Manifestations en France pour les Droits de la femme Marocaine
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Manifestations en France pour les Droits de la femme Marocaine
Article Courrier Cœur Mirail
Historique
La Caravane est venue pendant 10 jours dans les quartiers de Toulouse et à Muret. Cela a été un « GRAND EVENEMENT ». C’est un projet qui a été mené depuis plusieurs années. Déjà en 2003 Aïcha Ech Chena était venue à Bell’ Arc-en-ciel. Des films ont été réalisés sur l’action des caravanières au Maroc et à Lyon en France en 2004.
Le Collectif interculturel a mis en place les objectifs de ce projet :
- autour de l’égalité Femme – Homme,
- informer sur l’accès au droit des femmes à partir de l’évolution du code de la famille. Abolition de la « répudiation » par Mohamed VI, reconnaissance du divorce.
- dénoncer les discriminations envers les femmes.
Ce projet dès le début a été encouragé par le Conseil Général. C’est l’aboutissement d’un vrai travail de réseaux. D’un partenariat et d’une remarquable mobilisation des associations des différents quartiers où la Caravane a fait étape.
Arrivée à Toulouse
C’est sous des ovations que les caravanières ont été accueillies à la Maison de Quartier de Bagatelle le jeudi 22 mai. Un petit déjeuner rassemblait les caravanières, les officiels, les membres des associations qui ont préparés cette manifestation, ce qui a donné lieu à de nombreuses réunions collectives.
Qui sont ces caravanières ?
Des femmes de la ligue démocratique des droits des femmes du Maroc : 18 femmes dont des avocates, quatre juristes, des journalistes militantes et la directrice de l’égalité de la citoyenneté de Casablanca ainsi que 4 militantes algériennes.
Accueil, rencontre, débats sous la tente.
Chaque jour la tente a été montée, démontée, remontée pour assurer son périple de quartier en quartier dans une ambiance festive : chants, danses, contes partages de repas, thé à la menthe. La tente a permis une nombreuse participation des habitants surtout des femmes, des collégien(ne)s et des ados, à de nombreux débats au long des journées. Environ 300 personnes sous et autour de la tente ont participés chaque jour aux activités. On peut estimer à trois ou quatre milles le nombre des participants durant toute la Caravane.
Cela a permis à des femmes de prendre la parole dans leur langue maternelle, pour certaines, pour la premières fois en public. Il y a eu un partage autour de sujets qui restent tabou : mariages arrangés ou forcés, violence, soumission, éducation, regard des autres, étiquettes sur la personne spécialement les filles, mixité fille/garçons. Les débats parfois musclés ont cherché à éviter la confusion entre culture et interprétations religieuses.
Les consultations juridiques :
Les consultations juridiques ont été très demandées. Elles ont été assurées chaque jour de la Caravane par au moins quatre personnes ensemble, à la fois marocaines, algériennes, et françaises. Cela permettra de continuer l’action. On a relevé 96 personnes qui y ont participé. Les thèmes abordés ont été en priorité les suivants :
- Violences conjugales.
- Enlèvement d’enfants.
- Droit des étrangers en matière d’entrée et de séjour en France.
- Double violence : (femmes battues et sans papiers à la suite de l’agression)
- Demande de nationalité française.
- Droit prud’homal.
- Droit pénal.
Il a été remarqué l’importance du contact des personnes avec des femmes de leur pays d’origine : juriste et avocate entraînant une plus grande confiance pour exprimer des situations douloureuses. Il a été soulevé le problème des titres de séjour de parents âgés étrangers dont les enfants sont français et vivent en France afin de pouvoir ainsi les prendre en charge.
Visite à Mr le Préfet
Avant de partir, les caravanières accompagnées des femmes du collectif interculturel, des comités locaux et du comité de pilotage sont allées rendre compte à M. le préfet des souhaits qu’avait soulevés leur passage de 10 jours dans les quartiers entre autre :
- Création d’un réseau entre avocates, juristes et associations marocaines, algériennes et toulousaines autour du droit international privé permettant le travail en commun pour des situations particulières de femmes.
