colon chassant quelque rongeur. A son grand dépit, M. A. ne put prendre des mesures de représailles contre la population protégée par l’administrateur civil M. Celui-ci, jugé trop complaisant, sera peu de temps après démis de ses fonctions. L’ex-fondé de pouvoir se verra même expulsé manu militari de sa résidence.
Pendant ce temps, Ahmed Aubertier allait par monts et par vaux avec ses compagnons d’armes à la poursuite de l’indépendance de l’Algérie et du recouvrement de la liberté et de la dignité du peuple opprimé. Et au fur et à mesure que ces braves combattants avançaient dans la lutte, s’élargissait cet espoir...
Cependant, le valeureux maquisard ne vivra pas jusqu’au dénouement de cette guerre à laquelle il aura sacrifié sa vie. Il succombera près de Djbira,
dans la commune de Oued-Ghir, au lieudit Atranchi Azegagh[2] sous une décharge d’artillerie lourde. Il avait vingt-huit ans.
Repose en paix, chahid Kasmi M’Hamed. Ton surnom « Ahmed Aubertier » est resté à jamais gravé dans les mémoires et dans les tablettes de l’histoire de ton pays que tu as aimé et défendu au prix de ton sang…
[1] Groupement Révolutionnaire à l’étranger considéré comme le second souffle de la lutte de libération.
[2] La tranchée rouge.
Ce récit raconte un pan de la Révolution algérienne de 1954 déclenchée depuis trois ans déjà dans la région d’Aokas, appelée alors Oued-Marsa, administration coloniale coiffant quatorze communes. Cette guerre de libération contre le colonialisme qui répandit sang et souffrances au sein du peuple algérien, avait tôt fait de réunir ce dernier autour des groupes armés.
La population remplissait plusieurs devoirs : elle assurait l’hébergement des maquisards, alimentait les fonds de la Révolution par des cotisations régulières, collectait et diffusait des informations... La population apportait résolument au mouvement Révolutionnaire un soutien matériel, financier et moral. La devise « La Révolution par le peuple et pour le peuple » était à ce titre un témoignage de reconnaissance à l’ensemble des citoyens qui avaient pris à bras le corps la destinée de leur patrie...
Chabane Zaid et Kasmi M’Hamed étaient respectivement cuisiniers chez les colons - père et fils - Henri et M. A. Déjà, avant le déclenchement de la Révolution, trois intellectuels de la région, en l’occurrence, Hamadi si Mohamed, Djabri Mohand et Chabane Si Amr, tous issus de l’école constantinoise d’Ibn Badis, avaient suscité chez les deux jeunes Algériens le vent de liberté.
Cette prise de conscience ne quittera jamais l’esprit des deux cuisiniers. Aussi attendaient-ils une occasion favorable pour se saisir des armes qu’ils avaient repérées dans la ferme où ils travaillaient – cinq carabines italiennes, deux pistolets, une caisse de munitions et un fusil de chasse à cinq coups – et rejoindre leurs compatriotes dans le maquis.
Or, les circonstances amenèrent Chabane Zaid à partir en France où il sera enrôlé dans la Fédération FLN[1]. Quant à Kasmi M’Hamed, il réussira finalement à s’emparer d’une arme de son patron et ira rejoindre les Moudjahidine dans les montagnes kabyles. On le surnommera « Ahmed Aubertier » allusion au lieu où il exerçait son métier de cuistot. Si bien que, plus tard, ce pseudonyme identifiera plus sûrement la personne que son nom propre.
Sa parfaite connaissance de la région et des habitudes du colon A. le désigna plus tôt que prévu pour accomplir une mission dont l’impact psychologique pouvait donner un nouvel élan à la Révolution dans la région : il s’agissait ni plus ni moins d’attenter à la vie de son ancien patron, M., et de s’emparer éventuellement de quelques armes. Depuis qu’il eut pris connaissance de sa mission, Kasmi M’Hamed ne cessa plus de repasser dans sa tête la phrase de son chef :
« Tu sais, la réussite de cette opération confortera incontestablement la confiance de la population dans notre lutte armée, et en même temps, elle sèmera le doute et l’émoi au sein de l’ennemi. »
A. H. était le nom de ce vieux colon gras et ventripotent qui était toujours flanqué de sa levrette haute en jambes, au corps allongé et au museau effilé ; la silhouette de cette chienne de chasse et d’agrément était devenue familière dans tout le village et dans l’exploitation agricole qui s’étendait sur plusieurs hectares.
