A propos du slogan prêt-à-hurler « changement de système » et du mvt estudiantin
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A propos du slogan prêt-à-hurler « changement de système » et du mvt estudiantin
Bon. Quand on parle de "système", cela veut dire que l'on parle de
Droit constitutionnel. Pour se faire une idée, simple :
http://www.droitconstitutionnel.net/formes-Etat.html Cela prend moins
de cinq minutes.
Ceci lu, on peut ensuite aller consulter le texte de la Constitution
(ça se vend à moins de 300 Da en librairie et on peut le lire
gratuitement sur http://www.joradp.dz/
A partir de là, on peut déjà commencer à dire ce qui dérange vraiment
dans le système politique algérien pour comprendre ce qu'on veut pour
soi et pour autrui
Si on a le temps de se faire une culture sur ce sujet :
http://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9mocratie
ou, en arabe :
http://ar.wikipedia.org/wiki/%D8%AF%D9%8A%D9%85%D9%82%D8%B1%D8%A7%D8%B7%D9%8A%D8%A9
Démystifier la "magie" dont il semble que l'on veut entretenir le
slogan de "changement de système" - qui sonne très creux sinon
éviscérant dans la bouche ou sous la plume de plus d'un-, il le
fallait simplement.
Il le fallait, entre autres parce qu'il se trouve que je suis
étudiant. Nouveau, mais vieillot. Et, demain, mes copains et mes
copines des universités algériennes vont se retrouver à battre le pavé
pour une plate-forme de revendications clairement parlantes. Celles
qui en constituent le relief le plus proéminent sont : université
publique, de qualité, performante pour tous et démocratisation du
fonctionnement de l'université. On peut tout lire ici :
https://www.facebook.com/notes/aboudaou-fac/coordination-nationale-autonome-des-%C3%A9tudiants-cnae/207038485987893
Et, naturellement, j'y adhère, d'autant plus que je suis aussi pour le
droit des adjoints d'éducation (ainsi que pour tous les travailleurs
et travailleuses) à la promotion et à la formation, continue, tout au
long de la vie non point du tout pour être tout le temps réutilisable
à merci mais pour toujours s'améliorer, pour toujours faire joindre de
nouvelles limites théoriques avec les toujours récents cumuls
d'expérience au contact du relief social et professionnel.
Cela nous renoue avec l'âme de l'université algérienne, qui lui est
connue notamment dans les années 60 et 70, et ne me semble nullement
compromettantes avec le fantasme non encore rationalisé de "changement
de système".
Ce post est donc pensé comme une invitation à ceux qui voudraient
s'aventurer à tenter de dévoyer les revendications estudiantines vers
des chimères de s'en abstenir, car l'université peut très bien
répliquer par une ouverture tous azimuts de ce sujet à débat général.
Et, là, les étudiant(e)s que nous sommes savons qu'il est inutile de
s'attendre à ce que les juristes qui ont pour le moment pignon sur rue
défendent ou militent pour un système qui sot compatible ou qui
seulement peut réellement satisfaire nos revendications.
Tout ce qu'on lit dans les journaux d'intelligent à propos du contenu
que certains voudraient donner au slogan prêt-à-hurler de « changement
de système » ressemble grosso-modo à ceci :
http://www.elwatan.com/supplement-economie/actualites/le-manque-de-securite-juridique-en-algerie-ouvre-la-voie-a-de-longs-et-onereux-litiges-11-04-2011-119999_198.php
Tahar
Droit constitutionnel. Pour se faire une idée, simple :
http://www.droitconstitutionnel.net/formes-Etat.html Cela prend moins
de cinq minutes.
Ceci lu, on peut ensuite aller consulter le texte de la Constitution
(ça se vend à moins de 300 Da en librairie et on peut le lire
gratuitement sur http://www.joradp.dz/
A partir de là, on peut déjà commencer à dire ce qui dérange vraiment
dans le système politique algérien pour comprendre ce qu'on veut pour
soi et pour autrui
Si on a le temps de se faire une culture sur ce sujet :
http://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9mocratie
ou, en arabe :
http://ar.wikipedia.org/wiki/%D8%AF%D9%8A%D9%85%D9%82%D8%B1%D8%A7%D8%B7%D9%8A%D8%A9
Démystifier la "magie" dont il semble que l'on veut entretenir le
slogan de "changement de système" - qui sonne très creux sinon
éviscérant dans la bouche ou sous la plume de plus d'un-, il le
fallait simplement.
Il le fallait, entre autres parce qu'il se trouve que je suis
étudiant. Nouveau, mais vieillot. Et, demain, mes copains et mes
copines des universités algériennes vont se retrouver à battre le pavé
pour une plate-forme de revendications clairement parlantes. Celles
qui en constituent le relief le plus proéminent sont : université
publique, de qualité, performante pour tous et démocratisation du
fonctionnement de l'université. On peut tout lire ici :
https://www.facebook.com/notes/aboudaou-fac/coordination-nationale-autonome-des-%C3%A9tudiants-cnae/207038485987893
Et, naturellement, j'y adhère, d'autant plus que je suis aussi pour le
droit des adjoints d'éducation (ainsi que pour tous les travailleurs
et travailleuses) à la promotion et à la formation, continue, tout au
long de la vie non point du tout pour être tout le temps réutilisable
à merci mais pour toujours s'améliorer, pour toujours faire joindre de
nouvelles limites théoriques avec les toujours récents cumuls
d'expérience au contact du relief social et professionnel.
Cela nous renoue avec l'âme de l'université algérienne, qui lui est
connue notamment dans les années 60 et 70, et ne me semble nullement
compromettantes avec le fantasme non encore rationalisé de "changement
de système".
Ce post est donc pensé comme une invitation à ceux qui voudraient
s'aventurer à tenter de dévoyer les revendications estudiantines vers
des chimères de s'en abstenir, car l'université peut très bien
répliquer par une ouverture tous azimuts de ce sujet à débat général.
Et, là, les étudiant(e)s que nous sommes savons qu'il est inutile de
s'attendre à ce que les juristes qui ont pour le moment pignon sur rue
défendent ou militent pour un système qui sot compatible ou qui
seulement peut réellement satisfaire nos revendications.
Tout ce qu'on lit dans les journaux d'intelligent à propos du contenu
que certains voudraient donner au slogan prêt-à-hurler de « changement
de système » ressemble grosso-modo à ceci :
http://www.elwatan.com/supplement-economie/actualites/le-manque-de-securite-juridique-en-algerie-ouvre-la-voie-a-de-longs-et-onereux-litiges-11-04-2011-119999_198.php
Tahar
aokas-aitsmail- Nombre de messages : 1819
Date d'inscription : 01/03/2010
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