Naïma Salhi s'attaque à Tamazight et aux Kabyles fevrier 2018

https://www.youtube.com/watch?v=CjPkeaJe8IM&feature=youtu.be

« Une langue qui n’en est pas une, qui n’est pas porteuse de sciences et qu’on ne comprend pas à l’extérieur ne va pas nous servir. Qu’est-ce qu’on fera avec ? », lance la Secrétaire générale du microscopique Parti de l’équité et de la proclamation.

« Si tu prononces un mot en kabyle, je te tue ! »


« Ma petite fille est dans une école privée où la majorité des élèves sont kabyles. Elle s’est comportée avec innocence et a commencé à apprendre. Je ne me suis pas opposée. Puisque c’est devenu une obligation d’apprendre (tamazight), je lui ai dit : si je t’entends prononcer un mot en kabyle, je te tue. Je vais t’éduquer ! », lâche-t-elle en dialectale.


Dans un langage violent et haineux, cette responsable politique poursuit en indiquant que la « force est détenue par la majorité ». Comprendre : par les Algériens arabophones. « J’interdis à mes enfants de prononcer ne serait-ce qu’un mot en tamazight. Je veux dire le kabyle francisé des gens du MAK, le mouvement terroriste », conclut-elle.

Les propos haineux et violents de Naïma Salhi sur tamazight (Vidéo)
L'Actualité en temps réel Par: Hadjer Guenanfa 06 Févr. 2018 à 11:49

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Naïma Salhi fait encore parler d’elle en provoquant, cette fois-ci, une polémique autour de la généralisation de l’enseignement du tamazight.
« Une langue qui n’en est pas une, qui n’est pas porteuse de sciences et qu’on ne comprend pas à l’extérieur ne va pas nous servir. Qu’est-ce qu’on fera avec ? », lance la Secrétaire générale du microscopique Parti de l’équité et de la proclamation.

« Vous rejetez la langue arabe qui est parlée par plus d’un milliard de personnes, qui a des milliards de livres et de manuscrits et vous nous ramenez une langue morte qui n’a pas de lettres, de mots et de sens pour nous bloquer », assène encore Naïma Salhi qui ne s’arrête pas en si bon chemin. Elle affirme avoir menacé sa petite fille de mort si elle venait à prononcer un mot en tamazight.
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« Si tu prononces un mot en kabyle, je te tue ! »

« Ma petite fille est dans une école privée où la majorité des élèves sont kabyles. Elle s’est comportée avec innocence et a commencé à apprendre. Je ne me suis pas opposée. Puisque c’est devenu une obligation d’apprendre (tamazight), je lui ai dit : si je t’entends prononcer un mot en kabyle, je te tue. Je vais t’éduquer ! », lâche-t-elle en dialectale.
Dans un langage violent et haineux, cette responsable politique poursuit en indiquant que la « force est détenue par la majorité ». Comprendre : par les Algériens arabophones. « J’interdis à mes enfants de prononcer ne serait-ce qu’un mot en tamazight. Je veux dire le kabyle francisé des gens du MAK, le mouvement terroriste », conclut-elle.

Racisme et misogynie

Ce n’est pas la première fois que les déclarations racistes et parfois misogynes de la Secrétaire générale du Parti de l’équité et de la proclamation, devenue députée à l’issue des élections législatives de 2017, suscite la polémique.
On se souvient de sa défense acharnée de la polygamie dans laquelle elle voit une solution au « problème du célibat » des femmes et une manière de prémunir les hommes « du pêché ».

https://www.tsa-algerie.com/les-propos-haineux-et-violents-de-naima-salhi-sur-tamazight-video/

Naïma Salhi s'attaque à Tamazight et aux Kabyles fevrier 2018
https://www.youtube.com/watch?v=CjPkeaJe8IM&feature=youtu.be

"Mortelle expression" Par #Nazim_Mekbel Que nous remercions pour cette contribution
Voilà une sublime Qarya, qui au bagage universitaire, linguistique, sociologique, historique et anthropologique hors normes, nous décrit que l’amazigh est une langue morte dépourvue de mots, de verbes et de sens, estimant que, seule la langue arabe, aux milliards d’ouvrages et de pratiquants était valable.
On pourrait se dire que nous nous devons de respecter les avis des uns et des autres. Bien que parfois, il serait utile, voire même primordial de refuser ce genre de déclarations qui volent bien bas. Et le cas ici est le questionnement vis-à-vis des professionnels de la presse qui relayent ce genre de personnages, qui loin de faire rire, posent la réflexion sur la portée réelles de telles inepties.
Bref ! Pour revenir à notre grande pédagogue nationale, il y a cette terrible ironie dans son propos. Oui, il est à constater que la seule façon que cette mère, grande pédagogue vantant les richesses d’une langue vivante a eu d’expliquer à sa fille son choix et sa prise de position a été de lui promettre ...la mort !
Nazim Mekbel
06 février 2018

Grave dérive de Naïma Salhi:  haine, racisme et ignorance

Le procureur de la république compétent doit ordonner l'ouverture d'une enquête sur les propos prononcés par la présidente du desormais parti Amazighophobe , dans le cas contraire les populations Amazigh doivent s'autosaisir , et entamer la procédure de la réciprocité .

Sofiane Bennai Malheureusement, elle dit tout haut ce qu'une grande partie des algériens arabophones pensent tout bas. Si vous n'êtes pas convaincu, regardez l'histoire depuis l'arrivée des banou hillal à aujourd'hui, et la, aucun tamis ne couvrira assez le soleil. Pour ma part, plus je vois cette femme et son idéologie arabo-bathiste, plus je pense à une République de Kabylie, loin des khorroto et leurs idéologie mortifère.

https://www.youtube.com/watch?v=vO4rSNPafY8&feature=share

Hamid Ait Slimane elle est drôle celle -là exiger la levée de l' immunité de saliha de qui qui? du pouvoir qui lui-même à fait assassiner 126 de nos jeunes et sans que les assassins soient jugés à ce jour.. je crois rêver !

« Si tu prononces un mot en kabyle, je te tue ! »

Nous devons apprendre à vivre ensemble comme des frères, sinon nous allons mourir tous ensemble comme des idiots.
Martin Luther-King