- Création d’une instance mixte associant juristes et associations des deux rives pour travailler sur les aspects discriminatoires des conventions bilatérales.
- Consolider les liens entre les associations d’ici et de là-bas pour pouvoir soutenir les femmes avec des problématiques notamment de violences et qui ont besoin de connaître leurs droits ici et là-bas.
- Inquiétude sur la refonte de la délégation des droits des femmes, prise en compte du besoin de permanences et proximité implantées au plus près des populations.
- Mise en place d’un lieu ressource pour solliciter des agents assermentés pour la traduction des documents et un pool d’interprètes.
- Bus itinérant sur les marchés donnant des informations aux femmes sur la santé, les papiers, le droit de la famille et le droit international privé.
- Application réelle des dispositions de la dernière loi CEDESA (divorce) pour les femmes victimes de violence avant le premier titre de séjour ou son renouvellement.
- Promouvoir une formation de magistrats sur les violences conjugales.
- Promouvoir une sensibilisation du personnel des consulats de France et aussi du personnel des consulats du Maghreb sur les problèmes de violences spécifiques aux femmes.
- Créer un interlocuteur référent dans les consulats de France pour les représentants des associations comme la Ligue démocratique des droits des femmes au Maroc ou des associations défendant les droits des femmes.
- Promouvoir l’enseignement de la langue et de la culture, encadré par l’Education Nationale des langues d’origine sur le modèle des calendrettes à Toulouse.
Notre ressenti comme religieuses
Devant les souffrances exprimées par les femmes, les caravanières ont insisté sur l’importance de s’informer, de se former au niveau des lois pour donner aux femmes le courage de prendre en main leur dignité. Bien sûr, ces souffrances ont été souvent murmurées à nos oreilles, mais l’entendre, ensemble, avec une telle force et un tel poids nous a profondément émues. Le silence et l’accueil de ces souffrances par tous nous ont fait plus encore prendre conscience de notre humanité, de nous sentir femme avec ces femmes et combien notre présence est nécessaire dans nos quartiers.
Nous avons utilisé des extrais d’un premier bilan du Livre Blanc de la Caravane
Historique
La Caravane est venue pendant 10 jours dans les quartiers de Toulouse et à Muret. Cela a été un « GRAND EVENEMENT ». C’est un projet qui a été mené depuis plusieurs années. Déjà en 2003 Aïcha Ech Chena était venue à Bell’ Arc-en-ciel. Des films ont été réalisés sur l’action des caravanières au Maroc et à Lyon en France en 2004.
Le Collectif interculturel a mis en place les objectifs de ce projet :
- autour de l’égalité Femme – Homme,
- informer sur l’accès au droit des femmes à partir de l’évolution du code de la famille. Abolition de la « répudiation » par Mohamed VI, reconnaissance du divorce.
- dénoncer les discriminations envers les femmes.
Ce projet dès le début a été encouragé par le Conseil Général. C’est l’aboutissement d’un vrai travail de réseaux. D’un partenariat et d’une remarquable mobilisation des associations des différents quartiers où la Caravane a fait étape.
Arrivée à Toulouse
C’est sous des ovations que les caravanières ont été accueillies à la Maison de Quartier de Bagatelle le jeudi 22 mai. Un petit déjeuner rassemblait les caravanières, les officiels, les membres des associations qui ont préparés cette manifestation, ce qui a donné lieu à de nombreuses réunions collectives.
Qui sont ces caravanières ?
Des femmes de la ligue démocratique des droits des femmes du Maroc : 18 femmes dont des avocates, quatre juristes, des journalistes militantes et la directrice de l’égalité de la citoyenneté de Casablanca ainsi que 4 militantes algériennes.
Accueil, rencontre, débats sous la tente.
