«Ma fille, tu dis un mot en kabyle je te tue», la dérive de trop d’une députée algérienne
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«Ma fille, tu dis un mot en kabyle je te tue», la dérive de trop d’une députée algérienne
«Ma fille, tu dis un mot en kabyle je te tue», la dérive de trop d’une députée algérienne
La députée algérienne n’en est pas à sa première bévue vis-à-vis des Amazighs. Au-delà d’une polémique déclenchée par une politicienne «impopulaire» pour regagner en visibilité, des Algériens relèvent surtout un discours «dangereux».
Naima Salhi est coutumière des sorties fracassantes. Cheffe d'un microscopique parti d'obédience islamiste, qui a néanmoins remporté un siège aux dernières élections législatives, l'élue s'en est violemment prise, lundi, à la culture amazighe, dont la langue, Tamazight, figure aussi dans la Constitution comme «langue nationale et officielle».
«Ma fille a appris le kabyle (i.e: la langue amazighe, parlée notamment en Kabylie) en fréquentant des camarades dans une école privée. Je ne m'y étais pas opposé. Maintenant qu'on veut nous l'imposer, je lui ai dit: si tu me dis encore un mot en kabyle, je te tue»,
raconte la députée algérienne en posant dans une vidéo qu'elle a postée dans les réseaux sociaux.
La députée algérienne n’en est pas à sa première bévue vis-à-vis des Amazighs. Au-delà d’une polémique déclenchée par une politicienne «impopulaire» pour regagner en visibilité, des Algériens relèvent surtout un discours «dangereux».
Naima Salhi est coutumière des sorties fracassantes. Cheffe d'un microscopique parti d'obédience islamiste, qui a néanmoins remporté un siège aux dernières élections législatives, l'élue s'en est violemment prise, lundi, à la culture amazighe, dont la langue, Tamazight, figure aussi dans la Constitution comme «langue nationale et officielle».
«Ma fille a appris le kabyle (i.e: la langue amazighe, parlée notamment en Kabylie) en fréquentant des camarades dans une école privée. Je ne m'y étais pas opposé. Maintenant qu'on veut nous l'imposer, je lui ai dit: si tu me dis encore un mot en kabyle, je te tue»,
raconte la députée algérienne en posant dans une vidéo qu'elle a postée dans les réseaux sociaux.
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Re: «Ma fille, tu dis un mot en kabyle je te tue», la dérive de trop d’une députée algérienne
https://fr.sputniknews.com/international/201802061035045849-algerie-naima-salhi/
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https://fr.sputniknews.com/international/201802061035045849-algerie-naima-salhi/
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