Cependant, malgré ses dehors plutôt paisibles, le gros propriétaire - au propre et au figuré - était habité par la hantise de subir un assaut des maquisards. D’autant que son fils, M., un officier militaire de réserve, chauvin, austère et impitoyable, fut l’un des artisans sanguinaires et cruels des massacres du 08 mai 1945 de triste mémoire. Actuellement, il commandait des garnisons stationnées à Mansouriah et au lieudit « Les falaises », site situé à une quinzaine de kilomètres d’Aokas.
Le colon faisait donc preuve d'une attention soutenue pour être prêt à se défendre contre toute atteinte éventuelle. Tous les jours, entre neuf heures et midi, il allait se poster à cent mètres de sa ferme, dans une petite clairière nommée Ighil Elbaz, d’où il surveillait avec ses énormes et puissantes jumelles tout le maquis alentour. L’ascension du sentier pédestre l’essoufflait, et c’était toujours en ahanant qu’il atteignait son poste d’observation. Armé d’un fusil à cinq coups, il lui arrivait à l’occasion de tirer sur un lièvre ou une caille. Cette détonation matinale ne surprenait personne outre mesure, et celui qui l’entendait songeait plutôt :
« Tiens, c’est sûrement le vieux A. qui vient d’ajuster un gibier. »
Le printemps venait d’entamer sa deuxième semaine. La splendeur du mois d’avril battait son plein. La verdure de la végétation et la floraison des arbres coloraient toute la belle région d’Aokas ; et le bleu de la mer, et le ciel d’azur, conféraient à cette station balnéaire un décor paradisiaque.
Ce fut ce jour éclatant que choisit Kasmi M’Hamed pour remplir sa mission. Avant même l’arrivée du colon à l’endroit dégarni d’arbres habituel, le maquisard prit position dans les fourrés, en contre-haut, à une distance respectueuse, ni trop loin, ni trop près de la cible, pour ne pas rater son coup.
Armé d’un fusil de chasse préalablement chargé, il attendit patiemment sa victime. Il ne manifestait nulle excitation. Un calme absolu l’enveloppa entièrement. Pour se donner cette contenance assurée, il imaginait qu’il était simplement à l’affût comme souvent à la chasse lorsque, petit, tapi derrière un buisson, il attendait avec son lance-pierre le débuché du gibier.
À l’heure coutumière, le corpulent colon parvint malaisément à son observatoire. Respirant avec peine, il s’affala sur la chaise cannée qui trônait toujours là, enleva son chapeau mou, puis s’employa à essuyer son front couvert de sueur. Son inévitable chienne gambadait dans la petite clairière sans jamais trahir la présence du maquisard que son flair de clébard a dû certainement sentir, mais dont l’odeur familière ne suscita chez elle aucune défiance. Kasmi M’Hamed fut déçu de ne pas voir le sanguinaire M.
accompagner son père ; car l’objectif assigné au maquisard était d’abord l’élimination du cruel officier. Tant pis, aujourd’hui sa victime sera le paternel du maudit chef militaire.
Un instant après, A. ajusta sa paire de jumelles pour scruter le versant de la montagne boisée quand, soudain, un coup de feu, un seul, sec et violent, retentit dans les sous-bois. Simultanément, le corps massif du colon s’abattit, la face contre terre, comme un sac de pommes de terre balancé d’un camion. Aussitôt, Kasmi M’Hamed se précipita sur le corps inerte, s’assura qu’il était réellement sans vie, ramassa le fusil, la cartouchière et les jumelles, puis se fondit dans les taillis. L’affaire fut menée en quelques secondes. Opération fulgurante...
Maintenant, Kasmi M’Hamed était en route vers le refuge basé au douar de Aït-Aïssa, au domicile de Aïdoune Hmana. Durant tout le parcours où il traversa au pas de course les lieudits El Kantara et Arrachouche, une réflexion se faisait écho dans sa tête.