Chaque jour la tente a été montée, démontée, remontée pour assurer son périple de quartier en quartier dans une ambiance festive : chants, danses, contes partages de repas, thé à la menthe. La tente a permis une nombreuse participation des habitants surtout des femmes, des collégien(ne)s et des ados, à de nombreux débats au long des journées. Environ 300 personnes sous et autour de la tente ont participés chaque jour aux activités. On peut estimer à trois ou quatre milles le nombre des participants durant toute la Caravane.
Cela a permis à des femmes de prendre la parole dans leur langue maternelle, pour certaines, pour la premières fois en public. Il y a eu un partage autour de sujets qui restent tabou : mariages arrangés ou forcés, violence, soumission, éducation, regard des autres, étiquettes sur la personne spécialement les filles, mixité fille/garçons. Les débats parfois musclés ont cherché à éviter la confusion entre culture et interprétations religieuses.
Les consultations juridiques :
Les consultations juridiques ont été très demandées. Elles ont été assurées chaque jour de la Caravane par au moins quatre personnes ensemble, à la fois marocaines, algériennes, et françaises. Cela permettra de continuer l’action. On a relevé 96 personnes qui y ont participé. Les thèmes abordés ont été en priorité les suivants :
- Violences conjugales.
- Enlèvement d’enfants.
- Droit des étrangers en matière d’entrée et de séjour en France.
- Double violence : (femmes battues et sans papiers à la suite de l’agression)
- Demande de nationalité française.
- Droit prud’homal.
- Droit pénal.
Il a été remarqué l’importance du contact des personnes avec des femmes de leur pays d’origine : juriste et avocate entraînant une plus grande confiance pour exprimer des situations douloureuses. Il a été soulevé le problème des titres de séjour de parents âgés étrangers dont les enfants sont français et vivent en France afin de pouvoir ainsi les prendre en charge.
Visite à Mr le Préfet
Avant de partir, les caravanières accompagnées des femmes du collectif interculturel, des comités locaux et du comité de pilotage sont allées rendre compte à M. le préfet des souhaits qu’avait soulevés leur passage de 10 jours dans les quartiers entre autre :
- Création d’un réseau entre avocates, juristes et associations marocaines, algériennes et toulousaines autour du droit international privé permettant le travail en commun pour des situations particulières de femmes.
- Création d’une instance mixte associant juristes et associations des deux rives pour travailler sur les aspects discriminatoires des conventions bilatérales.
- Consolider les liens entre les associations d’ici et de là-bas pour pouvoir soutenir les femmes avec des problématiques notamment de violences et qui ont besoin de connaître leurs droits ici et là-bas.
- Inquiétude sur la refonte de la délégation des droits des femmes, prise en compte du besoin de permanences et proximité implantées au plus près des populations.
- Mise en place d’un lieu ressource pour solliciter des agents assermentés pour la traduction des documents et un pool d’interprètes.
- Bus itinérant sur les marchés donnant des informations aux femmes sur la santé, les papiers, le droit de la famille et le droit international privé.
- Application réelle des dispositions de la dernière loi CEDESA (divorce) pour les femmes victimes de violence avant le premier titre de séjour ou son renouvellement.
- Promouvoir une formation de magistrats sur les violences conjugales.
- Promouvoir une sensibilisation du personnel des consulats de France et aussi du personnel des consulats du Maghreb sur les problèmes de violences spécifiques aux femmes.
- Créer un interlocuteur référent dans les consulats de France pour les représentants des associations comme la Ligue démocratique des droits des femmes au Maroc ou des associations défendant les droits des femmes.
- Promouvoir l’enseignement de la langue et de la culture, encadré par l’Education Nationale des langues d’origine sur le modèle des calendrettes à Toulouse.
