La France propose son aide pour exterminer les musulmans du Maghreb
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La France propose son aide pour exterminer les musulmans du Maghreb
La France propose au dictateur tunisien de l'aider dans l'entreprise du massacre des tunisiens!
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Accusée de réagir bien mollement à la répression par le pouvoir des manifestations en Tunisie, la France a affirmé, mardi 11 janvier par la voix de sa ministre des affaires étrangères, refuser de se poser en "donneur de leçons". A l'Assemblée, sommée par l'opposition de s'expliquer, Michèle Alliot-Marie a expliqué : "Plutôt que de lancer des anathèmes, je crois que notre devoir est de faire une analyse sereine et objective de la situation." La France, ancienne puissance coloniale, traditionnellement très prudente dans ses prises de position sur la Tunisie, s'était déjà limitée lundi à "déplorer les violences" qui ont fait en trois jours, selon les ONG, plus de trente-cinq morts. "On ne peut que déplorer qu'il puisse y avoir des violences qui concernent ces peuples amis", a dit Mme Alliot-Marie mardi après-midi, évoquant à la fois la Tunisie et l'Algérie, où des protestations ont également lieu contre la hausse des prix alimentaires. "Notre premier message doit être celui de l'amitié" entre les peuples français et tunisien, et "on ne doit pas s'ériger en donneurs de leçons" face à une situation "complexe", a-t-elle martelé, tout en invitant les dirigeants à "mieux prendre en compte les attentes" des populations. Pour le gouvernement français, les émeutes en Tunisie sont avant tout dues à l'exaspération des jeunes qui ne trouvent pas d'emploi "en adéquation avec leur formation", a expliqué la ministre. "SAVOIR-FAIRE FRANÇAIS" La chef de la diplomatie française a même proposé à la Tunisie l'aide de Paris dans le maintien de l'ordre. "Aujourd'hui, la priorité face à cette situation doit aller à l'apaisement après des affrontements qui ont fait des morts. Un apaisement qui peut reposer sur des techniques de maintien de l'ordre (...) puisque nous avons des savoir-faire en la matière." Le député socialiste Gaëtan Gorce et plusieurs autres membres de l'opposition ont exhorté l'exécutif français à se montrer plus ferme face au régime de Zine El-Abidine Ben Ali. "Il faut (...) que ce gouvernement se ressaisisse et s'exprime de manière forte, à la fois pour condamner les violences et pour apporter sa contribution à un processus de réforme indispensable", a-t-il dit dans l'hémicycle. "Sinon cela voudrait dire que vous restez enfermés dans une alternative fausse qui consisterait à dire qu'il n'y aurait pas d'alternative entre l'islamisme et des régimes autoritaires souvent corrompus", a-t-il poursuivi. "BEN ALI, QUELQU'UN QUI EST SOUVENT MAL JUGÉ" Plus tôt dans la journée, le ministre de l'agriculture, Bruno Le Maire, avait été le premier membre du gouvernement à s'exprimer. "Avant de juger un gouvernement étranger, mieux vaut bien connaître la situation sur le terrain et savoir exactement pour quelles raisons telle ou telle décision a été prise", a-t-il déclaré, mardi 11 janvier, sur Canal+. "Je n'ai pas à qualifier le régime tunisien. Je suis français, je n'ai pas à juger de l'extérieur comme ça un gouvernement étranger, a ajouté Bruno Le Maire. Le président Ben Ali est quelqu'un qui est souvent mal jugé, [mais] il a fait beaucoup de choses. On peut critiquer après certains aspects, être toujours vigilant sur les droits de l'homme, mais c'est un pays qui a connu de vraies difficultés." A l'opposé de ces déclarations, l'ancien porte-parole de l'UMP Dominique Paillé a estimé mardi que Nicolas Sarkozy devrait faire "des gestes" pour rappeler au président Ben Ali qu'il y a "un respect des droits fondamentaux à mettre en œuvre" dans son pays. Il s'agit "bien évidemment, sans s'ingérer dans les affaires intérieures de la Tunisie, de rappeler à tous nos alliés, quels qu'ils soient, que nous ne transigeons pas sur un certain nombre de ces valeurs", a expliqué M. Paillé, membre du Parti radical, sur LCI. Autre intervention significative, celle du président du groupe d'amitié France-Tunisie au Sénat, le socialiste Jean-Pierre Sueur, qui a dénoncé dans un communiqué "la répression violente" contre les manifestants. "Il y a un moment où l'amitié doit se traduire par un langage de vérité", a-t-il expliqué, estimant en particulier que la lutte contre une éventuelle menace islamiste ne peut justifier des violations des libertés.