« La Révolution triomphera ! La Révolution triomphera ! »
Le soleil venait de passer au zénith depuis quelques minutes. D’habitude, le vieux colon était toujours au rendez-vous à l’heure du déjeuner. Ce retard incompréhensible donna quelque inquiétude à Mme Marie R., la gouvernante des A. Ne voyant pas arriver son patron, elle résolut d’aller à sa rencontre en compagnie de deux soldats qui campaient en permanence dans la ferme. La découverte du corps ensanglanté lui arracha des cris d’orfraie. Dès lors, l’annonce de la liquidation du riche colon se répandit comme une traînée de poudre dans toute la région.
Non loin de la ferme coloniale, un groupe d’ouvriers des Ponts & Chaussées continuaient des travaux de réfection d’une route goudronnée. Ayant eu vent de l’attentat, et craignant que le fils M. A., connu pour son agressivité extrême, ne se vengeât sur ces pauvres manœuvres, les conscrits qui surveillaient le chantier les libérèrent sur le champ en leur conseillant de rentrer chez eux.
L’officier furieusement enragé, remua vainement ciel et terre pour, sinon arrêter, au moins connaître l’auteur du coup de fusil qui emporta la vie de son père. Les témoins auriculaires avaient certes entendu un coup de feu, mais tous avaient conclu à un tir du vieux colon chassant quelque rongeur. A son grand dépit, M. A. ne put prendre des mesures de représailles contre la population protégée par l’administrateur civil M. Celui-ci, jugé trop complaisant, sera peu de temps après démis de ses fonctions. L’ex-fondé de pouvoir se verra même expulsé manu militari de sa résidence.
Pendant ce temps, Ahmed Aubertier allait par monts et par vaux avec ses compagnons d’armes à la poursuite de l’indépendance de l’Algérie et du recouvrement de la liberté et de la dignité du peuple opprimé. Et au fur et à mesure que ces braves combattants avançaient dans la lutte, s’élargissait cet espoir...
Cependant, le valeureux maquisard ne vivra pas jusqu’au dénouement de cette guerre à laquelle il aura sacrifié sa vie. Il succombera près de Djbira,
dans la commune de Oued-Ghir, au lieudit Atranchi Azegagh[2] sous une décharge d’artillerie lourde. Il avait vingt-huit ans.
Repose en paix, chahid Kasmi M’Hamed. Ton surnom « Ahmed Aubertier » est resté à jamais gravé dans les mémoires et dans les tablettes de l’histoire de ton pays que tu as aimé et défendu au prix de ton sang…
[1] Groupement Révolutionnaire à l’étranger considéré comme le second souffle de la lutte de libération.
[2] La tranchée rouge.
laic-aokas- Nombre de messages : 14024
Date d'inscription : 03/06/2011
Re: ATTENTAT EXÉCUTÉ PAR KASMI M'HAMED, DIT AHMED AUBERTIER : 1957
kassof devrait rougir devant une telle oeuvre ,lui qui c'était opposé à la publicité de notre forum sur radio beur.
Re: ATTENTAT EXÉCUTÉ PAR KASMI M'HAMED, DIT AHMED AUBERTIER : 1957
notre forum est comme Al Jazira , rien ne passe inaperçu!
laic-aokas- Nombre de messages : 14024
Date d'inscription : 03/06/2011
Re: ATTENTAT EXÉCUTÉ PAR KASMI M'HAMED, DIT AHMED AUBERTIER : 1957
oui ,notre forum est mieux qu'al jazira ,plus professionnel qu'al jazira ,nous informons sans désinformer ,nous informons sans parti pris ,dans le but de former une opinion algérienne consciente et conscencieuse .
nous refusons de faire dans la propagande à l'image d'al jazira ,de cette maccabre agence "siwel" et autresmédias de guerre.
nous informons tout simplement .
nous refusons de faire dans la propagande à l'image d'al jazira ,de cette maccabre agence "siwel" et autresmédias de guerre.
nous informons tout simplement .
Re: ATTENTAT EXÉCUTÉ PAR KASMI M'HAMED, DIT AHMED AUBERTIER : 1957
la nature a horreur du vide
laic-aokas- Nombre de messages : 14024
Date d'inscription : 03/06/2011
Zhafit- Admin
- Nombre de messages : 13508
Date d'inscription : 26/04/2008
K.REDA- Nombre de messages : 736
Localisation : Aokas
Date d'inscription : 31/08/2011
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