AOKAS : Une belle région côtière

AOKAS : Une belle région côtière


Région côtière d’une rare beauté, Aokas attire les visiteurs des quatre coins du pays et d’ailleurs. La ville est une commune de la wilaya de Béjaïa, situé à une vingtaine de kilomères de Yemma Gouraya. Cette magnifique région est située entre Tichy et Souk el El Tenine. C’est une ville calme et chaleureuse, connue pour sa culture et sa population accueillante. Le douar d’Aokas a été créé par décret du 2 octobre 1869, durant la période coloniale. Il avait une superficie de 2 202 hectares et une population de 2.245 habitants (Recensement de 1931). Son altitude moyenne est de 300 mètres. Aujourd’hui la population d’Aokas est de plus en plus nombreuse, surtout durant la saison estivale. Sept fractions forment ce douar : Tabellout, Tikherrubine, Taremant, Aliwen, Mesbah, Aqqar, Ait Aissa. Selon des vieux de la région, les Aït M’hamed sont d’origine berbère, remontant à une très lointaine époque. Les premiers occupants de cette tribu seraient les Aït Makhlouf établis durant une période immémoriale dans les bassins de l’Oued M’sbah, de l’Oued N’Tabellout et sur une partie du territoire situé sur la rive droite de ce cours d’eau. Cette population fait partie de la tribu des Aït Ouaret ou Ali aujourd’hui rattachée à celle d’Aokas. Vers la fin du XVe siècle de l’ère chrétienne, au moment où les Maures vaincus par les Espagnols repassèrent la mer et se répandirent dans le nord de l’Afrique (1492) deux familles vinrent s’établir dans le pays sous la conduite de deux chefs riches et marabouts vénérés : M’hamed ou Said Ouled M’hamed ou Mâmmer (leur ancêtre) originaire de Sekiet el Hamra, au sud du Maroc (selon les habitants de la région). Les Ait M’hamed ont vécu constamment en guerre avec leurs voisins ; ils n’ont jamais payé l’impôt aux Turcs, comme tous les berbères de la basse Kabylie, et ils ont toujours joui de l’indépendance qu’ils avaient su conquérir jusqu’à leur soumission d’une façon définitive au général Randon après un combat acharné de deux jours livré au col de Tizi ou Sekka (en mai 1853). Avec ce passé glorieux et des sites naturels exquis, telles que les grottes merveilleuses, Aokas attire beaucoup de touristes et de curieux. Les autorités sont plus que jamais interpellées pour promouvoir le tourisme de la région, tout en sauvegardant l’environnement.

M. C. Z.

http://iflisen2008.over-blog.com/article-32986330.html

un peu de vivacité , akan t3yam

belle c'est vrai

ce site est l'antichambre du parti ....voila pourquoi il ne peut etre credible.
ce parti pris ne l'autorise pas à parler au nom des aokassiens.
Presentez nous le village aghrib , c mieux.

tu devrais étre du FFS toi!

un peu, ma chère.

pas beaucoup, mitch mitch! t'as l'odeur quand même!