http://www.lemonde.fr/afrique/article/2011/01/11/tunisie-bruno-le-maire-prend-la-defense-de-ben-ali_1463776_3212.html#xtor=AL-32280184
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Suzana
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Accusée de réagir bien mollement à la répression par le pouvoir des manifestations en Tunisie, la France a affirmé, mardi 11 janvier par la voix de sa ministre des affaires étrangères, refuser de se poser en "donneur de leçons". A l'Assemblée, sommée par l'opposition de s'expliquer, Michèle Alliot-Marie a expliqué : "Plutôt que de lancer des anathèmes, je crois que notre devoir est de faire une analyse sereine et objective de la situation." La France, ancienne puissance coloniale, traditionnellement très prudente dans ses prises de position sur la Tunisie, s'était déjà limitée lundi à "déplorer les violences" qui ont fait en trois jours, selon les ONG, plus de trente-cinq morts. "On ne peut que déplorer qu'il puisse y avoir des violences qui concernent ces peuples amis", a dit Mme Alliot-Marie mardi après-midi, évoquant à la fois la Tunisie et l'Algérie, où des protestations ont également lieu contre la hausse des prix alimentaires. "Notre premier message doit être celui de l'amitié" entre les peuples français et tunisien, et "on ne doit pas s'ériger en donneurs de leçons" face à une situation "complexe", a-t-elle martelé, tout en invitant les dirigeants à "mieux prendre en compte les attentes" des populations. Pour le gouvernement français, les émeutes en Tunisie sont avant tout dues à l'exaspération des jeunes qui ne trouvent pas d'emploi "en adéquation avec leur formation", a expliqué la ministre. "SAVOIR-FAIRE FRANÇAIS" La chef de la diplomatie française a même proposé à la Tunisie l'aide de Paris dans le maintien de l'ordre. "Aujourd'hui, la priorité face à cette situation doit aller à l'apaisement après des affrontements qui ont fait des morts. Un apaisement qui peut reposer sur des techniques de maintien de l'ordre (...) puisque nous avons des savoir-faire en la matière." Le député socialiste Gaëtan Gorce et plusieurs autres membres de l'opposition ont exhorté l'exécutif français à se montrer plus ferme face au régime de Zine El-Abidine Ben Ali. "Il faut (...) que ce gouvernement se ressaisisse et s'exprime de manière forte, à la fois pour condamner les violences et pour apporter sa contribution à un processus de réforme indispensable", a-t-il dit dans l'hémicycle. "Sinon cela voudrait dire que vous restez enfermés dans une alternative fausse qui consisterait à dire qu'il n'y aurait pas d'alternative entre l'islamisme et des régimes autoritaires souvent corrompus", a-t-il poursuivi. "BEN ALI, QUELQU'UN QUI EST SOUVENT MAL JUGÉ" Plus tôt dans la journée, le ministre de l'agriculture, Bruno Le Maire, avait été le premier membre du gouvernement à s'exprimer. "Avant de juger un gouvernement étranger, mieux vaut bien connaître la situation sur le terrain et savoir exactement pour quelles raisons telle ou telle décision a été prise", a-t-il déclaré, mardi 11 janvier, sur Canal+. "Je n'ai pas à qualifier le régime tunisien. Je suis français, je n'ai pas à juger de l'extérieur comme ça un gouvernement étranger, a ajouté Bruno Le Maire. Le président Ben Ali est quelqu'un qui est souvent mal jugé, [mais] il a fait beaucoup de choses. On peut critiquer après certains aspects, être toujours vigilant sur les droits de l'homme, mais c'est un pays qui a connu de vraies difficultés." A l'opposé de ces déclarations, l'ancien porte-parole de l'UMP Dominique Paillé a estimé mardi que Nicolas Sarkozy devrait faire "des gestes" pour rappeler au président Ben Ali qu'il y a "un respect des droits fondamentaux à mettre en œuvre" dans son pays. Il s'agit "bien évidemment, sans s'ingérer dans les affaires intérieures de la Tunisie, de rappeler à tous nos alliés, quels qu'ils soient, que nous ne transigeons pas sur un certain nombre de ces valeurs", a expliqué M. Paillé, membre du Parti radical, sur LCI. Autre intervention significative, celle du président du groupe d'amitié France-Tunisie au Sénat, le socialiste Jean-Pierre Sueur, qui a dénoncé dans un communiqué "la répression violente" contre les manifestants. "Il y a un moment où l'amitié doit se traduire par un langage de vérité", a-t-il expliqué, estimant en particulier que la lutte contre une éventuelle menace islamiste ne peut justifier des violations des libertés.
http://www.lemonde.fr/afrique/article/2011/01/11/tunisie-bruno-le-maire-prend-la-defense-de-ben-ali_1463776_3212.html#xtor=AL-32280184
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Suzana
l.hakik- Nombre de messages : 74
Date d'inscription : 31/12/2010
Re: La France propose son aide pour exterminer les musulmans du Maghreb
La France, pays des droits de l'homme, ne peut accepter la mort des
Tunisiens ou des Algériens
Tunisiens ou des Algériens
Re: La France propose son aide pour exterminer les musulmans du Maghreb
la france n'a qu'à s'occuper de ses multiples problémes ,elle n'a auccune leçon à nous donner
n'oubliant pas que mittérand avait déjà parier sur la prise de pouvoir par le fis ,et avait déjà commencer à négocier avec le fis .
n'oubliant pas qu' l'algérie rpublicaine dont notre armée en premier aviat souffert del'embargo sur la vente des armes imposée à l'onu par la france mittérandienne ,n'oubliant pas que la france avait joué sur le qui tu qui pour semer le doute et donc accélérer la chute d'alger au main des talibans .
moi azemour ,je considére que le dossier français est clos depuis 1962 par les armes ,donc tout ce qui est français est une sypercherie et innacéptable politiquement .
je conseilles à sarkozy d'essayer de controler un peu sa femme carla bruni ,elle commence vraiment à lui faire de l'ombre et à le rabaisser.
n'oubliant pas que mittérand avait déjà parier sur la prise de pouvoir par le fis ,et avait déjà commencer à négocier avec le fis .
n'oubliant pas qu' l'algérie rpublicaine dont notre armée en premier aviat souffert del'embargo sur la vente des armes imposée à l'onu par la france mittérandienne ,n'oubliant pas que la france avait joué sur le qui tu qui pour semer le doute et donc accélérer la chute d'alger au main des talibans .
moi azemour ,je considére que le dossier français est clos depuis 1962 par les armes ,donc tout ce qui est français est une sypercherie et innacéptable politiquement .
je conseilles à sarkozy d'essayer de controler un peu sa femme carla bruni ,elle commence vraiment à lui faire de l'ombre et à le rabaisser.
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