Notre ressenti comme religieuses
Devant les souffrances exprimées par les femmes, les caravanières ont insisté sur l’importance de s’informer, de se former au niveau des lois pour donner aux femmes le courage de prendre en main leur dignité. Bien sûr, ces souffrances ont été souvent murmurées à nos oreilles, mais l’entendre, ensemble, avec une telle force et un tel poids nous a profondément émues. Le silence et l’accueil de ces souffrances par tous nous ont fait plus encore prendre conscience de notre humanité, de nous sentir femme avec ces femmes et combien notre présence est nécessaire dans nos quartiers.
Nous avons utilisé des extrais d’un premier bilan du Livre Blanc de la Caravane
Re: Manifestations en France pour les Droits de la femme Marocaine
je ne peux pas me soucier des femmes du maroc alors que nous battions encore nos propres femmes
Re: Manifestations en France pour les Droits de la femme Marocaine
il faut voir la volenté des européens dans la matiere des droits de la femme.
Re: Manifestations en France pour les Droits de la femme Marocaine
les européens sont nos colonisateurs alors ne sois pas naif asmaali en croyant qu'ils te veulent du bien
Re: Manifestations en France pour les Droits de la femme Marocaine
j'ai reçu ce cet article il y a quelques jours d'une amie de France, et je l'ai posté pour voir ce qui se passe en France.
Re: Manifestations en France pour les Droits de la femme Marocaine
celle qui t'as envoyéer l'article en question est ta pire ennemie
Re: Manifestations en France pour les Droits de la femme Marocaine
Elle fait partie du mouvement en France et il est Algérienne et une Aokassienne.
Re: Manifestations en France pour les Droits de la femme Marocaine
on fait pas du militantisme par procuration
Re: Manifestations en France pour les Droits de la femme Marocaine
les européens doivent plutot se préoccuper du taux anormalement élevé de l'homosexualité ,du recul de l'age de mariage ,du vieillissement de la population , de la pédophélie à grande échelle de l'église , de la dislocation de la cellule familliale ,et bieb d'autres choses .
pour le maroc ,l'urgence est de mettre une fin au tourisme sexuel occidental au maroc , à la prostitution féminine et masculine des adolescents , au découragement généralisé de la jeunesse marocaine et sans refuge dans l'islamisme leplus radical qu'il soit .
voilà une liste de priorités des préoccupations des européens chrétiens et des marocains musulmans .
pour le maroc ,l'urgence est de mettre une fin au tourisme sexuel occidental au maroc , à la prostitution féminine et masculine des adolescents , au découragement généralisé de la jeunesse marocaine et sans refuge dans l'islamisme leplus radical qu'il soit .
voilà une liste de priorités des préoccupations des européens chrétiens et des marocains musulmans .
asmaali a écrit:il faut voir la volenté des européens dans la matiere des droits de la femme.
Re: Manifestations en France pour les Droits de la femme Marocaine
voilà les droits de la femme marocaine
asmaali a écrit:Article Courrier Cœur Mirail
Historique
La Caravane est venue pendant 10 jours dans les quartiers de Toulouse et à Muret. Cela a été un « GRAND EVENEMENT ». C’est un projet qui a été mené depuis plusieurs années. Déjà en 2003 Aïcha Ech Chena était venue à Bell’ Arc-en-ciel. Des films ont été réalisés sur l’action des caravanières au Maroc et à Lyon en France en 2004.
Le Collectif interculturel a mis en place les objectifs de ce projet :
- autour de l’égalité Femme – Homme,
- informer sur l’accès au droit des femmes à partir de l’évolution du code de la famille. Abolition de la « répudiation » par Mohamed VI, reconnaissance du divorce.
- dénoncer les discriminations envers les femmes.
Ce projet dès le début a été encouragé par le Conseil Général. C’est l’aboutissement d’un vrai travail de réseaux. D’un partenariat et d’une remarquable mobilisation des associations des différents quartiers où la Caravane a fait étape.
