L’Etat algérien est en train de commettre un crime contre la Kabylie
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L’Etat algérien est en train de commettre un crime contre la Kabylie
L’Etat algérien est en train de commettre un crime contre la Kabylie
De Tizi-Ouzou, par Saïd T
L’Etat algérien est en train de commettre un crime contre la Kabylie. N’ayant pu la dompter, les détenteurs du pouvoir ont alors décidé de l’anéantir. Et le pire est à venir à moins que le peuple kabyle décide de riposter à la mesure de l’agression dirigée contre lui en réussissant à déjouer le plan machiavélique élaboré dans les laboratoires des hautes sphères et mis à exécution depuis plus d’une dizaine d’années. Les Kabyles doivent effectivement se poser au moins deux questions jugées comme fondamentales. La première : pourquoi seuls les forêts et bois de la Kabylie demeurent « des fiefs terroristes » ? La seconde : pourquoi l’islamisme ne cesse d’envahir la Kabylie, à commencer par la ville de Tizi-Ouzou appelée communément la capitale du Djurdjura ? Tentons un tant soit peu de répondre à la première question ! La présence de « terroristes » dans les maquis de Kabylie signifie avant tout que la région n’est pas sécurisée. Et par conséquent, elle ne peut être que fuie par des investisseurs. Le dernier acte « terroriste »ayant ciblé des vigiles d’une entreprise algéro-turque dans le département de Béjaia en est un petit exemple. Cela sans compter les opérations de kidnappings qui se comptent par dizaines ou des faux barrages qui sont dressés par des bandits portant un armement de guerre. En somme, les commanditaires des attentats terroristes et autres actes relevant du brigandage, poussés par le désespoir, tentent de faire détacher le peuple kabyle de sa première et unique représentation politique légitime : le Mouvement pour l’Autonomie de la Kabylie (MAK). La deuxième explication : l’Etat algérien aurait le loisir de présenter le peuple kabyle vis-à-vis de l’opinion internationale comme un peuple terroriste et sauvage. Si seulement un tel argument était retenu par les nations unies, il faudrait longtemps au peuple kabyle pour réussir à s’en disculper. A la deuxième question, à savoir, rappelons-le, l’islamisme qui progresse de jour en jour en Kabylie, celui-ci est présenté en premier lieu comme la principale source du terrorisme. En deuxième lieu, l’Etat algérien le destine à casser la dynamique et l’essence kabyles. En effet, il est connu qu’un islamiste, même d’origine kabyle, se donne l’identité d’un arabo-musulman et ses origines historiques, il ne peut en aucun cas les situer au-delà de l’avènement de l’islam. En somme, l’Etat algérien exécute son crime contre le peuple kabyle idéologiquement, économiquement, socialement, culturellement, administrativement et militairement. Le siège de la préfecture de Tizi-Ouzou est devenu un véritable bunker. La route jouxtant l’ex-jardin se trouvant en face la maison de la culture est fermée à la circulation automobile. D’énormes blocs de ciment sont dressés au milieu de la chaussée. En voyant de tels obstacles, un étranger aurait le sentiment que le pays est en guerre. Avoir accès à la préfecture, relève des Ecuries d’Augias. Avec un excès de zèle, les vigiles dont bon nombre d’entre eux sont recrutés dans les milieux de voyous et malfrats vous font voir des vertes et des pas mûres. En sus du scanner placé devant la porte d’accès aux bâtiments, ces pseudos agents de sécurité vous poseront tout un tas de questions sur les motifs de votre visite et sur la personne ou le service à voir. Et ne vous dites pas qu’ils seront sensibles à votre cause car ils ne sont pas plus sentimentaux que les bourreaux. Même la presse est soumise au même régime. Autrefois, l’accès au siège de l’Assemblée Populaire de Wilaya (APW, équivalent du Conseil Régional en France mais sans les prérogatives de celui-ci) est relativement facile. Mais à présent, le nouveau Président de l’APW qui voit des terroristes « par tout » a donné la ferme instruction aux gardiens de ne laisser personne aller le voir sauf si lui-même l’autorise. Mais comment le P /APW peut-il savoir que quelqu’un désire le voir ? Sur les routes, un automobiliste ne peut rouler plus de mille mètres sans rencontrer un barrage de police ou de gendarmerie avec leur habituel arsenal d’obstacles. Des deux côtés de la chaussée, les redoutables crève-pneus sont dressés. Et par conséquent, le passage est si rétréci que l’homme au volant est obligé de circuler très doucement. Une telle situation engendre naturellement d’énormes embouteillages et bouchons. Une fois quitté le territoire de Kabylie, un autre monde s’ouvre à vous. Plus d’embouteillages sur les routes, plus personne à vous tirer les vers du nez devant l’entrée principale d’une institution de la république et, surtout, vous ne risquez pas de tomber sur des bandits armés de pistolets-mitrailleurs prêts à vous délester de vos biens. Le peuple kabyle est conscient des crimes commis contre lui. Il doit être conscient aussi que lui seul est capable de procéder aux réparations nécessaires. On n’est mieux servi que par soi-même, dit le vieil adage.
