Lazhari Labter à Aokas le samedi 14 juillet 2018

UN GRAND MERCI AU CAFÉ LITTÉRAIRE D’AOKAS
Un grand merci à tous les membres du Café littéraire d’Aokas et en particulier à mes amis Hafit Zaouche et Zidani Azeddine qui m’ont donné l’occasion de présenter mon roman « Hiziya Princesse d’amour des Ziban » hier samedi 14 juillet 2018, d’échanger et de débattre avec un public attentif, intéressé, connaisseur, critique, bref passionné et passionnant. Que mille Cafés littéraires, à l’exemple de celui d’Aokas, fleurissent dans chaque ville et village d’Algérie, ce merveilleux pays, unique et pluriel, dont les énergies créatrices font des merveilles lorsqu’elles décident de se prendre en main et de se libérer des entraves bureaucratiques, des autorisations administratives et de sortir du cadre des « activités culturelles » de circonstance.
Lazhari Labter

UN GRAND MERCI AU CAFÉ LITTÉRAIRE D’AOKAS

Un grand merci à tous les membres du Café littéraire d’Aokas et en particulier à mes amis Hafit Zaouche et Zidani Azeddine qui m’ont donné l’occasion de présenter mon roman « Hiziya Princesse d’amour des Ziban » hier samedi 14 juillet 2018, d’échanger et de débattre avec un public attentif, intéressé, connaisseur, critique, bref passionné et passionnant. Que mille Cafés littéraires, à l’exemple de celui d’Aokas, fleurissent dans chaque ville et village d’Algérie, ce merveilleux pays, unique et pluriel, dont les énergies créatrices font des merveilles lorsqu’elles décident de se prendre en main et de se libérer des entraves bureaucratiques, des autorisations administratives et de sortir du cadre des « activités culturelles » de circonstance.

Lazhari Labter

Sid Ali Guedouah Amel je crois que c'est très symbolique de la part de Lazhari de parler se libérer des entraves bureaucratique ; il fait peut-etre référencée aux évènements récents de Bouzguène quand la mairie a enlevé les ameublement de leur café littéraire avec une auteur (je ne me rappelle plus qui) et du café littéraire d'Aokas justement plus anciens quand la police est descendu avec force dans l'établissement pour mettre fin à une activité qui ressemblait à celle sur ces photos et qui ont donné suite une semaine après à une manifestation d'universitaires, d'artistes, et d'autres personnes très intéressantes à Béjaia... Je crois qu'ils avaient manifesté un livre à la main ; ils étaient là par milliers, Sabrina et Moussa étaient parmi eux... Merci Lazhari.

Nassima Bennai Je suis épatée et fière de ces cafés littéraires animés à Aokas en invitations à plusieurs écrivains ; ça réanime un peu cette mort culturelle subie depuis quelques années et j'avoue que cela doit être une richesse en échanges et débats .