Arrivée à Toulouse
C’est sous des ovations que les caravanières ont été accueillies à la Maison de Quartier de Bagatelle le jeudi 22 mai. Un petit déjeuner rassemblait les caravanières, les officiels, les membres des associations qui ont préparés cette manifestation, ce qui a donné lieu à de nombreuses réunions collectives.
Qui sont ces caravanières ?
Des femmes de la ligue démocratique des droits des femmes du Maroc : 18 femmes dont des avocates, quatre juristes, des journalistes militantes et la directrice de l’égalité de la citoyenneté de Casablanca ainsi que 4 militantes algériennes.
Accueil, rencontre, débats sous la tente.
Chaque jour la tente a été montée, démontée, remontée pour assurer son périple de quartier en quartier dans une ambiance festive : chants, danses, contes partages de repas, thé à la menthe. La tente a permis une nombreuse participation des habitants surtout des femmes, des collégien(ne)s et des ados, à de nombreux débats au long des journées. Environ 300 personnes sous et autour de la tente ont participés chaque jour aux activités. On peut estimer à trois ou quatre milles le nombre des participants durant toute la Caravane.
Cela a permis à des femmes de prendre la parole dans leur langue maternelle, pour certaines, pour la premières fois en public. Il y a eu un partage autour de sujets qui restent tabou : mariages arrangés ou forcés, violence, soumission, éducation, regard des autres, étiquettes sur la personne spécialement les filles, mixité fille/garçons. Les débats parfois musclés ont cherché à éviter la confusion entre culture et interprétations religieuses.
Les consultations juridiques :
Les consultations juridiques ont été très demandées. Elles ont été assurées chaque jour de la Caravane par au moins quatre personnes ensemble, à la fois marocaines, algériennes, et françaises. Cela permettra de continuer l’action. On a relevé 96 personnes qui y ont participé. Les thèmes abordés ont été en priorité les suivants :
- Violences conjugales.
- Enlèvement d’enfants.
- Droit des étrangers en matière d’entrée et de séjour en France.
- Double violence : (femmes battues et sans papiers à la suite de l’agression)
- Demande de nationalité française.
- Droit prud’homal.
- Droit pénal.
Il a été remarqué l’importance du contact des personnes avec des femmes de leur pays d’origine : juriste et avocate entraînant une plus grande confiance pour exprimer des situations douloureuses. Il a été soulevé le problème des titres de séjour de parents âgés étrangers dont les enfants sont français et vivent en France afin de pouvoir ainsi les prendre en charge.
Visite à Mr le Préfet
Avant de partir, les caravanières accompagnées des femmes du collectif interculturel, des comités locaux et du comité de pilotage sont allées rendre compte à M. le préfet des souhaits qu’avait soulevés leur passage de 10 jours dans les quartiers entre autre :
- Création d’un réseau entre avocates, juristes et associations marocaines, algériennes et toulousaines autour du droit international privé permettant le travail en commun pour des situations particulières de femmes.
- Création d’une instance mixte associant juristes et associations des deux rives pour travailler sur les aspects discriminatoires des conventions bilatérales.
- Consolider les liens entre les associations d’ici et de là-bas pour pouvoir soutenir les femmes avec des problématiques notamment de violences et qui ont besoin de connaître leurs droits ici et là-bas.
- Inquiétude sur la refonte de la délégation des droits des femmes, prise en compte du besoin de permanences et proximité implantées au plus près des populations.
- Mise en place d’un lieu ressource pour solliciter des agents assermentés pour la traduction des documents et un pool d’interprètes.
- Bus itinérant sur les marchés donnant des informations aux femmes sur la santé, les papiers, le droit de la famille et le droit international privé.
- Application réelle des dispositions de la dernière loi CEDESA (divorce) pour les femmes victimes de violence avant le premier titre de séjour ou son renouvellement.
- Promouvoir une formation de magistrats sur les violences conjugales.