S.T
De Tizi-Ouzou, par Saïd T
L’Etat algérien est en train de commettre un crime contre la Kabylie. N’ayant pu la dompter, les détenteurs du pouvoir ont alors décidé de l’anéantir. Et le pire est à venir à moins que le peuple kabyle décide de riposter à la mesure de l’agression dirigée contre lui en réussissant à déjouer le plan machiavélique élaboré dans les laboratoires des hautes sphères et mis à exécution depuis plus d’une dizaine d’années. Les Kabyles doivent effectivement se poser au moins deux questions jugées comme fondamentales. La première : pourquoi seuls les forêts et bois de la Kabylie demeurent « des fiefs terroristes » ? La seconde : pourquoi l’islamisme ne cesse d’envahir la Kabylie, à commencer par la ville de Tizi-Ouzou appelée communément la capitale du Djurdjura ? Tentons un tant soit peu de répondre à la première question ! La présence de « terroristes » dans les maquis de Kabylie signifie avant tout que la région n’est pas sécurisée. Et par conséquent, elle ne peut être que fuie par des investisseurs. Le dernier acte « terroriste »ayant ciblé des vigiles d’une entreprise algéro-turque dans le département de Béjaia en est un petit exemple. Cela sans compter les opérations de kidnappings qui se comptent par dizaines ou des faux barrages qui sont dressés par des bandits portant un armement de guerre. En somme, les commanditaires des attentats terroristes et autres actes relevant du brigandage, poussés par le désespoir, tentent de faire détacher le peuple kabyle de sa première et unique représentation politique légitime : le Mouvement pour l’Autonomie de la Kabylie (MAK). La deuxième explication : l’Etat algérien aurait le loisir de présenter le peuple kabyle vis-à-vis de l’opinion internationale comme un peuple terroriste et sauvage. Si seulement un tel argument était retenu par les nations unies, il faudrait longtemps au peuple kabyle pour réussir à s’en disculper. A la deuxième question, à savoir, rappelons-le, l’islamisme qui progresse de jour en jour en Kabylie, celui-ci est présenté en premier lieu comme la principale source du terrorisme. En deuxième lieu, l’Etat algérien le destine à casser la dynamique et l’essence kabyles. En effet, il est connu qu’un islamiste, même d’origine kabyle, se donne l’identité d’un arabo-musulman et ses origines historiques, il ne peut en aucun cas les situer au-delà de l’avènement de l’islam. En somme, l’Etat algérien exécute son crime contre le peuple kabyle idéologiquement, économiquement, socialement, culturellement, administrativement et militairement. Le siège de la préfecture de Tizi-Ouzou est devenu un véritable bunker. La route jouxtant l’ex-jardin se trouvant en face la maison de la culture est fermée à la circulation automobile. D’énormes blocs de ciment sont dressés au milieu de la chaussée. En voyant de tels obstacles, un étranger aurait le sentiment que le pays est en guerre. Avoir accès à la préfecture, relève des Ecuries d’Augias. Avec un excès de zèle, les vigiles dont bon nombre d’entre eux sont recrutés dans les milieux de voyous et malfrats vous font voir des vertes et des pas mûres. En sus du scanner placé devant la porte d’accès aux bâtiments, ces pseudos agents de sécurité vous poseront tout un tas de questions sur les motifs de votre visite et sur la personne ou le service à voir. Et ne vous dites pas qu’ils seront sensibles à votre cause car ils ne sont pas plus sentimentaux que les bourreaux. Même la presse est soumise au même régime. Autrefois, l’accès au siège de l’Assemblée Populaire de Wilaya (APW, équivalent du Conseil Régional en France mais sans les prérogatives de celui-ci) est relativement facile. Mais à présent, le nouveau Président de l’APW qui voit des terroristes « par tout » a donné la ferme instruction aux gardiens de ne laisser personne aller le voir sauf si lui-même l’autorise. Mais comment le P /APW peut-il savoir que quelqu’un désire le voir ? Sur les routes, un automobiliste ne peut rouler plus de mille mètres sans rencontrer un barrage de police ou de gendarmerie avec leur habituel arsenal d’obstacles. Des deux côtés de la chaussée, les redoutables crève-pneus sont dressés. Et par conséquent, le passage est si rétréci que l’homme au volant est obligé de circuler très doucement. Une telle situation engendre naturellement d’énormes embouteillages et bouchons. Une fois quitté le territoire de Kabylie, un autre monde s’ouvre à vous. Plus d’embouteillages sur les routes, plus personne à vous tirer les vers du nez devant l’entrée principale d’une institution de la république et, surtout, vous ne risquez pas de tomber sur des bandits armés de pistolets-mitrailleurs prêts à vous délester de vos biens. Le peuple kabyle est conscient des crimes commis contre lui. Il doit être conscient aussi que lui seul est capable de procéder aux réparations nécessaires. On n’est mieux servi que par soi-même, dit le vieil adage.
S.T
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Date d'inscription : 01/03/2010
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