- Promouvoir une sensibilisation du personnel des consulats de France et aussi du personnel des consulats du Maghreb sur les problèmes de violences spécifiques aux femmes.
- Créer un interlocuteur référent dans les consulats de France pour les représentants des associations comme la Ligue démocratique des droits des femmes au Maroc ou des associations défendant les droits des femmes.
- Promouvoir l’enseignement de la langue et de la culture, encadré par l’Education Nationale des langues d’origine sur le modèle des calendrettes à Toulouse.
Notre ressenti comme religieuses
Devant les souffrances exprimées par les femmes, les caravanières ont insisté sur l’importance de s’informer, de se former au niveau des lois pour donner aux femmes le courage de prendre en main leur dignité. Bien sûr, ces souffrances ont été souvent murmurées à nos oreilles, mais l’entendre, ensemble, avec une telle force et un tel poids nous a profondément émues. Le silence et l’accueil de ces souffrances par tous nous ont fait plus encore prendre conscience de notre humanité, de nous sentir femme avec ces femmes et combien notre présence est nécessaire dans nos quartiers.
Nous avons utilisé des extrais d’un premier bilan du Livre Blanc de la Caravane
Re: Manifestations en France pour les Droits de la femme Marocaine
defendre les droit de la femme marocain en france il save pas que la prostitution des femme,des gamin,et des enfant se fait ouvertement au maroc et pas en france, la caravanne c trompé de chemin il fo quel prend la direction du maroc, et l'aokassienne qui ta envoyé sa il faudrait quel s'éloigne trés vite de c gens la! car c des gens qui von lui explosé sa famille si c pas encore fait!c des mouvement trés organisé politisé il y beaucoup de juif a la tête de c association leur seul but c de divisé les famille.
fiereamazigh- Nombre de messages : 13
Date d'inscription : 07/05/2011
Re: Manifestations en France pour les Droits de la femme Marocaine
POUR LA PHOTO azemour .s'est un probleme aujourd'huit de certainne musulmane qui cour derriere les solde ,qui s'habille du façon trés sérré et plus vulgaire que des non musulmane cela montre juste un islam de tradition basé sur l'ignorance et non un islam de conviction basé sur le lecture et le savoir de base
fiereamazigh- Nombre de messages : 13
Date d'inscription : 07/05/2011
Re: Manifestations en France pour les Droits de la femme Marocaine
une explication vraiment à la hauteur ,c'est une analyse trés pointue et réelle de ses mouvements ,noyautés comme d'habitude par ses juifs ,toujours ses juifs .
le malheur est qu'il y a parmis nous les musulmans qui croivent encore qu'ils ppeuvent trouver un juif qui de bonnnes intentions ,mais quelle naiveté criminelle .
oui ,leur but est de détruire les cellules familliales ,jeter nos filles dans la prostitution et la débauche ,mais là les pseudo démocrates ne lévent pas le petit doigt ,mais dés qu'il s'agit zaama de libertés indviduelles , c'est l'apocalypse à écouter ou lire leur érticles "journalistiques" ,proche d'un appel à la guerre civile.
ces démocrates là sont tellement faut qu'ils sont devenus la risée des gens sensés , heureusement que nous sommes nombreux .
le malheur est qu'il y a parmis nous les musulmans qui croivent encore qu'ils ppeuvent trouver un juif qui de bonnnes intentions ,mais quelle naiveté criminelle .
oui ,leur but est de détruire les cellules familliales ,jeter nos filles dans la prostitution et la débauche ,mais là les pseudo démocrates ne lévent pas le petit doigt ,mais dés qu'il s'agit zaama de libertés indviduelles , c'est l'apocalypse à écouter ou lire leur érticles "journalistiques" ,proche d'un appel à la guerre civile.
ces démocrates là sont tellement faut qu'ils sont devenus la risée des gens sensés , heureusement que nous sommes nombreux .
folle- Nombre de messages : 3347
Date d'inscription : 25/01/2009
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